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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Ce texte avait été publié sours le titre "Première infidélité, par Marie". Or, il semblerait que j'ai été abusée par un intenaute indélicat, qui m'avait envoyé ce récit pour publication, prétendant en être l'auteur. Or, il n'en n'est rien. Il s'agit en fait d'un texte écrit pas un charmant couple "les Libertins d'Angers". je leur présnte toute mes excuses pour cette triste erreur. N'hésitez pas à leur rendre visite !

http://libertinsangers.over-blog.com


Je revenais d’une rencontre professionnelle à Nantes, quand une envie pressante m’obligea à stopper quelques instants sur une aire d’autoroute, un peu avant Ancenis. J’avais encore 3/4 heure de route avant de retrouver la maison, et ne pouvais plus attendre. Alors que j’allais quitter la station, un jeune homme m’aborda. Il était tout à fait charmant et son air rassurant me mis en confiance.
« Excusez-moi de vous importuner, mais je suis en panne de voiture. Elle est là, » me dit-il en me désignant une vieille R5 garée à l’écart. « Je cherche quelqu’un pour me ramener sur Angers et j’ai vu que vous étiez immatriculée 49. »

Trouvant ce jeune homme touchant par son histoire, charmant aussi, je ne montrais aucune réticence, contrairement à l’habitude, et acceptais de le prendre dans mon véhicule afin de lui rendre ce petit service. De plus, c’était bien ma route.

Nous montâmes dans la voiture (en fait la voiture de mon mari, un monospace).
Tandis que je roulais et entrais sur la bretelle d’accélération, il entama la discussion :

« Je m’appelle Tony et vous remercie chaleureusement de ce service. Il n’est pas dans mes habitudes de faire du stop.
- Moi je m’appelle  C., et il est normal de s’entre aider. Qu’est-t-il arrivé à votre véhicule ? »

Il me raconta que son véhicule, bien que roulant, montrait des signes inquiétants, et qu’il ne souhaitait pas prendre le risque de casser son moteur sur l'autoroute. Il préférait faire examiner la voiture par des amis bricoleurs plutôt que de faire venir un réparateur. C’est pour cela qu’il avait laissé son véhicule sur l’aire d’autoroute et reviendrait le chercher plus tard.
Nous continuâmes notre discussion, présentant chacun succinctement notre vie, et je dois avouer que le garçon était vraiment mignon, plein d’humour et de raffinement.

C’est dans ces multiples échanges, tandis que nous croisions de brefs regards, que je vis à un moment que son regard n’était non pas sur moi comme c’était l’usage, mais qu'il était alors posé sur mes cuisses. Je m’aperçus que  ma jupe était remontée à mi-cuisse laissant apparaître la bordure en dentelle de mes bas, et pour un œil aguerri, le tendu caractéristique que fait sur la fine étoffe, une attache de jarretelle. Nos regards se croisèrent enfin, et je sentis instantanément mes joues rougir.

Tony senti mon embarras, et dit :
« Ne soyez pas gênée, et acceptez mes excuses pour mon regard perdu, mais vous êtes une très belle femme, et je ne connais aucun homme qui ne pourrait résister à cette vision magnifique que j’ai eu sous mes yeux un instant ! »

C’était un très beau compliment, qui paraissait si sincère… Mais ce jeune homme devait avoir 23-25 ans, et moi, j’approchais la quarantaine.

« Vous exagérez, mais le compliment me touche. A 39 ans, vous savez les années s’accumulent…
- Vous êtes une femme exquise, et je peux vous garantir que je décrocherais la lune, pour quelqu’un comme vous.
- Ah, ah … mais décrochez donc, Tony, décrochez donc… »

 

J’étais moi-même prise au dépourvu par ce qui se voulait une plaisanterie, mais dont je réalisais qu’elle allait prêter à confusion dans l’esprit de ce beau jeune homme.
Encouragé par ma plaisanterie, Tony plaça sa main sur ma cuisse. Je me sentis immédiatement troublée, et honteuse de ne pas manifester une vive protestation, et aussi gênée du trouble que je ressentais au contact sa main sur ma cuisse.
« J’espère que vous n’êtes pas choquée, me dit Tony. Si c’est le cas,  demandez-moi de retirer ma main et j’obéirais immédiatement.

- Tony, vous savez, je ne suis pas habituée à ce genre de pratiques, et je dois avouer que c’est une première fois pour moi. Je ne voudrais en aucun cas que vous vous mépreniez sur moi. »

Mais loin de lui demander de retirer sa main, dont je ressentais maintenant la chaleur à travers mon bas, je restais le visage fixé sur la route.

Je ne savais, ou plutôt savait trop bien, ce qui allait arriver. F, mon mari, m’incitait depuis quelques temps à prendre un amant…

Je le traitais de fou, lui disant que c’était lui mon homme, que je l’aimais et qu’il me suffisait amplement. Je me rappelais exactement ces termes, maintes fois échangés. Le terme « suffisait » le faisait bondir à chaque fois, et avec sa persuasion habituelle (il faut dire que ses arguments sont souvent très bien construits), il m’avait petit à petit convaincue, bien que je me refuse un peu à l’admettre, du bien-fondé de sa réflexion… La question n’était pas tant qu’il me suffise, comme si j’étais sa chose, mais qu’autour de notre Amour, nous construisions une cadre épicurien où le plaisir devait être le maitre mot. Pour lui, mon plaisir passait aussi par d’autres expériences, que je conduirais seule, ou que nous découvririons à plusieurs. C’est parce qu’il m’aimait, justement, disait-il, qu’il voulait m’offrir ces plaisirs que, peut être, je ne découvrirais plus entre ses bras. Selon lui, nous nous connaissions si bien, et il n’y aurait jamais cette excitation de l’interdit, car bien que jouant avec nos toys, il rêvait pour moi, pour nous, de plusieurs verges vigoureuses… J’en étais là de ces idées qui revenaient dans mon esprit et me disais que j’allais peut être franchir une étape, si ce garçon ne manquait pas de tact.

Et il faut dire que jusque là, il s’y prenait plutôt bien !


Sa main continuait à masser, à caresser ma cuisse, de bas en haut, faisant parfois remonter un peu ma jupe. Il avait mis à nu la blancheur de ma cuisse, au dessus du bas, et ne pouvait plus ignorer que je portais un bel ensemble de lingerie gris. Il s’amusait avec la jarretelle qui tendait mon bas. Un grand silence s’instaura dans la voiture, ponctué juste des bruits du moteur, et des froissements de sa main sur la jupe de mon tailleur sage.

Nous passâmes le péage d’Ancenis, et bien qu’ayant envisagé de repousser la main du jeune homme et de reprendre une position un peu plus décente, j’avais décidé de rester tels que nous étions.

« Il n’y avait pas de quoi fouetter un chat,  me dis-je. Rien que de bien habituel, une femme conduisant, son compagnon ayant posé sa main sur sa cuisse. Rien, si ce n’est cette différence d’âge et cette expérience qui me troublait. »

J’eu l’impression que la péagiste compris mon trouble au sourire qu’elle m’adressa ...

Je ne disais mot. Encouragé par ce silence qui valait assentiment, et profitant du jeu de jambes nécessaire au redémarrage du péage, à la montée des 6 vitesses, Tony repris ses caresses expertes. Il remonta alors intégralement ma jupe, découvrant bien au-delà des bas mes porte-jarretelles gris, et laissant apparaitre l’intimité de la fourche de mes cuisses. Le contact de sa main sur ma peau m’excitait, et j’étais dans l’incapacité de prononcer la moindre parole

Tandis que ses mains se faisaient maintenant plus fureteuses, cherchant à plonger entre mes cuisses, je feins une dernière résistance. Je fermais mes cuisses sur sa main mais en même temps, donnant le signal contraire, mon souffle se fit plus haletant. Il ne manquait rien de mon excitation naissante, et habilement gardait le silence, rendant ce moment particulièrement envoûtant.

Très vite, je me laissais aller, et sa main trouva le chemin de mon pubis. C’est comme une décharge qui parcouru mon corps, après de terribles frissons,  quand il vint délicatement effleurer la fine barrière de mon tanga.

Je sentais mon clitoris avide de caresses, mais il se contenta de l’effleurer … C’était exquis. Il me caressa mon triangle tout en me laissant conduire la voiture, dont j’avais bien évidement ralenti l’allure. Bientôt, un doigt se glissa entre ma peau et l’élastique, et vint se frayer un passage dans ma culotte, entrainant de fait sa main. Puis, je sentis ses doigts glisser autour de mes lèvres, titillant mon bouton. Il entreprit de fouiller mon intimité. Quand un doigt pénétra en moi, mon souffle se bloqua, et je pris la peine d’articuler
« Arrêtez, c’est trop dangereux, nous allons avoir un accident !
- C., tu me rends absolument fou, ton corps est un appel à l’amour, gare la voiture au prochain parking et trouve un endroit tranquille ou nous ne serons pas dérangés. »


Malgré mes remontrances, il maintenait son doigt dans mon sexe, qui me fouillait dans mes endroits les plus sensibles. Ce jeune homme savait faire ! il me caressait avec brio, et je me sentais me liquéfier. Parfois, il mettait sa main contre son visage, humant les doigts qui venaient de me fouiller, et les glissant avec avidité dans sa bouche. Ce petit con me rendait folle, il était si coquin, et tellement craquant. J’aimais son coté un peu rebelle, fier et sûr de lui… il pointait ses yeux dans les miens aussi surement que son doigt venait de nouveau me rendre dingue.

Je quittais alors l’autoroute à St Georges, et nous primes une petite route de campagne, à gauche. Je décidais de me ranger dans un des nombreux chemins vicinaux. J’engageais la voiture dans le premier chemin, et roulait assez loin pour nous mettre hors de vue de la route.
« Arrête-toi là. » ordonna Tony.

Je réalisais que depuis tout à l'heure, il me tutoyait maintenant. Une fois la voiture stoppée, il me renversa vers lui et m’embrassa avec fougue. Sa langue jouant avec la mienne. Sa main passa en dessous de mon tailleur pour attraper un de mes seins. Il découvrit ma poitrine opulente, cachée en dessous d’un soutien gorge à balconnet coordonné.
« Hum, tes seins sont magnifiques, C, tu es vraiment  une femme superbe. »

Sa langue continuait à fouiller ma bouche, pendant que ses mains investissaient soit ma culotte, soit mon soutien gorge. J’avais l’impression d’entendre mon mari dans ses compliments, et je dois dire qu’il ne s’était pas trompé. Ce que je vivais là était tout simplement délicieux. Il me laissa bientôt, et se calant dans son siège me dit :

« Prends-moi dans ta bouche. »


Mon regard était maintenant tombé sur son jean, que je voyais déformé par une érection prometteuse. Pourtant, allais-je franchir le pas ?

« Nous sommes fous, Tony je ne te connais pas, et je ne peux pas tromper mon mari

- Tu crois au coup de foudre ? J’en ai un envers toi. Quand je t’ai vue, tu m’as éblouie, et ce que je viens de vivre est meilleur que mes rêves les plus fous ? J’ai trop envie de toi maintenant, vas y ! Prends-moi dans ta bouche. »

Il s’était débraguetté et avait sorti son sexe. Tandis que je réfléchissais l’espace d’une seconde, je regardais cette belle verge, son gland turgescent brillant de quelques gouttes d’excitation. Il me faisait envie et après tout, ce n’était pas si grave. Je vivais là un fantasme initié par F., et que je partageais maintenant. Et puis, ce garçon savait parler aux femmes. Je buvais ses mots et me perdais dans son regard perçant.

D’une main douce et respectueuse passée derrière ma nuque, il m‘incitât à me courber et me dirigea la tête vers son entre jambe. Je pense que si j’avais émis la moindre réticence, il m’aurait respectée, mais j’étais avec lui. Son sexe pointait vers ma bouche. Je commençais à embrasser son membre, délicatement, pendant qu’il me maintenait par les cheveux. Il était propre, sentait bon… oufff ! Cela avait été une de mes plus vives réticences initiales. Son sexe s’engouffra assez vite entièrement dans ma bouche, tant par l’avancée de son bassin, que par ma volonté de lui prodiguer une belle caresse. Je me mis à le sucer intégralement, et entrepris de venir lui caresser les couilles et de titiller la zone entre la base du sexe et l’anus. C’est une caresse que mon mari m’a révélée. A ses gémissements, je sus que ma caresse faisait un grand effet, et je n’en étais pas peu fière !
« Allez, continue de me sucer, vas-y comme avec une glace : passe ta langue de bas en haut… Oh oui, tu lèches si bien ! »

Je continuais et lui obéissais, passant ma langue autour de son gland, lui léchant la hampe, de bas en haut, puis de haut en bas, lui mordillant le gland. Je le pompais aussi parfois, comme je l’avais découvert avec F, Je me servais de ma bouche fermée hermétiquement sur le gland pour aspirer et créer une sorte de vide autour de son gland… Ma langue venait jouer avec le frein, là où c’est si sensible. Mon mari m’a toujours accompagnée de ses commentaires, et j’ai appris avec lui, ce qui semblait lui donner le plus de plaisir. Régulièrement, nous découvrons de nouvelles caresses, et il me félicite de ma façon de faire l’Amour. Mais je n’en avais pas d’autre confirmation. C’était le moment d’en avoir le cœur net, et je dois dire que ce n’est pas sans une certaine fierté que je vis l’effet procuré sur Tony !
« - Ohhhh oui, continue, comme ça tu vas me faire jouir ma belle, pompe-moi la bite, vas-y  ! »

Son vocabulaire avait changé, il utilisait maintenant des mots plus crus, mais là encore, cela faisait partie de notre quotidien intime avec F. et si ces mots avaient pu me choquer au début, j’avais appris à les aimer et me craignais pas de faire « la petite salope » chère à mon époux !

Je sentis assez vite monter en lui un grand frisson, qui présageait d’une libération soudaine. Je tentais d’articuler :

 « - Non ! Pas dans la bouche,  ne jouis pas dans ma bouche. »

Je ne sais pas ce qui fut audible et compréhensible, car comme nous l’ont appris nos mamans, on ne parle pas la bouche pleine !

Il était trop tard, et ce jeune coquin se soulagea dans ma bouche, me déversant son sperme au fond de la gorge, me maintenant toujours par les cheveux afin d’être sûr que j’avale tout. Je fus un peu surprise, par la quantité d’une part, et par le gout si différent de celui de mon mari. Je gardais sa semence un temps dans ma bouche, et jouait avec elle la faisant circuler autour de son gland que je sentais mollir. Puis j’avalais, et entrepris de le nettoyer de petit coup de langues. Je me relevais et me ré-assis normalement

Nous laissâmes passer quelques instants qui me parurent éternité, en fait quelques dizaines de secondes,  afin de reprendre nos esprits. Je réalisais que ça y était ! J’avais ‘’trompé’’ mon mari Devrais-je le lui raconter, ou garder ceci dans mon jardin secret ? Je me disais qu’il fallait repartir, que cette première expérience était sympa mais qu’elle devait s’arrêter là … Mon compagnon semblait rêveur, parti dans les rêves procurés par sa jouissance.

 

Mais à ma grande surprise, Tony sorti de la voiture, la contourna et m’ouvrit la portière. Il me fit descendre à mon tour, et m’emmena à l’arrière, ouvrit le coffre, m’y fit asseoir et m’incitât à me coucher sur le dos. Je fus contente du plaid qui s’y trouvait, et qu’il venait maladroitement d’étendre. Je me pliais à ses désirs. Il releva à nouveau ma jupe et s’agenouilla entre mes cuisses.
« - Que fais-tu Tony, il est temps de partir maintenant .


- Je vais te rendre le plaisir que tu viens de me donner. »

Il se contenta d’écarter ma culotte, découvrant ainsi mon sexe, et plongea aussitôt, sans autre préliminaires, sa langue profondément au plus loin de mon vagin.

Sa langue experte explorait tous les endroits de mon sexe, tandis que ses mains maintenaient mes cuisses au-dessus de mon corps bien haut afin de rendre l’accès à mon jardin secret plus lointain.

J’étais scotchée. Étais-ce l’excitation de la situation, ou le brio du jeune homme, mais chaque caresse était comme une déchirure agréable qui me traversait, un coup de poignard de soie.

Il me fallu pas plus de quelques  minutes pour connaitre mon premier orgasme extra conjugal, tant la situation était excitante. Tony continua de plus belle, me laissant sans volonté, tant sa langue m’avait ravagée la chatte. Avec son avant-bras, il me retenait les deux jambes en l’air, tandis que son autre main et de sa bouche et langue alliées, il explorait mes recoins les plus intimes. Je compris ce qu’il voulait.

Mais, tandis que son pouce titillait mon anus, nous entendîmes le bruit d’un tracteur qui s’approchait. Très rapidement, nous rejoignirent l’habitacle, moi à moitié nue, et nous nous y rhabillâmes. Quand le tracteur nous doubla, l’agriculteur nous jeta un lourd regard. Simple curiosité, ou bien s’imaginait-il trop bien ce qui se passait ?

J’étais à bout de souffle… Je fis demi-tour, et ramena la voiture sur la route. Nous continuâmes sur Angers… Nous avons pris rendez-vous pour nous revoir. Je ne pouvais as le laisser partir ainsi. Mon premier amant… Quel plaisir inoubliable !

 

 

 

Par Libertins d'Angers - Publié dans : Vos contributions - Communauté : Couples candaulistes
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