Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Cette histoire a eu lieu il y a un mois, Greg et sa femme Melody, avaient des travaux de peinture à faire effectuer Après avoir reçu plusieurs devis, ils avaient
fait appel à celui qui semblait le plus avantageux. Le peintre, M. Vidal, avait deux jours de travail pour refaire une chambre.
Le lundi matin, il arriva de bonne heure.
Le peintre a commencé son travail et Greg est allé au bureau. Sa femme ne travaillant en cette période de vacances, restait à la maison.
Le mardi soir, M. Vidal dit à Melody que les travaux étaient presque finis, et qu'il reviendrait demain après midi pour faire les dernières finitions. Et se faire payer.
Le soir, elle lui montra le courrier reçu de la banque le matin même. Ils avaient de gros soucis financiers. Jamais ils ne pourraient régler le reste de la somme
due à M. Vidal pour les travaux.
Après avoir réfléchi ensemble, à contrecœur, mais non sans un brin de perversité, il dit à Melody : « Ma chérie, tu sais comme je t’aime, mais il ne nous reste qu’une seule solution :
le payer en nature… »
Sa femme refusa tout net cette idée. Il entreprit de lui expliquer les problèmes que cela allait leur occasionner, elle fini par accepter en faisant la moue.
Le matin, avant l'arrivé du peintre, il appela son patron en prétextant un gros rhume. Ainsi, il serait là et pourrait intervenir si cela se passait mal pour sa
femme.
Elle enfila un chemisier semi-transparent, bien déboutonné, et qui laissait voir ses seins nus, elle enfila une paire de bas et une jupe sans mettre de culotte, ni de string.
Quand M. Vidal sonna à la porte, il alla se cacher dans une pièce de la maison, d'où il pouvait entendre ce qu’ils se diraient.
En entrant, M. Vidal félicita Melody sur sa beauté, et lui dit aussi qu'elle était très joliment habillée. Ils allèrent prendre un café dans le salon. Elle lui avoua alors qu'il y avait un petit
problème pour le règlement.
Quant elle eut fini de parler, elle posa sa main sur la cuisse du peintre en lui disant qu'elle pouvait le payer autrement….
M. Vidal demanda si Greg était au courant de ce qui allait arriver. Elle répondit par l’affirmative, et qu’il n’y voyait aucun problème. Il hésita un instant, puis
accepta. Cependant, il ajouta : « Chérie, si tu veux que j’efface ta dette, tu dois faire absolument TOUT ce que je veux de toi ! »
Bien évidemment, sachant que Greg était là, elle accepta sans discuter.
Il lui demanda de se lever et de retirer tout ce qu'elle portait. Une fois nue devant lui, il lui dit :
« Ma belle, tu es vraiment bien foutue... Je ne regrette pas notre arrangement ! On va bien s’amuser tous les deux… »
Greg en avait profité pour se rapprocher et regarder quand il lui demanda de venir se mettre à genoux devant lui, de lui sortir sa queue et de le sucer.
Une fois en position, elle sorti le sexe déjà en érection de la salopette, et commença à sucer le gland tout violacé d'excitation. Quand elle commença le va et vient, il prit entre ses mains sa
tête, pour lui donner le rythme avec lequel il voulait ce faire pomper. Il ne la ménageait vraiment pas…
Il voyait sa femme avec cette grosse queue qui entrait et sortait de sa bouche. M. Vidal qui lui disait qu'elle suçait bien et qu’il n’allait pas tarder à venir. De voir sa femme nue et le sexe
d'un autre dans la bouche, il bandait très fort, et en était tout surpris ! Greg aurait dû être jaloux, avoir la rage qui lui tordait les entrailles... Au contraire, jamais il n’avait
été aussi excité !
M. Vidal n'allait pas tarder à jouir. Il se mit à baiser la bouche de elody, et lui dit : alors : « Tu va me faire jouir, elle est bonne ta bouche, t’es une bonne pipeuse... Ton mari sait que t’es aussi salope ??? »
D'un coup, dans un grand râle, il lui éjacula dans la bouche tout en continuant son violent va et vient. Il voyait le sperme couler le long de sa queue, car Melody
avait entrouvert la bouche. Il continua à se branler entre ses lèvres jusqu'à ce qu’il ait débandé.
Il se leva et l’installa sur le canapé, lui écarta en grand les cuisses, et commença à lui bouffer la chatte. Greg savait à quel point elle aimait ça. Maintenant, c’était sur, elle allait y
trouver du plaisir... Greg en avait le sexe encore plus dur….
Il entendait les bruits de succions, sous les coups de langue avides. Sa femme commença à bouger le bassin, il ondulait de plus en plus et elle poussait des soupirs
de plaisir. Elle adorait ce que ce type lui faisait, sans nul doute !
Au bout d'un long moment qui lui parut interminable, le peintre lui dit : « Mais tu mouilles bien, ma cochonne, t'es bien chaude maintenant, je vais pas tarder à t'la mettre bien profond, comme je le ferai à une chienne. Tu n’es qu’une chienne qui fait cocu son mari… »
Il se leva et présenta à nouveau sa queue à demi bandée et encore gluante de sperme devant la bouche de Melody. Sans hésiter, elle la goba d'un coup et commença de suite à la branler, la lécher, l'embrasser, la sucer. Dans le même temps, le peintre jouait avec son pouce sur le clito et la pénétrait avec ses autres doigts.
Ayant retrouvé une bonne érection, il se retira de la bouche de la femme et lui dit : « Maintenant je vais bien te baiser, bien à fond, comme ton mari ne l’a
jamais fait ! Tu vas jouir comme jamais ! »
Et Melody de lui répondre : « Oh oui, prenez-moi ! J’ai envie de votre queue, baisez-moi, vous m'avez trop excitée, je la veux bien au fond de ma chatte. »
Greg était bouche bée : jamais elle n’avait pas parlé comme ça avec lui.
Il se mit en position, face à elle, il écarta en grand ses cuisses, positionna sa bite devant les grandes lèvres. Il entra d'un coup sec tout au fond, ce qui eu pour effet de faire crier Melody de plaisir.
Le mari, cocu volontaire, voyait sa chère et tendre, les cuisses en l'air, et ce mec bien monté devant elle, à genoux. Il la prend comme un fou, la pistonne
comme dans un film X. Halluciné, il entend ses couilles qui claquent sur son joli cul, elle se mord les lèvres, et se caresse les seins, elle aime vraiment ça, la cochonne !!!
Elle le fait bander comme un fou, il n'en peut plus et sort sa bite de son pantalon. Il commence à se branler en regardant sa chérie qui se fait baiser par un
autre.
Il lui demande de se mettre à quatre pattes, car il veut la prendre ainsi, et voir son cul aller et venir sur sa bite. Comme avant, elle s'exécute immédiatement, le
sourire aux lèvres. Il la reprend avec force en levrette. Elle soupire à chaque fois qu'il entre sa queue au fond de sa chatte, elle passe ses doigts sur son petit clito et se branle pendant
qu'elle se fait défoncer.
Il lui écarte bien les fesses et passe maintenant son pouce sur le petit trou et le rentre brutalement. Visiblement, ca plait à cette cochonne… Elle ondule du cul comme jamais avant. Le peintre sort sa queue et lui met devant le petit trou. Il rentre doucement pour ne pas lui faire mal. Pour la première fois depuis le début de la séance de baise, il est plus doux avec elle. Greg en crève de désir !
Une fois entré jusque la garde, il commence son va et vient lentement, puis de plus en plus vite. Il lui souffle dans l’oreille :
« T’es une vrai baiseuse, j’ai de la chance d'avoir une cochonne pareilel et qui aime la baise à ce point ! Ton cul est bon ! J’aime le prendre, ça m'excite grave de te prendre par le petit trou !!! Ton mari est un sacré veinard ! »
Melody lui répond en haletant : « Vas-y, baise-moi le cul, je te sens bien, je sens bien ta grosse bite ! Elle me fait du bien ! J’aime que tu me baises comme une salope !!! »
Dans un état second et tellement excité par la situation et voir sa femme avec ce mec qui la prend en levrette, Greg finit par entrer dans la pièce, le pantalon
défait.
M. Vidal, surpris s’arrête net, Melody ouvre les yeux car elle ne comprend pas ce qu’il se passe. Il rassure aussitôt le peintre, et lui dit de ne pas s'en faire, de continuer de la prendre. Il ne se le fait pas dire deux fois.
Melody voit que son mari a son pantalon sur les chevilles, la queue si bandée qu’elle touche son nombril !
Elle lui demande :
« Je vois que cela t'excite de me voir me faire prendre par un autre. Tu veux que je te suce pendant qu’il continue à me défoncer le cul ? »
Jamais sa femme ne lui a parlé ainsi. Il ne résiste pas une seconde, et lui présente son sexe devant le visage. Elle le gobe et se met à le sucer comme jamais. Mais c’est si bon qu’il ne va pas tenir longtemps, il le sent…
« Ne t’arrête pas, suce-moi encore plus fort, bouffe ma queue, salope ! »
Jamais il n’a traité son épouse de salope, mais là… Il n’en peut plus.
Elle le suce encore plus fort, il la regarde s'activer sur sa queue, il zieute aussi le mec qui derrière, et qui la prend sans ménagement.
Cette fois-ci, il craque. Il envoie sa purée épaisse au fond de la gorge de sa garce de femme. Malgré tout, elle continue de le sucer jusqu'à la dernière goutte.
Greg se retire et regarde sa femme continuer de se faire baiser à fond. Il va rebander à nouveau, c’est sur !!!
Pourtant le peinte se retire du cul de Melody, et le regarde.
« Maintenant que j’ai bien défoncé ta femme, je veux jouir. Vous allez me faire jouir tous les deux, en me suçant ensemble ! »
Greg est ahuri. Jamais il n’a touché un homme. Et sucer cette queue qui sort de l’anus de sa femme…. On ne peut pas dire qu’il soit ravi… Il tente de refuser, mais le peintre se fait menaçant : « Ta femme a accepté de me faire tout ce que je voulais. Absolument TOUT. Puisque tu es là, tu es aussi obligé de faire ce que je veux. Sinon, je n’efface pas votre ardoise. ! »
Résigné, Greg, vient s’assoir sur le canapé, à coté de sa femme. Il empoigne la bite, et la porte entre ses lèvres. Il fait une grimace, mais le peintre lui agrippe la nuque et enfonce son gland dans sa bouche. Le mari cocu se trouve à moitié étouffé par ce gros pieu odorant. Melody masse les couilles du peintre. Il grogne de plaisir, baise la bouche de Greg. Soudain, il est pris de secousses, et pousse un grand râle : il a joui. Greg a la bouche plein du foutre chaud de l’artisan. Ce dernier ordonne :
« Embrasse ta femme, fais-lui manger ma crème. Salope comme elle est, elle va adorer ! »
Greg s’exécute, et enfourne sa langue entre les lèvres de sa femme. Il est surpris de voir sa femme avaler sans sourciller le liquide âcre, et même lui en lécher les dernières gouttes sur ses lèvres.
Le peintre remet son jouet devenu mou dans sa salopette et nous salue en nous disant qu'il aimerait bien avoir plus souvent des clients comme eux.
C'était la journée des "premières fois". Mais pas des "dernières" !
Greg, humilié, est pourtant excité comme jamais avant. Dès le peintre partit, il se tourne vers sa femme, et la baise avec une ardeur qu’ils ne connaissaient plus ni l’un ni l’autre depuis des
années !!!
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