Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
« Chéri, voilà ! »
Ma femme m’interpelle alors qu’elle est allongée devant moi, avec son amant… Et elle continue, le sourire aux lèvres, quasi narquoise…
« Ça y est, tu es heureux ? Il vient de me pénétrer avec sa belle verge et toi, tu regardes béatement. C’est bien ce que tu voulais ? Oh, j’ai mis du temps avant d’accepter, car je ne voulais que toi. Huit ans ! Il t’a fallu huit ans d’efforts et d’attente. Huit années pendant lesquelles j’ai toujours refusé. Mais aujourd’hui, je prends mon pied et je t’avoue que ton bon plaisir ne m’importe pas. Et oui, si ce jeune homme me baise en ce moment, ce n’est pas parce que tu l’as voulu, mais bien parce que j’ai envie de jouir, jouir comme jamais je ne l’ai fait auparavant. Et il me fait beaucoup de bien.
Regarde mon amour puisque cela t’excite.
Regarde comme il me pilonne avec son gros engin. Quand je pense que je me suis toujours cru satisfaite avec toi, avec ton petit zizi. Quand je pense que tu me fatiguais avec tes demandes incessantes et variées. J’aurais dû accepter tout de suite. Je n’ai pas de regret cependant, car vois-tu, je sens que je vais jouir intensément dans quelques instants et quelque chose me dit que cela ne sera pas la dernière fois aujourd’hui.
Ça y est, je jouis. Branle-toi autant que tu veux en regardant mon amour, je m’en fiche. Je jouis.
Comment est-ce possible de jouir autant ? Comment peut-il me faire autant de bien ?
Mon Dieu que c’est bon !
Il va venir lui aussi, je le sens. Il va se vider les couilles dans ma chatte.
Moi qui n’ai connu que ton sperme à ce jour, je vais recevoir la semence d’un autre homme.
Ça y est, il se vide en moi ! »
Elle s’affale sur son amant, à la fin de sa longue tirade…
Impuissant, j’assiste à ma déchéance finale, celle que j’ai toujours souhaité et que je vis enfin, pour la première fois, ma petite bite à la main…
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