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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

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Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Cela fait un an maintenant que je vis ma sexualité avec Agnès, et nous faisons l’amour maintenant et de plus en plus souvent. Nous sommes un couple. C’est de plus en plus agréable. Cette façon d’être, nous l’affichons avec fierté. Les regards sont en fait plus souvent amusés, plus curieux que méchants, et nous sommes heureuses de nous montrer amoureuses et amantes. Les couples de filles sont souvent plus discrets, mais nous avons envie de montrer notre bonheur. Peut être aussi que nous suffisamment sommes à l’aise chez moi, pour que puissions vivre cela normalement. Encouragées même.

 

Et puis, on se rend compte aussi, parmi les amis et les proches déjà, mais aussi parmi beaucoup de personnes que nous rencontrons, que cette attitude provoque, une curiosité et une certaine envie. Chez les hommes, bien sur, mais aussi pas mal de copines. Il nous arrive de flirter avec elles, en soirées, en balades, ou toutes autres occasions.

 

Quelque chose les attire en nous. Une fille du lycée a partagé notre lit plusieurs fois avec un immense bonheur, avant qu’elle ne retrouve un copain avec qui elle est toujours. Ma prof de tennis m’a rejoint un jour dans les vestiaires et nous sommes allés chez elle pour terminer ce que nous avions commencé sous la douche.

 

Elle m’a avoué fondre en me regardant jouer depuis quelques temps, et craquer en me voyant embrasser Agnès avec autant de sensualité et sans aucune retenue. Et pourtant, elle n’avait jamais touché une fille de sa vie, mais notre liberté, et mon allure provocante parfois sur les courts, la faisait fantasmer depuis des mois. Sous la douche, où elle m’a rejointe, elle avait osé me laver dans le dos et s’était électrocutée en caressant mes seins.

 

Nous avions commencé à nous enlacer, nues toutes les deux, en nous lavant mutuellement, et c’est avec une envie folle que nous sommes rentrées chez elle où nous avons fait l’amour avec énormément de passion. Son corps musclé pour une femme de 45 ans me donnait des frissons quand je la caressais. Nous nous sommes retrouvées plusieurs fois après les matchs, chez elle. Elle pouvait me recevoir depuis que son mari était parti. Et deux fois, je suis venue avec Agnès et nous avons fait l’amour toutes les trois.

Superbes moments. Et au début c’est nous qui la dirigeons dans les gestes amoureux. Elle se donne de plus en plus et les instants que nous passons ensembles sont torrides.

 

Les garçons fantasment aussi beaucoup. Voir deux filles faire l’amour et partager avec elles… Le fantasme numéro un chez les mecs. Une conversation à table avec mes parents nous a confirmé ce fait. Ils se sont marré et papa à même confié que c’était un spectacle inoubliable ! Et puis, je me suis rendue compte du regard des hommes, et comment je pouvais les séduire simplement en embrassant Agnès devant eux.

 

Les sourires et regards coquins dans ces moments-là, me font comprendre combien ces attitudes peut vite déboussoler ces messieurs, et j’aime en jouer. Je découvre encore plus le pouvoir que je peux avoir sur les hommes, par mes tenues déjà, mon allure sexy et aussi le fait d’être libre avec Agnès. Je retourne souvent le sourire à ces messieurs et l’effet en est toujours plus intense.

 

Les garçons nous regardent beaucoup, en effet. Cela n’est pas pour nous déplaire. Plus pour moi d’ailleurs que pour Agnès. On en parle, mais elle s’en moque un peu. Moi j’avoue que j’aime bien jouer à les séduire, à me rendre désirable, que j’aime beaucoup les regards allumés de ces messieurs sur moi. J’ai découvert cela lors de ma première séance photo où pour la première fois j’ai posé pour de la lingerie.

 

Lingerie correspondant à mon âge évidement, mais me promener quasi nue et sexy sous les yeux du photographe et de tout une équipe de technicien m’a encore prouvé le pouvoir que je pouvais avoir sur les hommes. Je me plais à séduire les « Messieurs », plus que les garçons de mon âge d’ailleurs. La petite lueur supplémentaire, le sourire complice et coquin de ces Hommes bien plus âgés me donnent toujours un petit frisson.

 

Maintenant j’avoue que faire l’amour avec un garçon, me fait terriblement envie. Il est vrai qu’a mon âge, cela devient une préoccupation chez les filles. Pas toutes, mais moi beaucoup. Et comme notre sexualité à toutes les deux est déjà bien développée… Dans ma tête je me vois bien faire l’amour avec un homme.

 

Je l’imagine avec son sexe en moi. L’image et cette sensation d’un sexe grossissant dans ma main, comme une petite bête à ma merci, et n’attendant qu’un signal pour me pénétrer… J’en ai envie. Pas envie de « sortir » avec un garçon. Agnès prend toute la place dans mon cœur. Je ne pense qu’au plaisir. Rien d’autre. En fait, tout ce qui est lié au plaisir me tente, me fait envie.

 

La liberté à la maison par rapport au sexe, la complicité très forte installée depuis un moment déjà, font que je suis curieuse de tout, et qu’il me semble normal de ressentir des choses, d’en parler, et d’oser aller dans ce sens. Et on en parle souvent. J’ai l’image d’un homme sur moi, comme avec Agnès, nus, son sexe me pénétrant, je sens cette chaleur en moi. Même si je n’ai jamais connu, je le ressens, j’en ai très envie. Je suis souvent trempée de cette image.

 

On en parle, et on flirte de plus en plus souvent avec des copains. Flirts très poussés. Il m’arrive de me retrouver avec un sexe en main, et des mains qui me fouillent de partout. Je regarde et sens ce sexe et je l’imagine se glisser dans mon minou. On ne fait pas l’amour. Mais il n’en faudrait pas beaucoup. Ces garçons ne me plaisent pas assez je pense. J’ai aussi appris depuis peu à prendre un sexe en bouche, et je m’en délecte au plus au point.

 

Un nouveau plaisir que je commence à pratiquer avec joie. Nous avons partagé ce plaisir avec Agnès une fois lors d’une promenade en forêt avec un de nos copains. Nous ne lui avons pas fait l’amour, mais toutes les deux oui, devant lui, pour le rendre fou. Et ensuite, il a subi nos bouches avec une joie immense. Peut être maladroites à cette époque, mais il avait explosé et hurlé son plaisir. La maladresse ne devait pas être pénible…

 

Et puis j’en ai trop envie. J’en parle avec Agnès qui est réservée pour le moment. Et, avec un certain culot, je me mets à draguer ouvertement un très bon copain du club de tennis. Il a dix-neuf ans. Beau. Très gentil. Il a déjà eu quelques succès auprès des filles du club. Nous nous entendons super bien, et nous passons déjà pas mal de temps ensemble en dehors du tennis. Il est un petit peu mon grand frère au club. Il semble m’apprécier, malgré que je sois plus jeune. Mon style doit y être pour quelque chose.

 

Puis un jour, je lui demande de me ramener à la maison. Dans la voiture, je le vois regarder mes cuisses sous ma jupe de tennis, très courte, que j’ai gardée, volontairement car elle me permet d’être sexy en dehors des courts, et il regarde aussi mes seins, libérés du soutien-gorge de sport, et je pointe, plus de plaisir que de froid en ce mois de juin.

 

Même en bon copain, il semble apprécier le spectacle de mes longues jambes nues. Et moi cela me ravit. J’ai dans la tête de me faire désirer et cela semble fonctionner. J’avais dans la tête ce matin de me faire raccompagner par lui. J’avais choisis une tenue plus sexy qu’a l’habitude. En quittant le vestiaire j’ai juste quitté ma culotte pour mettre un petit string, blanc, léger, du genre à ne pas couvrir beaucoup.

 

Je m’arrange pour que ma jupe remonte au mieux afin de lui offrir une superbe vue plongeante sur mon entre-jambes. A voir ses yeux qui m’observent, je fonds et tout mon corps est traversé d’une agréable chaleur. Un frisson humide sous mon string. Arrivés chez moi, je lui propose de rentrer comme il le fait parfois. Le temps de papoter un peu. Ses yeux sur moi quand je descends de la voiture me donnent encore plus chaud, et j’accentue ma cambrure en passant devant lui pour ouvrir la maison. Je m’offre au mieux à son regard que je sais posé sur moi. Le temps d’ouvrir la porte, je sens ses yeux parcourir ma poitrine et glisser sur mes fesses et mes cuisses. Sensation agréable que de lui plaire et de me sentir déshabillée du regard. Je suis humide.

 

Nous traversons la maison pour nous installer sur la terrasse du jardin, avant que je ne file sous la douche. Il est étonné, mais émerveillé, de me voir quitter mon haut en le passant par-dessus ma tête et ce, avant même d’avoir traversé le salon. Geste pas innocent de ma part, et même volontaire, même si c’est assez habituel à la maison, que de se promener très peu vêtu, surtout en cette saison. Notre jardin à l’abri des regards nous permet de vivre à l’aise, et nous en profitons très souvent pour y manger nus sur la terrasse. Un prolongement de nos habitudes de notre maison en Espagne. Il arrive même en été de rester un dimanche entier sans ne jamais s’habiller pour profiter au mieux du soleil. Mais Cédric n’a pas cette habitude, et le spectacle le ravit. Seins nus et petite jupette. J’en rajoute encore en faisant rouler mon string, de sous ma jupe, jusqu’au sol et je le ramasse. Très naturellement. Pour lui c’est énorme.

 

Assis au salon de jardin, il est penché pour me suivre du regard. Je m’arrange pour qu’il profite du spectacle en m’arrêtant mettre de la musique et en paradant en jupe et seins nus dans le salon. Naturelle. Innocente. Je pose comme j’ai déjà un peu appris à le faire, seins arrogants, petite mimique coquine en lisant la pochette du CD.

 

Je lui demande s’il aime, ce que je passe comme musique, et pour me répondre, il doit me regarder, à la fois un peu gêné, et en même temps, ses yeux ont du mal a quitté ma poitrine nue... Surtout quand je lui tends la boite du cd, et que dans l’autre main, je tiens mon string, et je joue avec. Mes seins pointent, comme un appel. Je sais que là, il a envie de me toucher, et moi je n’attends que ca.

Je suis quasi nue et à portée de mains. Je me doute que pour lui le spectacle doit être plaisant, et même excitant. Et pour moi m’offrir de la sorte me donne une chaleur immense. Je sens une ambiance électrique qui me plait. Il doit avoir une belle érection. Et de savoir que c’est juste à cause de moi…

 

Sous la douche je ne peux m’empêcher de me provoquer un peu de plaisir en pensant à mon petit jeu dans le salon. Seins nus et nue sous ma jupette. Cette façon d’être me provoque toujours des chaleurs immenses dans les reins. Se sentir désirée, provoquer, séduire avec mon corps, offert, c’est un régal. Et de plus j’ai envie d’un garçon et je veux que ce soit lui. Je sais que ce sera lui. Bientôt. Maintenant !

 

Je retourne sur la terrasse avec juste un shorty rose que j’ai attrapé au passage et une serviette avec laquelle je m’essuie les cheveux, cachant à peine mon buste par moment avec un geste faussement pudique, comme si je m’apercevais d’un coup de ma tenue. Je lui propose de lui faire un thé. Je jette alors ma serviette sur une chaise et je repars en cuisine. Volontairement sexy dans mon geste. Je me retrouve naturellement nue comme j’aime l’être, juste ce shorty, qui, je le sais, me dessine merveilleusement bien les fesses et doit être pour lui un spectacle affolant. Mon père le trouve scandaleux. Mais il raffole de me voir avec. Il dit qu’il « dessine ce que des yeux n’auraient peut être pas remarqué sans »…

 

Je joue pas mal d’un déhanchement sexy, pour ajouter un peu à la tentation. Il me regarde partir comme ca avec une lumière dans les yeux qui me donne encore plus envie de continuer. Ce jeu de séduction me ravit, et m’excite. Je reviens avec le thé et m’installe en face de lui sans chercher à me couvrir. Je fais en sorte qu’il puisse m’admirer comme j’aime que l’on m’admire. Je sens son regard sur moi avec beaucoup de chaleur. Il me détaille et je suis en train de m’offrir. La chaleur monte. Je sais que ce que je fais à cet instant est de la provocation, mais je le fais de façon naturelle, comme une petite fille impudique. 

 

Il me connait très bien, mais de me voir être aussi à l’aise dans cette tenue et devant lui… Il me prend du regard. Il me scrute avec des yeux étonnés et gourmands à la fois. Il m’a déjà vu ainsi, dans les vestiaires, mais plutôt aperçu, et une fois en forêt également, à l’occasion d’un pique nique, où je m’étais changée devant lui et d’autres copains qui avaient apprécié d’ailleurs mon côté nature et sans pudeur. Mais ce fut furtif. Juste le temps de changer un tee-shirt et d’offrir ma poitrine aux trois garçons, qui n’avaient rien loupé. Il sait que cela me vient aussi de mon éducation et de mes habitudes « naturistes ».

 

Il se marre en me regardant aller et venir dans cette tenue très sexy et finit par me dire qu’il me trouve superbe, que j’ai de jolis seins, de jolies fesses, des jambes sublimes, tout en me détaillant et en se marrant, et que si je n’étais pas sa copine, il me sauterait dessus ! Tellement…

 

Et moi de lui répondre que s’il en a envie, et bien, je n’ai rien contre, bien au contraire.

 

Il est soufflé ! Il se ressaisit et me demande s’il a bien compris.

 

Et là je lui demande directement s’il veut bien me faire l’amour. Comme ca. Sans détours.

 

Sa tête ressemble à un bonhomme de bande dessinée recevant un rocher tombé du ciel !

 

La surprise étant passée et devant mon air naturel et décidé, il me parle d’Agnès, de notre relation, de lui, pourquoi lui ? Qu’il me trouve plus que désirable, mais qu’il ne lui semble pas être amoureux. Que ce n’est pas ce qu’il était venu chercher en m’accompagnant. A quoi je lui réponds tout naturellement, que je ne suis pas amoureuse de lui, mais que je l’apprécie énormément et que cela n’a rien à voir avec Agnès. Qu’elle et moi faisons l’amour de façon torride et amoureuse, et que rien ne changera. Je l’aime. Mais que je veux absolument faire l’amour avec un garçon et qu’il est le seul avec qui j’ai envie de le faire. Il attend une suite à mon explication, et comme elle ne vient pas il reste un moment à me regarder sans rien dire. Il lui faut digérer mes paroles.

 

Évidement qu’il a très envie de moi. Depuis longtemps déjà. Mais je suis sa « copine », il me trouve jolie et sexy, il est fier de se promener avec moi, mais quelque chose le retient pour me draguer plus que ca. Il aime bien notre complicité, et la place qu’il a vis-à-vis des autres copains. Des petits moments d’intimité partagés parfois, dans les vestiaires, et quand il vient me chercher ici, et qu’il me voit évoluer dans des tenues souvent très sexys.

 

Il me redemande un thé. Il est plutôt perdu devant mon audace. Je lui ressers et j’en profite pour m’approcher et lui offrir mon ventre à hauteur de ses yeux. Il me regarde, me demande si je suis folle ou sérieuse. Mes seins pointent de plus belle à portée se sa bouche. Tentation extrême. Il ajoute que l’envie pour lui est évidente, que je suis très belle et très excitante, mais la situation peu banale. Sur ce, avant qu’il ne reprenne sa tasse, je l’enjambe et m’assoies sur lui, face à lui, à califourchon.

 

On se marre deux minutes, puis il ose m’embrasser un sein, et commence à me caresser. Ses mains dans mon dos, sur mes cuisses. J’ai chaud. Mes seins se gonflent et durcissent comme pour l’encourager. Je descends ma main à la rencontre de ce que je convoite en rêve depuis un moment. Je passe ma main dans son jeans, attrape son sexe brulant. Il est dur.

 

C’est sur ! Je le veux ! Et je commence de le branler doucement en lui offrant un sein et en me caressant l’autre. J’ai envie et mon bassin ondule sur lui. Je vais à la rencontre de son sexe. Je le veux. Et je l’embrasse. Je cherche sa langue et je joue avec. Tension extrême !

 

On se câline un moment, comme ca, puis il me demande QUAND je VEUX le faire, en riant, et en ajoutant : « puisque c’est une commande… »

 

Et je lui dis que je suis plus que prête, en avançant mon ventre à la rencontre de son membre étriqué dans son jeans. Je me frotte quelques instants dessus et je le sens bien comme ca, dur. Je mouille mon shorty et il le voit. Il me mange la poitrine de plus belle, et moi je suis posée sur son membre, encore plus dur.

 

Alors, je l’emmène dans ma chambre. Je m’installe sur mon lit pendant qu’il se déshabille. Je regarde avec délice son buste, que je connais déjà, mais cette fois il est pour moi. Puis il descend son jeans, et je guette comme une môme l’objet de mon désir. Il est un peu intimidé quand même devant mon assurance. Et il me redemande plusieurs fois si je suis vraiment bien décidée à me donner à lui. Et de lui expliquer à nouveau que j’en ai fort envie et qu’il est le seul à qui je peux demander ca, et pour une simple raison, c’est qu’il est le seul en qui je peux avoir confiance.

 

Et confiance à ce point là. Et quand je lui demande si je ne lui plais pas assez, il me saute dessus en m’avouant que ca fait déjà un moment qu’il me regarde avec un vrai plaisir et qu’il est fière de se promener avec une fille comme moi et que… Je me plaque à lui, l’embrasse comme je sais le faire pour affoler Agnès. Et lui, il s’affole aussi. Et nous partons dans un corps à corps assez torride un moment, à se caresser, s’embrasser, et je commence à fouiller dans son boxer pour malaxer son sexe avec vigueur. Il est très excité. Il bande très fort. Je le branle gentiment. Il passe un moment entre mes jambes à me caresser. Je suis brûlante de désir, et son membre grossit et me brule les mains aussi. Je me colle à lui de tout mon corps. Je suis folle d’envie, excitée de savoir que je vais me donner.  

 

On se calme un peu pour parler encore de mon envie et de ma façon de voir ce moment. Je lui explique que pour moi c’est une envie, une recherche de plaisir, et un désir de découvrir dans les bras de quelqu’un que j’apprécie. Que je l’ai choisi, que ce n’est pas un hasard. Il semble se rassurer. Je commence alors à quitter mon shorty, et me caresser seule sous ses yeux, comme je le fais souvent avec Agnès. Il savoure le spectacle de mes doigts en moi et sur moi.

 

De l’autre main je tire sur son boxer pour qu’il puisse être à ma disposition. Il se relève et fini de se mettre nu. Il est complètement à l’aise maintenant, et vu comme il bande en se retournant, il a lui aussi une très forte envie. Il me rejoint et je continue de me faire du bien tout en le branlant. Sur le dos, j’offre à ses yeux mon corps, et mon plaisir, en ouvrant au mieux mes jambes et en me masturbant de plus en plus fort. Jeu habituel avec Agnès. Se faire du bien sous les yeux de l’autre est un moment merveilleux et très excitant pour tout le monde. Il savoure de me voir me cambrer sous la pression de mes doigts.

 

Puis je me penche sur lui pour l’engloutir dans ma bouche, sans attendre, avec gourmandise. Le contact de sa queue sur ma langue me fait gémir et couler comme rarement. Elle est belle et bien chaude. Une bonne odeur également qui vient de son sexe. Des frissons énormes dans tout le corps. Ce sexe est à moi. Il est surpris de mon geste. Mais il se laisse faire, et me dit en gémissant que j’ai une bouche experte. Très fière, je le lèche et le mâche de plus belle.

 

Il est bon, son sexe. Je le sens vibrer sur ma langue. Je gémis aussi du plaisir que j’ai à le manger de la sorte. Je me sens merveilleusement bien dans cette attitude. Son sexe, dur et tendre, soyeux, qui répond à ma bouche, que je sens vivre sur ma langue. Sensation superbe !

 

Il m’arrête à regret et s’occupe de moi. Je me laisse aller. Il me fouille de sa langue et je monte mon ventre en gémissant à la rencontre de sa bouche. Je vois sa tête enfouie entre mes jambes, ses mains qui courent partout sur moi, et je le sens m’aspirer, me lécher, m’embrasser. C’est la première bouche en dehors d’Agnès qui me donne autant de plaisir. Je prends sa tête, et m’agite comme une folle sur sa bouche. Et là, en me caressant de façon précise, il me chuchote que si je veux bien, qu’il va me prendre maintenant pour ne pas risquer de succomber trop rapidement tellement je l’ai excité depuis que nous sommes arrivés.

 

Il m’avoue n’avoir jamais été autant excité avec une fille. J’en coule de plus belle. Je m’abandonne. Je vais me faire prendre. Je vais me faire baiser. Je le voulais. J’y suis. Viens ! Il s’installe entre mes jambes ouvertes. Et avant de remonter, il me lèche quelques minutes, pour bien me goûter et je coule dans sa bouche. Il me déguste. Tout aussi bien qu’Agnès peut me le faire. Puis il remonte poser sa queue entre les lèvres de mon minou qui l’attend avec beaucoup d’envie. J’en sursaute de joie. Elle est posée, brulante entre mes lèvres.

 

Je sens son gland se promener sur ma vulve, il me brule, et je l’imagine bientôt en moi. Mon ventre est secoué tellement le contact de sa queue m’électrise. Je savoure la vue de mon minou, trempé, ouvert, et de son sexe tendu, rouge. Ils semblent se désirer, s’observer tous les deux. Il se frotte doucement, et me demande si je veux le recevoir, s’il est invité ? Je l’attrape et guide son gland entre mes lèvres. Je le frotte sur mon bouton puis sur la longueur de mon minou, je veux le sentir, je m’écarte au mieux. Je lui fais signe. Et je sens quelques chose de chaud, de doux, de terriblement agréable m’envahir. Indéfinissable sensation que ce contact au plus intime de moi. Un sexe.

 

J’avais un peu peur un instant avant de monter dans la chambre, mais là, je suis complètement libérée. Et il continue de me pénétrer, de s’enfoncer, en douceur, sans bouger. Juste être en moi. Et je suis toute tendue vers lui. Je l’engloutie. Je l’aspire avec mon sexe. Je regarde sa queue entrer doucement en moi, s’enfoncer. Sensation à la fois exquise et étrange. Je suis heureuse. En sueur. Comblée. J’ai un sexe en moi et c’est encore mieux qu’en rêve.

 

Mon premier sexe. Sensation sublime. Il est au fond je le sens. J’admire le spectacle de sa queue presque entière enfouie en moi. Il m’interroge du regard. Je luis dis que c’est extra. Mieux que ce que j’en attendais. Que je ne vois pas qui aurait pu être à sa place et que c’est merveilleux. Je mords mes lèvres et mes yeux se remplissent de larmes tellement le moment est sublime. Je suis prise ! Il sourit et commence à aller et venir en moi, tout en douceur. Je ressens sa queue sur toutes les parois de mon sexe. Il me fouille partout. Je ne pensais pas que ca puisse me combler comme ca. Je gémis à mon tour. Je suis trop bien. Et lui continue de me prendre, mais calmement. Il ressort complètement et me pénètre à nouveau. Génial ! Je me tends un maximum pour mieux le sentir.

 

Quand il ressort à nouveau, mon sexe va le chercher, tellement je le veux en moi. Et on continue ainsi un long moment. Il est chaud en moi. C’est trop bon. Il remonte un peu et maintenant son sexe me frotte le bouton à chaque mouvement. Toute ma chatte ressent du plaisir, mes lèvres, mon bouton, ma vulve et toutes les parois de mon minou sont excitées. Il bouge dans tous les sens, et j’ai une sensation folle d’avoir comme plusieurs queues en moi. J’ai des frissons tout le corps. Je transpire, j’ai chaud, c’est agréable.

 

Je jouis. Des petites jouissances répétitives. Jusqu’à un frisson bien plus fort. Je pousse des petits cris à chaque fois qu’il entre encore. Je jouis avec une queue dans moi. Pas plus qu’avec Agnès, différemment. Un autre immense plaisir. Une autre sensation. Un bonheur. Je jouis beaucoup de cette situation dont je rêvais depuis un moment.

 

Lui me regarde prendre mon plaisir, et commence à grimacer de douleur. Il me dit qu’il a envie à son tour et qu’il va chercher un préservatif. Juste le temps de lui faire comprendre que s’il est sur de lui je préfère le garder en moi. Nous sommes suffisamment proches pour nous faire confiance.

 

Alors il reprend ses mouvements et je ressens encore des frissons. Il me prend de plus en plus fort, vite, il me fait vibrer, je le sens au plus profond. Mon sexe est trempé, électrisé, sensible, et me procure des sensations nouvelles, et je sens comme il enveloppe cette merveilleuse queue, comme un baiser langoureux de toute ma chatte sur lui. Puis il accélère, il me prend un peu plus fort jusqu’a ce qu’il se tende, reste au fond de moi, pousse un petit cri et je sens son jus brulant jaillir dans moi. J’ai fais l’amour ! C’est génial ! Trop bien !

 

Il reste en moi un moment pour se reprendre, il m’embrasse, puis on se retrouve côte à côte pour se couvrir de baisers et de gestes tendres. J’ai plaisir à caresser cette queue qui est toute mouillée de moi, de lui. Elle se détend et je ne résiste pas à la reprendre en bouche. Comme pour la remercier du plaisir qu’elle m’a donné. Elle est chaude et humide sur ma langue. Mon gout et le sien mêlés… Elle diminue dans ma bouche et semble elle aussi, heureuse du moment qu’elle a passé au fond de moi.

 

Puis on parle.

 

Il comprend que je ne souhaite que faire l’amour avec lui. Ne pas être « avec » lui. Que je suis bien consciente de ce que je lui ai demandé. Que j’en suis très heureuse. Que rien ne va changer entre nous, si ce n’est une complicité particulière. Que je veux que l’on recommence quand il le souhaite ou moi, mais qu’il n’est pas juste un sexe. Il est mon ami, et maintenant le plus intime de mes amis. Qu’il ne doit pas s’installer de relation amoureuse plus forte que celle que l’on connait déjà.

 

C’est presque un « pacte » de mômes que l’on signe là, sur mon lit, nus et en sueur. Et moi j’en suis fière. Et nous refaisons l’amour avec joie, sans retenues, en riant, en jouant, comme si nous avions toujours fait cela ensemble. Je suis comblée de pouvoir me faire prendre ainsi sans plus de complications que cela. Faire l’amour. Être bien. Un nouveau plaisir.

 

Notre pacte a tenu et tient toujours. Nous faisons l’amour parfois, quand j’en ai envie, ou lui. On s’appelle, et on décide de le faire, tout simplement. Agnès me demande chaque fois comment ça se passe. Elle me questionne sur mon plaisir. Elle est complice aussi avec lui. Ils me partagent, même si Agnès a une place particulière. Il le sait. Elle le sait. Nous vivons quelque chose de magnifique, et moi un peu plus qu’eux deux. Je prends un plaisir fou entre ses bras à elle et avec lui aussi. J’ai la chance de pouvoir me partager avec eux.

 

Je les aime, différemment, mais je les aime.

 

 

Par Julia B. - Publié dans : La vie de Julia - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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