Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
Pour nos dix-sept ans, Gwenaëlle, ma sœur jumelle s’était arrangée avec la mère d’Armelle, une copine de lycée pour que nous allions tous faire la fête dans leur résidence secondaire située à quelques centaines de mètres de la plage. Pour ce pont du mois de mai, nous nous sommes retrouvés à une douzaine de garçons et de filles.
Divorcée, la mère d’Armelle était là aussi. Nous étions tous mineurs et nos parents respectifs avaient incité à la présence d’au moins un adulte dans la maison. Notre mère nous avait conduit et amené tous ce qu’il fallait pour bien nous amuser le vendredi et le samedi. Elle était repartie à Guer et devait venir nous rechercher le samedi. A l’approche des examens, il ne fallait pas plaisanter avec les révisions.
La fête a commencé par un barbecue préparé par Edwige et notre mère. L’après-midi, comme il faisait beau et chaud, nous sommes allés jusqu’à la plage où les plus courageux se sont baignés. Les autres se sont contentés de lézarder au soleil tout en flirtant tranquillement.
Edwige nous avait préparé le goûter dans la salle de séjour décorée pour la circonstance. La surprise était totale. Après nous être restaurés, nous avons commencé à danser. J’avais invité une copine et ma sœur était avec sa complice habituelle des plaisirs de Lesbos. Ce n’était un secret pour personne dans notre petite bande de copains.
Chacun avait sa partenaire et les flirts allaient bon train. Au cours de la soirée, j’ai peut être eu tort de vouloir pousser trop loin avec Odile car nous nous sommes disputés et, fâchée, elle nous a quittés pour rentrer chez elle en scooter. Pour une soirée d’anniversaire c’était réussi. Je me retrouvais seul. Je me suis donc occupé de la musique et du ravitaillement en boissons diverses et sans alcool.
Vers minuit, Edwige est arrivée avec deux magnifiques gâteaux et deux bouteilles de cidre. Nous étions en Bretagne que diable ! Ma mère avait du lui confier que nous étions nés peu après minuit. C’était là le moment idéal pour souffler les bougies. Nous avons encore dansé un peu et, pour que je ne sois pas seul, Edwige m’a demandé si elle pouvait me tenir lieu de cavalière pour cette fin de soirée. Cela m’était déjà arrivé de danser avec une femme plus âgée, mais qu’Edwige me fasse cet honneur, j’en étais fier.
Au bout de quelques temps, les danseurs se sont éclipsés pour aller dormir ou faire autre chose... Je me suis retrouvé seul avec ma cavalière qui, devant mon air morose, cherchait à me faire oublier ma déconvenue en bavardant quelques instants.
« Il sera temps de mettre de l’ordre demain matin », me dit-elle soudain en se levant pour me prendre dans ses bras.
Collée contre moi en cherchant mes lèvres pour un baiser ardent, elle ondulait du bassin, faisant naître dans mon jean une belle érection. Remontant mon polo, elle a agacé mes tétons d’une main et de l’autre, elle est partie explorer mon slip, massant ma bite de bas en haut et pelotant les bourses :
« Je vais t’offrir un cadeau d’anniversaire original, m’a-t-elle dit, viens, ne fais pas de bruit ! »
Alors que tous étaient montés à l’étage, Edwige m’a conduit dans sa chambre située dans un petit bâtiment relié à l’habitation principale par une galerie vitrée.
« Là, nous serons tranquilles ! »
Avec des chaussures à talons, elle était presque aussi grande que moi, sportive accomplie, elle avait su garder une silhouette longiligne malgré deux grossesses, une taille très fine au dessus de hanches évasée et une poitrine haut perchée d’un volume important.
Elle a ôté tous mes vêtements. Nu devant elle, j’étais un peu intimidé mais elle m’a encouragé en disant de la déshabiller à mon tour. Cela fut vite fait car elle ne portait qu’une robe un peu vague que je fis passer par-dessus ses épaules, dévoilant des dessous de dentelle blanche qui tranchaient sur sa peau mate. D’un geste rapide, elle dégrafa son soutien gorge et je vis apparaître deux seins laiteux avec des veinules bleues et des tétons peu saillants. De même elle fit glisser sa culotte découvrant sa chatte lisse et nue. Waouh ! Quelle belle femme dans toute la maturité de la quarantaine !
Ma bite, déjà fort bien bandée, se redressa encore plus. Edwige se mit à genoux devant moi, embrassant légèrement mes tétons au passage, et emboucha mon sexe jusqu’à la garde. Je connaissais cette caresse, mais là, d’emblée faite par une femme qui allait m’initier, quel plaisir. Je passais ma main dans ses cheveux, descendant sur sa nuque, ses épaules puis, je cueillis ses deux seins. Elle cessa de sucer ma bite pour aller s’allonger sur le lit où elle m’attira.
Je ne cherchai pas mon chemin pour la pénétrer. Ma bite trouva comme par enchantement l’entrée de sa vulve et c’est avec délices que je m’introduisis dans ce fourreau chaud et humide.
« Prends ton temps, ne précipite pas les choses, me dit t-elle en posant ses mains de chaque côté de mes hanches, laisse moi te guider ! »
C’est vrai que j’allais un peu vite en besogne, si Edwige n’avait pas freiné mon ardeur, j’aurais certainement pris mon plaisir égoïstement sans penser à elle. Ses gémissements étaient de plus en plus forts et elle s’agitait sous moi.
« Viens, c’est le moment ! »
Elle imprimait les mouvements de va et viens à mon bassin pour finir par le plaquer contre le sien au moment où notre jouissance éclatait.
Pour la première fois, je déversais mon sperme dans le sexe d’une femme. C’était bien meilleur que la masturbation à laquelle je me livrais assez souvent. Nous fîmes l’amour une seconde fois au cours de cette nuit merveilleuse. Après quelques caresses, Edwige me fit mettre sur le dos pour venir s’empaler sur mon sexe dressé. Je me laissais faire, je sentais mon gland pressé par des muscles intimes au fond du fourreau. Le plaisir nous entraîna à nouveau et Edwige s’écroula sur moi, ma bite restant fichée en elle.
Au petit matin, elle me fit regagner ma chambre discrètement. Je la remerciai de son cadeau si original. Quand nous nous rencontrons incidemment, nous échangeons un clin d’œil complice mais nous n’avons plus jamais couché ensemble.
A suivre...
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