Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
La factrice.
(Lettre d’Aiyana, jolie libertine à son complice de libertinage).
Mon Matou, mon doux coquin,
Je viens te raconter ma dernière aventure sexuelle. Tu sais que je suis bi ! Et bien, là çà a été un sommet auquel je ne m’attendais pas.
Hier matin, alors que vers 11 heures, je sortais de la douche pour me réveiller après une nuit de folie à bavarder sur un site de rencontres coquines (où tu n’étais pas !), j'ai entendu la sonnette de l'interphone de mon appartement retentir.
Je me suis enroulée rapidement dans une grande serviette que j'ai nouée au dessus de mes seins et je suis allée répondre. C'était la factrice qui m'apportait une lettre recommandée. J'ai été un peu surprise car d'habitude elle se contente de laisser un avis de passage dans la boîte aux lettres.
J’ai ouvert la porte de l'immeuble et j'ai attendu sur le palier qu'elle arrive jusqu'à moi. Ce n'était pas la factrice habituelle. J'ai tout de suite reconnu une copine de lycée que j'avais perdue de vue depuis cette époque. En me remettant ma lettre, elle me dit que c'est le nom sur le boitier de sonnette qui avait attiré son attention et qu'elle aussi s'était rapidement souvenue de moi.
Il est vrai qu'à cette époque nous affolions nos condisciples car nous étions les deux seules à porter des tenues hyper sexy qui nous distinguaient des autres filles de notre âge. Nous flirtions outrageusement mais nous ne couchions que rarement. Il fallait que le garçon sorte vraiment du lot et qu'il ait su nous charmer suffisamment pour succomber. Ce que tous les garçons ignoraient, c'est que toutes les deux nous avions une relation saphique depuis de longs mois et nous avions su rester suffisamment discrètes pour que personnes de notre entourage ne le sache.
Eva a pratiquement terminé sa tournée et nous commençons à bavarder et à raconter notre vie écoulée depuis bientôt quinze années au cours desquelles nous nous sommes perdues de vue.
A trente-trois ans, elle a des formes pleines, une jolie poitrine bien ronde, une taille étroite qui s'évase sur des hanches galbées. Brune de taille moyenne aux cheveux courts, elle m'explique qu'elle a été mariée et a eu deux enfants confiés à la garde du père depuis le divorce. Depuis, elle vit seule à Bayonne et fait régulièrement des remplacements pour La Poste. Avec ce que lui verse son ex, elle n'a pas à se plaindre.
Quant à moi Aiyana, si je suis également brune aux cheveux tombant sur les épaules, je suis radicalement différente. Très grande et à la silhouette longiligne, j'ai une poitrine menue avec des tétons bien saillants (souvenirs des étirements qu'Eva et d'autres leur ont fait subir), des hanches étroites sous une taille à peine marquée.
Je partage librement ma vie avec un compagnon, Tony, qui est assez rarement à la maison. J'explique à Eva qu'en dehors de missions d'intérim, je suis animatrice pour un site coquin ce qui me permet de gagner un peu plus d'argent tout en assouvissant mon besoin irrépressible de sexe.
Soudain, Eva vient s'asseoir près de moi sur le divan et m'enlace. Nos bouches se joignent dans un baiser ardent qui nous renvoie bien des années en arrière. La serviette dans laquelle je suis enroulée est vite tombée, dénouée par Eva qui de ses mains vient cueillir mes tétons pour les faire rouler entre ses doigts. Je remonte son polo siglé et d'un geste preste, je fais sauter l'agrafe de son soutien gorge pour lui rendre sa caresse sur les seins.
Elle enlève rapidement son polo et le soutif et fait glisser son pantalon et son string. Nous sommes nues l'une et l'autre. Je découvre qu’elle a discipliné son abondante toison pubienne en un triangle dont la pointe indique le capuchon du clitoris et monte en s'évasant sur la largeur d'une main. Moi, il y bien longtemps que je me suis débarrassée de cette encombrante toison en la faisant éliminer définitivement au laser dans un institut de beauté en Espagne.
Le divan nous accueille, Eva prenant la direction des opérations (elle a toujours été un peu dominatrice dans nos rapports saphiques) en me couchant sur le dos pour m'embrasser à nouveau en frottant ses seins lourds sur les miens pendant que sa main droite investit ma chatte déjà toute engluée de mes sécrétions.
Que c'était bon de se retrouver ainsi. Si pour moi faire l'amour avec mon homme, c'est le pied tellement il est viril et endurant, la douceur d'une étreinte lesbienne est tout aussi appréciable. Je me relève en la repoussant doucement pour venir me mettre tête bèche au dessus d'elle pour que nous puissions nous faire minette comme quand nous étions au lycée.
Je gobe son clitoris sorti de son capuchon et de deux doigts j'investis sa chatte. De son côté Eva n'est pas en reste. Elle me prodigue la même caresse. En fouillant sous les coussins qui garnissent le divan, je vais chercher un de mes Plug et je lui ai introduit dans son petit trou plissé où il est entre facilement. Après quelques mouvements de va-et-vient, je le laisse en place et je continue de lécher sa chatte qui est de plus en plus humide. Nous ronronnons comme deux belles chattes.
« J'ai envie que tu me baises vraiment, dit soudain Eva, aurais-tu un gode ceinture par hasard ? »
Bien sur j'ai cet accessoire (et bien d’autres tu le sais) pour m'exhiber avec lors de shows privés sur le site. Les mecs sont très excités de me voir harnachée de la sorte. Je vais rapidement dans ma chambre où je m’équipe en revenant vers le salon. Eva est déjà en place, en levrette, appuyée sur le dossier d'un fauteuil, m'offrant la vision de ses globes fessiers largement fendus avec mon Plug toujours fiché dans son anus. Je mets une noix de gel sur l'extrémité du gode et d'une lente poussée, j’entre dans sa chatte avec une facilité déconcertante. Elle est noyée de cyprine !
Je commence les mouvements de va-et-vient lentement puis de plus en plus vite au fur et à mesure que je sens et entends monter sa jouissance. De mon côté, le bourgeon opposé à la verge factice exerce des pressions répétées sur mon clitoris. Nous jouissons pratiquement en même temps, laissant éclater bruyamment notre plaisir partagé. Nous nous désunissons pour nous embrasser de nouveau.
En se rhabillant Eva me dit alors :
« Il faut que je termine ma tournée. Je reviendrai te voir prochainement !
- Oh oui ! Garde le Plug dans ton cul, tu me le rapporteras lors de ta prochaine visite ! »
Nous nous sommes embrassées une dernière fois sur le palier avant de nous quitter.
Je vais être en grande forme pour exciter les coquins sur le site jusqu'à quatorze heures avant de partir à la plage.
C'est en repensant à cette rencontre imprévue quelques jours plus tard, que j'ai une idée à creuser. Puisqu'Eva est en manque d'homme, je vais m'arranger pour que mon mec (prévenu auparavant) nous surprenne en train de nous gougnotter et lui fasse l'amour.
Qu'en dis-tu ? N'est-ce pas une bonne idée de faire une partie à trois. Je suis sure que mon homme aimera.
Je te fais plein de bises coquines, ton Aiyanna coquine...
A suivre...
Signé : Gérard le Matou
Tu as raison... dommage que la mienne ne soit pas comme cela !
Je les apprécie tout autant !
Il parait que c'est le cas de beaucoup d'hommes !
Comme quoi, on a tort de dire que les gays ne s'interessent qu'aux hommes !