Le blog en détails...

  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil

Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

Derniers Commentaires

Recherche

Recommandez ce blog à vos amis

Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Ce texte étant long, je lui ai consacré une page entière... Cliquez à gauche !


Nous nous sommes séparés avec mon épouse en 2006. Après 4 ans de mariage, les disputes étaient fréquentes, et pour tout dire nous ne supportions plus la vie en commun. Pourtant, nous avions partagé jusqu'à la fin de notre relation une excellente entente sexuelle.

Mon ex s'appelle Katia. C'est une femme pulpeuse de 42 ans, petite, jolie, elle a une peau mate et ces cheveux auburn très bouclés, et de jolis yeux bleu outremer. Elle est plutôt ronde… Mais j’adore ses rondeurs…

Pendant l’été qui a suivi notre séparation, je suis parti en vacances dans un hôtel de  Saint Kitt’s. Mon nouveau célibat m'a incité à prendre ce genre de vacances, où les rencontres sont faciles et sans grandes conséquences sentimentales.

L’hôtel est composé de joli bungalows, regroupés par deux avec un petit jardin commun. J'ai vite fait la connaissance de mon voisin, un breton de mon âge, Denis, qui profitait de ses vacances et de sa séduction naturelle pour multiplier les conquêtes. Nous sommes vite devenus copains.

Je l'entendais parfois par les minces cloisons de ma chambre faire jouir ses compagnes d'une nuit. Il m'arrivait de faire de même, mais j'avais toutefois moins de succès que lui ! D'autre part, je gardais une certaine tristesse de ma séparation. Ce sentiment m'empêchait de faire comme lui le séducteur tous les soirs dans les boites où nous allions trainer.

Après une semaine, un matin, au sortir du petit-déjeuner Denis me dit que ce serait sympa d'assister aux arrivées hebdomadaires. Il ajouta en me faisant un clin d'œil :

« Il y aura peut-être de nouvelles jolies jeunes femmes cette semaine ! »

Nous allâmes donc boire un café au bar de l'hôtel en regardant tous ces nouveaux arrivants harassés par la longue traversée de l’Atlantique

Soudain, mon cœur s'arrêta net. Parmi les touristes, je reconnus Katia, avec une de ses amies, Nathalie, qui m'avait toujours exaspéré. Au moment où j'allais dire quelque chose, Denis me pinça le bras : « He, mon pote, regarde ces deux elles femmes, surtout la brune, avec un si beau cul !!! »

(...)

Deux jours passèrent. J'avais présenté mes « copines » à Denis, qui ne manquait pas une occasion de me faire une remarque salace sur le physique d'Katia. Cela m'agaçait et je ne pouvais pas lui dire pourquoi. Toutefois, nous ne les rencontrions pas souvent. L'hôtel étant grand, il était possible de ne pas se croiser trop souvent, à part au restaurant, où je pouvais juger de son bronzage grandissant. Avec son type de peau, elle était dorée par le soleil, et pour tout dire très séduisante.

Ce soir-là, nous décidâmes, Denis et moi, d'aller dans la boite de l'hôtel. J'avais marqué quelques points auprès de Mylène, une touriste suisse que je devais retrouver dans la soirée. Denis m'accompagna.

Vers 23 h, alors que j'étais en pleine discussion avec Mylène, Katia et Nathalie firent leur entrée dans la boîte. Katia me jeta un coup d'œil inquisiteur. Elle ne se faisait visiblement aucun doute sur ce que j'entreprenais et je me sentis un peu gêné.

Elle était ravissante : maquillée, ses beaux cheveux noués, une courte jupe mettant en valeur ses jambes gainées de noir.

La bretelle du soutien-gorge contenant sa lourde poitrine dépassait de son haut et je fis un rude effort pour me concentrer sur Mylène.

Denis invitait à danser toutes les filles qu'il pouvait, et je ne me fis pas trop d'idées lorsque je le vis danser avec Katia. Quand les slows arrivèrent, j'invitai ma nouvelle compagne. Tout en dansant, je vis cependant que Denis collait Katia, la faisait danser, boire et il lui chuchotait à l'oreille des mots qui la faisait rire.

Je quittai la boite avec Mylène, que je tentai de la ramener vers ma chambre. J'obtins un baiser passionné d'adolescente, suivi d'une excuse à propos d'une « séparation récente qui la poussait à ne pas s'engager trop vite » et elle partit se coucher.

Je fis de même, un peu désappointé. Je sombrai vers 2 h. Mais vers 3 h, je fus réveillé par des rires. Mon cœur s'arrêta brusquement de battre, tout comme à l’arrivée de Katia, quelques jours plus tôt.

J'avais reconnu les voix d'Katia et de Denis. Je les entendis rentrer. Elle avait la voix un peu éméchée. Puis rien pendant un moment. Je me levai pour aller dans la salle de bain, allumai la lumière quand j'entendis se rouvrir la porte de mon voisin, puis on frappa doucement à ma porte. Etonné, j'allais ouvrir. C’était Denis : « Excuse-moi, mon pote, mais j’ai vu qu’il y avait de la lumière, et j’ai pensé que tu ne dormais pas. J’ai un petit problème, pourrais-tu m’aider ? 

Je le fis rentrer. Il chuchota, l'air ravi : « La belle fille au gros cul, elle est dans ma chambre, mais je n’ai pas de capotes. Tu en aurais à me prêter ??? »

Alors là j'étais éberlué. Il venait me demander de lui donner des préservatifs pour s'envoyer en l'air avec Katia. Et je ne pouvais rien dire, il m'avait « dépanné » du même service cinq jours auparavant. J'ouvrai mécaniquement le tiroir de la table de nuit. Au moment où j'allais lui tendre la boite il me désigna le tube de lubrifiant qui était à côté avec un clin d'œil : « Et ça aussi, mon frère, je vais en avoir besoin cette nuit ! »

Je lui tendis les deux objets. Il me remercia chaleureusement et me souhaita bonne nuit...

Je me recouchai en essayant de ne pas imaginer ce qui allait se passer à côté. J'étais partagé entre la raison qui me disait que c'était normal, car nous étions séparés, un zeste de jalousie et une étonnante excitation.

Je me rendis vite compte que je ne pouvais pas dormir du tout. Je sortis dans le jardin, et poussé par un mauvais instinct, je me rapprochais en catimini de la porte-fenêtre de Denis, qu'il gardait souvent entrouverte.

Il avait laissé la lumière de sa salle de bains allumée, ce qui laissait une très douce lueur dans sa chambre. Je me rendis compte que ses rideaux ne m'empêchaient pas de voir à l'intérieur, me rapprochai encore et là, je les vis. Ils s'embrassaient passionnément sur le lit. J'étais à moins de trois mètres d'eux et je pouvais les observer tranquillement sans être vu. Il y avait devant moi un petit buisson qui devenait mon allié dans l'obscurité...

Je n'ai pas une mentalité de voyeur, mais je ne résistais pas au spectacle. Elle avait dénoué ses cheveux et l'embrassait avec ardeur. Je me dis qu'elle n'avait peut-être pas fait l'amour depuis fort longtemps. Elle s'arracha de sa bouche quand il commença à lui pétrir les seins en gémissant. Sa main malaxa son entrejambe à lui, elle cherchait à le masturber au travers du jean's.

Elle se leva, fit disparaître son haut, ses chaussures et sa jupe et apparut en string, soutien-gorge. Tout en la caressant il se déshabilla entièrement, puis glissa au sol pour lui embrasser l'entrejambe. Il fit tomber au sol le petit string.

Elle sourit : « toi, tu es un coquin... »

  (...)


Il l'allongea sur le lit, et lui écarta doucement les jambes. Il ouvrit avec ses doigts les lèvres humides et roses de désir. Il se mit à lui lécher fort délicatement le sexe en la tenant par les fesses qu'il malaxait voluptueusement. Elle se gémissait, haletait, puis elle fit glisser les bretelles de son soutien-gorge pour libérer sa poitrine, s'humecta les doigts et se toucha le bout des seins. Je l'avais vue pratiquer ce type de caresses souvent par le passé, mais là, la vision était fort différente puisque ce n'était pas moi qui étais en train de la lécher...

Je suivais sur son visage la montée de son plaisir, elle s'agitait de plus en plus sous la langue de Denis. Elle prit la tête de son amant à pleine main, et la lui appuya sur le pubis en haletant. Elle se tendit comme un arc, en criant pendant qu'elle jouissait pour la deuxième fois.

Denis se redressa, son sexe avait repris une forme plus honorable. Katia, insatiable, se pencha sur lui pour le sucer encore un peu, jusqu'à obtenir une rigidité absolue...

Il tendit la main et attrapa un préservatif qu'il déroula sur sa verge tendue et roula sur le dos... Katia se mit sur lui, guida sa verge et lentement, très lentement, se l'introduisit en elle. Elle poussa un râle de satisfaction. Elle était tellement inondée que j'entendais le doux clapotis de leur accouplement. Il la maintenait soudée à lui en lui pétrissant les fesses pendant qu'elle s'agitait en gémissant, ses gros seins totalement échappés du soutien-gorge ballottant au rythme de leur coït.

Il se dégagea doucement, la coucha sur le ventre et la pénétra ainsi. Je savais qu'elle adorait être prise comme ça et elle répondit à ses coup de reins par un roulage des fesses des plus érotiques. Tout en lui faisant l'amour, il se redressa et caressa ses fesses.

Il semblait obnubilé par cette partie de son anatomie. Il glissait de temps à autres son pouce dans le sillon fessier d'Katia qui ne protesta pas, comme elle le faisait avec moi.

Il humecta son majeur et lui pénétra doucement la rosette. Elle cria « oui, oui », et eut un troisième orgasme.

Denis, rendu endurant du fait de son premier orgasme, la laissa reprendre ses esprits et, toujours en elle, tendit la main pour attraper le flacon de lubrifiant. Je voyais bien où il voulait en venir. Je m'attendais à un refus d'Katia. Elle n’aimait pas ça du tout, et ne me laissais faire que très très rarement.

(...)

Accroché à ses larges hanches, il se vida en elle, en criant pendant qu'elle jouissait comme une folle, je vis les doigts de Katia s'agiter à toute vitesse entre ses cuisses charnues, et je dois avouer que moi aussi j'arrosai la végétation autour de moi de ma semence épaisse...

Apparemment repus, ils s'endormirent l'un sur l'autre. J'allais me coucher, plein de pensées très confuses. J'avais à la fois honte de m'être masturbé comme un adolescent en les matant, et j'avais un curieux sentiment de jalousie.  Je me posais aussi des questions sur le désir qu'elle me procurait maintenant. Heureusement qu'elle ne savait pas que j'avais la chambre contiguë à celle de Denis...

Vers 7 h 30, j'entendis par la cloison des bruits sourds, des râles. Apparemment ils avaient remis ça. Je tentai de me rendormir, mais, exaspéré je me levai et allai prendre mon petit-déjeuner. Lorsque je revins, au moment où j'ouvris ma porte, je tombais nez à nez avec Katia qui sortait. Mon cœur battait la chamade. « Ah, c'est ta chambre, ici ? » dit-elle un peu sottement.

« Remarque, j'aurais pu m'en douter, comme tu es copain avec Denis... »

Elle était rouge de confusion, et moi aussi. Je luttai contre une érection envahissante car me revenait ses ébats de la nuit. Elle le vit, et, le regard trouble, me demanda d'une voix douce : « Tu nous as entendus ? »

« Ben... oui. »

Je ne pouvais évidemment pas lui dire que non seulement je les avais entendus, mais que je les avais matés copieusement...

Elle me sourit : « On dirait que ça t'a fait de l'effet. » Son regard désignait la bosse de mon short que je n'arrivais pas à dissimuler.

« Et toi, tu t'amuses bien ici aussi... » Elle faisait allusion à Mylène, et je ne cherchais pas à la détromper. D'autant que depuis notre séparation je n'avais pas vécu comme un saint, loin s'en faut.

« Tu sais, depuis notre séparation je n'avais pas fait l'amour. Et là, avec les vacances, c'est comme un déclic, j'en ai follement besoin. »

« C'est ton problème, bougonnai-je, tu fais ce que tu veux. »

Elle me regarda avec douceur. « Ca peut être le tien, si tu le souhaites. Il y a des choses sur lesquelles on fantasmait tous les deux et que l'on n'a jamais tentées... »

Là, elle me sciait. On avait parfois parlé, dans les jeux de l'amour, de parties avec un troisième partenaire, mais j'avais toujours pensé que c'était un fantasme uniquement...

« Et puis... Tu me manques ! » dit-elle en me poussant dans ma chambre.

Bon sang ! Elle ne doutait de rien ! Cependant, lorsqu'elle me fit tomber sur le lit et qu'elle m'arracha mon short, mon sexe érigé ne pouvait faire mentir le désir que j'avais d'elle.

« Je te vais te soulager, mon pauvre chéri, dit-elle suavement. Et puis je vais parler à Denis. Je suis sûr qu'il est partageur, et qu'il aimerait bien que l'on joue tous les trois. Je vais organiser ça pour ce soir. Tu veux ? »

A suivre dans la page complète...  

Par Sophie 973 - Publié dans : Mes histoires érotiques - Communauté : Sexe Amateur Exhibitions
Donnez votre avis... - Lisez les 6 messages
Retour à l'accueil
Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés