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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

 

Aujourd’hui, je vous dévoile une nouvelle facette de ma chère cousine, Astrid, comtesse de Laulne….

 

Astrid a comme très bonne amie, une jeune femme de la bonne bourgeoisie locale, Mélanie. Edmond, son mari, la laisse fréquenter cette amie, même s’il avait des réticences au début. En effet, chez les nobles, on ne fréquente pas les « bourgeois », ces parvenus qui ne cherchent qu’à –mal- copier la vieille noblesse française.

Il est de tradition de dire que les nobles sont là pour servir les autres, mais que les bourgeois, eux, sont là pour SE servir des autres ;

D’où une ancienne rancœur tenace qui a toujours court de nos jours, en 2010.

 

Edmond a fini par se laisser convaincre, persuadé du caractère simple et inoffensif de Mélanie. Il est certain qu’elle ne mener pas sa femme sur les chemins de le débauche, qu’elle a juré de ne plus emprunter sans lui…

 

S’il savait !

 

Mélanie invite Astrid pour la soirée. Comme leurs maris n'étaient pas là, elles avaient décidée de passer la soirée ensemble. Astrid s’était résolue à raconter à sa meilleure amie ses aventures sexuelles. Le gangbang auquel elle avait été « contrainte » avait laissé des traces. Elle était à la fois heureuse d’avoir été rassasiée à la hauteur de ses envies, et très honteuse de savoir que son mari « savait » et avait organisé cette situation humiliante pour elle…

 

Astrid est persuadée que Mélanie va la comprendre. En effet, cette dernière lui a souvent fait part des ses aventures libertines. Avec son éducation bourgeoise, moins stricte que celle des aristocrates, elle a toujours assumé ses envies coquines…

« Bonsoir Mélanie.
- Bonsoir Astrid, tu vas bien ?
- Un peu fatiguée, mais très heureuse d'être là.
- Entre, et pose ton sac dans ma chambre. »

Mélanie laisse Astrid poser son sac dans sa chambre et se mettre un peu à l'aise, puis elle retourne dans le salon pour la rejoindre.
« J'aime bien ton ensemble. Cette jupe grise à mi-genoux avec tes bottes et ce petit pull rose, te va très bien.
- Je l'ai achetée l'autre jour, en faisant un peu de lèche-vitrines. Moi aussi, j'ai bien aimé. Et toi, elle est sympa ta robe longue à volants. Ce style, un peu comme celle que l'on trouve en Andalousie, doit être très agréable à porter.
- C'est vrai quelle est agréable à porter, et en plus, comme elle est large, tu te sens libre.
- Je t'offre un verre ?
- S'il te plaît, oui »

Mélanie va chercher dans la cuisine un plateau avec l'apéritif.
«  Tiens, j'ai un ami qui vient de me rapporter du rhum blanc de Guyane, alors ce soir, c'est ti-punch avec du citron vert.
- Eh bien, je pense que la température de la pièce commence déjà à monter !!!

 

Elles rient en cœur, heureuses de se rertrouver.
Les deux jeunes femmes en boivent trois assez rapidement. Il faut bien cela pour qu’Astrid ose se lancer dans le récit détaillé de ses turpitudes. Pendant une heure, Mélanie l’écoute sans broncher, ponctuant parfois le récit de son amie, de « continue, tu as eu raison… »

 

Enfin Astrid se tait. Un long moment de silence s’installe entre les deux femmes.

Mélanie rompt le silence la première :

« Ma chérie, tu as du pas mal souffrir... Même si tu as eu beaucoup de plaisir. Je ne sais pas si j’aurais osé, à ta place… Comment te sens-tu ?

- Lasse, mais avec encore plus d’envie de sexe qu’avant... Tu sais, j’ai vraiment honte ! Je ne suis qu’un salope, une dépravée de la pire espèce. Je fais honte à mon nom, à ma famille…

- Mais non, tu es une femme qui a de gros besoin, tu as raison de les assouvir.

- C’est ce que me dis aussi ma cousine, Sophie. Elle était la seule à tout savoir. Elle aussi, est hypersexuelle. Elle pouvait tout à fait me comprendre…

- Ma chérie, pour te remettre de tes émotions, je te propose un petit jeu entre filles…

Tu as déjà essayé ?

- Non, mais tu sais, ça ne m’inspire pas plus que cela…

- Ne t’inquiète pas. Tu as besoin de douceur, après ce que tu as vécu... Tu peux dire stop à tout moment, je respecterai ton choix…

- Eh bien, allons-y... Mais avant, je voudrais aller au petit coin.
- Non, plus tard. Pour le reste, c'est très simple, tu t'allonges sur la table, après avoir ôté ta jupe et ton pull.

- Mélanie, tu sais, j’ai promis à Edmond qu’il serait toujours là maintenant, quand j’aurai des aventures extra-conjugales..

- Mais ce n’en n’est pas une… Tu ne le trompes pas. Je suis ta meilleure amie... Et nous allons nous faire du bien… Où vois-tu que tu le trompes ? Et si tu as envie de recommencer, dis-lui juste que c’est un fantasme. La prochaine fois, on le fera devant lui… »

 

L’idée séduit fort Astrid. Elle acquiesce avec un sourire.

Puis elle se dirige vers la table du salon. Elle enlève son pull, puis fait tomber sa jupe sur ses pieds. Elle porte juste un string noir et un soutien-gorge en dentelle assorti.
« Maintenant, allonge-toi sur la table », ordonne son amie.

Astrid s'exécute, et monte sur chaise avant de s'allonger sur la table. Mélanie s'approche de son visage et commence par lui faire un bisou des plus coquin.
« Je vais t'attacher les bras et les jambes, mais avec un lien souple. Tu verras c’est très excitant… »

 

Astrid a envie de refuser. Elle ne souhaite guère être entravée. Mais le sourire enjôleur de son amie lui impose de se laisser faire.

Mélanie commence par les bras, qu’elle lie à l’aide d’une fine cordelette de soie. Ensuite, elle se dirige vers de l'autre côté de la table pour s'occuper de ses jambes.
« Je vais me changer. Lève ta tête que je te mette un petit coussin pour que tu n'aies pas mal. »

Mélanie part dans la chambre, et reviens après plusieurs minutes.
« Alors comment me trouves-tu ? »

Mélanie avait une guêpière tout en latex, avec une petite ouverture au niveau de chaque téton. En dessous, un slip en latex ouvert et une paire de bas, aussi en latex, maintenus par les jarretières de la guêpière. Elle portait une paire de botte en vinyl noir.
« Je dirais simplement que tu ressembles une fille très chaude. Une vraie fille de show porno…
- Toi aussi, tu es excitante, dans cette position, ma chérie… Alors voyons, quelle est la température ? » fit-elle avec un sourire lubrique.

Mélanie fait le tour de la table et s'arrête du côté gauche de la table. Elle entreprend des caresses très douces avec sa main en partant du bras et en remontant jusqu'à sa poitrine. Elle se place en suite de l'autre côté de la table, et fait la même chose. Astrid frissonnait, indiquant la monté de son plaisir. En même temps, elle voulait bouger pour permettre de caresser aussi Mélanie, mais les liens tenaient bons.
«  Ne bouge pas, tu es totalement à ma merci. Le jeu est très excitant, n'est ce pas ?
- Excitant, d'accord, mais ne pas pouvoir répondre est très frustrant….
- La suite va te plaire, tu vas voir… »

Mélanie se positionne en haut de la tête d’Astrid, et commence par sortir ses seins lourds de leur prison. Puis elle s'incline par-dessus sa tête pour aller mordiller ces tétons qui pointaient au maximum. Astrid pouvait faire la même chose à Mélanie, qui s'arrangeait pour que ses tétons passent au niveau de la bouche. C’étai une impression nouvelle pour elle, de téter des seins de femmes. Elle appréciât le velouté de la peau, la pointe qui dardait sous sa langue…

Un peu plus tard, Mélanie prit une chaise pour monter sur la table. Elle est debout sur la table, un pied de chaque côté de Astrid, et lui tourne le dos. Elle s'accroupit pour venir honorer la chatte de son amie. Par la même occasion, elle positionne ainsi l'ouverture de son slip de latex au niveau de la bouche d’Astrid.

Au contact des lèvres, celle-ci sortit sa langue pour mieux lécher sa partenaire. Pour augmenter les sensations, Mélanie bouge son bassin en décrivant un petit cercle et en appuyant de temps en temps afin de bien sentir la pression exercé sur les lèvres de sa partenaire.

Astrid se débrouille bien. Elle aime la découverte de ce gout inconnu, légèrement salé... Mélanie mouille de plus en plus.

« Astrid, je ne sens pas bien ta langue me pénétrer. Applique-toi, sinon je vais me fâcher, dit-elle d’un ton amusé…
- Huummm, je fais ce que je peux, mais l'ouverture de ton slip n'est pas très grande.
- Bon, ce n'est pas grave. Nous allons voir si tu as bien travaillé… »

 

Sous les yeux ahuris d’Astrid, elle sort de dessous la table un énorme gode dont la base est dotée d’une grosse ventouse. Elle stupéfaite à la vue de cet objet si imposant.
« Voici. Comment te trouves-tu ?
- Il est énorme ce gode !
- Long de trente-cinq centimètres et de huit de diamètre, j'ai eu du mal à en trouver un si gros, mais c'est ce que je recherchais.
- Même les hommes ne sont pas si grandement membrés ! Le grand noir qui m’a sodomisée à fond n’était pas aussi gros ! »

Mélanie se relève et se tourne. Elle se met accroupie, ventouse l’énorme engin sur la table, entre les jambes d’Astrid. Elle positionne sa vulve au niveau du gode. Astrid reprend :

« D'où je suis, je te confirme que le gode est très gros. Tu penses qu'il va rentrer ?
- Nous allons savoir cela très vite. Si tu m’as bien excitée, ca va rentrer tout seul… »

Mélanie appuie doucement afin de s'enfoncer le gode, puis commence un va et vient pour permettre la pénétration le plus doucement possible. A force de mouvements de balancier, elle s’enfourne la moitié du gode.
« Alors Mélanie, c'est comment ? demande Astrid, un peu inquiète... Mais très excitée de voir son amie ainsi empalée.
- Très bon ! Tu sais, se sentir pénétrée par une telle taille est assez douloureux, mais aussi extrêmement fort en sensation. Je vais augmenter la vitesse pour aboutir rapidement à ma jouissance. »

 

Dans le même temps, elle se penche en avant, et enfourne sans ménagement ses doigts dans l’abricot humide d’Astrid. Elle sursaute sous la caresse. La main se fait plus douce… Elle ressort, caresse son clito, fait le tour des petites lèvres, les écarte un peu... Astrid mouille de plus en plus. Elle est très excitée par la vue de son amie baisée par ce monstre, et les doigts qui la caressent habilement. Un premier orgasme lui soulève le bassin. Elle crie fort, lâchant un flot de cyprine dont son amie se délecte aussitôt. Mélanie passe une langue gourmande sur les doigts souillés…

 

Du coup, comme stimulée par la jouissance d’Astrid, elle remonte et descend beaucoup plus vite et beaucoup plus fort. Le gode réussi à pénétrer encore plus à chaque mouvement.

« Oui, oui, que c'est bon, Astrid. Tu vas le prendre aussi, tu verras…
- Continue, ma chérie, continue….
- Ouuuuiiiiii !!!! Oouuuuiiii !! »

Astrid lui donne le coup de grâce en branlant fort le clito bandé, qui darde devant le gode de plastique. Mélanie jouit très fort, et appuie de tout son poids sur le gode. Comme à bout de force, Mélanie se relève et descend de la table.

Les deux femmes se regardent en souriant.

 

Mélanie s’approche d’elle, et tendrement, glisse sa langue entre les chairs intimes de son amie. Astrid se cambre sous la caresse. C’est la première foi qu’une femme la lèche. Et cette coquine se débrouille plutôt bien !

A deux mains, elle écarte la vulve congestionnée, et enfonce sa langue au plus profond du vagin. Elle la baise comme une petite bite. Astrid crie de plus en plus. Elle jouit à nouveau, emporté par un flot de sensations nouvelles…

Mélanie sourit, et lui dit doucement :
« Tu es prête, ma chérie. Maintenant, c'est à toi d'être pénétrée.
- Tu plaisantes, je n'ai jamais utilisée de gode.
- Je sais, mais tu vas voir, c’est divin de sentir une bonne queue, sans avoir un mec qui te souffle dessus et ‘impose son rythme !

- Tu sais, le gangbang de l’autre soir m’a laissé des traces. Un si gros engin, je ne sais pas si je pourrais…

- Ne t’inquiète pas, j’irais doucement... Et tu es si trempée que ca va rentrer comme dans du beurre… »

Mélanie se lève, et va prendre dans un tiroir de la commode une ceinture. Elle transforme alors le gode en gode-ceinture. Elle l’attache autour de sa taille, et le positionne. Elle le serre bien fort pour une bonne tenue. Elle sort aussi du tiroir un gode chromé de quinze centimètres et de trois centimètres diamètre.
« Alors que me disent tes parties intimes ? Je vais jouer l'exploratrice.
- Oui, mais vas-y doucement, je t’en prie…
- Pour commencer, voyons si tu es suffisamment trempée… »

Mélanie position le gode chromé au niveau de la vulve et le fait pénétrer doucement, mais entièrement d'une traite.
« Tu mouilles beaucoup, il est rentré tout seul.
- Oh oui, Je sais.
- Un peu de va et vient ?
- Oh oui !
- Comme tu es surexcitée, ma chérie... voyons la suite. »

 

Mélanie sort le gode et le descend sur son petit trou, qui s’ouvre presque naturellement. Elle se penche, et lèche doucement l’orifice brun. Il frémit sous la délicieuse caresse.
Pourtant Astrid proteste :

« Ah, non, je ne veux pas.
- Pourquoi ? Tu as eu trop mal les autres fois ?
- Exactement.
- Décontracte-toi, tu vas voir c'est très bon, quand c’est fait par une femme ! »

 

Elle continue doucement la pénétration et arrive finalement à le faire entièrement rentrer. Astrid gémit doucement, sans pourvoir dire si c’est de plaisir ou de douleur…

Mélanie remonte sur la table et s'allonge sur Astrid, et prend la position pour la pénétrer.
« Tu as oublié d'enlever le gode de mes fesses, Mélanie.
- Non, je veux te faire une double pénétration.
- J'ai déjà mal, tu vas complètement me déchirer… »

 

Inexorablement, Mélanie enfonce l’énorme mandrin dans le con hyper dilaté d’Astrid. Elle se tord, bouge le bassin pour accueillir le phénoménal engin. Elle finit par en engloutir une bonne moitié. Il coulisse en elle, tel un monstrueux pieu.

 

« Alors, c'est bon ? » s’enquit son amie.

Pour toute réponse, elle obtient le cri de jouissance d’Astrid. Elle hurle à s’en rompre les cordes vocales, empalées par ceux deux objets inertes.

A bout de souffle, Astrid lâche :

« Mélanie c'était très nouveau pour moi, mais j'ai rarement atteint un tel niveau de sensation.
- Je te dirais que moi aussi.
- Pourrais-tu le détacher, car il faudrait que je soulage rapidement.
- Attend, je suis bien sur toi.
- Oui mais je ne plus me retenir. »

Astrid ne pouvant plus se retenir, se libère et inonde la table. A sa grande surprise, Mélanie se penche, et lape l’onde claire qui a coulé de la jeune comtesse. Cette dernière est stupéfaite.

Mélanie en sourit : « Mais ma chérie, tu as fait beaucoup de choses ces derniers temps, mais tu es loin d’avoir tout expérimenté… Un jour, je te boirais à la source… »

 

Les deux amies vont se laver, non sans profiter de l’occasion pour multiplier les caresses, les baisers fougueux…
La soirée continua aussi chaude, avant que les filles se dorment ensemble dans le même lit.

 

La vie d’Astrid, Comtesse de Laulne, a pris un nouveau tournant ce soir-là… Elle a gouté aux femmes, elle ne s’en passera plus !

 

Quelques jours plus tard, elle fait part à son mari de son envie de tenter une expérience lesbienne. Edmond semble enchanté de cette idée, et lui promet de belles surprises…

 

Pour Astrid, la vraie vie commence, celle où elle pourra assouvir toutes ses envies, tous ses fantasmes, en y faisant participer son mari. Jamais elle n’aurait cru qu’il entrerait dans la débauche aussi facilement, lui l’aristocrate coincé !    

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes histoires érotiques - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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