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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Sophie, je viens te raconter ce soir mon aventure avec mon ex-belle-mère, pour que tu la publies. Ele était la mère de mon ex-femme

Quand j’ai rencontré celle qui allait devenir ma future femme, c’était super. On discutait beaucoup, tous les soirs, et souvent très tard. 

 

Un soir, elle me demanda de venir chez elle.  Bien sur, j’étais d’accord !

Elle m’a précisé que son père était très malade, et que sa mère n’était pas une sainte. Mais en réalité, je m’en fichais complètement ! Ils ne m’intéressaient pas…

 

Nous sommes donc allés chez elle. En arrivant, elle me présenta à sa mère, une femme au caractère très possessif. Après les présentations, nous sommes montés tous les deux  dans sa chambre. 

A peine entrés, elle me dit : « Ce soir, je veux voir ta queue ! »

Un peu surpris de la rapidité de sa phrase, j’ai obéi et sortit ma bite de mon pantalon. Sans hésiter, elle l’a prise dans sa main, et a commencé à me branler… J’étais dans un état second, tout près du paradis.

 

Soudain, la porte s’ouvre en grand. La mère est là, sur le seuil Mon amie a voulu se cacher, en criant : « Mais Maman, sort de là ! »

Mais trop tard, elle avait tout vu. Elle a refermé la porte sans rien dire.

Pourtant, je soupirais : « Pffttt, ouf, elle n’a rien du voir… »

Ma copine me répond : « Je savais qu’elle viendrait ! Quelle vieille salope ! »

 

Je suis un peu surpris par la violence de ses propos, et le lui dit. Elle me répond d’un ton sec : « Oh, elle n’a pas du niquer depuis un bout de temps ! »

Mon amie reprend là où elle en était et a fini de me branler jusqu’à ce que je jouisse dans sa main. Je n’ai pas revu sa mère ce soir-là.

Nous n’avons jamais reparlé de cet incident.

 

Plusieurs mois plus tard, j’ai emménagé chez elle, mon beau-père étant décédé depuis trois mois.

Un soir, mon amie était allée bosser à l’hôpital, comme d’habitude. J’étais là, tranquillement installé sur le canapé. Sa mère m’a demandé de venir manger, pour le diner. Le repas se passe tranquillement, nous parlons de tout et de rien. A la fin du diner, je lui dis que je vais prendre une douche.

 

Mais sans trop savoir pourquoi, je lui dis : « Ce serait sympa que tu me laves le dos… »

C’est quand elle accepte, que je me rends compte que j’ai sans doute été trop loin. Pour la provoquer, je lui dis qu’elle n’est pas capable de venir. J’ai pensé que ca la découragerait…  En effet elle n’a rien répondu.  Je file donc dans la douche. A peine l’eau ouverte, je sens comme un courant d’air dans mon dos. Pourtant, je suis sur d’avoir bien fermé la porte. J’en sui là de mes réflexions, quand le rideau de douche s’ouvre brusquement. La « vieille » est là, devant moi.

Un peu interloqué, je la regarde dans les yeux. Elle me réclame le gant de toilette, pour me frotter le dos.je le lui tends, et lui offre mon dos.

Elle a un petit murmure quasi inaudible.

Je lui demande : « Qu’est-ce qu’il y a  ?

- Rien

- Tu as dis quoi ?

- Rien, je te dis ! »

 

Et là, je sens le gant passer sur mes fesses. Comme je suis jeune et très vigoureux, je commence à bander illico. C’est le moment qu’elle choisit pour me dire : « Tourne-toi, et ne fais pas le timide, j’en ai déjà vu d’autres !!! »

 

Sans mot dire, je me suis retourné, la bite droite comme un i. Elle s’est mise à rire en voyant mon état… « Oh, mais tu es un coquin ! Tu bandes dur, et en plus, ta queue est très belle ! »

Elle continue de me laver, et branle ma bite avec le gant, comme si de rien n’était. Et elle s’arrête net, pose le gant et me dis de sortir de la douche.

Je suis très énervé, et j’ai une foutue envie de baiser !

 

Elle m’a essuyé avec une serviette, de haut en bas, et me dit subitement : « Chris, tu sais, ca fait un bon bout de temps que je n’ai plus vu une belle queue. Ca m’a fait plaisir de te caresser un peu…

- Ah bon ?

- Oui, je suis sincère, et je voudrais bien venir la toucher pour de bon.

- Ok », lui dis-je en tremblant comme un gosse.

J’avais envie de baiser, mais c’était quand même ma belle-mère !

 

Alors, elle a pris ma bite dans sa main, très doucement, elle y prenait visiblement du plaisir. Elle me pelotait aussi les couilles. Elle caresse tout ma colonne de chair, je gémis de plaisir sous cette bonne caresse.

Pourtant, subitement, elle s’arrête et sort de la salle de bains. Je ne la verrais plus de la soirée, ni de la nuit. J’ai du me branler tout seul, me faire jouir en attendant que ma copine rentre.

 

Le lendemain soir, pendant le diner, à nouveau en tête à tête, je lui demande pourquoi elle s’est arrêtée de me branler la veille. Comme elle me répond qu’elle ne voulait pas, je lui en demande la raison. Elle me répond que je suis son gendre, et que ca ne se fait pas. La discussion fut close.

 

Le week end arriva, et ma belle-mère choisit de tout raconter à Sandy, ma copine. Elle a minimisé les faits, pour que ca passe mieux.

Sandy lui dit alors : « Mais Maman, ce n’est pas grave, ca peut arriver que tu entres dans la salle de bains, et que Chris soit tout nu ! »

 

Je suis un peu surpris de la façon dont elle a tourné la chose, la vieille ! Le dimanche soir, pour une fois que Sandy était là, on a baisé comme des sauvages. J’étais super excité depuis l’épisode de la douche.

Avant de dormir, elle et moi avions échafaudé un plan pour voir si sa mère était vraiment en maque de sexe.  Je devrais tout lui raconter le mardi matin. 

Le lendemain, Sandy me rappela de ne pas oublier notre petite mise en scène.

 

Le diner s’est passé sans encombres, comme si de rien n’était. Je suis allé me doucher, seul. Elle a pris ma suite dans la salle de bains, sans mot dire. Je me suis donc installé sur le canapé, devant la télé, avec seulement une serviette autour de moi. J’ai fait semblant de dormir, avec ma bite qui pointait entre les plis de la serviette.

Quand elle st sortie de la sale de bains, elle est venue dans le salon. Elle m’a vu entrain de dormir. Elle a posé ses yeux sur ma queue, elle la fixait comme un objet précieux. Tout doucement, elle a pris le bout de ma bite et l’a décalottée. Elle s’est penchée vers elle, et a commencé à laper le gland…

Alors, j’ai fait comme si je me réveillais. Elle m’a lâchée pour aller s’assoir dans son fauteuil, et je me suis assis, la queue dure, pointée devant moi, comme si je le savais pas.

Elle s’est exclamée : « Chris !!! Ton sexe, il est sorti, et tu bandes !!!

- Ben, j’ai du rêver de choses érotiques… 

- Tu es un vrai coquin. Tu sais que tu as vraiment une belle queue ? »

 

Je bandais comme un fou, avec une énorme envie de me branler, ou de la baiser. Ma belle-mère reprit : « Chris, va donc te passer de l’eau froide sur ta bite. »

Ce n’était pas la réponse que j’attendais ! Je me suis levé, pour regagner ma chambre, et, une fois de plus, me branler à fond. Elle m’excitait de plus en plus !

 

Les mois ont passé, sans nouvelles provocations. L’été est arrivé.

Nous avions des champs, et il fallait faire les foins. Il faisait très chaud ce jour-là. Nous avons coupé le foin, et commencé à les rentrer à l’arrière de la maison, dans le petit hangar à foin.

Je transpirais comme un malade, tant il faisait chaud.

Soudain,  la vielle me dit : « j’ai un besoin urgent de pisser, ou tout va partir dans ma culotte ! Je ne tiens plus ! »

 

Elle sort du hangar, fait deux pas, et m’interpelle pour que je vienne tenir la porte, de façon à ce qu’on ne la voie pas. Mais moi, je la vois très bien !

Elle était accroupie, les jambes bien écartées, et je voyais son liquide doré commencer à couler. Voir ça m’a bien  excité. Je voyais sa chatte pour la première fois.

 

Elle a soupiré d’aise, et m’a dit : « Allez, on continue, on rentre dans le hangar ! »

Elle a pourtant remarqué que je transpirais comme un bœuf. « Chris, ca ne va pas ? Tu transpires beaucoup, je trouve !

- Ca va, mais quand tu as pissé, j’ai tout vu, et ca m’a bien excité ! J’ai trop envie de te sauter !

- Ah bon, à ce point ? »

Et sans cirer gare, elle ma donné un coup de poing sur la poitrine.

 

Je suis tombé à la renverse dans le foin.  Sans rien dire, elle a tiré sur mon short, pour me l’enlever. Elle  fait de même avec mon slip. A la vue de ma bite dure,  elle me dit : « tu es un rai cochon, regarde comme tu bandes ! »

 

Elle est venue se mettre au-dessus de moi, à califourchon. La salope, elle n’avait pas de culotte ! Elle avait du l’enlever quand elle avait fini de pisser.

Alla approcha sa chatte de mon visage.

« Si tu veux me sauter, tu dois d’abord me lécher ma chatte. »

 

Elle gémissait sous mes coups de langue, mais j’étais mal positionné. Alors, elle s’est tournée, pour bien s’assoir sur ma bouche. Je continuais de lui fouiller le con avec ma bouche. A ce moment-là, elle a pris ma bite entre ses lèvres, pour me pomper à fond. Nous avons fait un super 69, qui lui arrachait des cris de plaisir, à moitié étouffés par ma queue dans sa gorge. Son jus coulait dans ma bouche, elle a joui une première fois, inondant mon visage de cyprine à l’odeur de pisse.

 

Alors, elle s’est relevée, et a repris sa position initiale. Elle est venue s’empaler sur mon chibre dur. Mais comme ma queue est grosse, elle n’est pas entrée du premier coup. D’un coup de reins, j’ai achevé de lui planter mon pieu au fond de son vagin. Elle a crié de surprise, et un peu de douleur.

Mais ensuite, elle n’arrêtait pas de gémir, de me supplier : « Vas-y baise-moi, enfonce-moi tout, je veux ta bite bien au fond !!! »

 

Je la besognais avec violence, heureux de la baiser enfin, depuis tout ce temps. Pour une vielle, elle était sacrément bonne !

Je prenais un super pied, et je sentais que j’allais jouir bientôt.  Elle me crie : « Attends, jouis pas dans ma chatte ! »

 

Elle de pencha sur le coté, pour sortir ma queue de son vagin. Elle la goba d’un coup, couvert de sa mouille odorante. En quelques trop courtes secondes,  je jouissais en lâchant de gros jets de foutre au fond de sa gorge. Je l’insultais en même temps : « Tiens salope, grosse cochonne, prends ma bite, bouffe-là, mange ma crème !!! »

 

Elle me suçait vraiment comme une déesse. Elle semblait adorer mon sperme. En tout cas, elle a tout avalé, n’en laissant pas une goutte !

 

Nous avons fini de ranger le foin, comme si de rien n’était… Nous avons recommencé plus tard, mais ça, c’est une autre histoire !

Par Chris et Sophie de R. - Publié dans : Chris et sa belle-mère - Communauté : Histoire érotique
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