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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Je me prénomme Charlotte, j'ai vingt-sept ans, je vis depuis sept ans avec celui qui est mon mari aujourd'hui. C'est lui qui m'a initié au sexe à l'âge de vingt ans, je lui dois tout et je l'aime bien sûr, mais côté sexe justement je ne suis pas très branchée. En réalité, j'accomplis l’acte sexuel plus pour son plaisir que pour le mien. D'ailleurs je sais qu'il a déjà, en parlant de moi, fait la réflexion suivante : « elle n'aime pas trop, pour preuve elle mouille à peine... »

Sans compter qu'en plus, il adore les sous-vêtements suggestifs, et là encore, il n'a pas de chance je suis très sage : type petit bateau  Ultra sage.

 

Nous avions décidé e nos marier, après ces sept ans de vie commune. C’est un jour exceptionnel, il fallait donc sortir le grand jeu.

Pour ce jour unique, j’ai acheté un ensemble string et soutien-gorge en dentelle blanche plus des bas blancs et les jarretelles assorties.

C'est vrai aussi que le jour du mariage, la mariée doit être la plus belle et sans être prétentieuse. A vrai dire, je me dis que je ne suis pas mal.  

 

Revenons à ce jour, préparé depuis un an, deux cents invités au repas. Je passe sur la messe, le vin d'honneur, en tant que héros du jour, mon mari tout neuf et moi ne voyons et profitons de rien…

Puis commence la soirée qui sera mémorable…

En effet, les invités apprécient pleinement le repas, et comme toujours en pareil cas, les mariés vont de table en table, voir si tout se passe pour le mieux.

C'est ainsi qu'arrivant à la table de mes beaux-parents, mon regard croise celui de cet homme, un ami de mon beau-père, la cinquantaine, poivre et sel, bel homme, sur de lui et de son charme. Je tombe en arrêt, je bégaye pour demander si tout va bien.

Mon trouble doit être perceptible, ou du moins je le crois. Je quitte la table et retourne à la mienne, mais mes sens sont bouleversés.

 

Je m'assoie près de mon mari et lui fais un bisou, tout en regardant vers cet homme pour lui faire comprendre que mon homme, c’est bien lui…

Durant tout le reste du repas, je ne cesse de croiser son regard. Viens enfin l'ouverture du bal par les mariés. Nous dansons une première valse ensemble, puis, chacun de notre côté nous allons chercher un convive. C’est mon beau-père pour moi, et ma mère pour Claudemon mari.

 

Sans plus y réfléchir, le suivant que je vais chercher n'est autre que cet homme. A ce moment-là, j'ignore son prénom. Nous tournons sur cet air de valse et avant de le quitter pour prendre une autre personne. Il me chuchote à l'oreille : « Alors jeune fille, je te trouble, je suis certain que tu as envie de moi. Tout à l'heure, tu me rejoindras près de la réception, c'est compris. ? »

 

Et je lui réponds, presque à mon insu : « oui Monsieur. »

Sur ces paroles, il s'éloigne et va rejoindre son épouse. Inutile de vous dire que j'ai les jambes en coton. Pourtant, j'invite une autre personne, puis encore une autre, mais mon esprit est près de cet homme.

Je sens mon sexe tout humide, comme rarement dans ma vie. Mon corps et ma tête ne communiquent plus ensemble. Je suis effectivement sous le charme, et à ma grande honte, j'ai très envie de lui.

 

Au dessert, il vient dans mon dos, et profitant de la cohue autour du buffet, il pose sa main sur mes fesses et me les caressent au-dessus de ma robe. Je suis tétanisée, on pourrait le voir ! Il se colle à mes fesses et je ressens sa bite dure contre elles.

 

Les danses se succèdent, je sais qu'il me regarde je perçois ses yeux sur mon corps. Profitant que tout le monde, ou presque, soit sur la piste, je quitte la salle et me dirige vers la réception. Une main se saisit de mon bras. C’est lui, il me guide vers un vestibule tout proche. Nous pénétrons à l'intérieur et il verrouille la porte. Il est dans mon dos. Face à moi, il y a une table ronde sans rien dessus. Ses mains se posent sur le zip de ma robe, qu'il descend jusqu'en bas. Il dégage les épaulettes et ma robe tombe à mes pieds.

 

Je suis de dos en sous-vêtements avec cet inconnu, alors que ce devrait être mon mari qui profite de cette vision. Je devrais être morte de honte, rougir de moi-même. Il n’en n’est rien.

 

Il fait sauter l'attache de mon soutien-gorge, et ses mains s'emparent de mes seins qu'ils malaxent durement. Il fait rouler entre ses doigts mes tétons en érection. Il finit par lâcher mes seins et s'attaque à mon string qu'il baisse à mi-cuisses. Il me fait écarter les jambes tout en m'intimant l'ordre de me plier en deux sur la table.

 

Il s'agenouille et son souffle est perceptible sur mes fesses qu'il sépare. Sa langue pointe sur mon orifice, qui frémit sous cette caresse. Il me lubrifie la rondelle avec sa salive, puis se relève et pointe un doigt pour perforer mon anus. Cela a pour effet de me faire pousser un cri de surprise et de plaisir mêlés.

Sa bite est tendue au maximum, il la guide vers mon nid d'amour, je suis trempée comme jamais je ne l'ai encore été, il s'amuse à la frotter sur mes lèvres vaginales qui s'ouvrent à lui. Il me saisit par les hanches, me pénètre violement jusqu'à la garde puis s'immobilise au fond de mon utérus. Il est sans scrupule, cet homme… Il ne me demande même pas si je suis protégée. Par contre, il me dit crûment : « tu la sens ma queue ?

 

Il commence par se retirer pour mieux replonger à l'intérieur de cette grotte qui suinte de mon jus abondant. Il pousse des ahanements de bûcheron pendant qu'il me besogne à fond le ventre.

Je sens tout mon être qui répond à ses assauts et une sensation jamais ressentie jusque là investit mon bas-ventre. Cet homme est en train de me donner le premier véritable orgasme de ma vie. Je l'encourage en disant : « bourrez moi, plus fort çà viens ! N’arrêtez pas, je vous en supplie, baisez-moi à fond ! Inondez ma chatte, je veux votre sperme en moi !!! »

 

Cela l'excite tout autant, car je ressens dans mon chatte sa queue qui grossit, puis d'un coup, une déferlante liquide frappe le fond de mon utérus. Il jouit très fort, et je ne tare pas à en faire autant…

Il reste planté en moi encore quelques instants avant de se retirer pour me dire : « on se retrouve ici dans une heure, il est inutile que Claude s'inquiète de ton absence.

 

Il fait glisser mon string le long de mes jambes et le met dans sa poche : « tu seras mieux sans, et ça m'excite de te savoir sans culotte sous ta robe. »

 

Moi qui avait acheté ses sous vêtements pour mon mari, il m'en manque déjà un et c'est un étranger qui en profite. J'ai honte de moi, il me remonte la robe et l’attache après m'avoir remis mon soutien-gorge. Il ne manque pas, au passage, de malaxer mes seins une nouvelle fois. Il quitte la pièce, mais mon sexe à présent nu sous ma robe est encore tout excité, j'ai envie de me caresser avant de regagner la salle.

Alors, je me retrousse, et ma main plonge entre mes cuisses, je profite de la semence de cet homme qui s'écoule de ma chatte pour faire glisser mes doigts le long de ma fente et très rapidement un nouvel orgasme m'emporte au septième ciel.

Il me faut un instant pour récupérer de mes excès, je rabats ma robe et je regagne la salle. Mon mari m'interpelle et me demande où j'étais passé. Je lui réponds sans sourciller que l’étais aux toilettes. « Pendant une demi-heure, tu n'es pas bien ? me dit-il.

- si, si tout vs ne t'inquiète pas, » lui déclarai-je doucement.

 

En même temps, je ressens le long de mes cuisses le sperme de mon amant qui s'écoule de ma chatte, et mouille le haut de mes bas. Aussitôt après, je cherche mon amant dans la salle, il est assis près de mon beau-père, il me regarde et passe sa langue sur ses lèvres, je me retiens sinon je pense que j'irai sur ses genoux, c'est dingue l'effet qu'il me fait. Je ne suis plus normale, c’est le jour de mon mariage, et je suis impatiente de le retrouver dans une heure. Je ne uis qu’une salope de bas-étage.

 

Mon mari vient m'inviter à danser, mais je rêve m'imaginant dans ses bras à lui. Je me colle et mon mari me dit : « tu as l'air très amoureuse, soit patiente. Tout à l'heure, je te ferai l'amour comme jamais… « 

Comme jamais, c'est ce que je viens de faire et dont j'ai encore envie. Mais pas avec lui. Je regarde ma montre sans cesse, j'ai l'impression que le temps n'avance plus, j'ai hâte de retourner au vestibule. Enfin, je le vois qui se lève et se dirige vers la sortie, je tremble sur mes jambes.

« Claude, je m'absente un moment ne t'inquiète pas et occupe toi de nos invités, je reviens.

Ca va mon cœur ? » me lance t il

Mon cœur va la chamade, je tremble jusqu'au vestibule, je pousse la porte, il m'attend. Je me jette dans ses bras et nous échangeons un long baiser, sa langue pénètre ma bouche, je frotte mon bas-ventre contre son sexe. Il bande fortement, cela dure quelques minutes. Je suis folle de cet homme qui vient de me baiser come un catain, le jour de mon mariage…

 

Il se dégage de moi, me fait reculer et me dit : « retrousse-toi, petite pute, montre moi à nouveau ta chatte, écarte bien tes lèvres. Montre-moi que tu veux que je te baise, prouve moi que tu as envie réellement de moi ! »

 

Pourtant peu habituée à ces ordres, je m'exécute, les mots crus qu'il emploie décuple mon envie qu'il me prenne brutalement, bestialement même ! Il me fait à nouveau plier en deux sur la table, relève ma robe, m'oblige à écarter mes jambes, il sépare mes fesses et je sens un corps gras avec lequel il enduit mon œillet rose tout en introduisant un doigt dans mon fondement. Jamais Claude ne m’a sodomisée. J’ai toujours refusé ce que je jugeais être une pratique bonne pour les putes ou les animaux !!! Et là, toute pudeur perdue, tout honte bue, j’offre mon cul vierge à cet homme brutal, le jour même de mon mariage !!!

 

Je m'ouvre à lui, et pousse mes fesses en arrière pour qu'il puisse bien l'enfoncer, puis c'est un deuxième doigt qui rejoint le premier. Une douleur vive se fait ressentir, mais je n'ose pas m'en plaindre. Après quelques va et vient, la douleur disparaît pour faire place à quelque chose que je ne connais pas, mais c'est très agréable. Je l'encourage verbalement, et lui ne se prive pas de me dire des mots que je n'ose même pas écrire ici.  Il finit par ouvrir sa braguette et extraire sa grosse queue dure. Il la positionne sur ma rondelle, et s'enfonce en moi petit à petit pour bien me faire sentir son membre. Il me fait ainsi comprendre que je suis à lui. Ses mots sont de plus en plus orduriers à mon égard, mais je m'en fiche, sa queue me fait le plus grand bien. J’ai l’impression de jouir en permanence tellement c'est bon.

 

En fait c'est un plaisir nouveau pour moi, la frigide que j'étais il y a encore quelques heures. Sa bite me bourre de plus en plus fortement, elle grossit dans mon conduit, je la sens d'avantage et il se cabre au fond de mon cul. Je sens le tressautement de sa queue, annonciatrice de son foutre.

 

Son sperme jaillit dans mes intestins, je suis terrassée par cette nouvelle jouissance et m'écrase sur la table. Il se retire et il observe mon anus qu'il vient de violenter. Il me le détaille à haute voix afin d'accentuer d'avantage ma soumission et ma culpabilité en ce jour exceptionnel.

Il plonge sa main dans la poche, en retire mon string, s'essuie le sexe avec et avec une grande délicatesse me l'enfile comme s'il ne m'avait jamais quitté. Il se rajuste, me donne une tape sur les fesses, tourne les talons et quitte le vestibule.

Je reste inerte, en train de récupérer de la baise que nous venons de vivre. Je reste un bon moment comme cela avant de regagner la fête et mon mari.

Tout à l'heure je serai à nouveau sa femme où presque… Il se prénomme Jules. Depuis cette soirée, j'ai connu trois autres quinquagénaires, à qui je me suis donnée sans retenue leur offrant ce que je refuse toujours à mon mari : mon cul et ma jouissance !

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes histoires érotiques - Communauté : sexblog
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