Le blog en détails...

  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil

Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

Derniers Commentaires

Recherche

Recommandez ce blog à vos amis

Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie


Chapitre III



Dans la semaine un évènement imprévu obligea Samantha à retarder la soirée promise. Elle fut reportée à trois semaines plus tard. Un mois durant lequel plus le temps passa, plus Eveline était sur des charbons ardents, je ne l'avais encore jamais vue ainsi. En effet, dés le lendemain de leur visite chez Elle, Eveline revécut en pensée la conversation avec ses nouveaux amis, et surtout l'audace de Samantha qui voulut qu'Eveline la caressât.

Elle s'en voulait de sa timidité qui lui fit arrêter son geste, d'autant plus que Sam était ravissante. Se dégageait d'elle une sensualité qui avait chauffé plus que permis le sang latin qui coule en elle. Elle se promit que la prochaine fois qu'elle la rencontrerait, elle irait au bout de ses envies, si bien entendu sa foutue timidité n'y mettait pas le holà.

Quinze jours s'étaient passés quand Samantha vint frapper à notre porte.

Il était dix-huit heures, Eveline juste rentrée de son travail prenait une douche, elle n'entendit donc pas que l'on frappait à la porte. Il fallut que je vins dans la salle d'eau la prévenir. N'aboyant jamais pour rien elle comprit qu'il fallait qu'elle me suive. Elle s'enveloppa à la va vite d'une serviette de bain et courut vers l'entrée. Elle ouvrit la porte et vit Samantha toujours aussi belle un ravissant sourire qui lui mangeait le visage. Ses longs cheveux bruns voletaient autour d'elle aidés en cela par une légère brise qui apportait un peu de fraicheur en cette fin de journée où le soleil avait brillé de mille et un feux.

Eveline lui rendit son sourire et l'invita à entrer. Les deux femmes s'enlacèrent joyeusement pour s'embrasser. Les lèvres de l'une étaient fort proches des lèvres de l'autre. Je fus étonné de l'attitude hardie d'Eveline qui en avait oublié sa réserve naturelle. Son penchant très fort pour Sam avait été le plus fort. Puis les deux femmes s'écartèrent un peu l'une de l'autre seules leurs mains les reliaient.

Sam semblait éblouie par Eveline, quasiment nue. L'eau ruisselant de sa chevelure blonde ajoutait à l'érotisme qui émanait d'elle. Elle détailla le corps d'Eveline avec une sorte de délectation, prenant tout son temps pour contempler ses épaules larges, puis sa taille qu'on devinait fine sous le tissu éponge, et ses jambes aux longs muscles fins où aucun poil ne venait déparer le spectacle et enfin ses pieds aux ongles manucurés et vernis terminant des orteils longs et fins.
« Eveline, ma chérie, tu es absolument ravissante. Encore bien plus qu'avant hier soir !'
- Merci Sam, tu es trop gentille, mais sais-tu que tu es splendide toi aussi et que je suis sous le charme depuis que nous nous sommes vues ? Mais excuse-moi il faut que je m'habille, tu es arrivée quand j'étais sous la douche.'
- Tu sais Ève, je suis venue chez toi directement en sortant de mon travail, je n'ai pas eu le temps de passer chez moi me doucher moi aussi !!
- Oh ! J'ai une idée Sam, tu n'as qu'à la prendre ici ta douche pendant que je vais passer un vêtement. Ainsi ce sera fait. »

J'étais vraiment surpris de la hardiesse d’Eveline, jamais encore je ne l'avais vue agir ainsi. Il fallait vraiment qu'elle soit éprise de Sam. Celle-ci répondit à l'invitation de Eveline par un:
« Ce serait avec plaisir, mais je ne voudrais pas te déranger.
- Tu ne me déranges pas du tout, aller viens, suis mo ! »

Prenant Sam par la main, Eveline l'entraina vers la salle d'eau qui était vaste et bien éclairée par la lumière du soleil qui transperçait une grande verrière en verre martelé permettant de deviner très vaguement une silhouette sans pour autant permettre de violer l'intimité. Prenant les initiatives elle aida Sam à se dévêtir. Ses yeux étaient de plus en plus éblouis par le spectacle qui s'offrait à elle. La blancheur de la peau contrastait avec le noir de ses cheveux, l'un valorisant l'autre. Sam au contraire d'Eveline était légèrement enveloppée.

Une sensualité innée se dégageait de son corps, sans qu'elle esquisse le moindre geste, on devinait un érotisme qui ne demandait qu'à exploser. Cette situation échauffait l'esprit de Sam qui sans prendre le temps de la réflexion fit tomber à terre la serviette de bain lui permettant ainsi de constater qu'elle ne s'était pas trompée en disant qu'Eveline était superbe. La peau de satin et naturellement hâlée, héritage de ses parents méditerranéens enveloppait un corps mince à la musculature fine, savamment entretenue par des séances de gym bihebdomadaires. Cela rendit Sam folle de désir. Elle ne put se retenir et enlaça Eveline à l'étouffer. Les deux femmes restèrent ainsi quelques longues secondes enlacées.

Puis leurs lèvres se joignirent en un long baiser passionné où chacune voulait que sa langue rivalisât de virtuosité avec l'autre pour faire monter le désir. Moi j'étais assis dans l'encadrement de la porte. J'étais grisé par les odeurs de ces deux femmes que l'envie d'amour rendait folles de désir. J'avoue que j'étais vraiment excité. Tout en s'embrassant elles entrèrent dans la douche où Eveline fit couler l'eau et c'est le corps ruisselant qu'elles continuèrent à se caresser avec frénésie. Eveline avait perdu sa réserve naturelle et prenait l'initiative de leur jeu. Elle pénétra la chatte de Sam avec trois de ses doigts et la baisa ainsi en des gestes presque brutaux. Cela ne sembla pas gêner Sam, bien au contraire, car elle poussa un grand cri ponctué d'un « Aaaah !! Ouiiii !!! Comme, ça ! »

Ses jambes ne la soutenant plus elle se laissa glisser sur le sol. Eveline l'accompagna tout en continuant à marteler sa chatte de ses doigts. Assis sur le carrelage de la douche, Sam laissa aller son plaisir poussant de grands cris de jouissance.

Eveline était déchainée, ses doigts baisaient Sam de plus en plus vite, elle rythmait son geste de gémissements comme si elle jouissait de ce qu'elle faisait subir à sa nouvelle amie. Cela ne l'empêcha pas d'arrêter l'écoulement de la douche et d'aider Sam à se relever. Celle-ci avait les jambes en coton tant le plaisir avait été grand. Eveline lui dit:
« Viens Sam, mon amour, allons sur la pelouse il fait encore très doux dehors. Nous allons nous aimer sur l'herbe, comme ça Robert saura où tu es en arrivant. Tu veux bien ?
- Oh ! Oui, allons y, ça lui fera une belle surprise car il a flashé sur toi l'autre jour tu sais, et il a très envie de toi !
- Moi aussi j'ai envie qu'il me prenne, je le trouve très attirant ! »

Qu'est-ce que je suis heureux moi ! Vous ne pouvez pas savoir à quel point je le suis. Tout se déroule encore bien mieux que je ne l'espérais. Foi de Fellow! Mon amour avec Maud ne rencontrera plus d'embuches maintenant. J'imagine ce qui va désormais se passer entre Eveline, Sam et Robert et je ne regrette qu'une chose c'est que Maud ne soit pas comme vos femelles. Elles, au moins, elles ont autant envie d'amour que vos mâles. Chez nous les chiens, il n'en est pas de même. Mais je sais qu'Eveline avec sa manie de me caresser me fera jouir encore quelque fois, même si c'est involontaire de sa part.




Chapitre IV


Eveline prend une grande serviette de bain et se dirige vers le jardin tenant Sam par la main. Les deux femmes rient et s'embrassent à bouche-que-veux-tu. Le chemin n'est pas long, elles ont tôt fait d'arriver à la pelouse où Eveline étend la grande serviette puis elle se couche dessus et tend les bras vers Sam qui la rejoint en s'asseyant sur le torse de sa nouvelle amie. Elle se penche pour lui prendre la bouche avec gourmandise et beaucoup de passion.

Eveline est aux anges car la langue de Sam est experte à souhait. Elle saisit Sam par les hanches et l'attire vers elle de manière à avoir sa chatte sur sa bouche. Sam suit le mouvement en s'installant de manière à ce que sa chatte soit dévorée par la bouche d'Eveline qui brûle d'impatience de déguster ce joli fruit aux lèvres charnues gonflées par le désir au dessus desquelles on voit pointer un mignon petit bouton hypersensible. Puis soudain elle s'arrête de dévorer la chatte de Samantha, relève la tête ver elle et lui avec comme un chat dans la gorge :
« Sam ma chérie. Je t'aime ! Ça m'est tombé dessus l'autre jour quand Bobo et toi êtes venus. Je t'aime.
- Ma si belle Eve, je t'aime moi aussi, j'aime Bob mais je ne pourrais plus me passer de toi. Nous en parlerons à Bob tout à l'heure. »

Ma jolie maîtresse depuis que je vis avec elle a surtout eu des amies femelles. Parfois des mâles sont venus la voir mais plus rarement. Là je ne sais pas quoi en dire parce que chez nous les chiens nous avons beaucoup de copains mais pour l'amour nous n'avons que des copines. Vous êtes vraiment bizarre vous les humains. Mais dans le fond, tout bien réfléchi, peut-être que c'est vous qui avez raison d'avoir des amis de tous les sexes. Si oui, vous avez une sacré chance, savez-vous.

Pendant que je fais une tentative de....heu.... comment dites-vous déjà ?... Ah ! Oui... philosophie, les deux jolies femelles humaines rendues folles de désirs par leur aveu commun se déchainent sur la pelouse. Sam assise au-dessus d'Eveline fait danser son bassin d'avant en arrière et de droite à gauche ses mains sont sur sa tête levée vers le ciel et elle pousse des gémissements assez sonores. Alertée par ce bruit et aussi par l'odeur dégagée par ces deux femelles, Maud se trouve bien seule chez elle et me prévient qu'elle saute par dessus la haie pour nous rejoindre. En effet, je la vois soudain franchir cette maudite végétation qui nous sépare. Comme elle est belle ainsi, elle semble voler. Elle ne tarde pas à venir prés de moi, nous nous frottons et léchons un moment pour nous dire bonjour. Puis blottis l'un contre l'autre nous admirons ces deux femelles et les envions de pouvoir faire tout ce qu'elles font là que nous autres chiens nous ne pouvons faire. Maud et moi nous poussons un grand soupir de regret.

Sam est de plus en plus agitée, de plus en plus déchainée, de plus en plus hors d'elle. Elle prévient Eveline qu'elle va jouir en une phrase entrecoupée de gémissements:
« Ah!!.....Ah!!..... Je....viens.... Je....vais... jou... jouir, Ouiiiii !!! »

Et effectivement, Sam a un superbe orgasme. Ses cris se transforment en un rugissement rauque et elle inonde le visage d'Eveline d'un liquide qui sort d'elle en abondance. Eve n'a pas l'air fâchée du tout de ce qui arrive, au contraire elle lèche avidement la chatte de Sam qui n'arrête pas de fuir. Elle a du mal à retrouver ses esprits. Elle se calme peu à peu, recule de manière à se coucher sur Eveline qui à son tour semble dans un autre monde tant elle prend plaisir à lécher ce que Samantha à laisser sortir d'elle.
« Eveline chérie j'ai oublié de te prévenir que je suis femme-fontaine ! Ça ne te dérange pas j'espère !
- Au contraire, mon amour, j'adore ça. J'adore te boire, ta mouille est délicieuse. Merci ma chérie! Et je dois t'avouer que j'adore tout boire qui sort d'un corps humain. Ça te dégoutte pas ce que je dis là, j'espère, mon amour ?
-Oh pas du tout, Robert et moi adorons ce jeu là et nous le pratiquons souvent. »

Mais soudain Maud s'agite, se redresse et aboie légèrement en direction de sa maison, je sais pourquoi, j'ai moi aussi senti que Robert venait de rentrer chez lui. Samantha et Eveline, trop occupées à leur plaisir ne se rendent compte de rien. Robert, lui, a reconnu la voix de sa chérie en train de jouir. Surpris et heureux à la fois, il sort de chez lui et vient nous rejoindre. Eveline n'avait pas fermé la porte, comptant sur moi bien sûr pour surveiller la maison, comme si je n'avais que ça à faire, moi.

Maud se précipite vers lui pour fêter son arrivée. Robert la caresse un moment, puis nous demande de retourner jouer, ce que nous faisons bien volontiers. Il s'approche sans bruit de la porte donnant sur le jardin et contemple ce beau spectacle que donnent les deux femmes. Aussitôt, les yeux brillants, il se déshabille entièrement et sans bruit se rapproche du couple. Sa queue pend entre ses jambes, elle m'impressionne un peu par sa longueur.

Il s'arrête à la hauteur des deux femmes, il n'est pas dans leur angle de vision, et comme tous les humains elles n'ont pas notre flair elles ne se rendent pas compte de la présence de Bob. Il reste immobile au dessus d'elles. Une odeur se dégage de lui de plus en plus forte. Il est visiblement excité. Il enjambe les deux corps enlacés et les surplombant ainsi, il prend sa queue en main et se laisse aller à pisser. Après un effet de surprise bien normal, Sam se rend compte que c'est son mari le coupable, elle insite Ève à changer de position.

Alors, tels deux oisillons qui piaillent leur faim, Ève et Sam ouvrent grand leurs bouches en gloussant. Bob, visage éclairé d'un large sourire, guide son jet d'urine d'une bouche à l'autre et se vide en de longs jeux interminables. Cette douche dorée semble plaire aux deux femmes qui se disputent gentiment le droit d'en avoir plus que l'autre. Leurs visages et leurs torses sont inondés et la peau brille d'un beau reflet. Bob finit enfin, se baisse et tend sa queue à Eve à qui il octroie l'honneur d'avoir la dernière goutte.

Celle-ci (Ève, pas la goutte) en profite pour sucer cette bite qui aussitôt grossit pour prendre une dimension avantageuse. Ève apprécie ce changement et tout en continuant sa sucette gémit et glousse de plaisir. Sam ravie de cette situation, se redresse et se place derrière son mari. Elle lui écarte les fesses et lèche son petit trou, Bob trouve cela, si agréable qu'il s'accroupit et tout en laissant sa queue aux très bons soins de la gourmande et affamée Ève, tient écartées ses fesses avec ses mains, Sam qui connait bien son chéri cesse de le lécher pour le pénétrer avec deux doigts qu'elle fait aller et venir sans aucun ménagement dans le cul de Bob. Il ne fallut pas bien longtemps pour que ce traitement ne lui fasse de l'effet.

En effet, Bob jette sa tête en arrière et pousse un rugissement bref mais puissant et se vide dans la bouche de ma belle maîtresse. Samantha abandonne le cul de son mari et se jette sur Ève pour partager avec elle la semence abondante et crémeuse. C'est aussitôt prétexte à des ébats furieux entre les deux femmes qui se roulent l'une sur l'autre en se caressant, s'embrassant et se léchant comme si elles voulaient se dévorer. Bob assiste à ce spectacle qui lui fait un effet immédiat car sa queue rebande à nouveau.

Décidément il y a des moments comme ça où je regrette de n'être qu'un boxer. Certes je suis un très beau boxer, il n'y a qu'à voir l'effet que je fais aux femelles qui nous croisent, Ève et moi, quand nous nous promenons. Il n'en reste pas moins que cela ne me donne pas la possibilité de faire autant de choses que vous les humains quand vous jouez ensemble avec vos corps. C'est cela et pas autre chose que l'on appelle une vie de chien. Et voir faire ces trois humains m'a chauffé les sangs je m'approche de ma chère Maud qui je le sens est elle aussi assez émoustillée.

Réaction toute féminine, elle joue les indifférentes, alors je tend mon museau vers son trésor et le lèche avec gourmandise. Maud commence à réagir elle aussi car elle donne des mouvements d'avant en arrière à son bassin. Je fais durer le plaisir un moment et n'y tenant plus je la pénètre pour la baiser furieusement.

Nos trois humains ne nous intéressent plus, mais alors vraiment plus du tout. Une seule chose compte pour moi jouir du corps de ma Maud chérie et lui donner un maximum de plaisir. Oubliée d'un coup cette petite jalousie que j'avais de vous les humains, il y a encore quelques minutes, car je sais que jamais vous ne pourrez faire ce que nous faisons nous, vos meilleurs amis comme vous aimez à le répéter.

Tout à mon euphorie jouissive, je perds ma gentillesse naturelle et me permets de vous dire que jamais vous, les mâles humains, ne serez capables de faire ce que nous faisons : baiser plusieurs fois de suite avec des arrêts très brefs. Wouahhhhh ! Wouahhhhh ! Wouahhhhh !

Maud et moi avons joui plusieurs fois alors que Sam et Ève sont affalées sur la pelouse, ils parlent et rient et attendent avec un peu d'impatience que Bob soit à nouveau opérationnel. C'est Ève, ma jolie maîtresse qui trouvant le temps un peu long se love contre Sam et l'embrasse à pleine bouche tandis qu'une de ses mains fouille l'entrejambe de sa toute récente chérie. Sam n'est pas en reste qui fait la même chose avec Ève. Elles espèrent ainsi accélérer la montée en température de leur étalon.

Ève se relève, change de position et s'installe de manière à être accroupie au dessus du visage de Sam. Celle-ci comprend ce que va faire Ève. Effectivement, elle écarte de ses doigts les lèvres de sa chatte et se laisse aller à pisser. Sam ouvre grand la bouche pour ne rien perdre de ce bon champagne doré, elle l'avale à grandes gorgées en poussant de temps à autres un gloussement de plaisir.

 

A suivre...

Par Bruno Bi - Publié dans : Bruno, le libertin - Communauté : les blogs persos
Donnez votre avis... - Lisez les 4 messages
Retour à l'accueil
Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés