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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Je passais les vacances en famille, Le soir, après avoir diné chez ma tante, qui pendant l'absence de mon père se chargeait de mes repas, je décidais de demander à mon cousin s’il dormait chez lui ou chez moi... Sa réponse, qui fut un « oui » immédiat, me troubla,  car il m'a dit ça immédiatement et avec tellement d'envie dans le regard, que cela fit battre mon cœur très vite...

 

En allant chez moi, il trouva par terre deux petits aimants, ça l'amusait beaucoup. Arrivés chez moi, il me demanda, si ça me disait de regarder un de cul, pour voir si les meufs étaient bonnes... Je me sentis tout à coup très à l'étroit dans mon slip, me souvenant du plaisir que j'avais pris hier à sucer sa queue, la veille, pour la première fois. J’en espérais que ce soir aussi, ça serait pareil...

 

Après dix bonnes minutes de matage de film, comme la veille, mon cœur s'accélérait, une bosse déformait son short. La bite de mon cousin, droite, à l'horizontal, était épaisse, et tressautait, à chaque scène chaude... La mienne était en feu, le dard rouge, j'avais une trique de malade,  il l'avait vu, je le savais. Ne sachant comment amener la chose, je lui ai demandé s'il pouvait me prêter ses aimants. Un « non » catégorique se fit entendre...

J’insistais : « Allez, quelques minutes, juste pour voir, me changer un peu les idées…

 

 

 

Il tend ses bras au plus loin, pour que je ne puisse pas les chercher. Alors, je m'enhardis, me penche vers lui. Nos corps se rapprochent, il me tourne le dos, j'essaie de lui ouvrir la main, et un rapport de force et de jeux, se crée entre nous... Il ne cède pas, moi non plus, on se tourne, on se débat, on retourne le lit, les draps, nos mains se touchent, nos corps se collent, se frottent, ses bras puissants m'agrippent...

Les aimants ? Ca fait longtemps qu'ils sont tombés par terre...

Le film ? Quel film ?

 

Ce qui compte c'est nous, notre jeux, je le chatouille, il se tord dans tous les sens et rigole, je sens a travers son short, sa bite, plus dressée que jamais. II se défend, et dans un élan, il me plaque sur le lit, je me débats. Il est au dessus de moi, me fixe les poignets sur le lit, et m'esquisse le plus beau des sourires en disant : « Mon pote, j'ai gagné… »

Non, il n'en est pas question. Avec mes jambes, j'enlace ses reins et essaie de le faire tomber, mais il est résistant, ne tombe pas et ne fait que s'aplatir un peu plus sur moi... Il halète, moi aussi, nous sommes essoufflés, fatigués, mais nous gardons cette position. Personne ne veut lâcher prise et « perdre ».

 

Mes jambes glissent, et commence à caresser les siennes. Il ne dit rien et me fixe droit dans les yeux, je tiens son regard.

Je commence à faire des légers mouvements du bassin, car dans la position où nous sommes, mes jambes solidement accrochées à lui, mon cul, peut sentir sa bite tout contre. Il ne cesse de me regarder, je tiens bon, ne baisse pas les yeux. Bruno ne baisse pas les yeux. Je continue à tourner du cul, je sens son dard s'échauffer, sa bite gonflée a bloc. A ce moment-là, il commence à frotter sa queue contre mon cul, je tortille encore plus pour la sentir contre moi, ses mouvements se font de plus en plus vite. Il appuie nettement quand il se frotte...

 

J'en ai envie, lui aussi. Il continue à serrer mes poignets, plus fort, continue à me fixer. C'est intense, ses mouvements deviennent de plus en plus rapides, il se frotte encore plus, me presse vraiment son zob contre mon cul, qui tortille. Nous simulons une sorte de baise, malgré nos vêtements.

Tout d'un coup, il s'arrête net... Qu'est ce qui se passe ? Ai-je fais quelque chose de mal ? Il me desserre les poignets, se redresse sur ses genoux, remue ses épaules et me dit : « j'ai mal au bras ! »

Nous explosons de rire. On change de position, je me mets sur lui, à califourchon, histoire de bien sentir son pieu dur contre mes fesses. Je dandine du cul, il me dit qu'il a jamais été aussi excité, même avec ses pouffes...

 

J'étais aux anges. Il m'embrasse, le temps s'effacent et nos corps s'entremêlent. Je lui enlève son tee-shirt, et la je fonds, je ne cesse d'admirer depuis hier ce corps parfait, ses abdos dessinés, ses pectoraux musclés, ses abdos à croquer, ses bras puissants pour son âge. Je me penche, et ma langue s'aventure dans son cou, ses épaules, le haut de son torse, ses pectoraux, ses tétons qui ont durci.

Ceux-ci sont tout noirs, pointus, et contrastent avec sa peau couleur caramel, quand je les suce, il pose sa main sur ma tète, et soupire, en disant que c'est bon… Il aime ça, le cochon. Je n'en oublie pas moins de remuer mes hanches sur sa bite, je descends avec ma langue, et embrasse un à un ses abdos.

 

Je suis obligé de descendre mes fesses, pour continuer... Je lui enlève son short, il se laisse faire, les bras croisés au dessus de sa tète. Son slip ne réussit  à cacher que ses bourses, tellement sa grosse bite, toute droite, pointe vers son nombril. Une marre de liquide se trouve sur son ventre, signe que notre petit jeu l’a drôlement bien excité.

 

La cassette porno devient notre musique de fond.

Je m'empresse de dégager sa bite, et retire son slip. Je la prends dans toute ma bouche... Hum, un vrai régal, grosse, épaisse, couleur caramel, avec les veines légèrement apparentes. Je ne la suce as, je la dévore.

 

Il me dit de me calmer, sinon il va juter. Je n'entends rien, je ne veux que sa bite dans ma bouche. De long jets viennent atterrir directement dans ma bouche et sur mon visage, j'avale tout... Lui a poussé un cri de bête, et s'est tortillé en huit... « Woah, me dit il, faut que tu connaisses ça !!! »

 

Et là, tout s'enchaine vite, en moins de trente secondes, il me dessape, et commence à me pomper, je suis sur mes genoux, assis sur mes talons. Il a la tête entre mes jambes. Je me penche en arrière, c'est trop bon, et avec mes mains, j’appuie sur sa tête. Je l’encourage : « Oui, suce tout mon grand, vas y fais toi plaisir... »

 

Il me pompe à fond, me met de la salive partout sur la bite, il rentre les joues, et me pompe a fond. J'éjacule en lui tenant la tête, dans un râle qui en dit long, il avale tout.

Il relève la tête, me regarde droit dans les yeux, ce même regard intense que seul lui sait faire, et la, il me roule, une de ses galoches... Hum, trop bon, j'en ai les poils qui se dressent sur tout le corps.

 

On se nettoie et range un peu le lit, on éteint la tv, on se rhabille, enfin juste nos slips, au cas où quand mon frère rentre, il ne se douter de rien...

On s'endort vite, fatigués et saoulés, de tous nos délires…

 

Le matin arrive, et je sens une présence contre moi. Hum, je m'étire et ouvre un œil. Apparemment mon cousin est réveillé car il est en train de frotter son cul contre ma bite. J'hallucine, non, ce n’est pas vrai... C'est un rêve, j'ouvre un autre œil, et ben non, je ne rêve pas : j'ai la gaule matinale, et lui se frotte le cul contre ma bite.

Même pas le temps de dire bonjour, je sens ses mains venir tâter mes fesses et me pousser la bite encore plus vers son cul. Je descends son slip, et avec mes mains, trouve son joli petit trou... J'ai peur, je ne sais pas si c'est cela qu'il veut. Peut-être ai-je mal compris ? Je me lance. Je lui masse le trou, titille sa rosette. Il ne dit rien, mais me prend la main et enfonce un de mes doigts dans son cul offert....

J'en crois pas mes yeux, mon cousin veut que je lui laboure le cul !!!

Il ne va pas le regretter !

Moi, excité à mort, je ne savais par où commencer. Il frottait son cul sur ma bite, mon dard a triplé de volume, je sentais mon gland dur, rouge, à l'étroit dans mon slip.

 

Ma main a commencé à se promener sur son torse, et s'est vite dirigée vers son slip. Il bandait dur ce salaud. Il se met sur le ventre, je me lève de façon à m'occuper de son petit cul musclé. Je commence à lui lécher la rondelle, mes coups de langue s'aventurent de plus en plus profondément dans son cul, il se tortille et gémit de plus en plus. Moi ça m'excite à mort. J'ai ses fesses pour moi, et là, je vais me faire plaisir...

Je mets de la salive sur son trou et décide d'y enfoncer un doigt, il ne dit rien, ça passe comme dans du beurre, ça glisse. Il aime ça, il mouille du cul ce con. Je fais des mouvements de va et vient, ses mains s'agrippent aux draps. J'enfonce un deuxième doigt, et il râle de plaisir. Son visage se crispe, mais il en veut plus, car il dandine du cul comme une chienne. Je lui demande s’il a mal, et s’il veut que j'arrête.  Il me répond que non, que c'est bon, et qu'il aime ça...

Dans ma tête, je me dis : « Alors, t'aime ça mon grand ? Et ben, je vais t'en donner alors... »

 

Il est toujours sur le ventre, et je me place au dessus de lui. J'ai enlevé mon slip devenu trop petit et ma bite, qui mouille, se frotte contre son cul.... Apres cinq bonnes minutes, je prends ma bite en main et la guide vers son joli petit trou déjà bien dilaté.

Ca y est, ma dard force son sa rosette, ma bite de bonne taille a un peu de difficulté à rentrer.  Je ne cède pas et force le passage, ses mains s'accrochent aux draps, son visage se crispe mais il aime ça, je le sens.

Ma bite en est à la moitié, puis je l'enfonce d'un coup sec. Il s'échappe de sa bouche un petit cri. Avec sa main il stoppe ma queue et me dit d’attendre, car il a mal.

« Tu veux que j'arrête ?

 

 

Ma queue est prisonnière de se beau petit cul. Quel régal ! Je lui lèche le dos en attendant, et l'embrasse dans le cou, ça le fait frissonner. Je sens son cul se dilater autour de ma bite, et il me dit ça y est, c'est bon.

 

Et là, commence un va et vient infernal, je lui pilonne la rosette. Il gémit et me crie : « Vas-y, cousin, c'est trop bon, vas y plus fort, plus fort ! » 

Ma bite s'engouffre et revient dans ce petit cul devenu un vrai cul de salope. Ses jambes s'écartent de plus en plus, et je me décide à lui demander s’il veut changer de position. Il me répond ok... J'ai envie de voir son visage d'hétéro quand je le baise. Il m'obéit, se met sur le dos, et place ses jambes autour de mon cou. Je m'enfonce à nouveau dans ce petit cul qui crie : « oui, vas-y baise moi ! »

 

Pas la peine de vous dire que je prends un pied d'enfer. Il ferme les yeux, se concentre sur son plaisir et en plus je peux voir sa superbe queue en érection trempé et mouillé comme une salope. J'accélère le mouvement, je sens la sauce monter, je lui laboure le cul de plus en plus vite, et en 5min je ressort de son cul, et lui jette de longs jets de sperme sur le ventre. Ma réaction le fait jouir, et il décharge sur son ventre dans un cri de bête qui résonne dans toute la chambre.


Puis, comme si de rien n’était, il m’annonce qu’il va prendre une douche. Avant de sortir du lit, il me roule une pelle monstrueuse. Je reste sur le lit à réaliser ce qui vient de se passer.
Voila comment ont continué nos vacances, à baiser ensemble que l'on pouvait. Tous les prétextes étaient bons pour baiser.

Ce furent les meilleures vacances de ma vie !

 

Par Sophie de R. - Publié dans : Les récits gay et lesbiens - Communauté : Communauté gay
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