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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

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Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

 

Bonjour, je m'appelle Emilie, je suis châtain, les yeux verts pour 1m68. Maman d'une petite fille, je suis mariée depuis sept ans et suis toujours restée fidèle.
 

Je travaille comme formatrice dans une société grenobloise spécialisée dans les aérosols. Il y 3 mois, je suis montée pour une semaine à Paris, à l'occasion du salon de l'emballage. En marge de la manifestation, et parce que l'entreprise n'avait fait une grande année, des réunions de stratégies était prévues. Dès le premier soir, le directeur commercial, nous a fait le point sur les résultats décevants, en mettant le doigt sur les supposées faiblesses...

 

De retour à notre hôtel, j'ai dîné avec un collègue de Montpellier, Jérôme. Fatiguée et nerveuse, moi qui ne bois jamais, j'ai accepté de prendre un apéritif, et même deux verres de blanc, à table. Arrivée au dessert, j'avais un peu chaud au visage et la tête embuée.

 

En regardant ma montre, je vis avec stupeur qu'il était 22h00 passées, et que je n'avais toujours pas téléphoné à mon mari, comme prévu.

 

Je me suis excusée auprès de Jérôme, lui expliquant que je devais monter dans ma chambre pour appeler mon chéri. Il a proposé de commander une bouteille de champagne et de la monter dans ma chambre. Sans explication, mais sans doute pour partir au plus vite, j'ai dit « oui ».

 

Prenant congé, je me suis dirigée vers l'ascenseur pendant que Jérôme attendait pour la note et le champagne. Arrivée dans ma chambre, j'ai laissé la porte entrouverte, puis j'ai déposé ma veste sur une chaise. J'ai vite composé le numéro de chez moi. La petite était couchée, et j'ai raconté ma journée à mon mari Benjamin.

 

Lorsque Jérôme est entré dans la chambre, j'ai été presque surprise. Occupée par notre conversation, j'avais oublié qu'il devait venir.

 

Comme il restait debout près de l'entrée, je lui ai fait signe discrètement de poser la bouteille et les deux coupes sur le bureau. Je ne voulais pas que mon mari sache que quelqu'un était dans ma chambre. A coté du bureau, ma valise était restée ouverte. J'ai vu Jérôme regarder dedans. Puis, en se penchant, il a sorti un soutien gorge blanc en dentelles. Il a commencé à l'agiter devant moi, avec un petit sourire en coin. J'étais furieuse, et lui lançai un regard noir. Je ne pouvais rien dire, à cause de mon mari, et Jérôme a profité de ma condamnation au silence, pour fouiller de nouveau dans mes sous-vêtements. Il en a sorti le string qui allait avec le soutien-gorge, et une paire de bas noirs. J'étais à la fois énervée et morte de honte. Du coup je n'étais plus trop à la conversation. Mon mari commença à me demander la raison de mon appel tardif, pourquoi je semblais un peu ailleurs. Je lui ai expliqué que cette longue journée m'avait usée, et que j'avais besoin d'une bonne nuit réparatrice.

 

En fait, je n'attendais qu'une chose: raccrocher pour dire à Jérôme son impolitesse et le foutre dehors. Malheureusement pour moi, Benjamin avait visiblement très envie de discuter. J'étais partie depuis moins de 24h et je lui manquais déjà. Il me détaillait tout ce qu'il désirait me faire à mon retour. J'était mal à l'aise et n'entrait presque pas dans son jeu. Au bout d'un moment, mon mari suspicieux me demanda si j'étais seule. Effrayée, je lui ai dit que « oui » et essayais de participer normalement à la conversation. J'étais gênée par le fait que Jérôme était en face de moi et qu'il me regardait.

 

Il est venu s'asseoir sur le lit non loin de moi, puis s'est allongé. Ne le voyant plus, je me suis un peu détendue. Je dis à Benjamin combien lui et la petite me manquaient, que j'avais hâte de rentrer à la maison. D'humeur câline, il m'expliquait qu'à mon retour il me couvrirait de baisers lorsque j'ai senti la main de Jérôme se poser sur ma hanche. Je l'ai repoussée sans pouvoir rien dire, mais il l'a remise aussi tôt. Je l'ai repoussé 3 ou 4 fois, sans succès. J'ai finalement décidé de le laisser faire de peur que mon mari ne s'aperçoive de quelque chose. Je continuais à parler à mon mari, la main de Jérôme me caressant et me massant doucement les hanches et le dos. Ce massage commençait à me détendre, je me sentais de mieux en mieux. Jérôme s'est relevé, puis s'est assis derrière moi. Avec ses deux mains il a commencé à me masser les épaules et la nuque. J'avais accepté son massage, mais j'essayais d'écourter la conversation avec mon chéri pour que cela n'aille pas plus loin.

 

Tout en me massant d'une main, il a, avec l'autre, commencé à essayer de déboutonner mon chemisier. J'ai tenté d'arrêter son geste, mais mon mari a demandé ce qui se passait, ce qu'était ce bruit. J'ai répondu que ce n'était rien et ai laissé Jérôme faire. Il a défait un à un les boutons, puis a fait glisser mon chemisier sur les épaules. Il a repris son massage. Il était doué, il a réussi à me détendre de nouveau, j'étais bien... Il a d'abord repoussé les bretelles de mon soutien-gorge, qui le gênait, puis il a carrément sorti mon chemisier de ma jupe. Sans le regarder, je l'ai laissé faire, je l'ai même aidé en changeant le téléphone de main pour qu'il puisse retirer complètement mon chemisier. Puis il a dégrafé mon soutien-gorge et l'a enlevé. Malgré cette situation incongrue, je n'avais plus envie que mon mari raccroche.

 

Etre au téléphone, "réduite au silence", me donnait l'excuse d'accepter sur mon corps les mains d'un homme qui, à priori, ne me plaisait pas et qui, jusque là, ne m'avait jamais fait connaître ses intentions.

 

Jérôme m'a saisi par les épaules, et m'a fait allonger sur le lit. Pendant que je parlais à mon mari, Jérôme faisait courir tout en délicatesse ses doigts sur mon ventre, s'arrêtant et jouant avec mon nombril. Les caresses et, peut être un peu l'alcool, me mettaient dans un état de relaxation total. Il me mangeait le corps de ces yeux et approcha ses mains de mes seins. Mes amies ont toujours jalousé ma plastique, avec ma poitrine, un 90 C, « en poire », comme elles disent, et mes fesses à faire virer sa cuti à n'importe quel homosexuel.

 

Jérôme excitait la pointe de mes tétons avec l'intérieur de sa paume. Des frissons me parcouraient de haut en bas. Il m'a regardé droit dans les yeux, s'est approché de mon visage, de mes lèvres et a déposé tout en silence un petit baiser. Il m'a regardé de nouveau et m'a embrassée. Sa langue me donnait une impression de douceur, et ma langue répondait à la sienne. Je fermais les yeux et profitais intensément de ce baiser; le téléphone collé à l'oreille mon mari continuait de me parler sans se douter de rien.

 

Pendant que je reprenais mon souffle, Jérôme, le plus discrètement possible, m'embrassait et me mordillait le cou, je me tortillais comme une anguille. Ses lèvres sont descendues vers mon ventre, passant sa langue dans mon nombril. Il est remonté vers ma poitrine, la couvrant de centaines de baisers. Prise au jeu, j'ai mis ma main sur sa nuque et ai appuyé sa bouche sur mes seins. Il était comme un fou, il les léchait et les suçait en alternance régulière.

 

Sans m'en rendre compte, j'ai poussé un petit gémissement que mon mari a entendu. Il m'a aussitôt demandé ce qui se passait, et qui était avec moi. Prise au dépourvu, je lui ai répondu que j'étais seule, que notre conversation m'avait excitée et que je me caressais. En entendant cela, Jérôme tout à son ouvrage, s'est relevé et m'a souri. Mon mari m'expliqua que lui aussi était excité et qu'il se mettait à l'aise pour se caresser. Jérôme s'est mis à genoux au pied du lit. Il a fait glisser ses mains le long de mes jambes, parcourant mes bas, glissant sous ma jupe, ralentissant au contact de ma peau jusqu'à arriver à l'élastique de mon string. Il l'agrippa fermement et le tira doucement vers lui. Pour lui faciliter la tâche, je me suis légèrement cambrée.

 

Au fur et à mesure, alors que j'éprouvais un sentiment de chaleur depuis de longues minutes, je sentis une bouffée d'air frais parcourir mon entrejambe, ce contraste était divin. Il a retiré ma culotte et l'a portée à son visage. Mon mari haletait, et je lui demandais ce qu'il aimerait me faire. Il a répondu qu'il aimerait me lécher le sexe. Répétant à haute voix ce qu'il venait de me dire, Jérôme me fit un clin d'œil et approcha mon bassin du bord du lit. Il a alors enfoui sa tête sous ma jupe. Il s'est d'abord arrêter à quelques centimètres de ma chatte. Je sentais sa respiration, ou plutôt son souffle. Puis du bout de la langue il a commencé à agacer mon clitoris. Mariée depuis sept ans, et avec mon chéri depuis une dizaine d'années, à trente-trois ans cela faisait longtemps que quelqu'un d'autre n'avait pas eu la faveur de mon corps. Je gémissais, en guidant par mes paroles mon mari, mais surtout Jérôme. Je devais mouiller comme une folle, je ne cachais même plus mes jouissances.

 

Après quelques minutes, mon mari me demanda ce que moi je lui ferai. Jérôme s'est alors relevé, a défait son ceinturon, a baissé son pantalon, et s'est retrouvé en boxer short face à moi. J'ai compris ce qu'il attendait. Je l'ai attrapé par le boxer, et de ma main gauche l'ai descendu. Sa bite a jaillit, droite comme un I, elle était longue et assez large, sans commune mesure avec celles que j'avais connues. Il s'est allongé près de moi. Reprenant notre jeu, j'ai alors dit à mon mari que j'avais vraiment envie de le prendre dans ma bouche. Je me suis alors penché vers le sexe de Jérôme, et ai commencé à le mordiller sur les cotés. De ma main libre je caressais ses bourses, je les sentais se contracter sous mes doigts. Par petites poses, j'expliquais à mon incrédule mari ce que je faisais. J'ai alors pris complètement en bouche ce sexe qui me faisait tant envie. J'y mettais tout mon cœur, ne pouvant éviter des bruits de succions. Mon mari, trouvant cela plus que réaliste, m'a une nouvelle fois demandé si j'étais seule. Amusée, et devenue intrépide par tant d'excitation, je lui ai dit sur un ton sarcastique que je suçais un homme qui était dans ma chambre. Devant sa colère, j'ai coupé court et l'ai rassuré, en lui expliquant que pour me mettre parfaitement dans l'ambiance, je suçais mes doigts. Mon mari a tout gobé au quart de tour.

 

Jérôme semblait apprécier ma pipe, vu les soubresauts de son sexe. Je savais pertinemment qu'avec ces coupures, il ne pourrait pas jouir. Il s'est mis à cheval sur moi, et a mis son sexe entre mes seins. Les maintenant avec mes avant-bras, il se payait une bonne cravate de notaire. Je lançais vers son gland des coups de langues. Mon mari était toujours à notre histoire, il avait repris le cours des descriptions. Jérôme s'est relevé et a mis son bassin au dessus de mon visage. Je l'ai pris dans ma bouche. Il allait et venait se servant de mes lèvres comme d'une chatte. Je n'avais jamais connu ça...

 

Mon mari qui était au bord de la jouissance, m'a dit qu'il voulait me prendre. J'ai repoussé mon assaillant pour pouvoir lui répondre. Je lui ai dit que moi aussi je voulais le sentir en moi. Jérôme a compris le message, m'a laissé me retourner pour que je me mette à quatre pattes. Il a retroussé ma jupe, et j'ai senti son membre à l'entrée de ma chatte. Je me suis retournée et lui ai fait signe que « NON ». Il est alors allé vers son pantalon, et a sorti de son portefeuille un préservatif. Il l'a enfilé, et s'est présenté de nouveau derrière moi.

 

J'avais les fesses en l'air et le visage sur l'oreiller. J'ai dit à mon mari que je n'en pouvais plus, qu'il fallait qu'il me défonce. J'ai alors senti l'énorme bite de Jérôme me perforer. Je n'avais jamais été aussi remplie. J'ai dit à mon chéri que j'allais jouir, je ne mentais pas. Mon mari a voulu que je le prévienne pour que l'on jouisse en même temps. Jérôme variait admirablement les rythmes. Mon plaisir montait, montait, montait... Quand j'ai entendu mon mari crier, un orgasme me terrassa, tandis qu'au même moment Jérôme crispait ses mains sur mes hanches et se vidait dans le préservatif.

 

J'ai embrassé Benjamin en lui disant à demain et me suis écroulée sous le poids de mon amant sans même prendre la peine de raccrocher.

 

Il s'est retiré, puis nous nous sommes embrassés longuement à pleine bouche comme un jeune couple. Sa bite a recommencé à prendre de la vigueur. J'ai retiré le préservatif et, alors que je ne l'avais jamais fait auparavant, j'ai nettoyé son sexe de ma langue. Je me suis mis à le sucer, sans cette fois être interrompue. J'étais gourmande de sa queue. En peu de temps, il était de nouveau en forme, et je me suis empalée dessus pour le sentir en moi. Tout à mon plaisir je le chevauchais. Je lui ai demandé s'il avait d'autres capotes. Il m'a répondu qu'il en avait suffisamment pour ce soir.

 

Je me suis levée et ai pris un chapelet de préservatifs. Je lui en ai enfilé un à l'aide de mes lèvres. Nous avons baisé dans toutes les positions. A un moment, alors qu'il me prenait en levrette, il a caressé avec son majeur ma rosette. Je n'ai rien dit. Puis il a enfoncé son doigt dans mon cul. La sensation était étrange, mais encore une fois je n'ai rien dit. Il me dit enfin qu'il adorait mon cul et souhaitait y mettre sa bite. Je lui ai répondu que j'étais vierge de ce coté, et qu'il était certainement trop gros. Il était étonné qu'avec ce cul là, personne n'y ait pensé avant lui. Il m'a rassurée, puis convaincue.

 

J'ai senti son gland contre mon anneau. Il a poussé lentement, et peu à peu mon sphincter s'est ouvert. Il est rentré d'un coup, la douleur était là, une larme perlait au coin de mon œil, mais il y avait autre chose. Je sentais au loin une sorte de plaisir, j'ai caressé mon clitoris. La douleur et le plaisir s'inversaient proportionnellement. Jérôme était toujours immobile, tout au fond de moi. C'est moi qui aie commencé à bouger les fesses. Doucement, il prit mon relais, il n'y avait maintenant que du plaisir. Il a accéléré la cadence, je me sentais chienne. Après cinq bonnes minutes de besogne il s'est retiré et s'est couché près de moi, son torse au niveau de mon visage. Il a retiré le préservatif et a fait courir ses doigts le long de son sexe. De son autre main, il me caressait les cheveux. Il a pressé légèrement sur ma tête en direction de son sexe. Dans un état second, ma bouche a pris le relais de sa main. Il me caressait toujours les cheveux. Je l'ai vu se contracter, et ressenti un premier jet au fond de ma gorge. Même si sa main était sur ma nuque, et même si c'était une première, j'en avais envie. Je l'ai sucé plus fort, aspirant sa semence, jusqu'à ce qu'il ne reste rien.

 

Nous avons fait l'amour tout les soirs de la semaine avec et sans préservatifs. Je suis devenue une accro de la sodomie, mais mon mari ne le sait pas. Cette aventure extraconjugale a duré d'un commun accord que pendant le salon. Nos relations sont restées professionnelles. Mon mari n'a jamais rien suspecté, tant mieux. Une chose trotte pourtant dans ma tête, au mois de Septembre, toute la société est supposée aller au Packaging Show, le salon de l'emballage de Dusseldörf, et ce pour dix jours...

 

Par Chloé - Publié dans : Vos contributions - Communauté : Récits Erotiques X
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Commentaires

Chère Chloé, ce récit est fantastique !!! Il est très excitant. J'espère que tu profiteras bien de l'autre salon. Quel bonheur de se faire prendre ainsi....
commentaire n° :1 posté par : Sophie le: 04/09/2009 à 17h59
Très belle histoire d'adultère!
commentaire n° :2 posté par : Sylviane le: 04/09/2009 à 23h57
quelle excitation!!!!!!!!!j'en ai mis un peu partout :-;
baisers
commentaire n° :3 posté par : peter pan le: 05/09/2009 à 00h05
Quand tu te branles, tu ne voudrais pas faire des photos, pour nous monter le résultat ?
réponse de : Sophie de R. le: 09/10/2009 à 21h13
C'est un superbe récit. Mais faire ça quand on est au téléphone avec son mari et qu'il sait, qu'il accepte, qu'il encourgae, c'est encore meilleur!
commentaire n° :4 posté par : Olga le: 05/09/2009 à 07h43
bien excitant ton recit mais le pauvre mari qui ne se doutait de rien
commentaire n° :5 posté par : romain57 le: 05/09/2009 à 09h27
ne pas se donner la peine de raccrocher aurai pu donner une autre suite a ce bel récit..
commentaire n° :6 posté par : sidi le: 20/03/2010 à 00h37
Oui, tout à fait... Mais chacun ses envies !
réponse de : Sophie de R. le: 21/03/2010 à 21h34
le risque,c'est de la pure adrenaline..
commentaire n° :7 posté par : sidi le: 20/03/2010 à 00h44
Ca, c'est vrai.. mais le risque calculé, malgré tout...
réponse de : Sophie de R. le: 21/03/2010 à 21h35
très beau texte :), mais n'avais t-il pas deja parut avant?
commentaire n° :8 posté par : korailleur le: 07/02/2011 à 13h31

Exact, tu es très attentif... j'aime bien remettre en tete mes textes préférés, d'autant que 9 visiteurs sur 10 ne vont aps au-delà de la première page....

réponse de : Sophie de R. le: 07/02/2011 à 22h17
J'ai adoré, ce texte, cette monté en puissance, bref cela me met en super forme
Bravo

Arnaud
commentaire n° :9 posté par : Arnaud le: 07/02/2011 à 23h23

Ravie que cela t'ait plu.. C'etait le but !

réponse de : Sophie de R. le: 11/02/2011 à 19h56
Benjamin est-il vraiment dupe?
A-t-il senti qu'il y avait quelqu'un avec sa femme?
Mystère. Toujours est-il que tout le monde a pris un pied d'enfer.
Et, foi d'athée, c'est bien là le principal
commentaire n° :10 posté par : brunobi le: 08/02/2011 à 08h15

On ne le saura jamais ! Mais tu as raison, j'aime particulièrement cette histoire...

réponse de : Sophie de R. le: 11/02/2011 à 20h00
Superbement écrit.
Un classique revisité de façon très sensuelle.
Merci pour ce bon moment.
commentaire n° :11 posté par : M. le: 08/02/2011 à 08h16

Je te suis à 100 % ! merci de le rappeler...

réponse de : Sophie de R. le: 11/02/2011 à 20h01
C´est trés mal ce que tu as fait !

On ne trompe pas les gens qui nous aiment.

Pour avoir plus que fréquenté le milieux de l´emballage et avoir fait moults salons europak, paris, hispack et autres, je peux te dire plusieurs choses :

1º) cocufier l´autre n´est jamais une preuve d´intelligence, car on risque de perdre son/sa compagne/on
2º) on risque aussi de perdre son boulot. Car si l´employeur le sait il pourrait bien te virer
3º) on se fait une mauvaise réputation (de pute gratuite ou de queutard, ce qui inévitablement rejaillit un jour ou un autre sur la compétence prof et les contacts avec d´autres boites)
4º) Je me doute ou tu bosses et je peux te dire que certaines qui bossent ou mieux, bossaient dans des boites lyonnaises ou parisiennes ont un bon palmarès ou profil de garces.
Elles n´ont gagné qu´un licenciement à leurs dépends (elles ont perdu le job et leur mec... à méditer).

Un bisou
commentaire n° :12 posté par : thierry le: 09/02/2011 à 13h09

Pour ce qui est de tromper son nojoint, chacun pense comme il veut.. mais je ne suis pas d'accord pour quon en reste tujours au vieux schéma de la femme libre qui est une garce, et de l'homme dans le meme cas, qui serait le "don juan" de la meme boite !

réponse de : Sophie de R. le: 11/02/2011 à 20h14
Ma chérie,

Je n´ai jamais dit que la femme devait être une salope et le mec un dom juan.

Pour moi n´existent que les personnes d´honneur et les autres.

Un gros sm@k
commentaire n° :13 posté par : thierry le: 11/02/2011 à 21h26

Même une personne "d'honneur" peut faire des erreurs... nul(le) n'est parfait(e) !!!!

Faut-il condamner cette personne au premier accroc ?

réponse de : Sophie de R. le: 13/02/2011 à 20h20
J'aime beaucoup cette histoire. Disons que je l'ai souvent imaginée dans ma propre situation, lorsque je soupçonnais ma femme, avec raison, d'être à l'hôtel avec un amant. J'ai souvent espéré qu'elle m'appelle pour une raison quelconque et que la conversation évolue comme vous la racontez, ce qui m'aurait comblé de désir (et de jalousie aussi, toutefois). Bravo.
commentaire n° :14 posté par : sultanes le: 13/02/2011 à 18h18

Peut-etre un our est-ce arrivé.. ou peut-etre le lui demanderas-tu un jour de folie pour toi...

réponse de : Sophie de R. le: 19/02/2011 à 22h27
Ma doudou,

L´honneur n´est jamais que le plus beau des étendards.
Sur le champ de bataille de ma vie je mourrai.
Ni de mon corps ni de mon esprit ne dérriverai.
Fidèle à mes couleurs, jamais ne rendrai.
Toujours fidèle à mon amie des arts...
commentaire n° :15 posté par : thierry le: 13/02/2011 à 21h03
Tu as raison, mais qui peut dire qu'il n'a jamais "fauté" ? Absolument personne. Est-ce par que l'on faute que l'on perd son honneur ?
réponse de : Sophie de R. le: 16/02/2011 à 13h28
Mais, je peux t´assurer que je n´ai jamais fauté depuis que je suis adulte (et ça me rajeunit pas, LOL).
commentaire n° :16 posté par : thierry le: 16/02/2011 à 20h49

Eh bien felicitation, je crois que peu de personnes en ce bas monde peuvent en dire autant... Vraiment très très peu ! Mais peut-etre faut-il s'entendre sur le terme "faute"....

réponse de : Sophie de R. le: 19/02/2011 à 22h23
Ah, voilà un excellent récit... tout ce que j'aime dans la mesure où l'on est typiquement dans un récit de transgression de la part d'une femmme, et également où cette dernière ne contrôle pas et est entraînée dans cette aventure. J'avoue, j'avoue que je n'ai pas résisté...
commentaire n° :17 posté par : Tres_curieux le: 15/03/2011 à 22h47

Heureuse que ca te plaise... j'ai aussi beaucoup aimé cette histoire !

réponse de : Sophie de R. le: 17/03/2011 à 00h43
Un des plus merveilleux récit publié ici, très intense, écrit de main de maître(sse). Effectivement il avait été déjà publié et je me souviens de longs échanges avec ma chérie sur l'érotisme absolu de cette histoire... Nos draps s'en souviennent encore :))
Petite Question ma chère Sophie : Comment puis-je publier des textes sur ton site ? Est ce possible d'ailleurs ? Tu as sûrement déjà du l'expliquer maintes fois, j'en suis sûr, mais j'ai pas du bien suivre :)
Tendres bises à toi :)
commentaire n° :18 posté par : Petite Squaw & David Squaw le: 21/03/2011 à 23h12

Bien sur que c'est possible ! j'en serai ravie.. tu peux me les envoyer via la fiche contact, ou à mon adresse mail : sophie.de.rawensky@hotmail.fr

J'ai hate de te lire !

Baisers libertins...

réponse de : Sophie de R. le: 23/03/2011 à 22h48
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