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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

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Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Aujourd’hui, je viens vous raconter l’aventure arrivée à ma meilleure maie, et tout aussi coquine que moi, Sabine. Elle était venue me voir ici, et découvrait avec ravissement les plaisirs multiculturels…

Elle dormait à l’hôtel, car je n’avais pas assez de place pour la recevoir ici. Celui lui laissait aussi une plus grande marge de manœuvre pour assouvir son grand appétit sexuel… Voici donc ce qu’elle m’a raconté de sa dernière nuit.


« Tu sais, hier, tu m’as dit que je ne pouvais rester chez toi (j(avais en effet mon amant qui était là, et il me voulait pour lui seul…), et je devais avoir la tête de quelqu'un qui s'ennuie, car un des maîtres d'hôtel, que je voyais tous les jours, un type très baraqué, 1,90m, 100 kgs, Allan, s'inquiète de ma tête et commence une longue conversation avec moi. 

Puis je remonte dans ma chambre vers 22 heures pour prendre ma douche et regarder la télé. Il me vient alors l'idée de faire monter un cocktail pour me consoler d'être seule. J'appelle la réception et je passe ma commande. On me dit que le nécessaire va être fait, comme je connais les délais de prestation dans les hôtels, je décide de passer en vitesse sous la douche, ce que je fais en un quart d'heure, passe un string de dentelle et un soutien-gorge assorti. Lorsque je sors de la salle de bain, je pousse un cri : Allan est là, un plateau à la main, mon verre joliment posé dessus. Il me dit :
« N'ayez pas peur, j'ai vu votre commande et j'ai décidé, avant de partir, de vous la porter moi même. »

Il pose le plateau sur le guéridon. Se retourne et s'approche de moi, à moitié nue au milieu de la pièce !
J'essaie de cacher une partie de moi-même avec mes bras, mais il n'y en aura jamais assez !
« Madame que tu es belle !! », me dit-il.

Et il approche encore de moi, ses mains touchent mes épaules, m'agrippent, me tirent vers lui, j'avance comme dans un rêve, je me décide à me rebeller :
« Mais je suis mariée !! Laissez-moi !
- Tu as déjà eu un amant noir ? Lance-t-il.
- Non et je n'en veux pas, attention je vais crier. »

Il continu sa manœuvre et je me retrouve collée à lui, sa bouche prend la mienne et je sens sa langue prendre possession de moi. Ma résistance faiblit dangereusement. Sentant que je deviens consentante, il s'enhardit et ses mains glissent derrière mon dos, le caresse un moment s'attarde sur le soutien-gorge qu'il dégrafe et fait tomber. Il recule d'un pas pour admirer ma poitrine opulente, ferme et tendue. Ses mains prennent possession des mamelons qu'il pétrit, sa langue toujours fichée dans ma bouche. Ses lèvres épaisses étouffent ma rébellion, qui est de plus en plus discrète.

 

Il me pousse vers le lit où je m'écroule, sur le dos, sa masse imposante sur moi. Je sens son pubis se frotter sur le mien et c'est sans ambiguïté qu'il exprime à travers les duretés de son bas ventre le désir que je lui suscite ! Il me caresse, m'embrasse, suce mes seins, s'attaque à mon entrecuisse, lève mes jambes et fait glisser mon string, dernier et fragile rempart de ma fidélité ! Sa tête plonge entre mes cuisses et sa langue s'active sur ma chatte, mon clitoris. Bien évidemment, je ne peux résister plus longtemps aux caresses, mes reins ondulent, il voit mon accord implicite pour cet accouplement qu'il veut ardemment. J'essaie pourtant de résister encore, un peu pour le principe :
« Non arrêtez Allan, laissez-moi, je ne dirai rien à personne.
- Si madame, laissez-vous faire, vous avez envie de connaître une queue de noir, vous allez aimer, comme toutes les blanches. »

Je ne peux que gémir pour toute réponse et il en profite pour accentuer sa prise de possession. Il se redresse, tenant mes jambes levées à 90°, d'une main, pendant que de l'autre, il entreprend de se déshabiller. Je lui dis de me lâcher et de se déshabiller normalement, il lâche mes chevilles et me demande de garder les cuisses écartelées afin de pouvoir admirer ma chatte. Il ne s'en prive pas, et je suis là, impudique offrande au désir du mâle. Je vois tomber le pantalon et bientôt le slip, libérant un sexe tendu et disproportionné par rapport à ce que je connaissais d’habitude.

Mais là, sa bite tendue fait au moins 25 à 30 cm pour 6 cm de diamètre, toute noire velouté. Ses couilles, très grosses semblent bien lourdes. Conscient de sa supériorité, il me laisse admirer son engin : « Alors Madame, je n'avais pas raison ? Tu vas aimer ! »

Je ne sais pas quoi répondre, surtout inquiète pour l'introduction. Il s’écroule sur moi, fait glisser son engin sur mes poils pubiens et mon ventre, je sens la masse raide et ses poils s'accrocher aux miens.

Il continue d’embrasser mes seins, à les pétrir, à prendre ma bouche. Puis il se met sur ses avant-bras, écarte de ses épaules mes jambes. Il glisse doucement sur mon bas ventre où je sens glisser son membre arrogant jusqu'à l'entrée de ma grotte en feu. D'un petit mouvement des reins, il place son gland turgescent sur ma chatte et, d'une poussée lente mais inexorable, introduit son mandrin dans mon con. Je le sens s’étirer sous l'assaut. Il reste en équilibre un instant pour que mon corps s'habitue, puis d'un puissant coup de reins prend entièrement possession de moi. Je ne peux que pousser un : « Oh ! ouiiii » outragé. Il agite lentement ses reins afin de s'habituer à mon antre et me lubrifier. Je sens son sexe taper au fond de mon con et sur mon utérus. J'agite mes reins à mon tour, allant au devant du mâle, l'empalant à fond. Je m'enhardis à glisser mes mains en dessous de ses cuisses et à caresser ses couilles, à sortir son sexe et à passer son gland sur mon clitoris turgescent et douloureux d'excitation. Je ne peux résister plus longtemps et me livre, esclave consentante au black si puissant.
« Oui vas-y à fond, bourre-moi, cogne à fond. Crache ton jus ! »

Je mets mes bras autour de son cou et mes jambes autour de ses reins, mes pieds calés sur ses fesses. Mais il veut profiter de moi à fond, il se retire, me retourne et me prend en levrette, m'arrachant un cri, la pénétration étant encore plus violente et longue que sur le dos. Sa main passe devant et caresse mon clitoris, prêt à exploser. Je ne peux résister au traitement et me mets à jouir violemment, secouée de spasmes que je ne peux contrôler. Il en profite pour me retourner et me reprendre sur le dos avec des grands coups de boutoir et enfin épancher son plaisir en moi avec de longs jets chauds de sa semence que je sens éclater sur mon utérus. Il se retire de moi et s'allonge à coté. Reprenant chacun notre souffle, il me caresse d'une main pour affirmer sa possession. Il ne semble pas vouloir me quitter et je crois qu'il en veut encore. Que pourrais-je faire ??? Au bout d'un moment, il me fait glisser sur lui et met ma tête sur son sexe :
« Montre-moi ce que tu sais faire avec ta bouche ! »

Je m'exécute, et grâce à une savante fellation sur le méat, la veine bleue (que je devine), le gland, la hampe, il redevient un homme. Il ne résiste pas bien longtemps à mon savoir-faire et bientôt j'ai la bouche et la gorge remplies de sa liqueur, très abondante et chaude. Je continue le massage buccal jusqu'à tout nettoyer et avaler, ce qui lui permet de reprendre forme.
Ses mains parcourent mon corps, se crispent sur ma tête pour enfoncer toute sa hampe de chair dans ma bouche distendue, il est enfin à point.
Il me fait mettre à quatre pattes et s'installe derrière moi, je m'attends à être prise encore en levrette, mais je comprends vite qu'il en veut à mon petit trou. Je lui dis :
« Tu es trop gros, pas par là.
- Si, je veux te prendre complètement, tu seras à moi, comme toutes les autres ! »

Je n'ai guère le temps de discuter davantage, qu’il glisse un puis deux doigts mouillés de ma cyprine sur ma rondelle. Je sens que je me dilate, que je m’offre à cette caresse. Il s’enfonce plus profondément, élargit encore mon conduit. Quand il juge l’ouverture suffisante, il fait passer son gland dans mon anus qui se dilate encore plus. Je sens son mandrin continuer la progression, m’ouvrant encore plus. Bientôt il est installé au fond de moi, victorieux. Il commence à me labourer de puissants coups de reins qui m'arrachent des cris de plaisir plus que de douleur …

Ses couilles battent sur mes grandes lèvres dilatées par le précédent assaut. Il frotte ainsi mon clito, ce qui me provoque à nouveau un violent orgasme. Quel plaisir d’être ainsi sodomisée par cette grosse queue, qui me défonce comme jamais avant !

Il se penche en avant, et branle avec vigueur mon clito, et en quelques secondes, je jouis encore une fois en toute impunité, sous le joug de ce maudit homme. Je sens enfin les battements de sa queue qui annoncent que ses couilles se vident en moi, au fond de mes intestins. Nous restons liés un moment, puis il se libère de moi et va se laver dans la salle de bain. Il revient et se rhabille, satisfait d'avoir maté une blanche de plus. Il m'embrasse encore une fois et s'en va. Je me précipite sous la douche, car je transpire comme jamais…

Nous recommencerons sans doute ce genre de petite sauterie, avant que je ne quitte ce coin de paradis qu’est la Guyane. » Et elle a tenu parole, car ce soir, je la rejoins à l’hôtel pour retrouver Allan et un de ses amis. Une bonne partie à quatre nous attend donc cette nuit. Si vous me le demandez, je vous raconterai peut-être…

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes histoires érotiques - Communauté : REALISEZ ENFIN VOS FANTASMES!.
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Commentaires

Et bien moi, je veux bien etre son second black ! C'est quand elle veut !
commentaire n° :1 posté par : James le: 29/09/2009 à 02h16
Tout simplement magnifique! Il faut avoir connu ça dans sa vie de femme au moins une foi, mais en réalité à chaque fois que l'occasion se présente. Se faire prendre par un black vigoureux, je ne connais rien de meilleur!
commentaire n° :2 posté par : Olga le: 29/09/2009 à 06h44
Si ta copine est toujours là, je suis à elle. Et à toi. Et si elle st vraiment gourmande, j'ai aussi des potes bien membrés !
commentaire n° :3 posté par : Jack le: 30/09/2009 à 21h04
Elle est toujours là, alors, écris-moi en privé, on prend rendez-vous. Ils sont comment tes mais,  et toi, bien sur ? J'assisterai bien à une belle partie à pluiseurs !
réponse de : Sophie de R. le: 30/09/2009 à 21h07
beau recit il est vrai que les femmes sont attirées par les black
commentaire n° :4 posté par : romain57 le: 01/10/2009 à 16h31
Tu as raison, mais pourtant, il y a peu de différences ! Un homme est un homme, quelque soit sa couleur de peau.
réponse de : Sophie de R. le: 01/10/2009 à 16h50
super blog j'adore
commentaire n° :5 posté par : lorie le: 07/10/2009 à 14h07
Merci de tes compliments, et je souhaite te garder comme fidèle visiteuse.
réponse de : Sophie de R. le: 07/10/2009 à 18h12
compte sur moi
j'adore ton blog
commentaire n° :6 posté par : lorie le: 07/10/2009 à 21h56
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