Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
Ma chère Sophie, voici la suite de mes aventures avec mon ex belle-mère, puisque aujourd’hui, je suis séparé de Sandy.
Après cet épisode de la grange à foin, avec ma belle-mère, je me demandais comment j’allais expliquer à Sandy cette aventure. Mais la vieille est revenue vers moi, m’a dit de ne pas m’en faire, qu’elle ne dirait rien à sa fille. Elle a alors posé sa main sur mon sexe, et elle l’a caressé à travers mon jean.
Les deux jours suivant, elle était de très bonne humeur. C’était à tel point que Sandy et moi nous posions des questions… Mais en fait, moi, je me doutais bien de la raison de cette joie soudaine…
Un samedi matin, je me lève tranquillement vers 7 heures. Je descends à la cuisine faire mon café. J’étais torse nu, en short. Elle me salue joyeusement. Je suis fatigué, et comme elle me demande la raison, je lui réponds : « Je n’ai pas bien dormi.
Tu - - Tu m’étonnes, tu as baisé ma fille plusieurs fois, vous m’avez réveillée ! »
Sandy est arrivée à ce moment-là, et l’a interpellée : « Oh toi, tu n’as rien à dire ! Tu te fais baiser comme une salope dans le hangar. Tout le voisinage parle de toi ! Je croir que, de nous deux, c’est moi qui fais le moins de bruit ! En plus, je n’y peux rien, si Chris a une bonne grosse queue. Parfois, elle me fait mal à la pénétration…
Ah - - Ah bon, elle te fait mal ? Eh bien, tu n’es pas très douée, ma fille !
Es- - Espèce de salope… »
Elles se sont engueulées comme pas possible, j’ai préféré quitter la pièce en douce pour m’habiller.
Leur dispute a duré plus d’une demi-heure. Quand Sandy est revenue, elle m’a dit que tout était réglé. Le soir venu, quand nous sommes montés nous couchés, sa mère nous a dit : « Si vous baisez ce soir, je vais vous déranger, moi, je veux dormir ! »
Alors, nous avons décidé de ne rien faire…
Pendant un mois, ce fut le statu quo, plus personne ne parlait de rien.
Un samedi matin, il fallait aller chercher du bois en foret. Sandy qui travaillait de nuit, ne voulait pas venir. Avec sa mère, nous avons donc attelé la remorque au tracteur, et nous sommes partis dans les bois. Elle était assise contre moi, et elle me regardait en souriant. Je roulais doucement à cause des trous dans le chemin.
J’ai fini par lui demander pourquoi elle me regardait comme ça…. Elle a souri encore plus largement, puis passé la main sous son tablier. « Tiens, tu veux savoir pourquoi ? », dit-elle ne me fourrant ses doigts sous mon nez.
L’odeur de sa chatte ma sauté aux narines. Elle a soulevé son tablier, elle était nue en-dessous.
J’étais troublé, mais j’ai continué jusqu’au tas de bois. Je suis descendu du tracteur, et lui dit qu’elle était gonflée d’être dans cette tenue !
« On a du boulot, et toi, tu me fais sentir ton jus, et tu me montres ta chatte en feu ! Tu me fais bander, alors qu’on a du travail à faire !»
Elle était vexée, car je ne lui ai pas sauté dessus tout de suite. On a chargé la remorque, et nous sommes rentrés sans un mot. Sandy nous attendait avec des boissons fraiches.
Tout mon corps me démangeait. Ma femme a pensé que j’avais été piqué par des chenilles processionnaires. Je gonflais de plus en plus, et elle m’a emmené chez le médecin. Il m’a prescrit une semaine d’arrêt de travail, vu mon état. Il m'a aussi donné une pommade à appliquer trois fois par jour,su tout le coprs, sans execption. En rentrant, je continuais à gonfler, je ne supportais aucun vêtement. C’était horrible.
Le soir, ma belle-mère est venue pendant que Sandy me mettait de la crème. Elle semblait sincèrement désolée de mon état. Sandy lui dit : « Tu sais, maman, même son sexe est atteint ! »
Je rougis un peu, sur ces paroles. Le week-end est passé, et le lundi, Sandy devait aller travailler. Elle a demandé à sa mère de me passer la pommade dans le dos à sa place.
Je me suis levé vers 8 heures, Sandy était déjà partie. Sa mère m’a dit de venir, pour mettre la crème. Je suis allé m’assoir que le canapé, et elle a commencé à étaler la pommade sur mon dos.
Quand elle a eu fini, elle me dit de me tourner. Je lui répondu que c’était inutile, je peux le faire seul.
Elle m’a répondu que sa fille lui a bien précisé de tout faire bien. Alors, je lai laissée faire. Elle a mis de la crème partout, en insistant bien sur mon sexe. Il a même commencé à bander. Mais ca me faisait trop mal. La vieille s’est donc arrêtée avec un soupir de regret…
Le manège a recommencé pendant deux jours. Le soir, c’était ma femme qui le faisait.
Le mercredi matin, j’allais beaucoup mieux. Comme les autres jours, ma belle-mère a mis ma crème. Elle a bien insisté sur mon sexe, puis a fait coulisser ses mains entre mes cuisses, heurtant mes couilles à chaque remontée. Bon sang, ca commençait à m’exciter dur ! Bien sur, elle a remarqué que ma queue durcissait. Mais elle n’est pas montée à la verticale… Et la vieille s’est arrêtée, toujours sans un mot. Drôle de jeu que le nôtre…
Deux heures plus tard, elle m’a appelé pour remettre de la crème. Je me suis déshabillé, et suis allé tout nu dans le salon. Elle est pourtant restée bouche bée quand je suis arrivé : « Mais tu es nu !
Oh--- Oh, ne fais pas de manières, tu adores voir ma queue !
Eu- - Ah..oui, j’aime la voir… Mais si je mets de la crème dessus, je ne pourrais jamais la sucer ! »
Sa dernière phrase m’a fait bander illico ! Elle s’est mise à genoux devant moi, pour masser mes jambes. Elle avait juste ma bite à hauteur de son visage. Je l’ai saisie pour l’ôter de sa figure. Mais elle m’a dit dans un souffle : « Oh non, Chris, ne fais pas ça, mets-la moi dans la bouche ! »
J’étais trop excité, et je n’ai pas hésité : d’un coup, je lui ai fourré mon membre au fond de la gorge. Elle m’a sucé comme elle le fait si bien. Elle m’aspirait, elle me pompait le dard comme une chienne. Je n’en revenais pas qu’elle suce aussi bien ! Je gémissais de plaisir, j’allais jouir, quand elle a sorti ma bite de sa bouche pour me branler à fond.
C’est à ce moment-là que Sandy est arrivée ! Elle nous a surpris comme ça, sa mère en train de me branler…
S’en est suivi une dispute monstrueuse, où Sandy nous a traités de tous les noms, nous injuriant tant et plus. Il y a eu deux heures de cris et de hurlements.
Je me suis dit que je n’avais plus qu’à faire ma valise. Je suis monté dans la chambre, et Sandy m’a rejoint, un peu calmée. En fait, sa mère a tout pris à son compte, disant que c’était entièrement de sa faute. On s’est réconcilié. Le soir même, un peu par provocation Sandy a proposé de me mettre la crème dans le salon. Sa mère était dans la cuisine. Elle a commencé à me masser, sans oublier mon sexe. Elle prenait un malin plaisir à me masser la bite. Sandy me dit alors : « Ma mère, elle t’a mieux branlé que moi ? »
J’étais gêné, je lui ai bien sur répondu que non. C’est alors que sa mère a passé la porte et a demandé ce que Sandy venait de demander… Elle était là, plantée près de nous, Sandy, ma bite dans sa main.
« Eh bien, ma fille, tu es une belle cochonne, de branler ton mari ici !
Ma- - Maman, va t’en, laisse-nous ! »
Elle a couvert ma bite avec une serviette. Sa mère eut l’air dépité, et a tourné les talons. A ma grande surprise, Sandy m’a regardé, et rappelle sa mère !
« Maman, viens voir par là. » La vieille est revenue tout de suite.
Sandy a descendu la serviette, et a recommencé à me branler sous les yeux de sa mère. Cette dernière a fait comme si elle me voyait pour la première fois avec une telle érection…
« Bon sang, Chris, comme ton sexe est beau et gros… »
Elle s’est assise devant nous. Sandy me branlait de plus en plus vite. Je gémissais de plaisir. C’était si bon. Jamais je n’aurais pensé éprouver autant de plaisir à être branlé par ma femme devant sa mère !
La belle-mère s’est penchée pour mieux voir, et Sandy a fini son travail. Au moment où j’allais jouir, elle a incliné ma queue vers sa mère. Et là, j’ai joui, j’ai joui comme un fou. Un grand jet de sperme est parti dans sa figure. Ma belle-mère en pris plein la tête ! Tout est parti en pleine face. Elle a eu un cri de surprise, et s’est levée pour se laver.
Sandy était morte de rire : " Maman, tu devrais voir ta tête ! » Mais elle eut aussitôt un air de dégout quand cette dernière a léché sa main, où du sperme était tombé… « Mhummm , il est bon, il est délicieux… Il est trop bon, le sperme de Chris…»
Sandy eut l’air choqué : « Maman, comment peux-tu dire une chose pareille ??? Arrêtes un peu, on dirait que tu veux le sucer aussi !
Si - Si tu veux, je le fais, » répondit-elle.
A mon grand regret, Sandy n’a pas dit oui. Elle lui a juste répondu qu’elle avait vu ce qu’elle voulait voir, et que c’était suffisant.
La soirée s’est finie normalement, nous sommes allés nous couchés. Sandy m’a alors demandé : « Tu as envie que je te fasse jouir devant sa mère ? Tu vois, je t‘avais dit que c’est une grosse salope.
Ou- - Oui, ma chérie, j’ai un peu honte, mais j’ai aimé ça. En fait, je voudrai jouir sur ses gros seins.
Ma- - Mais Chris, tu es fou ! tu ne voudrais pas la sauter, tant que tu y es ???
Be- - Ben, après tout, je ne serai pas contre… Mais je t’ai toi, ma grande, alors, ca me suffit. »
Nous avons passé une bonne nuit, et le lendemain, Sandy est partie travailler comme d’habitude, sa mère était allée en ville. J’ai donc passé la journée seul, tranquille. Le soir venu, Sandy me dit en rentrant : « Ce soir, à table, je vais parler cul, on va voir commet ma mère réagit… »
Bien entendu, j’acquiesce.
Ma chérie entame la conversation, sa mère nous raconte quelques galipettes qu’elle a faites dans le passé. Et subitement, elle lui dit : « Maman, ca t’a plu hier soir, avec Chris ? »
Elle répond, un peu gênée : « Euh oui, j’ai bien aimé…
Ma- - Maman, tu sais Chris voudrait te voir à poil !
Ma- - Mais non, ce n’est pas possible ! Chris, tu as Sandy, elle est jeune, moi, je suis vieille !
Ou- - Oui, mais j’ai envie de te voir nue, la vieille ! » répondis-je.
Nous avons tous ri, et fini de diner sans en reparler. Après le repas, Sandy est montée se laver, je restais là, sur le canapé avec ma belle-mère. Elle était en pyjama deux pièces. Nous avons regardé le journal en silence, puis elle m’a demandé de changer de chaine, de mettre de la musique. J’a changé, et elle s’est mis à danser devant nous, car Sandy était revenue.
« Maman, mais que fais-tu ?
Ch- - Chris voulait me voir nue, non ? Eh bien, je vais faire un strip pour lui ! »
Joignant le geste à la parole, elle a commencé à ôter son pyjama, morceau par morceau. Quand elle a montré ses seins, j’ai poussé un cri d ‘admiration. Elle était vraiment belle. J’ai commencé à bander. Bien sur, ma femme l’a remarqué. « Coquin elle te fait bander ! Tu n’es qu’un salaud ! »
Quand son bas est tombé, ma queue est devenue dure comme du béton. J’ai demandé à Sandy de la sortir et de me branler. Elle a tout de suite obéi. J’étais là, à regarder ma belle-mère se tortiller comme une chienne, ma femme en train de me branler. Situation plus qu’excitante.
A ce moment-là, la vieille s’est mise à se caresser les seins, et à fouiller sa chatte de ses doigts. Sandy eut l’ai un peu choquée, mais elle ne dit rien. Je passe ma in entre ses cuisses. Elle mouille tant qu’elle peut !
Elle ne quitte pas sa mère des yeux, qui se baisse de plsu en plus. Elle est penchée en avant, les mains posées sur la table basse. J’ai juste sous mes yeux son abricot qui ressort et son trou du cul qui s’écarte… Sandy lui dit : « Reste comme ça, ne bouge plus. Vas-y mon chéri, lèche-là ! »
Je ne me le suis pas fait dire deux fois, et j’ai commencé à lui bouffer la chatte avec ardeur. Je n’oubliais aucun endroit. Elle gémissait, poussait des cris de plaisir. Elle m’a crié : « Chris, vas-y, baise-moi ! »
Sandy lui a ordonné de se mettre à genoux, comme une chienne en chaleur, le cul bien sorti. Elle mouillait beaucoup, la cyprine coulait sur ses cuisses. Ma femme m’a ensuite intimé l’ordre de la baiser, de la sauter comme une pute.
Je me suis mis au-dessus d’elle, et je me suis enfoncé d’un coup sec, violemment, sans aucune précaution. Elle a hurlé comme une chienne, elle criait, je gémissais aussi. J’accélérais mes vas et viens. Je la défonçais au maximum.
La vieille jouissait à répétition. Sandy, elle se caressait la chatte à fond, elle coulait aussi de plaisir. Je voyais ma femme se masturber, en me regardant baiser sa mère ! Hallucinant !
Je sentais que j’allais jouir. Je me retirais, puis éjaculais sur son corps, pour éclabousser ses seins de ma crème épaisse.
Sandy a joui aussi, les doigts plein de jus d’amour. Elle a souri et m’a dit : « La prochaine fois, c’est moi que tu baises devant ma mère !!! »
Voilà comment on fait un ménage à trois, baisant tous ensemble tant que nous pouvions !!!
si tu voyais!!!
Raconte-nous, si tu passes à l'acte !
Aprèstout, ce n'est que le frere de ton ex, fonce ! Et raconte-nous !