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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

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J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

L’année passée, j’étais invité à passer le Réveillon du 31 chez Arnaud, un ami qui habitait dans un quartier aisé de Marseille. Bien que très bourgeois, il savait rester simple. Il n’en allait pas de même pour tous ses amis, et je ne m’étais jamais vraiment senti à ma place dans leurs ambiances BCBG, étant donné mes origines populaires.

 

Nous nous étions tous connus par l’intermédiaire d’une association de jeunes à laquelle nous avions activement participé de nombreuses années auparavant. Faire la fête avait toujours été un objectif commun à tous, et je gardais un excellent souvenir de nos sorties partout dans le pays.

 

Avec deux amis de mon quartier, nous fîmes une arrivée remarquée dans la luxueuse villa. Dans le salon, je reconnus certains de nos anciens amis, mais beaucoup semblaient avoir perdu leur sens de la fête, tant ils s’étaient enfermés dans leur monde bourgeois. Les conversations tournaient autour des fluctuations boursières ou des stratégies politiques. Pourtant, il parait que ce devait être la fête…

 

J’allais vite retrouver les autres et Arnaud pour boire, et parler un peu de ce que nous étions tous devenus. De mon côté, j’avais terminé avec succès mes études de médecine. Lui avait entrepris une carrière artistique, et commençait à faire parler de lui en temps que peintre génial. Il donnait également quelques cours.

"Tiens, mais qui nous fait l’honneur de sa présence ?"

Cette voie sarcastique provenait d’une femme, plutôt belle, qui s’était jointe à notre groupe.

"A qui ai-je l’honneur ?…" Mais soudain je la reconnus.

 

C’était  Isabelle, qui avait également fait partie de notre association. A l’époque, j’avais été attiré par elle, mais elle m’avait repoussé. Il faut dire qu’en ce temps-là, j’étais plutôt timide et manquait d’assurance.

Elle jouait les saintes nitouches inaccessibles, se cachant derrière des vêtements de vieille bourgeoise et des lunettes qui lui donnaient un air sévère. Pourtant, j’avais toujours senti « quelque chose de plus » chez elle. Elle avait de très longs cheveux blonds qui lui donnaient un air sauvage. J’avais toujours cru lire dans ses yeux clairs une libido débordante qui ne demandait qu’à être libérée…

 

Elle n’avait pas tant changé, excepté pour ses formes. Elle avait gagné de la poitrine et ses hanches s’étaient élargies. Ses fesses avaient l’air toujours aussi fermes, moulées dans la robe de soirée qu’elle portait.

 

Alors qu’à l’époque elle s’était contentée la plupart du temps de m’ignorer d’un air hautain, elle commençait maintenant à se moquer de moi ouvertement sur de vieilles histoires du passé, puis à railler sur le fait que nous ne venions pas du même monde.

Elle finit par s’en aller plus loin.

"Elle est toujours comme ça ? demandai-je aussitôt à mon ami Armand.

- Elle est froide comme la glace. Elle se comporte comme ça avec tous les hommes qui tentent de l’approcher. Mais toi, elle doit t’en vouloir personnellement… "

 

Je m’énervai un peu. J’avais moi-même peu de souvenirs, mais je me rappelais maintenant que cette fille avait souvent fini par m’énerver de la sorte. A l’époque, j’avais eu tendance à reporter cette colère sur moi-même.

Oubliant le passé, je retrouvai ma bonne humeur et allais visiter un peu l’intérieur de la maison. Il y avait d’innombrables couloirs et des portes partout, je me demandai comment mon ami faisait pour ne pas se perdre chez lui. A un moment je m’agenouillai pour refaire mon lacet et je sentis quelqu’un s’approcher de moi.

C’était Isabelle. Elle jeta sa veste sur ma tête. Je me relevai.

- Oh pardon je croyais que c’était un porte manteau ! Me dit-elle avec un sourire ironique.

Mais elle croyait quoi ? Que je me soumettais toujours à elle, attendant qu’elle daigne me faire l’honneur de s’intéresser à moi un jour ?

Cette fois j’étais hors de moi. J’avais un regard de tueur. J’allais dire quelque chose, mais elle m’envoya une gifle.

Elle me regardait d’un air de défi. C’était trop. Toute ma rage contenue depuis des années contre elle se réveillait, surgissait en moi comme un diable sort de sa boite.

 

Je la poussai violemment contre le mur, et la bloquant contre, derrière elle, je lui envoyai une fessée sonore en lui mordant le cou. Elle remonta la jambe comme pour me laisser meilleur accès à sa croupe, puis soudain se débattit. Elle me poussa à son tour contre la porte derrière moi qui s’ouvrit à la volée, je tombais sur le dos sur la moquette d’une pièce sombre. Elle semblait être une chambre d’ami. Je n’eus pas le temps de me relever que Maria me sauta dessus, claquant la porte derrière elle. Elle m’arracha ma chemise et me griffa le torse, tout en mordant mes lèvres. Elle était accroupie sur moi. Je la fis tomber d’une gifle et après lui avoir arraché le haut de sa robe fragile, je l’immobilisai à terre en m’appuyant sur son dos, et en lui tirant les cheveux. Elle tenta un instant de se débattre, puis finit par se relâcher. Elle remonta ses fesses d’un air de soumission et me dit d’une voix ronronnante :

" Vas-y, qu’est-ce que tu attends ? "

 

Méfiant, je préférai lui attacher les mains derrière le dos avec ma ceinture. Ceci fait, je lui arrachai sa robe au niveau du cul et lui baissa la culotte qu’elle portait dessous. Je jubilai, voyant ces fesses dont j’avais toujours rêvé, ainsi, à ma merci. Je me mis à lui administrer des fessées. Elle rugissait :

" Vas-y, frappe-moi ! Tu sais que je le mérite ! "

 

Elle avait tout à fait raison. Je lui appuyai la tête dans l’armoire, au milieu des couvertures de rechange, et la flagellai encore plus violemment. J’entendais ses cris étouffés et cela m’excita. Je voulus la sodomiser. Avec violence je tentai de lui pénétrer l’anus. Le chemin semblait ne jamais avoir été pratiqué. Je fus pris d’un doute.

-Vas-y, défonce-moi ! Pouvais-je entendre de l’intérieur du placard.

Et je repris donc mon intrusion violente dans le cul de cette chienne. Lui ayant finalement dilaté suffisamment l’anus, je pus y fourrer mon organe hypertrophié. L’appuyant toujours pour la soumettre, je la détruisis de l’intérieur par des allers et retours rythmés.

Je la sortis du placard pour mieux l’entendre crier, et elle s’en donnait à cœur joie. Il semblait ne pas y avoir de frontière entre douleur et plaisir chez cette fille. Ses mains toujours attachées se crispaient à chacun de mes passages. Je finis par sortir, je voulais la maîtriser d’une autre manière. La poussant sur les genoux contre le barreau du lit, je lui pris la tête et l’obligeai à prendre ma queue dans sa bouche.

 

Puis je bougeais violemment son visage à deux mains, d’avant en arrière, comme si j’avais été en train de la baiser, tapant contre le fond de sa gorge à chaque fois. Ses lèvres, légèrement pulpeuses, sa bouche chaude et humide, ses gémissements plaintifs, c’était trop. Je commençais à lui éjaculer dans la bouche. Je sortis pour lui asperger le visage puis la poitrine, tout en frottant ma queue contre ses seins durcis. Sans raison, peut-être parce que j’étais encore furieux d’avoir joui si vite, je lui envoyai une dernière claque. Je la détachai croyant l’avoir vaincue. Erreur !

 

Elle attrapa ma ceinture, et me frappa le visage. Elle me poussa sur le lit et, profitant de ma tranquillité post orgasmique, m’attacha les mains aux barreaux du lit avant que j’ai eu le temps de me débattre. Elle me maintenait le corps fermement sur le lit de tout le poids de son corps. Ceci fait, elle approcha sa chatte de ma bouche, m’attrapa la tête et me tira vers elle, m’obligeant à la lécher de toute mon âme. Après lui avoir léché et mordillé le clitoris je lui enfonçais ma langue au plus profond de sa chatte. Elle ne me résisterait pas. Je la ferais jouir comme jamais, j’en avais la certitude.

Elle me maintenait fermement contre elle, m’étouffant presque de ses cuisses. Elle se mit à agiter ma tête au gré de son plaisir, me frappant violemment de son pubis. Du peu que j’entendais avec ses cuisses contre mes oreilles, elle criait très fort.

Elle finit par jouir fortement, me frappant à me faire perdre connaissance. Elle s’enleva mais me laissa attaché et nu.

" Si tu avais été plus réceptif, on aurait pu faire ça bien avant ! me susurra-t-elle à l’oreille. "

 

Elle sortit nue et je crus la voir mettre son manteau et s’en aller. Reprenant mes esprits, je réfléchis à son sujet. Evidemment, elle s’ennuyait dans son milieu. Aucun homme n’était en général capable de lui rendre sa violence, elle leur faisait peur… Cette petite garce m’en avait voulu tout ce temps, de ne pas avoir eu le cran de la baiser comme elle le méritait.

Quant à moi, je ne m’étais jamais senti aussi repu sexuellement, mais j’avais mal partout. J’espérais que quelqu’un viendrait me détacher avant le mois de janvier…

 

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes histoires érotiques
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Commentaires

Tel est pris qui croyait prendre.. Ces femmes-là sont edoutables !
commentaire n° :1 posté par : Patrick le: 08/11/2009 à 05h13
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