Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
Je vous livre ici un extrait de ce texte assez long. Vous le trouverez en entier dans une des "pages" du blog,
dont l'intitulé se trouve dans la colonne de gauche.
(...)
Tout se passait donc bien pour lui. Entrant dans un petit salon près de l'entrée, j'aperçus ma femme qui s'occupait d'un superbe mec de type latino. Elle le suçait avec ce mélange de douceur et de détermination qui, au lit, faisait tout son charme.
Maud avait toujours eu un faible pour les sud-américains machos, elle n'avait pas raté l'occasion de combler l'un de ses plus vieux fantasmes. Je m'éclipsai rapidement.
Bien qu'habitué aux partouzes, il n'est pas forcément agréable de voir sa femme se faire baiser, surtout par un hidalgo beau, jeune et sûrement bien plus performant que moi.
J'entrai dans un nouveau salon à la décoration baroque : velours rouges et meubles en bois vernis. Je m'assis sur une banquette inoccupée, observant çà et là les couples se caresser et s'embrasser. Une fille blonde vint se pelotonner à côté de moi.
J'étais surpris : c'était plutôt rare, même dans ce genre d'endroit, qu'une femme aborde aussi ouvertement un inconnu. Elle portait une robe rouge très courte, qui laissait apparaître un string-ficelle de la même couleur. Mes yeux se fixèrent un moment sur son décolleté laissant apparaître une poitrine généreuse.
- Je suis une amie de Madame Palikour Elle m'a beaucoup parlé de vous.
Vu que je connaissais essentiellement le derrière de notre connaissance commune, j'imaginais assez bien quel pouvait être le sujet de conversation à mon sujet.
- Comment t'appelles-tu ? dis-je, me permettant le tutoiement.
- Je m'appelle Sophie, me répondit-elle en se glissant entre mes jambes.
Elle ouvrit mon pantalon, dégagea mon sexe, puis s'agenouilla et le prit immédiatement en bouche. J'étais stupéfié par cette spontanéité, mais très heureux de ne pas avoir à chercher de partenaire…
Pendant que la jolie blonde me suçait la queue, j'essayais le plus possible de reprendre mes esprits pour ne pas donner une trop mauvaise impression. Interrompant un instant sa merveilleuse caresse, Sophie leva les yeux vers moi et dit, tout doucement :
- Tu aimes ?
Qui n'aimerait pas cela ? Elle me pompait avidement, tout en me jetant de petits regards lubriques.
- Oui, réussis-je à prononcer en articulant le plus possible.
- Moi aussi, répondit-elle. J'aime le goût de ta queue.
Avec de reprendre ma queue en bouche, elle me gratifia d'un sourire enjôleur, montrant par là qu'elle maîtrisait la situation. Sentant mon désir monter à vue d'œil, Sophie interrompit un instant sa caresse, se leva du canapé, puis retira sa petite robe rouge tout en m'interrogeant du regard.
- Alors, comment tu me trouves ? dit-elle tout en me présentant son corps dénudé.
- Tu es magnifique. J'ai terriblement envie de toi.
Comme réponse, elle me chevaucha et prit mon sexe dans sa main de façon à le diriger vers sa fente. Puis elle plia les genoux, et s'assit sur moi. Je sentais ma queue pénétrer à l'intérieur de son sexe brûlant. Elle commença sur moi un va-et-vient très agréable. Je me laissais complètement aller, laissant ma compagne entièrement libre de faire ce que bon lui semblait. Quelle chance d'avoir pu trouver une maîtresse aussi entreprenante ! Elle posa sur ma bouche un petit baiser, puis approcha ses lèvres de mon oreille et me chuchota :
- Tu aimes baiser une jolie blonde comme moi ?
- Oui, murmurai-je. Oui, j'adore te baiser.
- Tu sais, on se connaît déjà un petit peu...
Sa phrase me fit sursauter. Elle souriait avec malice, je regardais son visage tout en me scrutant la mémoire pour savoir si je l'avais déjà vu. Se cambrant un peu plus, elle ondulait de plus en plus violemment sur ma queue. Elle me regarda de nouveau tout en se caressant les seins d'une façon particulièrement érotique.
- Non, non, ne cherche pas vers Madame Palikour. Tu ne te souviens pas de moi, hein ? Mon visage ne te dit rien ? Je pensais que tu étais plus sensible aux charmes féminins…
A suivre dans la page dédiée...
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