Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Bises libertines,
Sophie
C’était un soir d’été, un vendredi soir d’une chaleur moite. Il flottait comme un parfum d’excitation dans l’air. Mélanie avait déjà une idée de la suite de la soirée, car ils en avaient parlé ensemble. Elle était sexy comme une diablesse. Toute en transparence avec des bas noirs et une jupe minuscule. Elle portait un haut noir transparent avec un soutien gorge au décolleté plongeant.
Ils étaient un couple uni et fidèle, mais voulaient pimenter quelque peu leur vie sexuelle. Ferdinand avait dans l’idée d’offrir sa jolie femme à un autre. Il fantasmait sous la soumission complète de sa femme à ses désirs. Il voulait la voir crier sous les caresses d’un autre, qu’elle le veuille, ou non…
Le dîner avait été très évocateur et plein de sous-entendus. Ferdinand la voulait soumise complètement à ses pieds, sensible à ses fantasmes les plus fous. Le dîner épicé et le vin commençaient à enflammer leurs sens…
Pour cette dernière soirée avant les vacances, ils voulaient tous les deux un dessert un peu particulier…
Soudain, la sonnerie de l’interphone retentit, et une excitation sourde s’empara de Mélanie.
« Vas ouvrir mon amour… le dessert arrive », lui dit son mari.
Elle commençait à avoir chaud et son sourire était déjà très prometteur. Elle accueillit leur invité, Matthieu, dans une tenue si sexy qu’il ne manqua pas de glisser ses yeux dans son décolleté en l’embrassant.
Une tarte aux fraises nous attendait avec des bulles d’un vin blanc sucré. Elle sentait comme une forte excitation dans l’air.
Les fraises glissaient sur ses lèvres, et les deux hommes observaient cette scène avec l’air plus que coquin.
Matthieu déposa sa camera sur un coin de table et la laissa fonctionner doucement. Le mari futur cocu lui avait demandé de filmer toute la scène.
Puis Ferdinand décida de réchauffer l’atmosphère et glissa lentement sous la table. Mélanie sentit ses mains remonter le long de sa cuisse. Il prit le temps de bien écarter ses jambes sur la chaise, et découvrit son string noir transparent. Il laissait entrevoir son sexe déjà humide. Seul un mince filet de toison subsistait d’une chatte parfaitement épilée.
La jeune femme, un peu gênée, tenta de l’empêcher de continuer son cunnilingus.
« Mon chéri, nous ne sommes pas seuls, tu ne peux pas faire ça devant notre invité !
- Ma puce, tu m’avais promis de te laisser faire, de te soumettre à tous mes fantasmes… Je t’en prie, acceptes. »
Sa bouche attrapa plus fort son clito à travers la fibre et cette sensation la fit se tordre de plaisir. Matthieu avait compris ce qu’il se passait sous la table, et apparemment, cela ne l’avait pas laissé indifférent. Avec provocation, Mélanie lui demanda si la scène l’excitait et si elle lui plaisait.
Mais sans attendre la réponse, résignée à faire plaisir à son cher mari, elle lui demanda d’approcher pour se rendre compte si vraiment son sexe durcissait de plus en plus. Il se leva et elle prit un malin plaisir à le dégrafer. Sa queue devenait plus ferme à travers son caleçon, et Mélanie adorait les coups de langue sous la table entre ses lèvres… Même si elle se sentait un peu salope d’être à la merci de ces deux hommes. Les restes de sa stricte éducation lui disait que c’était mal, qu’il ne fallait pas se comporter en putain…
C’est pourtant ce qu’elle se préparait à être, pour l’amour de son mari !
Elle dégrafa délicatement son pantalon et le son de la braguette excitait ses sens exacerbés. Mélanie tourna vicieusement autour de la queue de Matthieu avec sa bouche tout en le branlant et
finit par le prendre profondément entre ses lèvres. Cette sensation l’avait remplie d’excitation. Elle lui taillait une pipe avec vigueur et se faisait prendre le clito à pleine bouche sous la
table... En quelques secondes, elle était devenue une vraie chienne, prête à être saillie par deux mâles en rut !
Elle voulait aussi son mari, elle voulait lui pomper le dard à fond, comme jamais avant. Il sortit de sous la table pour lui présenter sa bite très dure. La vue de Mélanie
suçant Matthieu l’avait aussi rempli d’excitation. Il bandait encore plus que d’habitude !
Mélanie disposait à sa guise de deux queues humides et dures, et sa bouche alternait entre l’une et l’autre tout en les branlant. Elle s’était mise à genoux en signe de grande soumission.
Ferdinand aimait la filmer dans ses moments si chauds… Il captait son regard de braise lorsqu’elle avalait son sexe au fond de sa bouche. Ils se déplacèrent sur le canapé, pour être plus à leur aise.
Ferdinand voulait rendre Matthieu fou d’excitation et souhaitait la même chose en retour. Il voulait que l’homme se déchaine sur sa femme. Mélanie prenait le chibre de Matthieu entre ses lèvres avec délectation. Pour ne pas être en reste, Ferdinand écartait doucement les fesses de Mélanie. Il ouvrait à l’aide d’un mini gode la rosette brune de sa femme. Mélanie bougeait son cul, pour mieux l’ouvrir. Son mari enfonça de plus en plus loin le petit gode, ouvrant bien le passage pour son gros mandrin. Plus il baisait sa femme fort, plus cette dernière pompait la bite de Mathieu.
Ferdinand retira le gode et vint mettre son gros gland devant l’anus de sa femme. Sans hésiter, il força la barrière rose, et s’empala au plus profond de sa femme. Elle cria de douleur sous la poussée brutale, à laquelle elle n’était guère habituée. Mais ses cris furent vite étouffés par la queue de son amant qui continuait de lui pistonner la bouche.
Ferdinand allait et venait avec vigueur dans le cul de Mélanie. Elle se retournait parfois pour contempler le spectacle et l’idée des moments à venir la rendaient de plus en plus folle. Cette vision rendait l’autre dingue et Mélanie prenait un immense plaisir à rendre fou Ferdinand. Au point où elle en était, elle voulait être très salope. Lui montrer à quel point elle pouvait aller très loin dans le hard, dans le sexe brut.
Sans retenue, elle gémissait d’un cri étouffé à chaque coup de rein de Ferdinand. Mais elle en voulait encore plus, bien plus. Elle dégagea son mari de son petit trou, et elle prit la main des deux hommes et les guida vers la chambre. Une lampe halogène éclairait la pièce, et Matthieu posa la caméra en bonne place pour ne rien rater des ébats à venir.
Elle s’allongea et écarta ses jambes. Ses mains découvraient les lèvres de son clito humide pour accueillir la bouche de Matthieu. Dans le même temps, elle lui agrippa sa bite toute dure et fit glisser sa langue sur toute sa longueur.
Ferdinand dégagea les fesses de Mélanie et décida de la prendre par derrière. Le chemin était ouvert, il pouvait aussi s’y engouffrer. Matthieu était troublé de voir un sexe d’homme de si prés pendant qu’il gobait le clito détrempé de Mélanie. Il avait là, juste à deux cms de ses pupilles, cette grosse queue qui labourait le cul de sa femme. Pour u peu, il pourrait aussi la lécher…
Elle se sentait tressaillir et adorait s’abandonner aux plaisirs multiples. Elle regrettait de ne pas avoir cédé plus tôt aux demandes insistantes de son mari.
Cette sensation redoutée devenait réalité, et à sa grande surprise, son plaisir augmentait au fur et à mesure des coups de boutoir du sexe de Ferdinand dans son cul ouvert.
Matthieu n’en pouvait plus et il voulait aussi sentir l’humidité chaude et intime de Mélanie. Cette idée commençait à l’obséder.
« On va la prendre à deux, comme une chienne… Mais avant, je vais la baiser, elle va te sucer encore.»
Mélanie devenait un objet, elle n’avait plus son mot à dire. Elle adorait cette sensation. Matthieu enfilait une protection pendant que Ferdinand glissait son sexe dans la bouche de Mélanie. Elle dessina un immense sourire.
« Il va me baiser devant toi comme une salope, une vraie chienne soumise… Tu vas adorer, et moi aussi », dit-elle crument.
Matthieu n’en revenait pas de la voir si chienne. Son sexe si dur commençait à frotter le clito de Mélanie comme pour l’exciter encore plus.
Ferdinand écarta entièrement les cuisses de Mélanie comme pour lui ouvrir le chemin. Elle ne pouvait plus se débattre, Matthieu prit aussi les cuisses de Mélanie fermement. Elle sentait quatre mains sur ses cuisses et le sexe de Matthieu allait se présenter devant son abricot gonflé. Son excitation grandissait encore.
« Prends-moi tout doucement, puis de plus en plus fort, défonce-moi, mets-la moi, ne sois pas timide… », supplia-t-elle.
Matthieu fit pénétrer sa queue jusqu’au plus profond du con dilaté de Mélanie avec une lenteur extrême. Elle voyait son sexe s’engloutir en elle et poussa un gémissement de plaisir tout en prenant la main de Ferdinand. Sa langue glissa le long du pieu de Ferdinand pendant qu’elle sentait grossir en elle une bite inconnue, inconnu avec un autre rythme.
Cette vision l’excitait infiniment. Elle était trempée. Matthieu prenait réellement son pied, se mettait à l’aise et manifestait un plaisir grandissant. Il prit les jambes de Mélanie pour les écarter encore plus. Mélanie poussait des cris de plus en plus saccadés :
« Il est en train de me défoncer… C’est bon… vas-y ! Pilonne-moi à fond !! »
Ferdinand se délectait avec la camera de ce superbe spectacle. Il se dégagea pour prendre en gros plan par derrière la vision du pieu qui allait et venait en Mélanie. Ses couilles frappaient les lèvres humides de sa chatte.
Matthieu retourna Mélanie. Elle décida de prendre les choses en main et s’assied sur la colonne de chair dressée. Dans le même temps, elle suçait Ferdinand en le regardant au fond des yeux : « Tu n’imagines même pas à quel point je vais être salope ce soir… Une véritable petite pute, comme tu voulais ! »
Ferdinand adorait la voir dans cet état, même s’il avait un léger nœud dans le ventre, à la voir prendre autant de plaisir. Jamais il n’aurait imaginé la voir dans cet état. Il l’imaginait plus retenue, plus craintive, refusant l’autre homme. Mais non, bien au contraire…
Pourtant, il ne manquait pas une miette de la scène.
« Vous allez me défoncer à tour de rôle comme une chienne, et puis en même temps… Je veux jouir sans m’arrêter avec lui, avec toi, tous les deux… »
Matthieu commençait à tressaillir. Mélanie lui donnait ses seins à pleine bouche. Elle sentait ces mains étrangères sur elle. Elle adorait l’idée de se faire baiser par un inconnu devant son homme.
Mélanie se retourna et s’accroupit. Elle présenta sa croupe à Matthieu pour qu’il la sodomise à fond. Pendant ce temps, Ferdinand profita des lèvres de Mélanie sur sa queue hyper bandée. Les cris de jouissance de Mélanie prise sans retenue commençaient à faire tressaillir Matthieu. Sa sève montait en lui sans qu’il puisse la retenir.
« Baise-moi comme une salope… Vas-y !!! »
Et soudain, Ferdinand commença à jouir sans s’arrêter. Il déversa un flot de sperme dans la bouche de la nouvelle salope, qui manqua de s’étrangler... La crème coulait sur son menton… Cette vue fit éclater Matthieu. Il donna un dernier coup de rein, pour jouir dans la chatte béante. Mélanie, elle aussi, jouit en criant très fort, comme jamais auparavant. Elle ressentait des vagues intenses de plaisir, qui la firent éclater en hurlant à fond. Ils se laissèrent tomber sur le lit, Matthieu venant lécher gentiment le sperme de son ami sur le menton de la belle garce.
Ils décidèrent de prendre un verre pour se remettre de leurs émotions. Ferdinand avait envie de jouir encore, il voulait sentir Mélanie au comble de l’épanouissement, la rendre encore plus folle
de lui et soumise.
Après quelques minutes de rafraîchissement, Mélanie attrapa d’elle-même la main des deux hommes. Elle voulait à nouveau ressentir ce plaisir intense, et voulait que Ferdinand prenne son pied
encore. Elle se mit à genoux sur le lit pour les sucer l’un et l’autre. Matthieu se délectait de lui introduire un doigt dans sa chatte humide de sa crème de sa première jouissance.
Après une série de caresses et des coups de langues entre les cuisses de Mélanie par la bouche de Matthieu, celui-ci se laissa aller complètement et décida de prendre Mélanie en levrette pendant qu’elle suçait Ferdinand.
Très dur, il s’imposa entre les cuisses de Mélanie, forçant sa chatte mouillée. Elle s’assied sur la bite dure de Matthieu qui prenait ses seins entre ses lèvres et Ferdinand écarta le cul de Mélanie fermement. Matthieu se dégagea pour laisser Ferdinand prendre à son tour Mélanie.
Ils prirent Mélanie à tour de rôle, la baisèrent à fond. Cela augmentait encore l’excitation de Mélanie. Elle était soumise au plaisir des deux hommes, au sien, comme si elle était une seule et unique grosse chatte, prête à tout subir…
Elle sentait une énorme queue d’une puissance redoublée. Puis Ferdinand décida de passer la vitesse supérieure. Il humidifia là nouveau la rosette de Mélanie et pénétra vivement son cul offert. Elle sentit sa queue si grosse comprimée dans son étroit conduit anal. Elle se tordait pour mieux sentir le membre la remplir à fond.
Matthieu pénétra aussi son vagin distendu, et ils se lancèrent à son assaut dans un élan saccadé. Elle sentait ces deux queues au plus profond d’elle et une vague de jouissance l’envahit rapidement.
« Prenez-moi fort…. Baise-moi, mon cœur… »
Ferdinand se retenait au maximum, il sentait sa bite de plus en plus dure glissant dans le cul écartelé de Mélanie. La vue de cette autre queue la défonçant sauvagement et surtout les cris de Mélanie d’un plaisir presque animal, le rendaient fou…
« Tu aimes ça, mon amour, me voir aussi salope… Je suis en train de me faire défoncer par vos deux bites, comme la dernière des putes ! C’est si bon ! »
Ces mots si crus excitaient les deux hommes. Elle ne se rendait pas compte de l’effet qu’elle pouvait faire ! Matthieu laissa éclater sa jouissance au fond des entrailles de la jeune femme. Il juta sa crème épaisse dans son cul hyper dilaté. Ferdinand sentait aussi le moment ultime de son plaisir… Il cria avec vigueur et harponna Mélanie de plusieurs coups moins rapides, mais très forts comme pour la pénétrer entièrement. Il voulait se vider au plus profond de cette chienne en chaleur. Elle sentit le foutre lui remplir la chatte, puis déborder sur ses cuisses ouvertes.
Mélanie lâcha ses gémissements de jouissance. Elle devenait dingue. Elle serra les fesses pleines de ces deux males en rut. Enfin, elle cria sa jouissance à travers toute la maison.
Puis elle se dégagea et embrassa amoureusement Ferdinand. Ils avaient pris un plaisir presque fou, inattendu, super excitant…
Matthieu montrait des signes d’épuisement. Il s’éclipsa doucement pour se rafraîchir et prendre une douche rapide…
Après un dernier digestif, il partit complètement abasourdi de plaisir et offrit en cadeau la cassette du film.
« Bonne nuit, et merci pour ce merveilleux dessert… Merci à toi, dit Mélanie avec un sourire coquin. On recommence quand ? Avec lui ou d’autres. Au pluriel, bien sur ! »
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