Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.
Mes récits sont protégés par e-auteur.com
Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !
Bises libertines,
Sophie
Un jour, nous promenant dans les rues étroites de Paris, nous entrons tous les deux dans une boutique de lingerie fine dont le nom appétissant sonne comme un prélude aux délices, « Les p’tites sucreries ». Tu souhaites acheter de nouveaux dessous sexy pour épicer nos rapports (mais en ont-ils besoin ?) et mettre en valeur ce corps délicieux qui n’appartient qu’à toi.
C’est l’après midi, la boutique est vide, et nous avons la vendeuse à disposition juste pour nous. Tu veux que je t’aide à choisir les plus mignons et excitants des dessous.
Comme d’habitude, mes yeux brillent d’amour et de désir pour toi, ma petite Squaw. Tes yeux sont si finement dessiné que je m’y noie dedans et ta bouche est si belle que je ne peux jamais m’empêcher d’embrasser ce perpétuel sourire…
Tu choisis un monceau de dessous : strings, soutien gorges, bustiers, porte jarretelles… aux modèles très variées : Lycra, soie, latex, avec des broderies, des lacets, des bijoux, des paillettes…
Tu demandes l’avis de la vendeuse sur les matières et les tailles. C’est une charmante blonde avec de longs cheveux et un très joli sourire, très classe et très chic comme toutes les vendeuses peuvent l’être dans ce genre de boutique. Le prénom Lola est inscrit sur le badge qui épingle sa voluptueuse poitrine. Je ne l’ai pas encore vraiment remarqué, mes yeux étant attirés par ta merveilleuse silhouette et la joie de te voir essayer ces nouveaux jouets.
Tu te rends ensuite dans la cabine pour essayer tous ces sous-vêtements avant de les acheter. Tu prends ma main et me dis :
« Suis-moi mon amour, seul ton avis m’importe. »
La cabine est située au fond du magasin, ce qui fait que nous sommes seuls et que personne ne peut nous voir. Tu me demandes d’entrer avec toi dans la cabine afin que je puisse t’admirer confortablement.
Tu te déshabilles donc.
Tandis qu’un par un tes vêtement tombent sur le sol, mes yeux me picotent, je sens la sueur venir et mon cœur commence à s’accélérer. Quel corps ! Quelle merveilleuse silhouette ! Tu portes encore ton string et ton soutif, mais je ne peux m’empêcher de sentir mon excitation de monter.
Tu enlèves d’abord ton soutien-gorge, laissant apparaître une poitrine somptueuse et majestueuse aux rondeurs lourdes et fermes, la plus douce et excitante que j’ai jamais touché. Deux seins ronds et parfaits. Tu m’invites à les toucher :
« Tu sais qu’ils sont à toi, tu peux les toucher quand bon te semble… »
Alors, je les presse doucement, très doucement, les prenant à deux mains (j’en ai bien besoin car cette poitrine mérite toute mon attention), les caressant jusqu’à ce que tes tétons durcissent et pointent. Je ne peux m’empêcher de t’embrasser, glissant ma langue dans ta bouche, la mélangeant à la tienne, mêlant nos salives puis je prends tes tétons dans ma bouche, ma langue s’enroulant autour d’eux pour mieux les caresser et les sucer.
Tu enlèves ton string et me supplies de te mettre un doigt. J’obéis à ce doux ordre et plonge un doigt dans ta chatte déjà coulante, immédiatement aspiré par cette grotte en fusion. Tu passes ta langue sur tes lèvres comme une petite chienne en chaleur et me réclame un deuxième doigt.
Je te branle donc de plus en plus fort, de plus en plus vite, sentant alors des coulées de mouille qui s’écoule le long de tes cuisses que je m’empresse de boire. Puis je glisse de nouveau trois doigts dans ton puits d’amour, te masturbe de nouveau et viens glisser ces doigts dans ta bouche. Tu t’empresses de les sucer tout en me regardant droit dans les yeux avec un air de défi.
« Mmmmm… quelle ravissante salope », pensai-je.
Ma bite devient de plus en plus dure dans mon pantalon, et je suis embarrassé car la vendeuse pourrait nous surprendre d’un instant à l’autre.
« On s’en moque, je veux juste goûter à cette délicieuse bite. Je suis si mouillée et excitée que je n’en ai vraiment rien à foutre de cette petite pute », dis-tu sur un ton péremptoire que je ne te connais pas.
Tu t’agenouilles donc, dégrafes les boutons de mon jean, sors ma bite de mon boxer et commence à l’embrasser. Tu la suces comme un sucre d’orge, léchant le gland, soufflant dessus, crachant sur le sommet et la suçant entièrement. La pipe la plus excitante que j’ai jamais eue. Tu me suces avec tant de sensualité, ta langue s’enroulant autour de ma bite et la léchant de bas en haut et de haut en bas, l’enfonçant ensuite profondément dans ta gorge tandis que tu mes malaxes les couilles, doucement puis plus fort. Il fait vraiment très chaud et mon excitation est à son summum.
Tu prends ma queue et me masturbe entre tes seins, la malaxant très fortement tandis que tu suces le bout de ma queue chaque fois qu’elle s’approche de ta bouche. C’est si excitant que je crève d’envie de venir. Je te demande donc de t’arrêter afin que je m’occupe de toi.
C’est donc à mon tour de m’agenouiller, la vue est superbe, ton joli sexe attend que je le cueille tel un fruit mûr. Avec ma langue je fouille les moindres plis de tes lèvres, passant et repassant leur chair délicate puis immisce ma langue dans ta fente mignonne pour m’y abreuver. Je te bois, je te lape, je te lèche, sans répit, sans fatigue, sans discontinuer. Je sens tes flots de mouille qui coule sur mon visage comme des larmes chaudes. Dieu qu’il est bon de te faire pleurer…
Pour cette fois, je délaisse ton clitoris, j’ai trop envie de te baiser.
Tandis que tu gémis, je te lève et te tourne contre le mur pour te prendre par derrière. Je mets ma bite à l’entrée de ta chatte et ne rentre que le gland, jouant avec tes nerfs jusqu’à ce que tu me hurles :
« Baise-moi salaud, baise-moi maintenant ! »
Je pousse donc ma bite à l’intérieur de toi, en parfait contrôle, heureux de l’effet provoqué et je commence à te baiser très très fort en te tenant par la taille. Mes mouvements sont brefs
rapides et saccadés car je veux que tu montes fort très rapidement. Je te chuchote :
« Je vais te baiser jusqu’à ce que tu jouisses mon amour ! »
Pendant que je te baise, j’entends un bruit derrière moi, un petit gémissement, je tourne la tête très surpris. La vendeuse se trouve aussi dans la cabine, nous matant, sa jupe et son string à ses chevilles, une main caressant son clitoris puis se glissant des doigts à l’intérieur de sa jolie petite chatte que je découvre toute épilée. Et de l’autre main caressant ses magnifiques nichons.
Je t’informe de la situation et tu tournes ta tête. La cabine est en ébullition, avec nos trois corps remplis de désirs et d’excitation. Elle s’approche tout en poursuivant sa masturbation. Toujours en toi, je tourne ton corps vers elle, et continue de te pénétrer en te caressant les seins. La tension est si sexuelle, elle s’approche de toi et pendant que je te baise, elle commence à t’embrasser sur le cou et puis sur les lèvres, pressant mes mains sur tes seins. Je les retire pour la laisser jouer avec à sa guise…
Je me dis que tu vas t’énerver et la repousser mais tu laisses l’excitation de la situation t’envahir et tu lui rends ses baisers, caressant ses seins aussi. Hmmm quel bonheur, je suis aux anges, je n’en demandais pas tant… Je vous vois vous rouler de longues et délicieuses pelles. Je continue à te baiser mais en ralentissant le rythme car il ne faut jamais présumer de ses forces en pareille situation. Elle te tête puis te pince les tétons ce qui te laisse échapper un gémissement rauque.
Alors je m’arrête et t’allonge sur le dos. Elle se glisse entre tes cuisses, enfonce deux doigts dans ta chatte dégoulinante de plaisir, et te masturbe tandis que je me mets à lécher tes seins à mon tour, gobant et mordillant tes tétons que j’ai rarement vu aussi tendus.
Puis elle se met à te lécher ton clito tout en continuant à te pénétrer avec ses doigts. Tu appuies sa tête contre ton sexe en ébullition, tire sur ses longs cheveux soyeux, puis tu hurles ton plaisir avec tant de bonheur. Deux personnes rien que pour toi, pour s’occuper de ton corps, tu vis le plus délicieux des moments !
Je choisis ce moment pour enfoncer ma bite dans ta bouche et tu me pompes comme une affamée, une sangsue. Mon bâton de chair effectue de violents va et vient dans ta gorge profonde. Je me retire je me retire car Lola entend bien s’occuper encore de toi.
Elle te relève un peu et vient en ciseaux contre toi et vous commencez à bouger vos sexes l’un contre l’autre en rythme, lèvres contre lèvres, clito contre clito, ce qui te diffuse des ondes de plaisir et de chaleur comme tu n’en as jamais connu et inimaginables quelques minutes plus tôt…
Vous vous embrassez à perdre haleine, pleines de passion et de rage érotiques. Vous vous caressez de nouveau les seins, vous triturant les pointes.
Soudain, un plaisir électrique te saisit et ton corps tremble de plaisir et de jouissance et tu obtiens un fabuleux orgasme. Tu laisses quelques secondes passer puis tu te glisses entre les cuisines de la divine blonde et commence à lui bouffer la chatte. Ah si on m’avait dit !!!
Tu tends ton cul vers moi n’entendant pas en rester là, je te prends en levrette tandis que tu dévores la chatte crémeuse de Lola. Tu me cries de te défoncer comme jamais ! Et je te baise à fond, te tenant par les hanches, j’entends les cris de Lola se mêler aux tiens et mon excitation est à son maximum. J’entends des flics, des flocs, des flaques tellement tu dégoulines. J’accélère mes coups de boutoir jusqu'à ce que je vous entende venir toutes les deux en même temps, vos corps se serrant l’un contre l’autre au moment de la jouissance.
La cabine est emplit de chaleur, de sueur, de divines odeurs et de cris orgasmatiques (je sais le mot n’existe pas mais c’était fort à ce point là ! )
Puis tu viens pour me finir en me suçant à fond très rapidement, et me branlant énergiquement avec tes mains. Il ne me faut pas longtemps pour vibrer sous le plaisir de tes douces lèvres plein de la liqueur de Lola et au moment ou je viens, tu m’enfonces un doigt dans le cul. Mon corps est pris de spasmes et j’inonde ta bouche avec mon jus !
Je m’écroule, vidé mais heureux. Tu embrasses Lola avec mon sperme dans la bouche jusqu'à ce qu’il disparaisse dans vos gorges de velours….
Nous nous embrassons ensuite longuement avec plein d’amour et d’attention, des petits câlins, des caresses sur la joue. Lola nous sourit et nous offre un joli bustier de soie pour nous remercier. Nous promettons de nous revoir très vite.
Nous rentrons ensuite à la maison, surs de ne jamais oublier ce pur moment d’intense amour…
Signé : les Squaws.
Tu devrais essayer, chère Sophie!
Mais j'ai deja essayé.. Qu'une femme me touche ne me gene pas, mais j'ai du mal à lui "rendre la pareille"...
Ca donnerait presqu'envie d'essayer ! lol Plaisanterie mise à part, cette hsitoire est très excitante... Merci à l'auteur !
Je l'espère, les Squaws écrivent si bien...
Bisous à tous et un grand merci à la douce Sophie :)
Les Squaws
Ils sont plus que mérités, et je suis comme les autres, j'attends une suite ou un autre réçit !!! bises libertinse
Les Squaws
Elle n'a plus qu'à le lire.. et prendre autant de plaisir que nous tous !
vite une suite, les Squaws!
Hugh!!
Je vois que nous sommes plusiseurs à attendre une suite !!!