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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Je m’appelle Tony. Depuis de longues années, je travaille dans le bâtiment, dans une grande entreprise qui a des agences un peu partout en France. Depuis plusieurs mois, j’ai été envoyé à plusieurs centaines de kilomètres de mon domicile pour y renforcer l’équipe locale, et superviser un chantier de construction de plusieurs petits immeubles de standing dans un quartier tranquille de la ville. Ma responsabilité de chef de chantier m’oblige parfois à rester seul après le départ des ouvriers, afin de vérifier que tout est en ordre et que les tâches prévues pour le jour ont bien été effectuées ou comme en ce moment, alors que les travaux tirent à leur fin, faire l’inventaire des éventuelles malfaçons auxquelles il faudra remédier avant la livraison..

 

Le chantier est presque achevé puisque les cellules commerciales et les appartements doivent être livrés aux acheteurs dans une quinzaine de jours. Pour gagner du temps en cette fin de semaine, j’ai demandé à une des stagiaires de l’entreprise de se joindre à moi pour cette ultime tournée sur le chantier. Oh, quand je dis stagiaire, n’allez pas imaginer que c’est une jeunette… En fait Karima, celle qui s’est portée volontaire pour m’accompagner, est une femme de trente-cinq ans qui, au chômage depuis plusieurs mois, nous a été envoyée par l’agence locale de Pôle Emploi pour occuper un poste de dessinatrice.

 

De fait, elle s’est totalement intégrée à la société où elle s’investit complètement, travaillant vite et bien, au point que le boss a l’intention de l’embaucher définitivement. Grande et jolie femme brune à l’accent chantant du Midi, elle doit avoir du sang arabe car elle est très typée et elle n’a rien de la « femme fil de fer » comme la mode actuelle le veut. Autant que je puisse en juger, elle a une paire de seins appétissante (j’adore les belles poitrines bien rondes) et des fesses toujours moulées étroitement dans un pantalon ou une jupe serrée. Souvent chaussée de bottes arrivant sous le genou ou de bottillons à hauts talons, elle a une démarche ondoyante tout à fait charmante qui pousse à suivre des yeux le balancement de ses hanches pleines. Son visage encadré de cheveux noirs coupés courts est éclairé par de grands yeux marron, un nez un peu busqué domine une bouche large aux lèvres gourmandes.

 

C’est une jolie femme dans la plénitude de son âge, qui sait se faire discrète car elle ne veut pas attiser la jalousie de ses collègues féminines et le désir des hommes. Tout le monde la trouve sympathique, moi le premier car j’aime bien lui confier du travail : c’est bien fait et vite, ce qui me convient tout à fait.

 

Lorsqu’elle me rejoint à mon bureau ce vendredi en début d’après-midi, je suis surpris de voir qu’elle ne porte plus sa tenue du matin. Là, elle est en jean un peu large avec une liquette écossaise glissée dans la ceinture. Devant mon étonnement elle dit :

« Je serai plus à l’aise pour travailler ainsi et je ne craindrai pas de me salir !

- OK ! Sage précaution ! »

 

Après une vingtaine de minutes en voiture au cours desquels nous parlons boutique, nous arrivons sur le chantier où divers corps de métiers travaillent encore à aménager les abords, allées piétonnières, espaces verts, etc. C’est vrai qu’en dehors du nettoyage, il ne reste plus grand-chose à faire dans les bâtiments proprement dits. Nous travaillons rapidement, je décris les travaux de reprise à effectuer et Karima note les renseignements. Parfois, je prends des photos pour être plus explicite lorsque j’interviendrai auprès des entreprises concernées. Nous ne voyons pas le temps passer !

 

C’est au moment où nous arrivons dans un des derniers appartements que tout bascule. Je ne sais pas si c’est la chaleur de cette journée de juin ou le travail intensif que nous venons d’effectuer qui en est la cause car soudain Karima s’appuie contre une cloison et elle s’évente avec son bloc :

« Je n’en peux plus ! Il fait trop chaud ! »

 

Et pour être plus à l’aise, Karima ouvre les boutons de sa liquette, laissant voir son soutif bien garni dans l’entrebâillement des deux pans. Quelle vue ! Elle a une paire de seins de ouf ! Et elle continue de se déshabiller en ôtant complètement sa liquette et la vue de ses aréoles bistre au travers du tulle fin de son soutif blanc a vite fait de faire dresser mon sceptre de chair dans mon slip au point que ma bandaison est presque douloureuse. Quand je m’approche d’elle, les effluves de sa transpiration montent jusqu’à moi mais elles sont mêlées à cette odeur si particulière d’une chatte humide. Ça achève de me mettre dans les transes du désir ! Oui j’ai envie de baiser Karima et il est certain que cette coquine n’attend que çà !

 

En la prenant par le bras pour la diriger vers une des cuisines déjà équipée de ses meubles, je lui dis :

« Viens ! Je sais ce que tu veux ! Nous sommes seuls, ne nous privons pas ! »

 

Aussitôt, je plaque Karima contre un des éléments, son cul est juste à la bonne hauteur. Je fais sauter l’agrafe de son soutif et ses deux beaux seins, bien ronds, d’un blanc laiteux avec des veinules bleuâtres et des tétons très marqués me sautent littéralement au visage ! Je peux m’empêcher d’aller les agacer de ma langue avant de les mordiller pour les faire saillir. Karima presse ma tête contre sa poitrine, elle doit apprécier ce que je lui fais ! Je glisse mes mains dans son dos, griffant doucement le creux de ses reins et ensuite je m’introduis dans l’arrière du pantalon à la taille élastiquée où je rencontre le cordon d’un string !

 

Lentement, je fais glisser le jean sur les hanches pleines découvrant le pubis légèrement poilu encore masqué par le minuscule triangle du string. Le pantalon glisse de lui-même jusqu’en bas des jambes, et Karima se tortille pour s’en débarrasser d’une geste preste qui l’envoie à quelques mètres. Je ne peux m’empêcher de reculer d’un pas pour admirer cette femme aux rondeurs appréciables, tout juste un peu opulentes mais que sa haute taille rend belles.

 

Ma bite est dressée à m’en faire mal tellement j’ai envie de baiser ma collègue qui s’approche de moi et s’agenouille pour faire descendre le zip de mon pantalon et aller chercher ce sceptre de chair qu’elle a bien du mal à extraire tant il est dur. Puis elle l’embouche pour l’enduire de salive, faisant des mouvements alternatifs dans sa bouche, l’enfonçant de plus en plus loin au fond de sa gorge dans une fellation savante où Karima alterne les passages dans sa bouche et les agaceries de la pointe de sa langue sur le gland et le frein ! Pendant ce temps, je me débarrasse de ma chemise et de mon teeshirt et je dégrafe la ceinture de mon pantalon qui tirebouchonne au dessus de mes chaussures.

 

De par ma position, j’ai une vue plongeante soit sur ses seins qui balancent doucement, fermes et bien hauts ou sur sa chute de reins et ses fesses largement fendues. Je ne sais d’où elle l’a sorti mais Karima me couvre la bite d’une capote et en se retournant elle allonge son buste sur un meuble bas, la pliure de son corps juste à la bonne hauteur pour s’offrir en levrette. Je descends son string et à deux mains j’ouvre ses globes fessiers pour découvrir les orifices convoités. Quelques poils noirs tapissent le périnée accentuant l’impression de luxure de ce cul qui s’offre ainsi dans une impudeur totale.

 

En tournant la tête vers moi Karima me souffle :

« Ne me fais plus languir ! Viens ! Baise-moi fort !

- Ne t’inquiète pas ma belle ! Je vais t’en mettre au point que tu t’en souviendras longtemps ! »

 

En disant cela, je place ma bite à l’entrée de la chatte humide et d’une seule poussée, je m’enfonce au plus profond, faisant claquer mon pubis contre les rondeurs du cul. Waouh ! Qu’elle est chaude cette chatte ! Je sens la chaleur au travers du latex ! Je lime Karima avec violence, sortant à chaque fois de son vagin pour y entrer de nouveau plus fort encore que la fois précédente.

« Oh oui ! Comme ça ! Défonce-moi ! Il y a si longtemps qu’une vraie bite ne m’a pas pénétrée ! »

 

Chaque fois que j’arrive au fond de sa chatte, Karima pousse un petit cri de plaisir et je sens ses muscles intimes qui malaxent mon gland. Je suis tombé sur une bonne baiseuse, qui est avide de sexe et visiblement en manque ! Mais je me retiens, je ne veux pas jouir trop vite et profiter de cette belle aubaine. J’ai dans l’idée que je vais passer un weekend torride si Karima le veut bien ! Au moment où la jouissance l’emporte, je me lâche, déversant au fond de la capote une abondante rasade de sperme. Essoufflés l’un et l’autre par la violence de notre baise et de la jouissance que nous venons d’avoir, nous restons l’un dans l’autre de longues minutes pendant lesquelles je laisse mes mains courir sur ce corps pantelant, passant de la taille aux reins, glissant un doigt dans la raie culière pour aller taquiner l’œillet qui palpite doucement et s’ouvre lorsque j’introduis un de mes pouces.

« Coquin ! Tu veux m’enculer ? Terminons ce que nous avons à faire et je t’emmène chez moi !

- Ok ! Ça marche ! »

 

Sans attache particulière et régulière, je suis libre de mes mouvements. Puisque Karima s’offre ainsi, pourquoi m’en priverai-je ? Nous terminons rapidement notre travail et nous quittons les lieux. Karima habite à l’opposé du chantier et il nous faut traverser toute la ville. Heureusement l’heure de pointe de sortie des bureaux est déjà largement dépassée et il ne nous faut pas plus d’une vingtaine de minutes pour arriver à destination.

 

Elle me fait entrer dans son grand studio bien agencé : la pièce principale est séparée de la cuisine par un comptoir et il y a une grande chambre que nous traversons pour gagner la salle de bain. Aussitôt elle se déshabille entièrement et n’invite à en faire autant pour prendre une douche à deux. Je ne me fais pas prier pour la suivre sur ce chemin ! Sous le jet tiède, nous nous enduisons mutuellement de mousse odorante et nous en profitons pour continuer à nous caresser si bien que je bande à nouveau lorsque Karima presse ses fesses contre ma bite et la fait rouler dans sa raie.

« Tu vas me défoncer le cul ! J’adore ! Pour m’enculer, tu mettras une capote mais après, si tu veux me baiser encore, tu n’en n’auras plus besoin. Si tu es sain, je le suis aussi !

- OK ! ça marche ! Mon test HIV date de la semaine passée, tu n’as rien à craindre ! »

 

Nous nous séchons rapidement et nous revenons dans la chambre où mon amante du moment me taille une pipe rapide pour s’assurer que je suis bien dur et ensuite elle déroule un préservatif sur ma hampe. Elle se met en levrette sur le lit, les fesses tournées vers moi, le buste allongé sur la couverture et les bras de part et d’autre de la tête :

« Viens ! Je suis prête ! »

 

Lorsque j’approche ma bite de son anneau plissé, je vois qu’elle y a introduit du gel. Dès que mon gland a passé la collerette du sphincter, c’est comme si j’étais aspiré dans son fondement tant la pénétration est facile :

« Dis donc, il a du en voir passer ton cul ! On y entre aussi facilement que dans ta chatte !

- Oh oui ! Il a été ouvert de bonne heure ! Chez nous les filles doivent arriver vierge au mariage c’est donc par le cul que nous prenons notre plaisir quand nous sommes avec un copain. »

 

Quand j’entends cela, ça m’excite encore plus ! Je sodomise à long traits cette belle beurette en manque et nous ne tardons pas à partir dans une jouissance simultanée qui nous arrache des râles de plaisir tant c’est bon ! Karima s’affale à plat ventre et par chance, je suis resté dans son cul. Je passe mes mains sous son buste et je vais chercher les tétons pour les faire rouler entre mes doigts. Il n’en faut pas plus pour que ma maîtresse se trémousse sous moi, cherchant à faire de nouveaux allers-retours sur ma bite qui a à peine débandé.

 

Karima devait être véritablement en manque de sexe car elle ne semble pas encore satisfaite. Puisque c’est ce qu’elle veut, je recommence à la sodomiser, profitant de sa gaine étroite qui masse ma bite à chaque fois que je pénètre. J’ai la queue engluée de ma précédente éjaculation, mais qu’est ce que c’est bon de baiser Karima de la sorte. La jouissance est un peu plus longue à venir mais lorsque je me vide une nouvelle fois dans la capote, Karima part à son tour, beuglant véritablement son plaisir :

« Waouh ! Qu’est ce que tu es bon ! Tu m’as bien fait jouir ! J’en veux encore mais on va reprendre des forces ! »

 

Nus tous les deux, nous revenons dans la pièce principale où nous mangeons rapidement une cuisse de poulet et des fruits puis alors que j’achève de déguster un verre de vin, Karima vient s’agenouiller entre mes cuisses et commence à me tailler une pipe d’anthologie, léchant alternativement mon mat et mes couilles, les aspirant dans sa bouche pour les faire rouler l’une après l’autre, enfonçant ma queue au plus profond de sa bouche goulue. Puis quand ma bite est bien humide, elle se relève sur ses genoux et vient l’enserrer entre ses seins où elle lui imprime des mouvements de va et vient, donnant des coups de langue sur le gland quand il arrive à sa portée…

 

Je crois que jamais mon sexe n’a été autant bandé et dur comme du bois tant cette caresse est sensuelle et l’envie de baiser à nouveau Karima est forte ! Quelle ravageuse ! On ne s’en douterait pas à la voir au bureau, appliquée et sage… mais là, nous ne sommes plus au bureau et je vais lui donner ce qu’elle veut et bien profiter de cette femelle en chaleur…

 

Je la relève et d’une main passée dans sa raie culière, je la guide jusqu’au canapé où je l’allonge sur le dos. Je lui ouvre les cuisses en grand et d’une poussée énergique je prends possession de sa chatte goulue et chaude. Je me presse entre ses cuisses accueillantes pour bien faire sentir à Karima la puissance de mon sexe bandé par le désir. Puis j’entame de longs mouvements de va et vient, sortant à chaque fois de cette belle chatte pour y entrer à nouveau de plus en plus vite sous les encouragements qui me sont prodigués :

« Oui, vas-y ! Baise-moi ! Fais-moi jouir ! C’est bon ! Baise-moi à fond ! Défonce-moi ! »

 

Comme pour me maintenir en elle, Karima a croisé ses jambes sur mes reins, mais cela ne m’empêche pas de continuer à la baiser à longs traits. Cette coquine m’a déjà bien vidé les couilles, ce qui fait que je suis un peu plus long à venir, mais elle est tellement bonne à baiser que bientôt je n’en puis plus. Elle a du se retenir de jouir, car lorsque je lâche au fond de sa chatte quelques belles giclées de sperme, Karima se lâche aussi, jouissant de tout son corps en bramant sa jouissance à haute voix.

 

Mais elle n’en pas encore assez ! Ne me laissant aucun répit elle me désarçonne, me fait rouler sur le dos et se précipite sur ma bite pleine de nos sécrétions mêlées et l’embouche à nouveau pour la toiletter et me faire rebander… ce qui ne tarde pas. Le sceptre dressé vers le plafond je ne suis pas surpris quand Karima m’enjambe et d’un mouvement souple du bassin s’empale sur ce pieu bandé sur lequel elle se baise elle-même en faisant des mouvements de bas en haut face à moi.

 

J’ai sous mes yeux cette poitrine généreuse, ronde mais bien ferme, aux tétons saillant au milieu des aréoles bistre très marquées qui se balance doucement au rythme de la copulation que Karima se prodigue sur ma queue enfoncée dans sa chatte qui ruissèle littéralement de cyprine. La tête rejetée en arrière, elle ne semble penser qu’à une chose : prendre un maximum de plaisir… Et moi, j’en profite ! Une nouvelle fois j’inonde son vagin de belles giclées de sperme et là, c’est un véritable plaisir que de jaillir sans entrave, de mélanger sperme et cyprine au fond d’un sexe accueillant.

 

Lorsque je quitte Karima au milieu de la matinée du samedi, j’ai les couilles complètement essorées tant nous avons baisé jusqu’aux petites heures de la nuit. Ça faisait longtemps qu’en dehors de ma compagne habituelle, je n’étais tombé sur une assoiffée de sexe comme Karima.

Par Gérard le Matou - Publié dans : Le Matou Libertin - Communauté : Les récits érotiques
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