Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.
Mes récits sont protégés par e-auteur.com
Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !
Bises libertines,
Sophie
Début novembre....
Laly ne m’a pas appelé cette semaine... Elle est arrivée samedi matin. Je suis très heureux de la retrouver. Elle est de plus en plus
belle.
« Enfin je te vois et je peux voir ton petit ventre s’arrondir.
- Tu es content, mon chéri ?
- Oui très content.
- Mon patron est empêché cette semaine, il est en déplacement.
- Ah !
- Jacques a donc avancé les week-ends libres.
- Et le menu est ‘ ‘
- Jacques m’a recommandé de bien faire les choses... Il ne sera pas là. En fait ce week-end il n’y aura pas de... visiteur.
- Ah c’est une bonne nouvelle !
- Ne te réjouis pas .... Je dois te mettre en condition.
- En condition ... mais pourquoi ?
- C’est pas facile à dire, chéri.
- Tu sais, j’en en vu tellement depuis quelques mois…
- Oui mais ça va te peiner je pense.
- Dis toujours... ai-je le choix ?
- Non.
- Alors ?
- Il faut d’abord que tu rédiges un texte de ta main et que tu le signes.
- Un texte sur quoi ?
- Tu devras écrire toute chose concernant notre relation de couple, comment tu la vis, ce que tu penses de moi, de toi, de Jacques, de
mes amants, de notre futur enfant, de ce que tu es prêt à accepter encore, enfin jusqu’où tu veux que nous allions... et Jacques dit que tu dois insister sur ce que toi tu veux et à la fin de ton
texte je devrais, moi aussi écrire ce que j’en pense et après je te dirais ce que je dois t’annoncer de la part de Jacques.
- Ah... c’est qu’il y a beaucoup à dire et la fin de ta phrase m’inquiète…
- C’est pour cela qu’il faut que tu rédiges ce texte.
- Bon je m’y mets tout de suite.
- Moi je me repose un peu... Je vais me détendre dans le fauteuil.
- A tout à l’heure.
- Ok. »
Me voici donc, dans mon bureau... Je suis assis devant mes feuilles blanches et j’avoue ne pas savoir par où commencer. Je réfléchis
durant beaucoup de temps. Puis j’écris :
« Aveux d’un cocu
Marié à Laly en mai 2002, nous avons eu une vie disons « normale » jusqu’en juin
2003.
Ma femme est une très belle femme, jeune, elle a maintenant presque 20 ans. Elle est ce qu’on appelle une très belle femme. Vraie blonde aux yeux verts, elle a un corps magnifique avec des
hanches très féminines et des seins lourds bien ronds d’un 95D. Elle est grande.
Depuis notre mariage, je suis fier de sa beauté.
Mais en juin 2012, nous avons eu des difficultés financières et le destin nous a placés sur une voie à laquelle nous ne nous attendions pas. Puis deux mois plus tard, notre couple a basculé dans
ce que je pourrais appeler notre nouvelle vie.
Jacques, l’homme qui est à l’origine de ce basculement est entré dans notre vie. Laly pour protéger, au départ, notre situation sociale a, en quelque sorte, cédé aux avances et au chantage
financier de Jacques. Moi, lâchement, je suis resté taisant, j’ai observé de ma cache, ma femme obéir aux exigences de Jacques et se donner à lui. Si j’ai été colère et voulais intervenir, j’ai
vite été confronté à un dilemme intérieur.
En effet, si tout en moi se révoltait, quelque chose de nouveau naissait aussi en moi. J’étais
fasciné et excité par ce que je voyais. Je devenais voyeur, voyeur de ma propre femme satisfaisant un autre homme que moi et voyeur de ma femme faisant l’amour. Tout le temps qu’a duré cette
situation nouvelle, je me suis découvert et j’ai découvert ma femme. Je l’ai vu boire le sperme de cet homme, alors qu’elle ne me l’avait fait, je l’ai vu se faire enculer pour la première fois,
alors qu’elle me l’avait toujours refusé.
Mais ce que j’ai compris, au fond de moi, c’est que ma femme avait aimé se faire prendre comme une salope par cet homme qui aurait pu être son père. Sans doute, la grosseur de son sexe y était pour quelque chose. Son savoir faire aussi. De mon coté, je compris également que j’avais aimé être ainsi cocu par cet homme qui venait de posséder ma femme.
Puis Jacques, sans doute, appréciant le corps et la jeunesse de ma femme, ne nous a pas lâchés et il a, par son adresse, obtenu que Laly le revoie.
Elle était d’accord et moi aussi. Même si nous l’avons reconnu, nous ne nous sommes pas dit ce que nous pensions réellement. Elle n’a pas dit qu’elle brûlait d’envie de refaire l’amour avec lui.
Je ne lui ai pas dit que je désirais qu’elle se fasse prendre encore pas Jacques et surtout qu’il la possède encore comme je l’avais vu possédée la veille.
Ensuite, tout s’est enchaîné, et Laly et moi avons parlé sans limite de ce que nous ressentions et de ce que nous voulions pour notre couple. Nous avons décidé d’un commun accord de poursuivre
cette expérience jusqu’au bout.
Nous avons eu avec Laly quelques moments d’intimité merveilleux jusqu’à ce que Jacques lui interdise d’avoir des relations sexuelles avec moi. Laly m’a dit qu’il voulait qu’elle soit enceinte de
lui.
Mais de plus, Jacques avait dit qu’il voulait la pervertir. Il commença début septembre ....
Et Laly fut prise par plusieurs hommes du village que Jacques avait conviés.
Elle devint ainsi la pute commune, la femme publique. Et même son oncle la baisait.
Elle s’absenta... avec Jacques et lorsqu’elle revint, elle m’annonça être enceinte de lui.
Le coup fut rude mais oh combien excitant.
Elle m’avoua aussi être amoureuse de Jacques, en fait elle m’avoua l’aimer différemment de son amour pour moi, mais l’aimer.
Tout ceci posé, je peux dire aujourd’hui que je sais et accepte que ma femme soit heureuse avec un autre homme que moi. Je suis heureux et accepte qu’elle porte l’enfant de son amant de cœur. Je
suis heureux et accepte qu’elle se donne à lui, qu’elle lui appartienne. Je suis heureux et accepte qu’elle vive avec lui, plus qu’avec moi.
J’aime savoir qu’elle soit devenue sa femme, d’une part, mais aussi qu’elle soit devenue une salope et une pute en « la donnant » à beaucoup d’homme du village.
Je suis devenu le cocu... Aux yeux de tous mes collègues et connaissances. J’aime à penser que
ces hommes qui me jalousaient d’avoir épousé la plus belle fille soient leur amant et la prennent, maintenant, comme leur pute.
J’aime que Jacques interdise à Laly de coucher avec moi, d’avoir des rapports sexuels avec elle. C’est ainsi que je trouve à exprimer ce qu’il faut bien appeler mon masochisme, car j’en souffre,
évidemment. Mais c’est aussi terriblement excitant. Etre cocu soit, mais être dépossédé de sa femme, c’est humiliant, mais excitant cérébralement.
Je sais maintenant, que je peux tout accepter et même plus que ce que j’ai déjà accepter.
Alors, que dire de plus. Que je remercie Jacques et Laly de m’avoir révélé et de me permettre d’exprimer mon masochisme. Que je remercie Jacques de m’avoir évincé dans le cœur et le corps de
Laly. Que je remercie Laly de vivre son amour pour Jacques pleinement.
Je leur demande de continuer ce qu’ils ont entrepris et les remercie tous les deux ....
Alain. »
Laly lu cette confession et apprécia, elle dit qu’elle n’en attendait pas moins et
qu’elle était heureuse de ce que j’exprimais car elle voulait effectivement continuer, en ce sens.
Elle prit un stylo et dit qu’elle allait, elle aussi, participer à cette confession comme l’exigeait, Jacques.
Elle écrivit donc, à la suite de la mienne.
« Je suis Laly, je viens de lire la confession d’Alain. Elle me convient tout à fait.
Mais je voudrais, ici, insister sur plusieurs points, surtout pour que Jacques soit pleinement satisfait. En effet, je considère comme un homme qui accompagne ma vie. Je porte son nom par acte
d’état civil, mais dans mon esprit et dans mon cœur mon mari c’est Jacques. C’est Jacques que j’aime et Alain est mon meilleur ami. Rien de plus, rien de moins. L’enfant que je porte, est le fils
de Jacques mais il sera déclaré à l’état civil sous le nom d’Alain. Ceci afin que ce dernier soit marqué par l’humiliation du cocu. Alain vous a dit, dans sa confession, que j’étais, entre
autres, baisée par mon oncle, et c’est vrai, et Jacques le fera bientôt savoir à mes parents.
Je suis réellement devenue aussi la pute du village et je suis fière car ainsi tous les hommes auxquels Jacques me donne, peuvent dire à Alain qu’eux aussi ils m’ont eue.
Enfin, Alain nous demande, à Jacques et moi, de continuer... Alors je lui dis oui, et il va s’en rendre compte, car Jacques a bien d’autres intentions à mon endroit. ‘
Laly. »
Ainsi Laly avait scellé ma confession par la sienne et la volonté de Jacques.
« Bon maintenant tu peux me dire ce que tu as à me dire ?
- Oui, je vais te le dire, installe toi dans ce fauteuil.
- Je suis prêt.
- Alors voilà ce que dit Jacques : il ne veut plus jamais entendre que tu dises, parlant de
moi, « ma femme » quand tu t’adresseras à qui que ce soit. Tu pourras dire seulement Laly. Il ne veut plus que tu m’appelles autrement que Laly et moi je t’appellerais Alain. Plus de
chérie ou chéri. Il ne veut plus que je sois avec toi chez tes parents ou chez les miens, s’il lui n’y est pas. Il exige de nous deux que nous nous ayons une relation exclusivement courtoise,
respectueuse et amicale quand nous sommes ensemble dans la maison. ‘ Dorénavant en me parlant de lui tu devras dire... ton mari, et en te parlant de lui, je devrais dire... mon mari. A tout le
monde d’ailleurs nous devrons parler ainsi, y compris nos parents. Il exige aussi que nous nous montrions, maintenant, ensemble lui et moi dans le village. Enfin, il change les dernières règles
établies et dorénavant, les hommes auxquels il me donnera, viendront me prendre chez lui et plus chez toi. Ce qui implique que je ne viendrais te voir, amicalement, que lorsqu’il me le
dira.
- Mais enfin, je ne te verrais donc plus !
- Tu ne me verras que lorsqu’il le voudra, lui.
- Mais...
- Tu sais, Alain, sois heureux qu’il n’exige pas que je divorce d’avec toi ‘
- Comment ?
- Oui, tu as bien entendu.
- Tu le ferais ?
- Oui, je le ferais.
- Je suis malheureux…
- Alain, je suis certaine que Jacques sais ce qu’il fait. Il m’a laissé entendre que je viendrais régulièrement te raconter ce qu’il
fait de et avec moi de sorte que tu sois toujours en humiliation et en souffrance de la femme que tu as perdue.
- Oh vraiment, je ne pouvais imaginer une telle situation !
- Maintenant je rentre chez moi, rejoindre mon mari.
- Laly, je t’en prie ne me laisse pas sans nouvelle de toi, longtemps !
- Je ferai ce que mon mari voudra que je fasse… »
Laly me laissa seul avec mon désespoir et ma peine.
Je partais tôt au bureau et en rentrais tard. Je ne voyais plus personne. J’évitais de circulais dans le village. Je faisais mes
courses ailleurs. Le week-end, je restais enfermé pour ne voir personne mais je restais à la maison au cas où Laly viendrait.
Mais j’ai dû attendre plusieurs semaines avec qu’elle ne vienne un samedi après midi.
Nous étions quelques jours avant Noël.
Son ventre avait grossi. Je la regardais avec Amour. J’en oubliais immédiatement ma peine. Je la priais de s’asseoir. Je lui préparais
un chocolat chaud, comme elle l’aime.
Elle était enceinte de trois mois et demi. Nous avons parlé de sa santé et de la pluie et du beau temps.
Puis elle dit que Jacques lui avait dit de venir me voir pour m’informer.
« Je dois te dire tout ce que j’ai noté. »
Elle sorti un papier de son sac à main.
« Jacques, m’a demandé d’être explicite et de ne rien omettre, c’est pour cela qu’hier, nous avons écrit ce bout de papier
:
« Je dois commencer par te dire que je reçois, chaque jour de la semaine, la visite d’un
homme différent, la plupart vient du village. Il n’y a pas de règle précise. Le premier qui arrive, je dois l’accepter. Le bouche à oreille a fonctionné et maintenant, mon mari, estime qu’une
soixantaine d’hommes sont sur les rangs. Le matin, je dois mettre un carton vert sur la vitre du salon, si je suis encore disponible et après, un carton rouge, si je ne suis plus disponible.
Ainsi il n’y a pas d’embouteillage. Mais les vieux sont plus nombreux.
Mais la demande est forte. Heureusement qu’il y a les Week-end. Ces deux jours, permettent de satisfaire un bon nombre d’hommes. En moyenne disons, six le samedi et six le dimanche. Les
week-ends, c’est plutôt les jeunes qui adorent me partouzer. Ceux du village emmènent quelquefois leurs copains des cités. Il y a eu des arabes et des noirs.
A cause de cela, Jacques me dit de te préciser que mon vagin peut prendre les plus grosses bites imaginables. Que mon cul est devenu très accueillant. Et que plus ou moins, je bois le sperme de
douze hommes par semaine.
Il y a 15 jours, mon oncle a informé mes parents et tes parents de la situation. Il parait que ça a fait du bruit... mais les choses se sont calmées après que mon mari soit allé avec mon oncle se
présenter à eux et expliquer ma propre volonté.... Ils ont exigé de ma voir, mais Jacques a refusé avec l’appui de mon oncle. Tous les deux ont voulu que cette rencontre familiale se passe pour
le réveillon de Noël. Donc maintenant nos parents, aussi, savent tout et même que j’accepte d’être baisée par mon oncle.
Cette année, tu ne seras donc pas invité chez nos parents pour Noël car nous serons réunis en famille et tes parents on accepté la proposition de mon mari avant de te voir car ils ne savent pas
très bien comment aborder cette situation avec toi.
Voila ce que mon mari m’a dit de te dire. »
J’étais complètement abasourdi et je ne pouvais sortir un seul mot de ma bouche.
- Tu ne dis rien, Alain ?
- Je suis sous le coup. Je pense à nos parents... Et aussi à cette situation dont je ne sais comment elle finira.
- Je comprends. »
Laly a quitté la maison vers dix-neuf heures.
Les jours ont passé, j’étais seul... Noël et jour de l’an. Nous sommes le 3 janvier 2013.
La sonnerie du portail retentit. C’est le facteur qui m’annonce, ainsi, qu’il y a deux lettres pour moi.
C’est un courrier de mes parents. J’ouvre, je lis.
« Bonjour Alain. Comme tu le sais, nous avons passés les fêtes de Noël, en compagnie de
Laly et de Jacques et aussi de tes beaux parents. Après le choc dont tu peux te douter et les pleurs des femmes, nous avons tous fini par comprendre et admettre ta façon d’être, puisque c’est la
tienne. Nous voulons tous te dire que tu es et restes notre enfant.
Si nous avons choisi de t’écrire c’est que nous pensons que, pour l’instant, tu dois préférer rester loin de nous et nous le comprenons.
Laly nous a convaincu et Jacques nous est apparu, en définitive, être un homme courtois.
Nous t’embrassons et sache que la porte est ouverte. »
Un autre courrier vient de Laly, je l’ouvre et le lis.
« Mon très cher Alain, tu as du recevoir une lettre de nos parents t’informant qu’ils
sont maintenant au courant de ton infortune. Jacques et moi avons passé un agréable séjour et de bonnes fêtes de Noël... en famille.
Nos parents savent tout de toi, de tes préférences sexuelles, de notre séparation de fait, de l’enfant que je porte, de ma débauche sexuelle guidée par mon mari.
Tu dois être content que même aux yeux de nos parents, tu sois reconnu comme un vrai cocu.
Comme tu t’en doutes au reçu de ce courrier, je ne viendrais pas ce week-end.
Pour le réveillon du jour de l’an, mon mari m’a offert une nuit de luxure incroyable. Nous étions chez des amis masculins et j’ai été la proie de onze hommes. Toute la nuit, j’ai été prise
jusqu’au petit matin.
Ce week-end, je dois recevoir la visite de six jeunes ....
Je te dis à bientôt. »
Les semaines et les mois ont passés. Le printemps est arrivé, nous sommes au joli mois de mai, le 15.
Un bruit me réveille. Il y a du monde dans ma maison. Je me lève et... Stupéfaction. Je me trouve nez à nez avec Laly. Il y a des
valises. Elle me regarde. Je la regarde, elle est enceinte jusqu’aux yeux, son ventre est très gros. Je souris, elle sourit.
« Bonjour mon Amour, je suis rentrée, je suis revenue chez nous.
- Vrai ?
- Vrai. »
Je me jette dans ses bras et l’embrasse passionnément. Elle répond à mon baiser.
« Je rêve, dis-je.
- Non, tu ne rêve pas, je suis là. »
Laly a accouché d’une adorable fille. Nous l’avons appelé Sandrine.
J’ai appris que Jacques avait déménagé dans le sud.
Nous avons revu nos parents comme si de rien n’était.
Nous sommes fin Août.
La vie a repris son cours... enfin presque.
Car ceci est une autre histoire.
Hummmmmm ce que j'aimerais que ma femme vive cela, êre baisée tous les jours par les mâles de la ville et par d'autres encore et que je la mate en train de se faire baiser par cette foule. J'en suis toute mouillée.
Bisesssssssssssssssss
Elle n'accepterait pas ?
Elle va me manquer, cette belle salope ! un vrai fantasme pour moi, l'humiliarion en moins!
A moi aussi,ele va manquer. Elle m'excite trop !
C'est vrai qu'elle va nous manquer. Quant à l'humiliation, si elle est consentie, pourquoi pas.
Je suis comme toi,je n'aime pas l'humiliation ,mais chacun décide de ses choix de vie sexuelle.
J'ai vraiment apprécié cette ode(série) au cocufiage et au masochisme ( humiliation). Si suite il devrait avoir, c'est avec plaisir que je dévorerai les récits.
A vous lire ( peut-être) encore et encore.
Merci de prendre la peine de l'ecrire ici... j'espère que l'auteur sera sensible à votre appel !