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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Conclusion 1 : une coupable inattendue

 

Valentin :

 


Après avoir repris ses esprits et procédé aux dernières constatations suite à la fusillade qui venait d’avoir lieu devant le conservatoire, l’ensemble de l’équipe repartit en direction du commissariat pour une réunion et un point de situation. Mon père étant décédé, plus personne n’était en mesure de nous donner des infos sur l’endroit ou pouvait être retenu ma mère.
Le chef nous fit entrer dans une salle de réunion, et après avoir put se restaurer en vitesse, nous attaquâmes la réunion. Une heure plus tard, nous n’avions toujours aucun indice, ni soupçons. Il avait décidé de nous faire patrouiller dans la ville à l’aide d’une photo de ma mère. Mais là encore, toutes les recherches étaient restées vaines.
 
Nous étions en train de tourner autour d’un pâté de maison, quand mon téléphone se mit à sonner. C’était Antoine qui m’appelait… surement pour me dire que Cameron était avec lui. Je décrochai, joyeux et impatient d’entendre la voix de mon ange.
« Allo…
- Mon ange, rejoins-moi vite a l’hôpital. »
 
Mais au son de sa voix, je compris de suite que quelque chose clochait.

« Que ce passe t-il ? Un problème avec Cameron ?
- Non… pire !!!!
- Dis moi…ne me laisse pas dans le doute
- Je viens de trouver un mot sur le pare brise de la voiture… »
 
Puis il me lut le mot.
 
« Vous avez récupéré votre batard et tué son ravisseur. Julien était un faible, ca ne m’étonne pas qu’il ait fini ainsi… Maintenant je reprends le flambeau… et je ne ferai aucun sentiment à votre égard. VOUS ALLEZ MOURIR LES TROIS, BATARDS !!! »
 
A la lecture de ce mot, je restai sans voix. Mon père n’était pas le cerveau de cette affaire. Quelqu’un d’autre tirait les ficelles… mais qui ? Ma mère ? Impossible, jamais elle ne pourrait avoir le cran de mettre en place toute ses atrocités.  
 
J’informai mon chef de la situation et nous partîmes rapidement en direction de l’hôpital.  
En chemin j’essayai de joindre Antoine, mais il ne répondait plus. Je commençais sérieusement à paniquer quand je reçu un SMS plus ou moins douteux de sa part.
 
« Ne t’inquiète pas mon ange.
Il s’agit d’une erreur
Inutile de venir, tout va bien
Récupère notre fille à l’école, je ne peux pas y aller
Bisous »
 
Bizarre tout ca. J’informai le chef en lui disant que ce message ne tenait pas debout
«  Vous avaient une fille ? me demanda t-il
- Bien sur que non… y a vraiment un problème, mon commandant :
- Ok, on fonce !!! »
 
Le chef passa un message radio afin de demander à tous les véhicules disponibles de se rendre en renfort à l’hôpital. Il donna quelques précisions sur Antoine et notre voiture à rechercher.  Nous étions presque arrivés à l’hôpital et le collègue qui conduisait accéléra de plus belle, toutes sirènes hurlantes. Plusieurs voitures avaient répondu à l’appel, dont une qui disait se trouver a proximité de l’hôpital. Elle précisa se rendre sur les lieux.
 
Nous étions arrivés à l’entrée de l’hôpital quand un premier message tomba à la radio
 
« En présence d’une femme armé ayant pris en joue un homme et un enfant. Difficulté pour nous de l’atteindre, demande de renforts immédiats. »
 
« Une femme ? » m’écriais-je.
 
Je pensais immédiatement à ma mère… Mais non, ce n’est pas possible. Cette femme si douce, si attentionnée... Elle ne pouvait pas être mêlée à toute cette histoire. A moins que mon père ait une maitresse et que cette dernière soit avec Antoine.  
Rien ne m’étonnait, vu le comportement qu’avait pu avoir mon père dans son couple.  

En arrivant derrière le bâtiment principal de l’hôpital, nous s’aperçûmes plusieurs véhicules de police ainsi que la voiture d’Antoine. Les policiers étaient postés autour des véhicules de police. Ils avaient fait les premières sommations et maintenaient en joue cette femme qui elle-même menaçait mon ange et Cameron avec son arme… cette même femme que je reconnu de suite… MA MERE !!!!
« Ce n’est pas possible… pas elle !!!! » 
 
J’avais l’impression que le monde venait de s’abattre sur moi. La femme qui m’avait mis au monde en train de menacer l’homme que j’aimais. Je descendis du véhicule, arme au poing. Elle me reconnu et changea de ton.
« Il ne manquait plus que toi, mon cher enfant !!! s’écria-t-elle.
- Je suis là, alors laisse-les partir et on règle ça entre toi et moi.
- HORS DE QUESTION !!! Tu viens de suite ici et je libère le gosse… Sinon c’est lui qui meurt en premier !!!
- Laisse l’enfant tranquille !!! »
 
J’allais m’avancer vers elle quand mon chef me retient.
« Non !!! Ne cède pas à son chantage, la B.A.C arrive, ils vont gérer ça avec nous. Toi, tu reste là !
- Désolé chef, mais c’est ma mère et l’homme que j’aime. Je ne peux pas rester comme ca sans rien faire ! »
 
Sans écouter les recommandations du commandant, je déposai mon arme et m’approchai de ma mère les yeux remplis de larmes
« Pourquoi ?? lui dis-je en arrivant à sa hauteur.
- Tu tiens vraiment à savoir ?? Ton père et moi avons mis des années à mettre en place un vaste réseau de trafic de stupéfiants. Tu as profité de ça pendant des années, mais il a fallu que ton mec foute son nez de partout… Il allait finir par tout découvrir. C’était le seul moyen de s’en débarrasser. Mais tu en as décidé autrement et préféré filer avec lui… Maintenant, tu vas payer tout comme lui et votre batard.
- ARRETE !! Ne parle jamais de Cameron comme ca. C’est un enfant adorable !!
- Je m’en fous !!! Maintenant vous allez me suivre gentiment jusqu'à la voiture. On va aller promener… »
 
Tout en commençant à la suivre en direction de sa voiture, je regardais en direction des forces de police. La BAC été arrivée et s’était mise en place. Armés de flashball, je compris qu’ils voulaient la neutraliser et non l’abattre… Tant mieux, je ne voulais pas que ca finisse dans un bain de sang.
 
En un instant, je profitai d’un léger moment d’égarement de ma mère pour attraper mon ange et Cameron et les jetai au sol... Une détonation éclata suivit d’un long cri…  
Ma mère venait de s’effondrer au sol, atteinte d’une balle de flashball. Son arme était tombée au sol un peu plus loin...
Elle rampa pour l’atteindre mais Antoine l’avait repéré. Il se releva, se jeta sur l’arme et le jeta plus  loin, au moment ou la BAC arrivait sur ma mère pour la menotter et l’emmener. Tout été terminé...

 

Ma mère venait d’être emmenée et je me retrouvai seul avec mon ange et Cameron.
Le commandant qui était resté avec nous s’approcha et nous dit.
« Bien joué les jeunes !!
- Merci chef !!
- Vous avez été très bien. Maintenant, il faut aller vous reposer et reprendre vos esprits. Rentrez chez vous... On se débrouille pour la fin de l’enquête.
- Que va-t-il se passer pour ma mère ? demandai-je  
- Elle va être mis en garde à vue et écrouée. Elle devra répondre de tous ses actes.
 
Mon ange avait bien vu que mon visage s’était décomposé. Ma mère, celle que je considérais comme la plus merveilleuse des femmes, était en réalité un monstre sans cœur. 
« Bébé, me dit Toinou, je sais que ce n’est pas facile, mais la réalité et là. Il faut qu’elle paie pour ce qu’elle a fait.
- Oui, je sais… allez, rentrons. »
 
Antoine fit monter Cameron dans la voiture et nous partîmes en direction de la maison, tandis que mon chef reprit la direction du commissariat.
 
Arrivés dans l’appartement, Cameron couru dans sa chambre et retrouva tous ses jouets. Il était tellement heureux qu’il se mit à jouer sans même faire attention à ses deux papas qui le regardaient. Je me tenais derrière Toinou et le tenait par la taille. Nous étions fiers de ce p’tit bout de choux. Il avait été si courageux et jouait maintenant.
 
Je commençai à l’embrasser dans le cou… Mes mains descendirent le long de ses hanches et s’approchaient de ses fesses…
« Bébé ?? lui dit-je
- Oui mon ange ?
- Cameron, joue tranquillement. Suis-moi, j’ai envie qu’on se détende nous aussi. »

 

 

 

Conclusion 2 : l’ultime étreinte

 

Toinou :

 

Sans me laisser le temps de répondre  il m’entraina dans la chambre et m’allongea sur le lit. Il se coucha sur moi et m’embrassa tendrement tandis qu’il me caressait les cheveux et le torse avec ses mains. Nos tee-shirt volèrent dans la pièce suivi des jeans. 
Nous étions à présent en boxer sur le lit... Mon ange descendait doucement le long de mon torse en déposant des petits bisous tendres. Il s’approchait dangereusement de mon entre-jambe qui commençait à se réveiller.  
 
Quand il arriva dessus, je sentis ses lèvres et son souffle chaud contre mon sexe déjà bien tendu… Il le mordillait et faisait glisser ses lèvres le long de la hampe, toujours enfermé dans mon boxer devenu largement trop petit pour contenir mon anatomie.  
Mais il n’était pas pressé de sortir mon sexe. Mon ange remonta vers mon visage et recommença à m’embrasser… il s’approchait maintenant de mon oreille et me mordilla tendrement le lobe en me murmurant :
« Je t’aime…  Tu es toute ma vie, petit ange… Maintenant, on va pouvoir vivre et s’aimer, heureux. »
 
Puis il redescendit le long de mon torse. Je sentais son souffle chaud, et quand il arriva au niveau de mon boxer, je sentis ses dents décoller délicatement l’élastique de mon boxer, de ma peau, qu’il tira vers le bas, laissant apparaitre mon sexe tendu. Il me regardait, j’avais les yeux brillant d’excitation et d’envie…
 
Il approcha ses lèvres de mon entre-jambe, je sentis son souffle proche de mon sexe...  
Je mis la tête en arrière en fermant les yeux. Il déposa ses lèvres tout autour de mon sexe et m’embrassa sans toutefois toucher à cet objet déformé par le désir…  

Sa langue descendit vers mes testicules qu’il se mit à lécher et les goba en les caressant avec sa langue. J’étais aux anges… Mon sexe sursautait de plaisir. Je sentais ses lèvres chaude et humide sur mes couilles.  
Puis il remonta tout doucement le long de ma hampe, uniquement avec sa langue…Iil me regardait en même temps d’un air sadique.
 
Il devinait que je n’en pouvais plus de cette attente et ca le faisait sourire… Enfin, il déposa ses lèvres sur mon gland, ce qui m’arracha un râle de plaisir. Il goba mon gland et le fit rouler autour de ma langue. Ses doigts passaient le long de ma hampe pour finir sur mes couilles, qu’il caressait.  Je  gémissais sous les assauts de sa langue. Je sentais ses doigts qui s’aventuraient proche de mon anus.


Il m’écarta les jambes ce qui ouvrit naturellement mes fesses et glissa un doigt contre ma rosette, pendant qu’il continuait ses va et vient le long de ma colonne de chair.  
Ma réaction fut sans appel, je commençai à gémir de plus en plus…  
Son doigt força le passage et s’introduisit dans mon intimité. Puis un deuxième le rejoint bientôt. L’assaut de ses doigts dans mon anus me faisait tressaillir.  
 
Il continua un moment sa fellation puis s’arrêta, retira les lèvres de mon sexe, pour remonter vers moi et vint m’embrasser. Je l’enlaçai et le fit rouler sur le lit. Il se retrouva sous moi, dans l’impossibilité de bouger.  Je le maintenais par les poignées et l’embrassai à mon tour. Nos lèvres les une contre les autres…  


Je finis par me retirer en lui glissant à l’oreille un « je t’aime » avant de descendre à mon tour vers son entre-jambe qui menaçait déjà d’exploser… 
J’ouvris ce boxer largement trop petit pour pouvoir contenir l’objet du désir, et gobais ce sexe sans attendre. Ma langue tourna autour de son gland.  
Je récupérai déjà les premières gouttes d’excitation de mon ange… Il gémissait sous mes coups de langue, tandis que mes mains caressaient ses cuisses, ses fesses pour enfin finir sur son trou d’homme.  
 
J’étais positionné en soixante-neuf et je sentais ses mains me caresser le sexe et l’anus pendant que je jouais tendrement avec sa queue... Il reprenait l’assaut de ma rosette avec ses doigts ce qui me mit en état d’excitation total... Je me relevai, vint me mettre à califourchon sur lui et lui dit :
« Prends-moi !! Maintenant !!!!!!!! »
 
Il sourit. Il m’embrassa tout en me caressant le dos et en m’approchant de lui pour me coller contre son torse imberbe et chaud. Ses mains descendaient vers mes fesses qu’il caressa doucement. Puis il me fit basculer et  se retrouva allongé sur moi. Il m’embrassa encore, les lèvres, le cou puis descendit le long de mon torse jusqu'à mon nombril.  
 
Il embrassa l'intérieur de mes cuisses et mes couilles. Ses doigts repartirent à l’assaut de mon intimité mais il ne la força pas et préféra me retourner.  Mon joli petit cul  se présenta à ses yeux. Mon ange embrassa chaque fesse puis les écarta doucement. Il commença par passer sa langue contre ma rosette ce qui m'arracha quelques gémissements. Puis sans prévenir, ses coups de langues se firent de plus en plus appuyés. Il écarta un peu plus mes fesses et me massa le petit trou avec ses doigts, doucement, tendrement.  
 
Il me remit ensuite sur le dos, souleva mon bassin et posa mes jambes sur ses épaules.  
Je m’abandonnai totalement a son petit jeu… je me laissai faire. Il approcha sa queue tendue vers mon trou et la posa à l’entrée de mon intimité.  
Quand il commença à me pénétrer je ne pus m’empêcher de pousser un petit cri. Il s’arrêta, et se coucha sur moi pour m’embrasser tendrement et s’excuser…  
 
A cet instant, je faillis devenir fou… il s’excusait de vouloir me pénétrer alors que je n’attendais que ça ! Je devins fou. Sentir ton gland contre mon anus… Je lui fis un regard de furieux l'attrapais par les fesses et le poussais vers moi. Il me pénétra, ce qui me fit gémir de plus en plus fort. Je sentis son engin me pénétrer, il avança lentement pour ne pas me faire de mal... Quand la douleur s'estompa, je lui fis signe qu’il pouvait commencer son doux va et vient en moi.  
 
Mes doigts lui caressaient le dos et remontaient jusque dans ses cheveux. Puis je descendis sur ses fesses et les palpais. Je les écartais et caressais son anus, à mon tour, pendant qu’il continuait à me prendre. Mes caresses sur son anus le firent gémir. Sa queue sortait et s'enfonçait en moi, régulièrement.  


Il me regarda et m'embrassa pendant que mes doigts se faisaient plus insistants contre son petit trou. Mon ange m’arrachait des gémissements à chaque coup de reins. Je le sentais prendre son pied pendant que je prenais le mien.  
 
Il me regarda et me sourit. Je faisais des petites grimaces en me mordillant les lèvres à chaque coup de butoir. Sentant qu’il allait jouir, il se retira et vint se mettre à califourchon au dessus de ma queue. En un mouvement, il s’empala à son tour sur mon pieu. Il se déhanchait sur moi en prenant son pied. Je sentais son intimité serrée, coulisser le long de mon sexe.
 
Son empalement me faisait un effet de malade.  
Je l'arrêtai un instant pour reprendre mes esprits puis je le fis aller et venir sur mon sexe tendu et gorgé de sang, jusqu’au plus profond de son intimité.
 Dans une dernière descente il me procura l'extase ultime, et je lui inondai le ventre de 5 longs jets de jus d’homme.  
 
J’étais toujours en lui, mon sexe gonflait encore pour libérer les dernières gouttes de jouissance… J’attrapais le sien, et en quelques secondes et dans un râle de plaisir, il m’inonda le torse et le visage de son jus précieux.  


Puis il se coucha contre moi, en nage, mais peu importe, nous venions de faire  l'amour comme des bêtes.  J’étais heureux de me retrouver dans les bras de mon ange, enfin libre de toute ses angoisses et problèmes qui venaient de perturber notre vie.

Je me retirai doucement de lui et il se coucha à coté de moi, extenué… Nous restâmes un moment nus, à s’enlacer, avant de se décider à se rhabiller. Cela faisait peu de temps que nous étions à nouveau vêtus quand Cameron entra dans notre chambre.
« P’pa…
- Oui ??
- Je veux un calinnnn !!!!
- Viens petit ange, » répondit Valentin.
 
Notre p’tit bout de chou vint se poser au milieu de nous deux, et après nous avoir fait des centaines de bisous, il se coucha en regardant au plafond... Il était heureux de nous avoir retrouvés et nous étions dans le même état d’esprit. Nous finîmes par nous endormir tout les trois, sourire aux lèvres, heureux d’être ENFIN LIBRES !!!!!!!!!!!!!!!!!!
 

FIN

 

Signé toinjuju et blondinetbi

toinoudelaon@yahoo.fr

Par Toinjuju et Blondinetbi - Publié dans : Les récits gay et lesbiens - Communauté : Communauté gay
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Commentaires

une histoire qui finie bien un grand amour les unis
commentaire n° :1 posté par : romain57 le: 10/07/2011 à 09h44

Et l'on peut être sur qu'il sera solide !

réponse de : Sophie de R. le: 18/07/2011 à 18h31
Hé! Bé!
commentaire n° :2 posté par : brunobi le: 11/07/2011 à 11h21

Lol, ca veut dire que ca te plait.. ou pas ???

réponse de : Sophie de R. le: 18/07/2011 à 18h31
@ Sophie
je ne sais pas trop ce que j' en pense dans le fond. Je crois que j'ai été un peu "perturbé" par la tournure qu'a pris cette histoire.
Cependant c'est une belle histoire d'amour doublée d'une intrigue policière qui met au jour le comportement profondément malsain de parents qui s'abritent derrière un masque de respectabilité.
Et en conclusion, n'en déplaise aux homophobes bornés ces deux garçons vécurent heureux avec leur enfant
commentaire n° :3 posté par : brunobi le: 18/07/2011 à 19h03

Exact, tu as le vrai mot de la fin !

réponse de : Sophie de R. le: 25/07/2011 à 14h37
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