Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
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Bises libertines,
Sophie
Puisque vous me le demandez si gentiment, je vous livre la suite des mes aventures avec ma
belle-mère Janine, et ma femme Sandy. Ce que vous allez lire vous confirmera que j’ai affaire à deux belles salopes !
Ma belle–mère partait en cure de repos, pendant trois semaines. C’est moi qui l’ai conduite là-bas. Ma femme ne nous a pas accompagnés, car elle devait travailler.
Pendant toute la durée du voyage, nous avons parlé de tout et de rien. Peu avant l’arrivée, je lui dis : « Pendant trois semaines, tu ne vas pas avoir de sexe. Comment tu vas faire ???
- Je ne sais pas, mais quand je rentrerai, tu pourras me sauter à nouveau, on se rattrapera !
- Compte sur moi, je ne te louperai pas, tu baises trop bien, pour une vieille ! »
Je la sentais déjà toute excitée, rien que de parler de ça. Il nous restait moins de dix kilomètres à faire, et elle m’a demandé de m’arrêter.
« Pourquoi tu veux que je m’arrête ?
- Trouve un petit chemin, je veux voir ta queue avant d’arriver, une dernière fois.
- Si ca peut te faire plaisir, mais c’est toi qui la sors de mon pantalon ! »
Je trouvais un chemin creux où m’arrêter. A peine le moteur coupé, elle sort ma queue de mon jean. Bien sur, elle commence à la caresser. En quelques secondes, je bandais comme un taureau, comme à chaque fois qu’elle me touche. Elle me regarde avec les yeux plein d’envie, et me supplie de la laisser me sucer. Comment refuser ???
Elle se penche en avant, et embouche ma pine d’un trait. Une vraie gloutonne. Sa bouche est toujours aussi bonne. Elle pompe, suce, aspire, lèche comme une reine. Mais du monde peut arriver. Je lui dis d’arrêter, qu’on va continuer plus tard. Elle regrette, car je suis au bord de jouir… Mais je tiens bon, je veux profiter de cette pipe d’enfer à fond. Elle passe ses doigts sur mon gland, ramasse le liquide qui coule et le passe sur ses lèvres. Elle semble adorer ça…
Alors, je reprends la route, et nous arrivons à l’hôtel de la cure.
A l’accueil, l’hôtesse avait l’air étonnée de voir arriver deux personnes. Je lui confirme que la réservation est bien une chambre pour une personne, et elle nous donne la 105.
Nous montons, et j’aide Janine à ranger ses affaires dans l’armoire. Comme j’ai envie de pisser, je vais aux toilettes, et là, je m’assieds sur le siège des wc. J’étais à peine assis que la porte s’ouvre et que ma belle-mère est là, me souriant. J’ai fini d’uriner, et j’ai secoué ma queue. Je me suis levé pour aller au lavabo la rincer un peu. Elle est venue derrière moi, et m’attrape les couilles entre les cuisses. Je n’ai pas le temps d’ouvrir le robinet, qu’elle me fait pivoter et s’agenouille devant moi : « Viens Chris, elles sont pleines, je vais te les vider comme il faut ! »
A peine dans sa bouche, mon chibre a pris du volume, jusqu’à l’étouffer.
« Oh Chris, j’aime trop ta queue, elle va me manquer ! J’aime la bouffer, allez vide-toi dans ma bouche, lâche ta crème, j’ai faim de toi ! Jouis dans ma bouche de salope ! »
Je saisis sa tête pour accélérer le mouvement. Je baisais sa bouche comme un vagin, sans ménagement. J’éjectais ma purée d’un coup, qu’elle avala sans sourciller.
« Putain, t’es bonne toi, tu suces trop bien !
- Je te suce bien parce que j’aime ta pine, et j’aime ton jus ! »
Nous avons décidé de visiter la ville, avant de partir, je lui dis : « Janine, je ne vais pas partir comme ça, je vais te laisser un souvenir de moi… Viens dans la chambre. »
Nous sommes remontés, et une fois arrivés, j’ai ôté mon pantalon, retiré mon slip. Je l’ai frotté vigoureusement sur ma bite. « Ma vieille salope, je te laisse mon slip, comme ça, tu auras un souvenir de moi pour ces trois semaines d’abstinence ! »
Bien sur, même si ce n’était pas le but, j’ai bandé à nouveau !
Elle l’a vu, et m’a dit qu’elle avait envie de moi. Je ne voulais pas, car il fallait que je fasse la route du retour. Mais la garce sait y faire ! Elle m’a aidé à remonter mon pantalon, et comme ça, elle avait ma queue à hauteur se son visage. Sans me laisser le temps de réagir, elle l’a attrapée entre ses lèvres, et a recommencé à me sucer comme une diablesse. C’était trop bon. Je lui ai dit de se coucher sur le lit, j’ai relevé sa robe, j’ai arraché sa culotte brutalement. D’un autre coup sec, j’ai écarté ses belles cuisses rondes. Sa chatte était bien touffue, ce jour-là. Je me suis rapproché de son mont de Vénus bien poilu, il dégageait une forte odeur de femme. Je ne peux pas résister à cette odeur-là. J’ai enfoncé mes doigts dans sa fente, pour mieux la sentir. Fou de désir, j’ai plongé ma langue au plus profond de cette forêt pas du tout vierge. Je la fourrais partout, n’oubliant aucun recoin, aucun repli. Je lapais sa cyprine comme un chat boit le lait. C’était trop bon. Elle gémissait, elle grognait sous mes caresses. Elle a joui une première fois, me lâchant un flot de mouille sur le visage. Ma queue me faisait mal, tellement je bandais. Je n’y tenais plus, il fallait que je la baise à fond : « Tourne-toi, que je te prenne comme une chienne !
- Oh oui , Chris, défonce-moi bien ! »
Elle s’est tournée, m’offrant sa croupe relevée. Son abricot ressortait, gonflé, indécent : un vrai appel au crime ! D’un coup violent, je lui enfonce ma bite au fond de son ventre. Elle crie sous la poussée brusque. Il faut dire qu’avec elle, au contraire de ma femme, je suis brutal, presque bestial. C’est elle et son comportement de chienne en chaleur qui me fait cet effet-là.
Je lui ai dit de se taire, pour ne pas ameuter tout l’hôtel. Pour toute réponse, elle m’ordonna : « Tais-toi, toi ! Baise-moi, je veux que tu me déchires la chatte ! »
Je ne me suis pas fait prier, et l’ai besognée comme un malade. Elle criait à chaque coup de boutoir, je sentais sa mouille gicler contre ma bite. J’avais envie de jouir dans sa bouche, mais cette idée m’a excité encore plus. Du coup, j’ai balancé toute la purée au fond de son con, en jets puissants. Je suis ressorti du fourreau brulant, et suis tombé sur le coté.
Elle se coucha près de moi, et me dit : « Tu m’as baisée comme jamais, Chris. Tu as été violent, une vraie bête sauvage. Ma chatte est en feu.
- Excuse-moi, Janine, mais ca faisait six semaines que je ne t’avais pas sautée. Tu m’as trop excité.
- Je sais, mais c’est toi qui me donne ces envies, quand je pense à ta belle queue… »
Je me suis endormi quelques minutes, puis je suis parti, non sans lui laisser mon slip, pour qu’elle puisse se branler avec mon odeur.
En chemin, je me demandais comment expliquer mon retard à Sandy. Mais je savais aussi qu’elle connait bien sa mère, et s’est surement doutée qu’elle a voulu goûter de ma bite.
Quand je suis rentré, j’ai dit toute la vérité à ma femme.
« Ca ne m’étonne pas, une vraie pompe à bites, ma mère… Mais que tu me racontes cette histoire m’a excitée... J’ai envie de toi, mon chéri ! »
Joignant le geste à la parole, elle a posé sa main sur mon pantalon, me provoquant illico une nouvelle érection. Elle a sorti ma bite et a tout de suite senti son odeur. En effet, j’étais parti de l’hôtel sans me laver.
« Oh la la, mon chéri, ta queue sent fort la chatte de maman. Elle a du bien en profiter ! Tu as du bien la sauter, comme la salope qu’elle est !!! »
Elle a continué de me masturber, tant et si bien que j’ai joui dans sa main. Ma femme est une déesse ! Elle a étalé tout le sperme sur mon corps, en douces caresses. Puis nous sommes allés nous coucher, passer une bonne nuit.
Le lendemain, j’ai proposé à Sandy d’aller voir sa mère en cure, deux semaines plus tard. Elle acquiesça, se doutant de ce qui arriverait là-bas…
Deux semaines plus tard, nous avons pris la route par une belle journée. Nous avons retrouvé Janine, et sommes allés en balade, puis diner au restau le soir. Vers la fin du repas, ma petite cuillère est tombée. Je me suis penché pour la ramasser. J’eu les jambes de Janine sous les yeux, e ne pus m’empêcher de les caresser. La salope, elle a écarté les cuisses : elle n’avait pas de culotte ! Je me redressais, et la regardais droit dans les yeux. Sandy me demanda ce qu’il se passait : « Eh bien ma chérie, ta chère mère ne porte pas de culotte !
- Maman, tu dois être sérieuse, tu ne peux pas sortir comme ça ! Elle avait l’air scandalisé.
- Oh, il faisait tellement chaud à midi, que je n’ai pas pensé à la remettre ! »
Le repas fini, nous disons à la vieille que nous rentrons à la maison. La vieille a protesté, et nous a demandé de rester un peu. Nous sommes donc montés dans sa chambre.
Sandy s’est assise sur la chaise de bureau, Janine sur le lit, et moi, j’en profitais pour aller aux toilettes. Quand je suis sorti, ma femme m’a laissé sa chaise, pour aller aussi dans la salle de bains. En face de moi, ma belle-mère a écarté ses cuisses, comme si de rien n’était. Je voyais très bien sa chatte poilue. Quand Sandy est sortie de la salle d’eau, elle a bien vu que je matais sa mère. Bien évidemment, en voyant cette belle chatte, je me suis mis à bander. Mais la vieille s’est levée, pour aller aussi aux toilettes.
Sandy me dit : « dis donc, voir ça t’excite !!! Tu bandes ! Ta queue est grosse comme tout !
- Ben oui, c’est ta mère ! Quand elle exhibe sa grosse chatte, ca me fait bander !
- Oui, je sais ça. »
Mon sexe était tellement gros que j’étouffais dans mon jean. Elle s’est assise sur le lit en face de moi, a écarté ses jambes. Elle aussi n’avait plus de culotte. Elle l’avait enlevée aux toilettes. Elle me sourit : « Enlève ton pantalon, et sors ta queue. Je veux la voir. »
Je me précipitais pour obéir, quand la belle-mère ouvrit la porte. Elle a ri en me voyant la bite à la main, et a passé vicieusement sa langue sur ses lèvres. Elle s’est assise près de sa fille. Je n’en revenais pas : la mère et la fille, assises là, devant moi, jambes écartées et sans culotte…
Sandy s’est relevée, et a ôté sa jupe : « Allez, viens mon chéri, sors ta queue pour de bon, je n’en peux plus ! »
J’ai sorti ma tige, et j’ai commencé à m’astiquer le nœud, sous les encouragements de Janine. Puis ma femme a demandé à sa mère de se déshabiller aussi. Quand elle fut nue, Sandy écarta ses cuisses, et lui dit : « Oh la la, Maman, ton minou sent la mouille !
- Oh oui, ma fille ! Quand je vois la belle queue de ton mari, je mouille comme une salope ! »
Sandy s’est mise à genoux sur le lit, en me tournant le dos. Je voyais bien son cul, son abricot rouge d’excitation. Elle écarta encore plus les cuisses de sa mère. Cette dernière mouillait comme une folle, son jus coulait sur ses jambes.
Je n’en pouvais plus, de voir ces deux chattes côte à côte, ouvertes, offertes à moi tout seul ! Je voulais baiser la vieille, qui a tout de suite accepté !
Je me suis approché, et j’ai senti sa bonne odeur de femelle en rut. Janine a ouvert en grand ses lèvres intimes avec ses doigts. Je voyais de très près le trou béant de son con ouert.
Je regardais vers Sandy qui, d’un hochement de tète, m’autorisa à bouffer la chatte de sa mère. Je plongeais une fois de plus dans cette motte odorante. Je voulais
récupérer un max de cette si bonne mouille de femme mure. Elle n’arrêtait pas de gémir, de pousser de petits cris. Elle me disait : « vas-y, lèche-moi bien, passe partout, n’oublie
pas ma rosette ! »
En même temps, Sandy me branlait à fond. Quel bonheur de sucer la mère, et de se faire astiquer la bite par la fille ! De son autre main, ma femme se doigtait la chatte bien profond. Nous étions de beaux vicieux, à se baiser comme ça sur le lit ! Elle aussi gémissait de plaisir. Alors, je délaissais le con de Janine, pour le vagin tout chaud de ma femme chérie.
Ma belle-mère reprit ma bite, et me masturba de plus belle. Sandy se tortillait sous ma langue, et elle jouit en criant très fort. Je reçus sa mouille au fond de ma gorge. Son clito était énorme. Mais elle en voulait encore. Alors, j’ai enfoncé trois doigts dans on con trempé.
Le va et vient de Janine sur ma bite était ultrarapide. J’étais au bord de jouir. Sandy lui a dit de ralentir, si elle voulait ma crème !
Elle a ralenti le mouvement, puis Sandy s’est penchée en avant pour me sucer. Alors, la vieille a fait de même. J’avais leurs deux bouches sur ma hampe bouillante. C’était mieux que dans mes fantasmes les plus hard…
Je ne résistais pas longtemps à ce traitement, et je jouis à gros jets de foutre. C’est Janine qui en a pris le plus, comme d’habitude. Celle-là, elle boirait des litres de ma crème ! Elle aspirait mon gland, massait mes couilles, pour faire sortir tout mon jus. Il en sortit encore, qu’elle avala goulûment. Je criais aussi, tant mon plaisir était intense.
La belle-mère soupirait, gémissait et se léchait les lèvres. Sandy n’en revenait pas : « Hé, maman, tu manges son sperme en entier ! Tu l’aimes tant que ça ???
- Oh oui, il est trop bon, je l’adore ! Et en plus, il m’en donne beaucoup à chaque fois ! »
J’avais débandé, mais une dernière goutte de crème restait accrochée. Sandy s’est penchée, et a dit : « Celle-là, c’est pour moi ! Je suis ta femme, quand même !!! »
Mais en fait, elle fit la grimace. Ce n’était pas top son truc. Janine a passé son doigt sur les lèvres de sa fille. Elle les a ensuite mis dans sa bouche… Décidément, rien ne la rassasiait, celle-là !!!
Il est vrai que je ne l’avais pas bourrée comme d’habitude. Ca me manquait, d’ailleurs. Mais bon, il fallait rentrer …
Bien sur, nous avons souvent recommencé nos petites parties à trois…
Ps : si vous avez aimé ce récit, j'ai consacré une catégorie complète à Chris et sa chère belle-mère !
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