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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Philippe, trente ans, beau sportif d’un mètre quatre vingt, quatre vingt cinq kilos, travaille dans une société de transit comme attaché commercial.
Ils sont six à travailler dans la même pièce, un « open space », où tous les dossiers sont traités par ordinateurs.
Il y a Sébastien, un mètre soixante dix, soixante quinze kilos, la quarantaine, et trois femmes, plus que présentables. Elles ont entre vingt-deux, et vingt-huit ans.
Dans le bureau d'à côté, il y a Claire, le chef du personnel.


Philippe est marié avec Murielle, vingt-deux ans, une nymphomane bien connue du service. Elle n'hésite à se le faire mettre, dès qu'un mâle lui plait. Les collègues de travail sont un peu moqueurs envers Philippe à ce sujet.


Philippe et Sébastien sont en concurrence au travail. Philippe obtient souvent de meilleurs résultats que lui...
Deux fois par semaine, l'entreprise met une salle de sport à disposition de ses employés, pour que le personnel puisse se ressourcer.
Même dans ce domaine, Philippe est supérieur à Sébastien.
« Pourquoi vous ne vous mesurez pas tout les deux, propose une secrétaire. Amicalement, bien sur, pas de coups tordus. Vous faites une sorte de lutte romaine.
- Ce serait marrant », reprend une autre fille.

Philippe a un sourire en coin.
« C'est Sébastien qui décide, dit Philippe, pour moi, c'est d'accord.
- Qu'est-ce-que je risque, répond Sébastien, j'aurai l'excuse d'être le plus âgé.
- On arbitre, dit Claire, péremptoire.
»

Les deux hommes, en short, se font face.
Sur une attaque mal négociée, Philippe se retrouve au sol.  Sébastien se précipite sur lui, et le bloque en mettant un genou son dos.
« Alors, comme on fait ? Demande Sébastien.
- A poil, crient les filles.
- C'est pas con ça, reprend Sébastien. Quelle humiliation ce serait pour lui…
- Lâche moi, rouspète Philippe, tu me fais mal. »


Sébastien tape sur les fesses de Philippe, écarte l'élastique du short, et le baisse jusqu'aux chevilles.
« Fais nous voir si tu es bien monté, dit Sébastien.
»


Sébastien le fait rouler sur le dos, et fini de lui ôter son short.
« C'est pas terrible, constate Sébastien. Pour un homme d'un tel gabarit.
- C'est vrai, reprend Claire, on a vu mieux. C'est peut être pour ça que sa femme va se faire niquer ailleurs. »


Par réflexe, Philippe met ses mains devant son anatomie. Sébastien le prend par une oreille, le fait se lever, et se dirige vers une chaise. Il s'assied, et oblige Philippe à se coucher sur ses genoux. Et là, il commence à lui donner une fessée, come à un enfant qui vient de faire une bêtise. Curieusement, Philippe se laisse faire… Les filles sont mortes de rire. Au bout de cinq minutes, les fesses de Philippe sont toutes rouges.

Tout au long du traitement, Philippe essaie de se protéger avec les mains, et fini par supplier son collègue d'arrêter. Mais Sébastien a décidé d'aller plus loin dans l'humiliation.
Il glisse sa main sous le corps de Philippe, et il saisit carrément les couilles de Philippe, et fait rouler les testicules entre ses doigts, en serrant légèrement.
« Aie, aie, arrête connard, hurle Philippe, lâche moi, je le répèterai plus.
- Oh oh, on se calme, répond Sébastien, tu n'es pas en position de poser tes conditions. »
Effectivement, Philippe se calme, mais pas pour les mêmes raisons. Les attouchements de Sébastien sont plus précis, et Philippe n'est pas insensible aux caresses pourtant brutales.
« Oh, mais ta queue devient toute raide, sourit Sébastien. Tu ne serais pas en train de te régaler ??? Venez voir les filles comme je vais le traire ce vicieux. »


Les filles s'avancent en riant. Il fait se retourner Philippe, quasiment assis sur ses genoux. L’homme obtempère, il est trop excité par cette situation nouvelle. Sébastien mouille ses doigts, et décalotte le gland de Philippe.
« Ha..ha,  soupire Philippe.
»

Sébastien commence ses mouvements de traite. D'un doigt, il caresse même le petit trou, introduit profondément son index, puis le porte à la bouche de Philippe.
« Tiens, mouille-le un peu, tu auras moins mal.
- Salaud, gémit Philippe, tu veux m'enculer aussi. Vas-y. »


Philippe est totalement soumis. Il se laisse branler la queue et forcer l’anus avec délectation. En quelques minutes trop rapides à son gout, il jouit. C'est dans un hurlement de  plaisir qu'il éjacule sur le sol.
« Putain, comme tu m'as branlé, ha, laisse ma bite décalottée, je suis bien comme ça. Gratte-moi le bout, s'il te plait. »


Les filles applaudissent. Claire s'approche et lui relève la tête.
« Tu as aimé on dirait, petite tapette. Tu as vu comme il t'a fait pleurer ton oiseau, hein ? La prochaine fois, on lui demandera qu'il t'encule. »


Sébastien le fait rouler au sol. Petit à petit, la queue de Philippe s'est recroquevillée.
« Tenez, les filles, si vous voulez vous amuser, il est encore chaud. »

Philippe se lève, et essaie de s'échapper. Mais les filles l'attrapent par les parties sensibles de son corps. Sébastien s'éclipse, et colle son oreille à la porte. Il entend les éclats de rire de ses collègues, mais aussi les cris et les plaintes de Philippe. Même des pleurs.

« Le pauvre, se dit Sébastien. » Il se doute que les filles ne vont pas en rester là…

Philippe arrive chez lui tout penaud. Murielle, dans une tenue vestimentaire plus que sexy, est d'une beauté à coupé le souffle. Quelle chance pour ceux qui peuvent profiter d'elle à leur guise !!!
« Tu es bien triste, mon chéri, dit-elle.
- J'ai été humilié comme jamais, se plaint Philippe. Regarde dans quel état je suis. Ils ont abusé de moi. »


Il se déshabille, et montre ses fesses à sa femme, qui met une main devant sa bouche, pour ne pas éclater de rire.
« Oh mon chou, tu es tout rouge. Tu veux que je passe au bureau demain, je vais leur montrer de quel bois je me chauffe. »


Le lendemain, il est quatorze heures, lorsque Murielle décide d'aller rendre visite à Claire, la chef du personnel ou travaille son mari. Elle est vêtue d'une façon qui attire l'attention.
Minijupe, petit haut, et escarpin. Une vraie bombe. Elle se rend directement dans le bureau de Claire.
« C'est quoi cette façon de traiter les employés, dit Murielle d'un air sévère. Vous voudriez que je vous en donne une, moi, de fessée, devant votre personnel ? Vous lui avez fait quoi, à mon mari ? Ses fesses étaient toute rouges, de même que ses couilles et le bout de sa queue.
- Oh là, calmez vous, répond Claire, c'était pour rigoler. Au début, il était d'accord, il n’avait qu'à se défendre. Im est tout de même assez costaud comme ça ! Quant à la fessée, il l’avait méritée…
»

Elle ne finit pas sa phrase, laissant les mots en suspend.
Murielle n'a pas entendu les deux employées qui viennent d'entrer. Les deux filles attrapent chacune une de ses jambes, et la décolle du sol. Pour se maintenir en équilibre, elle est obligée de passer ses bras autour du cou de ses agresseuses. Ses cuisses sont largement ouvertes, laissant apparaitre un string rouge. Murielle se débat pour essayer de se dégager, mais elle est tenue fermement par les deux filles.
« Connasses, gronde Murielle, lâchez-moi, vous avez compris ??? »


Claire prend des ciseaux dans le tiroir du bureau, et s'approche de Murielle. Elle lui enroule la minijupe autour de la taille, et coupe d’un coup précis les deux côtés du string.
Murielle se retrouve l'entrejambe à découvert. Claire retourne à son fauteuil.

« Avancez que je m'amuse avec elle, ordonne Claire, mettez-la toute nue.
- Qu'est-ce-que vous allez me faire, demande Murielle.
- Tu vas aimer, répond Claire, tu vas voir. »


Elle glisse un doigt entre les lèvres offertes, les caresses.
« Arrêtez, je ne suis pas une gouine, dit Murielle.
- Eh bien, tu vas le devenir. On ne s’en prend pas à moi sans conséquences ! reprend Claire.
»


Avec deux doigts, elle décalotte le clitoris, et l'excite avec un ongle. La fente de Murielle commence à s'humidifier, malgré elle. Claire met un peu de mouille sur son majeur, et le fait tourner sur le petit organe.
« Tu mouilles, ma salope, remarque Claire, tu commence à te régaler, hein?
- Oui, putain, comme vous me doigtez bien, gémit Murielle, ne vous arrêtez pas, s'il vous plait….
- Mettez la à genoux, les filles, dit Claire, jambes bien écartées. Elle va se faire mettre bien comme il faut ! Je veux l'entendre crier cette pute. »

Claire enfonce ses doigts dans la chatte bien humide, elle finit par y mettre quatre doigts. Murielle se tord de plaisir sur le bureau, impudique, offerte à tous…
« Oh, que vous me faites du bien à mon petit abricot, je jouis, allez-y oui... oh oui !!!.
- Tu vois bien que c'est bon, sourit Claire. A partir d'aujourd'hui, je veux te voir une fois par semaine, minijupe, sans rien dessous, c'est clair ?
- Je ferai ce que vous voulez, soupire Murielle.
»


Claire appuie sur le clavier du téléphone, et ouvre l’interphone connecté dans le bureau voisin.
« Tout le monde dans mon bureau. »


Murielle est toujours à genoux, inclinée en arrière, en appuie sur ses mains. C'est Sébastien qui arrive le premier.
« Tiens, mais c'est la nympho de l'autre tapette, dit-il.
 »

Il se déshabille vite fait, et enjambe la poitrine de Murielle. Il la maintient par la nuque, et lui trempe sa queue en érection dans la bouche.
« Vas-y, mon trésor, turlutte celui qui va sodomiser ton mari après, tu veux bien ? »
Murielle secoue sa tête affirmativement.
Elle ne s’est jamais sentie aussi salope, et elle adore ça…

Le reste des employés arrivent. Philippe veut intervenir, mais il est pris à partie par deux filles qui le ramènent à la raison. Pour cela, elles tirent sur son pantalon, et saisissent, l’une ses couilles, l’autre sa bite enclore flasque. Le résultat ne se fait pas attendre, et Philippe bande autant qu’il peut, avec sa petite queue. L’une des filles se met à genou devant lui, et le pompe tant qu’elle peut. Le spectacle est saisissant : lui, en tain d’être sucé, et sa femme, sur le bureau, en train de pomper une autre bite. Chose rare que de voir un couple devenir les esclaves sexuels d’un groupe de collègues…


« Ah, ah, la pute, elle m'avale, whoua, vas-y salope, ha... ha. C’est de la queue çà, hein ??? crie Sébastien.
 »
Murielle est toujours doigtée par Claire. Dans un cri, elle a un deuxième orgasme.

Les filles ont délesté Philippe de ses vêtements, et l'obligent à s'appuyer sur le second bureau, fesses écartées.
Sébastien, toujours en érection, s'avance et place son gland contre le petit trou de Philippe. Il donne son majeur à sucer à Philippe. Celui-ci le fait, comme il pomperait une bite. Sébastien travaille sa rondelle sans ménagement. Quand il juge le résultat satisfaisant, il présente son gros gland devant l’anus dilaté. Il le pénètre doucement.
« Aie, aie, gémit Philippe, salaud, tu m'encules.
- Dis bien haut ce que tu m'as dit tout à l'heure, ordonne Sébastien. Que tout le monde entende, allez, vas-y.
- Que tu pourrais niquer ma femme quand tu voudrais, même devant moi, répond Philippe.
- Tu entends Murielle ? poursuit Sébastien.
- Prends-moi tout de suite, supplie-t-elle, fais-lui voir comme on donne un vrai coup de queue à une femme. Fais-le cocu. »

Sébastien encule profondément son collègue, lui dévaste l’anus à grands coups de bite. Quand il se sent porche de l’orgasme, il se retire, laissant le conduit béant. Il fait retourner Philippe, et lui présente sa queue souillée à lécher.

« Nettoie, petite pute, que je puisse baiser ta salope de femme ! »

Philippe obéit, il est prêt à toutes les humiliations pour jouir encore et encore. Il refuse de le dire tout haut, mais il a adoré se faire enculer bien profond. Il voudrait bien une autre queue rn lui. Il songe déjà à acheter un bon gode-ceinture pour que sa femme le sodomise à fond…

Quand il a fini de nettoyer le chibre de son collègue, celui-ci empoigne Murielle, et la pénètre violemment. Sébastien empale Murielle, toujours à quatre pattes sur le bureau. Devant elle, une des collègues de son mari s’est allongée, et elle lui bouffe la chatte avec ardeur, au rythme des coups de boutoirs qu’elle reçoit.


Sur l'autre bureau, les deux filles jouent avec Claire, entièrement nue.
« Enfoirées, hurle Claire, qui pourtant se laisse faire, vous gouinez votre responsable ! Regardez comme ma chatte mouille, je vais jouir… »

La folie est totale…

Claire et les deux autres se grouinent, se lèchent à qui mieux-mieux. Philippe, avec sa petite bite, trouve quand même le moyen de baiser la dernière, en levrette. Quand Murielle jouit, Claire se sépare des deux autres, et ordonne à Sébastien de la baiser. Il obéit, et la baise sauvagement, le cul en l’air. Elle accroche ses mains sur  Murielle qui vient de se relever. Dans cette position, son visage est juste à la hauteur de la chatte de Murielle. Comment résister ? Elle fourre sa langue au plus profond du vagin, avalant au passage la cyprine odorante…

L’orge est absolue… Les deux hommes ne savent plus où donner de la bite, sollicités par les cinq femmes présentes.. Ca suce, ca lèche, ca baise dans tous les coins… Bref, une orgie dans les règles de l’art….

A partir de ce jour là, tout ce petit monde se retrouve une fois par semaine, pour une partouze, mais avec des accessoires, pour compenser le manque d’hommes… Bien sur, Philippe et Murielle sont soumis à tous les caprices de leurs collègues. Ils sont devenus de vrais jouets sexuels…

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes histoires érotiques - Communauté : Histoire érotique
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Commentaires

Une histoire torride! Bravo Sophie!
commentaire n° :1 posté par : Philippe le: 19/09/2009 à 23h53
une belle histoire il ne s ennuie pas dans cette societé il ne connaisse pas la crise lol
commentaire n° :2 posté par : romain57 le: 20/09/2009 à 07h52
Wouah ça fornique sec dans cette entreprise là, mais et le taf alors, doit pas avancer beaucoup ? Bisous
Pat
commentaire n° :3 posté par : Psycho51 le: 21/09/2009 à 10h18
Il faut que je me trouve un bureau comme ça ! En plus, je pourrais humilier mon mari, j'adore le faire, et le voir se faire baiser comme une lopette...
commentaire n° :4 posté par : Tatiana le: 24/09/2009 à 20h47
Ce genre de bureau, j'en voudrais bien un comme ça chez moi.... je reve de sauter sur un de mes collègue, et pourquoi pas sur la chef. mais jamais je n'oserai...
commentaire n° :5 posté par : Elise le: 29/09/2009 à 02h19
J'adore cette histoire,mais je préfère plus quand ça ce passe avec la femme dephilippe qui essaye de venger son mari,mais elle se fait avoir en beauté par les 3 femmes et les 3 femmes réussicent à la faire jouir par l'humilliation et elle devient leur esclave sexuelle à vie et elle aime obéir à leurs désirs,restée nue sous sa jupe trop courte.....
commentaire n° :6 posté par : LAURENTNYLON le: 16/02/2011 à 13h23

Ca reste le reve de certain(e)s : etre un(e) esclave sexuel(le). Mais il faut que ce soit réellement voulu !!!

réponse de : Sophie de R. le: 19/02/2011 à 22h21
Très belle histoire en effet, comme je les aime
commentaire n° :7 posté par : michel le: 16/02/2011 à 15h31

Et pour cause...  ;-) tu sais de quoi tu palres...  Je t'adore !

réponse de : Sophie de R. le: 19/02/2011 à 22h22
Je m'en lasse jamais de celle là.
commentaire n° :8 posté par : michel le: 09/09/2011 à 13h41

C'est un peu logique, non ???  ;-)

réponse de : Sophie de R. le: 22/09/2011 à 15h31
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