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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

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J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Deux beurettes délurées…

 

Ceci est une histoire réelle.

Mais il est évident que les prénoms ont été changés. Il n’est même pas certain que je m’en souvienne précisément car pas mal d’années ont passé !

En plus, j’ai reconstitué les dialogues.

 

C’était la période des vacances estivales. Ma copine du moment était descendue sur la Côte avec ses deux enfants une quinzaine de jours avant moi.

J’étais retenu à Paris par des obligations professionnelles qui ne me permettraient qu’une semaine de break. En plein mois de juillet, ce n’était pas cool !

Le vendredi matin, j’avais mis mon léger bagage dans la voiture et j’avais pris la route dès la sortie des bureaux. Malgré la journée de travail, je pensais faire la route au cours de la nuit et arriver au petit matin sur les hauteurs de Menton.

 

Hélas… la circulation dense de ce premier chassé-croisé estival et la fatigue de la route en grande partie sous la pluie ont eu raison de moi.

Il était plus prudent de m’arrêter et passer une nuit dans un des hôtels d’une aire de services de l’autoroute… et je ne voulais pas traverser Lyon à près de minuit !

 

Je trouvai difficilement une place où garer ma voiture sur le parking de l’hôtel. Il y avait principalement des véhicules immatriculés à l’étranger : Belgique, Hollande, Allemagne.

A la réception, il y avait quelques personnes qui parlaient avec l’employée. Allemand et anglais dominaient les échanges et j’ai rapidement compris que l’hôtel était complet.

J’allais faire demi-tour quand deux jeunes femmes qui buvaient un chocolat près du distributeur m’ont interpellé en voyant mon air dépité :

« Vous n’avez plus de chambre ?

- Non, je n’avais pas réservé… je vais devoir dormir dans ma voiture ou continuer la route !

- Nous, nous avons une chambre avec trois lits individuels… c’est tout ce qui restait. »

 

La seconde m’a dit :

« Si ça ne te gêne pas, on t’offre le gîte pour la nuit…

- Je suis confus… Vous êtes bien jolies et je suis un homme de 40 ans. Vous ne craignez rien ?

- Bof… on a déjà vu le loup ! On sait comment est fait un homme !

- Ok… Merci… c’est sympa ! Montrez-moi le chemin ! »

 

Elles étaient bien jolies…

Deux beurettes à mon avis. Toutes les deux avaient la peau bistre et des cheveux un peu crépus.

L’une avait la peau plus foncée que sa copine.

Je pus les observer quand elles montaient les escaliers (normalement j’aurais dù passer devant elles…). Elles portaient toutes les deux pratiquement la même tenue : un jean de couleur claire qui leur faisait une seconde peau, des bottines à petit talons et un blouson d’été négligemment ouvert sur un sweat-shirt qui moulait une jolie petite poitrine.

Elles étaient bandantes et mon sexe de coquin n’a pas tardé à se manifester dans mon boxer !

 

Arrivés dans la chambre, je leur ai offert de prendre le lit superposé et de passer en premier à la douche. Elles ont accepté.

Sorti du cabinet de toilette et ne portant qu’un bermuda, j’escaladai rapidement l’échelle et je me couchai face au mur. Je m’endormis rapidement.  Les deux filles seraient tranquilles pour se coucher.

 

Je ne sais pas combien de temps s’était écoulé quand j’ai été réveillé par une main qui se glissait sous la couette qui m’abritait.

Je croyais rêver mais il n’en était rien… Il y avait bien une main qui cherchait à atteindre mon sexe et l’envelopper de ses doigts…

Je ne bougeais pas. Je voulais voir jusqu’où cela allait aller…

Comme souvent vers le matin, j’avais un début d’érection et là, il n’a pas fallu longtemps pour que mon sexe atteigne sa forme maximale !

La main allait et venait dans une masturbation lente et patiente, quand une autre main s’est glissée un peu plus et cherché à caresser ma poitrine et ma barbe…

Bizarre, je reconnaissais deux mains droites !

Les deux jolies beurettes rencontrées hier soir seraient elles des coquines ?

 

Pour voir quelle tournure cela allait prendre, je me suis tourné sur le côté pour faire face à mes deux « tourmenteuses » ! Un tourment que je subissais avec délices…

Celle qui avait la peau plus foncée m’interrogea :

« Alors t’es réveillé ?

- Oui… un bien joli réveil !

- Dis donc, il ne faut pas t’en promettre ! Quel mat !

- Merci mais je pense qu’il y a mieux… Je suis assez court mais trapu si c’est ce que vous voulez dire !

- Trêve de bavardage, descends de ton lit et rejoins-nous !

- Ok… J’arrive… Je pense qu’on ne va pas en rester là ? »

 

La seconde dit alors :

« Bien sûr… On va en profiter… Nos mecs n’en sauront rien ! »

 

Dans le clair obscur de la chambre éclairée par le jour naissant, je découvris les deux filles en petite nuisette transparente, sans rien d’autre en dessous…

Deux jolies femmes… une silhouette allongée, un visage ovale encadré par des cheveux mi longs ondulés, et des formes agréables à regarder : poitrine menue mais bien formée, taille fine et hanches en proportion, et juste une petite touffe de poils noirs sur le pubis !

Elles m’ont débarrassé de mon bermuda et se mettant à genoux devant moi, elles se sont partagé ma bite dans une fellation à deux bouches du plus bel effet !

Il est évident que je ne suis pas resté inactif… je donnais la cadence en posant une main sur chacune des têtes. Pour l’instant, c’est tout ce que je pouvais faire…

Les deux filles se sont relevées et enfin j’ai pu atteindre ce qui me faisait envie depuis que j’étais descendu de mon lit. D’une caresse enveloppante, je suis allé sentir la souplesse des seins et découvert des tétons bien bandés…

Ces « femelles » étaient bien excitées aussi !

« Bon… mec… nous sommes deux et tu es seul… on va tirer au sort celle que tu vas baiser !

- Ok… je pensais que vous ne cherchiez qu’à m’allumer et me laisser en plan ou me faire gicler dans le vide !

- Oh, ce serait dommage ! T’as des capotes ?

- Oui, je ne voyage jamais sans… on ne sait jamais quelle surprise me réservera la route ! Et là, je suis servi ! »

 

Le tirage au sort désigna celle qui était légèrement plus petite et avec la peau presque brune…

« À toi ! montre-nous ce que tu sais faire… Fais-moi reluire !

- Ok… Allonge-toi sur le lit je vais te bouffer la craquette. Il faut que la pression diminue si je ne veux pas t’inonder trop vite ! »

 

La fille s’est allongée en travers du lit, elle a remonté sa nuisette sur sa poitrine et a pris ses seins dans ses mains. La fourche de ses cuisses était largement ouverte sur un sexe rose aux lèvres bien ourlées et gorgées de sang…

Lorsque j’ai posé ma bouche sur son sexe, celui-ci était déjà bien humide comme si la fellation qu’elle m’avait offerte avec sa copine l’avait déjà excitée…

Je lui ai donné ce qu’elle voulait. Mon cunni’ l’a envoyée au 7ème ciel rapidement ? puis à peine quelques secondes plus tard, elle s’offrait en levrette.

Humm… ce cul…

Parfois des images me reviennent !

 

Deux globes de chair bien ferme ? fendus généreusement que je me suis empressé de pénétrer, collant mon pubis contre les fesses de la fille.

Pendant ce temps, l’autre fille se paluchait à côté de nous ? une main dans sa chatte et l’autre triturant des tétons de sa poitrine.

C’était chaud…

 

Lorsque la brune a joui, je me suis lâché moi aussi et j’ai balancé quelques belles giclées de foutre au fond de la capote… Quinze jours de jeûne, ça donne de bonnes réserves !

Moins d’une minute plus tard l’autre fille jouissait à son tour dans un râle puissant, alors que ma bite était encore au plus profond de la chatte de la brune !

Ces deux beurettes avaient un sacré tempérament mais nous n’avions guère le temps de jouer les prolongations…

Elles sont passée ensemble dans lAa cabine de douche et là, j’ai eu la surprise de les voir s’embrasser amoureusement, se caresser les seins, les fesses, le pubis alors que l’eau ruisselait sur leurs corps… Elles étaient AUSSI bisexuelles !

 

Après avoir pris notre petit déjeuner à la cafétéria, nous nous sommes quittés sur le parking en nous souhaitant bon voyage…

Par Gérard le Matou - Publié dans : Le Matou Libertin - Communauté : Le Cercle des libertines
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Commentaires

Les surprises de la route c'est merveilleux, je suis toute mouillée à cette évocation canille. Bisesssssssssssssssssssssssssss

commentaire n° :1 posté par : Jeanne travestie le: 07/02/2019 à 09h48

J'adore aussi cette evocation....

réponse de : Sophie de R. le: 21/02/2019 à 22h47

Gérard toujours au top. Une pareille histoire a failli m'arriver. C'était dans un centre de vacances. Hélas, ma compagne s'est réveillée. Très bon récit.

commentaire n° :2 posté par : Lamoureux le: 28/02/2019 à 00h42

Tu nous raconteras, j'espère ! Tes histoires nous mmanquent ! 

réponse de : Sophie de R. le: 28/02/2019 à 15h16
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