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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Un mercredi soir, je rentre tranquillement du boulot, et ravi, car mon patron m’a donné une semaine de congé, pour récupérer des RTT. Du coup, je suis passé chez ma belle-mère, Janine, pour lui annoncer que nous pourrions aller à la pêche. Bien évidemment, elle était d’accord. C’est souvent l’occasion de baiser tous les  deux comme des fous…

Quand Sandy est rentrée, elle a cassé mon enthousiasme. Quand elle a su que j’étais libre, elle m’a demandé si je pouvais aller faire des réparations dans l’appartement de sa sœur.

Nous avons convenu qu’elle irait pendant le week-end, pendant que je serai à la pêche, avec  sa mère, et que je continuerai les travaux le lundi matin. Quand je suis rentré, j’étais bien chaud, car avec  ma belle-mère, on n’avait pas arrêté de copuler. Mais je fus bien déçu, car ma femme était indisposée. Ce n’était que partie remise, mais j’étais quand même bien excité…

Je préparais mes affaires pour le lendemain, mais Sandy vint me dire de préparer un vrai sac, car je serai obligé de rester la nuit. Elle devait garder la voiture pour son boulot, et elle travaillait aussi de nuit. J’étais condamné à rester chez ma belle-sœur. Je n’étais pas vraiment heureux !

Le lundi donc, Sandy m’accompagne chez  Nicole. Nous discutons un peu, elle me remercie de venir l’aider, et de rester au moins deux jours. Ma belle sœur se met à rire : 

«  Je veux bien que tu restes dormir, mais il faut faire la chambre d’amis, alors, elle ne sera pas libre !

- Pas grave, je dormirais avec toi, lui répondis-je en riant.

- Sois sage, je te connais », me rétorqua Sandy en riant.

 

Au moment de partir, j’ai embrassé ma femme en la serrant fort dans mes bras. Rien que ça, ça me donnait la trique ! J’avais vraiment une grosse envie de baiser depuis trois jours. Ca n’arrangeait rien !

Quand elle est partie, Nicole m’a montré tout ce qu’il y avait à faire. Et le moins que l’on puisse dire est que j’avais du boulot !!! Il fallait déjà décaper toutes les portes et les repeindre, puis faire la chambre d’amis.

Le soir venu, j’ai demandé à Nicole un drap pour fermer la salle de bains, pour que je ne la voie pas se laver. Nicole me répondit : 

« Chris, quand même tu es assez grand ! Tu ne vas pas me mater à ce moment-là !

- Tu sais, je ne suis qu’un homme, je suis faible !

- Et moi, je suis une femme sans mec depuis deux ans ! »

 

Nous avons pris notre douche à tour de rôle, mais quand elle est sortie, je n’ai pu m’empêcher de la regarder. Elle avait juste une serviette sur elle. Elle était vraiment bien foutue ! Elle est entrée dans sa chambre, pour en ressortir à peine vêtue d’une tenue très légère.

Et moi, je l’imaginais très bien nue ! Elle a bien vu que je la matais de la tête aux pieds, mais elle a fait semblant de rien. Nous sommes allés nous couchés chacun de notre coté.

 

Le lendemain matin, je suis rentré très vite dans la salle de bains. Mais Nicole y était déjà. Je me suis excusé, elle était toute nue. Je suis ressorti très vite, mais je me suis mis dans un angle où je pouvais la mater sans qu’elle me voie…

Elle était vriament bien faite, avec des beaux seins, un peu plus petits que ceux de Sandy. Mais pas aussi beaux que ceux de la vieille ! Je bandais déjà bien dur, rien qu’à la regarder. Je ne pouvais pas rester là, je suis allé dans ma chambre pour me branler un peu. J’ai joui très vite, et je suis allé dans la salle de bains enfin libre, pour me laver.

 

Nous avons travaillé toute la journée, comme si de rien n’était.

Nous étions en train de finir une tapisserie quand j’ai raconté une blague à Nicole. Elle s’est mise à rire beaucoup. Tellement qu’elle m’a implorée :

«  Arrêtes, Chris, ou je vais pisser dans ma culotte ! »

Elle serrait les jambes très fort, et a fini par y mettre sa main, comme pour mieux se retenir. Elle s’est levée en titubant, pour aller aux toilettes.

En sortant, elle me dit : « Regarde, Chris, tu m’as fait pisser dans ma culotte !

- Je ne  crois pas !

- Mais si, regarde, même mon jean est humide ! Je changerai ça ce soir.

- Ah bon, tu gardes ta culotte mouillée ?

- Non, juste le jean. Je n’ai plus rien en-dessous… »

 

J’étais tout troublé de savoir ça… Nous avons fini le travail, et sommes allés nous doucher. Mais je n’avais pas prévu de rester une nuit de plus, et je n’avais pas de vêtements propres. Alors, je suis sorti  de la salle de bains juste avec ma serviette.

Quand je suis sorti, Nicole m’a interpellé : « Eh Chris, ben dis-donc, tu sens bon ! »

Et elle s’approche de moi, pour me renifler du bas de la poitrine jusque vers le cou. Insensiblement, elle tourne la tête, et son visage s’approche du mien.

Ses lèvres étaient maintenant tout près des miennes. Je n’en pouvais plus, et j’ai posé une main sur ses fesses. D l’autre, je lui tenais l’épaule. Je la pelotais de plus en plus fort. Nicole a voulu enfin me repousser, mais dans son geste, elle a fait tomber ma serviette. Là, elle a vu comme je bandais dur : « Chris, on ne peut pas faire ça ! Mais putain, t’es super bien monté ! »

 

Alors, elle s’est assise sur le canapé, et continuait de fixer ma bite bien dure. Elle l’avait maintenant à hauteur de visage.

« Humm, elle est grosse comme j’aime, me dit-elle en rougissant un peu.

- Elle te plait ?

- Oh oui, je peux la toucher ? »

Comment dire non ? Alors, elle a levé ma main pour toucher mon gland décalotté. Rien que ca, j’ai bandé encore plus fort.

 

Elle a écarté les cuisses, et j’ai senti son odeur de femelle me chatouiller les narines… j’en avais la tête qui tournait. Je me suis penché ver elle. L’odeur de sa mouille était de plus en plus forte. Je ne résiste pas à cette odeur de femme en chaleur…

Pourtant, elle me dit, avec un mouvement de recul : « Non, on ne peut pas faire ça ! Tu es mon beau-frère ! Je ne peux pas faire de mal à Sandy !

- Ne t’inquiètes pas, elle sait que j’aime le sexe… Et confidences pour confidences, je couche déjà avec ta mère !

- Comment tu peux faire ça ! Et Sandy alors ?

- Ta sœur ? Mais elle est d’accord. On baise même tous les trois ensemble, par fois !

- Vous êtes de sacrés vicieux, quand même !

- Et toi, alors,  à vouloir toucher ma bite, tu es quoi ??? »

 

Elle baisse la tete, ne sachant plus que dire.

 

A défaut de parler, elle agit : elle se laisse glisser au sol, et se met à genoux devant moi. Une main passe derrière ma cuisse, l’autre remonte vers mes couilles. Elle les attrape doucement, et commence à les malaxer doucement. Je bande vraiment dur…

Enfin sa seconde main vient se poser sur ma bite raide. Avant que j’aie eu le temps de dire ouf, elle me gobe le chibre d’un coup. Bon sans, elle suce bien ! Ce doit être de famille !!!!

 

Elle gémit, murmure des mots incompréhensibles pour finir par articuler : « Tu sais Chris, ca fait deux ans que je n’ai pas vu de bites ! »

 

Elle avale de nouveau ma queue en entier, et je lui presse ma tête contre le pubis quand je sens que je vais venir.  J’éclate dans sa bouche en gros jets épais. Elle avale tout, la garce !

« Mhum,  Chris, tu jouis comme un cheval ! J’aime ta crème… 

- Ta mère aussi, elle aime mon sperme. Elle veut toujours tout manger ! »

 

Même si j’ai joui, je bande toujours. Je la culbute par terre, elle écarte grand les cuisses. Je vois cette superbe chatte trempée, et je ne peux m’empêcher de me jeter dessus. Je la dévore avec passion, m’enivrant de ses effluves de femelle en chaleur. Je presse mon nez dans sa vulve ouverte. Je lape sa mouille odorante.

 J’étais à fond dans ma caresse, et voilà qu’on sonne à la porte.

Nicole se lève en râlant, et va ouvrir. C’est sa voisine Sylvie. Sidéré, je vis la voisine plaquer sa main sur la chatte de ma belle-sœur !

Elle entre, me fait la bise. Elle me renifle : « Dis-donc, toi tu sens la mouille. Vous faisiez quoi, avant que je n’arrive ?

- Euh, ben…

- Te fatigue pas, j’ai compris. »

 

Elle fait signe à Nicole de partir. Celle-ci obéit à regret. Et moi aussi, j’étais déçu. Je me serais bien fait les deux lesbiennes !!!

A peine la porte fermée, elle est venue se mettre à quatre pattes devant moi. Sa vulve ressortait de façon indécente.

« Allez, Chris, ramone bien mon trou. J’ai trop envie de ta queue ! »

 

Sans perdre une seconde, je la pénètre doucement, et la besogne de plus en plus vite. Mes couilles cognent contre son clito… Elle était très étroite, et elle me serrait bien.

J’ai laissé ma bite ressortir et je me suis penché pour la lécher à nouveau. Son odeur de chatte plus celle de ma queue, j’étais super excité !!! Je sentais sa mouille couler sous ma langue.. Quel nectar !

Elle me demanda à nouveau : « Chris, défonce encore ma chatte, baise-moi à fond ! »

 

J’obéis et me remis à la pilonner. Pendant que je la besogne à fond, elle branle son clito. D’un coup, elle se laisse tomber, se retourne, et me crie : « Je vais jouir, bouffe ma chatte !!! »

 

Je me jette comme un affamé sur cette moule détrempée. Je l’ai léchée de partout. Elle commença à pousser des petits cris et de me dire plein de cochonneries. Soudain, elle hurle un grand  ouuuiiiii

Elle a écarté sa chatte avec ses deux mains. Je lui ai enfoncé ma langue au plus profond de son con bien ouvert. Alors, un nouveau «  ouuuuiiiiiiiiiiiiiiiii » envahit la pièce, et un fort jet de mouille est parti. J’en ai eu dans la bouche et sur mon visage. Elle hurlait de plaisir comme une salope et jouissait sur moi. Je n’en revenais pas. Elle était comme une femme –fontaine.

Mais moi, je n‘avais pas joui. Je lui ordonnais : « Couche-toi, que je te baise comme une bonne salope ! »

 

Elle s’est bien allongée sur le dos, écartant ses cuisses à deux mains. J’ai plongé ma bite dans ce vagin dilaté. A chaque coup de rein, la mouille giclait à l’extérieur. Je l’ai baisée comme une chienne, elle en redemandait encore.

Enfin, je me suis vidé dans sa chatte, de toute ma semence en réserve. Ma sauce blanche coulait sur ses cuisses, mêlée à sa cyprine.

 

Nicole s’est presqu’aussitôt endormie comme ça. Je la regardais, et je ne pus m’empêcher de venir renifler cette chatte pleine de nos fluides. C’était gluant et visqueux, juste comme j’aime ! J’avais à nouveau la trique ! Je me suis penché pour  la lécher un peu. Elle s’est réveillée en souriant : 

« Tu es un gros cochon, Chris ! Mais j’aime ça. Baise-moi encore. Je n’en n’ai pas eu assez !

-  Si tu veux, ta chatte est trop bonne ! Ca doit être de famille ! »

 

Elle s’est mise à nouveau en levrette, m’offrant sa vulve gonflée. Je m’y suis enfoncé d’un coup, tant nous étions excités tous les deux.

En la baisant à fond, je voyais sa rosette d’ouvrir un peu. Alors, j’y ai enfoncé mon pouce. Elle a crié : « Oh oui, c’est bon, ouvre mon cul !

- Tu en veux encore, ma salope chérie ?

- Oh oui, prends-moi le cul ! »

 

Je l’ai dilatée en cadence, et quand elle a été bien ouverte, j’ai enfourné mon gland, puis ma bite entière dans son conduit anal. Là, elle me serrait encore plus ! C’était trop bon !

Mais je n’ai pas tenu longtemps, et mon foutre est parti lui gainer les intestins en quelques minutes.

Elle jouit aussi en criant très fort, et en martyrisant son clito.

 

Nous venions à peine de finir, qu’on sonne à la porte. C’était Sandy. Quand elle m’a embrassé, elle m’a reniflé un peu : « Mhum, Chris tu sens bizarre… Tu ne sentirais pas la mouille ??? »

 

Elle a souri et nous sommes partis.

 

Voilà une histoire qui finit bien. Décidemment, les femmes de cette famille sont de belles salopes ! Et je les adore !

Par Chris et Sophie de R. - Publié dans : Chris et sa belle-mère - Communauté : Fantasmes & plaisirs
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