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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Deuxième partie

 

Pour mon retour à Paris, je ramène un cadeau pour Aline et Alicia, et le soir même, je fais l’amour à ma femme avec beaucoup de tendresse mais aussi de passion. La vie reprend son cours comme si rien ne s’était passé.

 

Le travail au cabinet suit son cours normal. Désormais, ce projet est bouclé et il ne me restera plus qu’à le suivre de loin jusqu’à ce que les premiers chalets soient livrés sur site en vue de l’assemblage.

 

En semaine, je reçois deux SMS de Sophie, le mercredi et vendredi suivant. Elle me rappelle notre nuit de folie. Oui c’était une nuit de folie dans tous les sens du terme. Folie sexuelle mais aussi folie d’avoir été infidèle à mon épouse et aux valeurs que je soutiens depuis toujours où que je croyais soutenir.

 

Je ne réponds pas tout de suite. D’un coté, je pense à ses jambes, à son charme, à sa bouche charnue et coquine, à ses petites fesses rondes, et mon fantasme me ramène plus loin encore, à des ébats sans limites. Je voudrais bien répéter la rencontre, cette inconnue m’excite et je ne peux m’empêcher de penser à elle.

 

Il n’y a pas que son petit corps, facile à manipuler au lit qui me rend fou, j’ai un faible pour les femmes cultivées et sophistiquées qui se déchaînent en privé et tout semble indiquer que ma nouvelle connaissance remplit toutes ces conditions.

 

D’autre côté, je me dis que l’idée d’un coup sans lendemain est la bonne. Elle a eu ce qu’elle voulait d’un homme… moi en l’occurrence.

 

Le samedi, par correction, je lui réponds, mais sans revenir sur cette nuit que je veux à la fois oublier et retenir comme une éternelle source de fantasmes.

 

Elle me relance immédiatement et, compte tenu que je suis à la maison, je dois me cacher pour lire ses messages. C’est dangereux et excitant en même temps… si ma femme savait….

 

Le jour-même et le dimanche aussi, la chaleur atteint son paroxysme et je me branle pour la première fois depuis des années, en pensant aux cochonneries qu’elle m’écrit dans ses messages qui se font de plus en plus nombreux, parfois sans que j’aie répondu au précédent.

 

Quelque chose en moi me confirme que Sophie vient d’ouvrir une porte que je croyais fermée à tout jamais en me mariant. Désormais, tout est différent, ma femme, le sexe avec elle, tout en un mot…

 

L’échange de textos érotiques ne s’arrête guère en semaine, surtout de sa part car je ne fais que répondre d’une manière laconique et aléatoire à sa pluie de messages cochons. Elle me demande par exemple dans quelle position j’aimerais la baiser, et si j’ai fantasmé sur elle ces jours-ci, ainsi qu’un tsunami de détails torrides.

 

Dans mes réponses, je lui cache la vérité, poussé par je ne sais quel coup de cœur qui m’empêche d’être trop explicite dans mes SMS. Je reste discret mais je conviens en moi-même que ça me plait… au moins pour l’instant.

 

A chaque fois, je laisse passer un peu de temps avant de répondre en espérant être tranquille un certain temps… Hélas, rien n’y fait ! J’ai à peine répondu, que je reçois un nouveau message, ça commence à me déranger un peu.

 

J’aime bien cet échange coquin, mais le harcèlement me dérange (il est dangereux aussi et m’oblige à avoir toujours le portable sous les yeux pour qu’il ne tombe pas entre les mains de ma femme) et je décide de fixer un rendez-vous à Sophie le vendredi en début d’après midi, pour se voir et mettre les choses au clair : coté messages, il faut ralentir un coup.

 

Je lui propose de nous voir dans un café discret que je connais bien, en banlieue parisienne après m’être assuré qu’elle sera bien à Paris.

 

Le mercredi après-midi et le jeudi matin sont à peu près calmes. Je ne reçois que deux messages. Mais le jeudi en fin d’après-midi et le vendredi matin, c’est l’enfer. Je reçois une multitude de messages de Sophie qui me pourrissent la vie au bureau. Je n’arrive pas à me concentrer et faire un travail suivi au point de couper mon téléphone portable pour être tranquille.

 

Qu’est-ce qu’elle a cette fille ? On dirait qu’elle est complètement obsédée par le sexe. Si elle comprenait au moins le danger qu’elle représente dans ma vie si bien rangée avant notre rencontre. Les envies de la revoir et de lui « mettre un coup » comme elle désire, pour qu’elle ne m’emmerde plus sont grandissantes mais les messages continuent à pleuvoir malgré un appel où je la prie d’arrêter, en lui expliquant que cela n’a aucun sens puisqu’on va se voir dans peu.

 

Un dernier texto finit par lasser ma patience. Fâché et inquiet à ce sujet, je juge plus prudent d’annuler notre rendez-vous, en invoquant une réunion non prévue du comité directeur où ma présence est requise. Je coupe mon téléphone portable jusqu’au lundi matin.

 

Ce qui est pire encore, je pense toujours à elle et ça,… ça m’excite ! J’essaye de comprendre ce qui ne va pas chez-moi, mais inutile de s’analyser, quelque chose de très lourd est déjà en marche et je ne peux que réagir aux événements, impossibles à prévoir.

 

Las ! Le lundi matin, çela reprend de plus belle. Et là, ce ne sont plus simplement des SMS qui arrivent sur mon portable. Je reçois plusieurs courriels dans lesquels Sophie me relance, me fait des reproches pour avoir annulé notre rendez-vous de vendredi. Pour me tenter, elle joint même des photos d’elle nue, montrant sa vulve en gros plan et en me disant qu’elle «a faim de ma bite».

 

Mais cette fille est complètement dingue ! Je suis surpris qu’une femme aussi distinguée et cultivée emploie de telles méthodes, un vocabulaire si cru que j’ai du mal à croire qu’il s’agit de la même personne. Mais à nouveau, ce double jeu d’érotisme sophistiqué et de pornographie basique et vulgaire me met dans tous mes états.

 

Après quelques instants fous où j’ai envie de cracher ma colère en cognant le bureau de l’entreprise je finis par m’asseoir commodément pour me laisser envoûter par le charme amateur, quoique vulgaire de ses photos.

 

C’est marrant, j’ai beaucoup changé ces dernières semaines. Je n’étais pas aussi chaud sexuellement. Amant ardent avec Aline, je n’avais pas besoin d’entendre des mots ou des phrases à connotation sexuelle ou érotique pour nous stimuler. Nous avions su trouver une harmonie sexuelle qui nous satisfaisait pleinement…

 

Mais ce n’est plus le cas, au moins avec Sophie. Je voudrais en même temps, lui gifler la gueule pour la calmer et la baiser pour la contenter.

 

Lassé de ce harcèlement, je finis par répondre en lui disant que j’accepte un nouveau rendez-vous mais que ce sera le dernier. J’espère pouvoir la raisonner, la convaincre que notre relation n’a pas d’avenir, qu’il n’est pas question que je continue à tromper Aline. Sophie me renvoie aussitôt un nouveau message :

« D’accord, ce sera la dernière fois où nous nous verrons ! Arrange-toi pour que nous ayons deux jours pour nous. Dis à ta femme que tu es en déplacement professionnel dans la région parisienne. Je passe te chercher à ton bureau dans deux heures. »

 

Comme presque chaque jour, je déjeune à la maison et je préviens Aline de mon absence, au moins jusqu’au lendemain soir, et je prends quelques affaires de rechange que je glisse dans un petit sac.

 

Je suis à peine revenu au bureau que mon téléphone portable sonne, c’est Sophie :

« Je t’attends à la sortie du parking. Ne tarde pas ! »

 

Dès que je suis installé à côté d’elle, elle démarre en disant :

« On va chez moi ! »

 

Nous n’échangeons que des banalités pendant le trajet qui nous conduit au pied d’un immeuble moderne sur les hauts de Saint Cloud :

« Viens ! Suis-moi ! On va discuter autour d’un verre, nous serons plus tranquilles.

- D’accord ça marche. Il faut qu’on parle. Ça me semble indispensable de dissiper un mal entendu. »

 

Dès que nous sommes entrés, Sophie recommence le même manège qu’à l’hôtel de Strasbourg. Elle se colle à moi en passant ses bras autour de ma taille pour me presser contre son bassin et m’embrasser à pleine bouche.

 

Elle ondule des hanches pour me faire dresser dans mon boxer mais, je lutte mentalement contre cette manigance et parviens à me séparer d’elle, quoique ma bite soit déjà en train de durcir.

« Viens installons nous et parlons ! »

 

Sophie ne veut pas parler et revient à l’attaque en sautant sur moi pour m’embrasser. Le poids de son corps me fait basculer et je la repousse avec force, dans une réaction dont je ne me serais jamais cru capable.

« Salaud ! »

 

Elle me gifle sèchement et je reconnais mon erreur à l’instant, en lui demandant pardon. L’adrénaline m’a fait bander encore plus. Je m’installe dans un fauteuil et nous commençons à parler un verre d’alcool à la main, car nous en avons besoin pour nous calmer.

 

Ma compagne se détend peu à peu. Elle est en face de moi, à moitié allongée sur le divan, les yeux posés sur moi, me dévorant comme si j’étais son dîner. En se calmant, Sophie reprend ses airs de femme fatale en se tordant sur le divan pour mettre en valeur ses courbes pleines. Elle sait comment me mettre l’eau à la bouche.

 

Je ne suis pas trop à mon aise, car cette coquine fait tout pour m’allumer. Son chemisier en soie beige entrouvert laisse apercevoir la naissance de ses seins, dont je distingue l’aréole bistre au travers du tissu. Sa jupe un peu courte est remontée et Sophie fait crisser la soie de ses bas en frottant ses cuisses l’une contre l’autre.

 

Elle m’explique qu’elle me veut entièrement à elle, que je dois quitter ma femme et ma fille pour me consacrer à elle, qu’elle a enfin trouvé l’amant qui sait la combler. Bref, elle veut que je devienne son esclave sexuel, « son étalon » comme elle dit d’une manière vulgaire à un moment de la conversation.

 

Je n’ai jamais conçu la relation homme-femme sur ce plan. Je lui dis que je suis très épris de ma femme, qu’il n’est pas question que je la quitte pour une relation sans amour, basée uniquement sur le sexe.

 

En même temps, je suis flatté que Sophie, avec ses dix ans de moins, s’intéresse à moi, un homme tout à fait ordinaire sur le plan physique. J’ai en face de moi une femme splendide, exceptionnellement belle, élégante et raffinée dans la vie de tous les jours.

 

Mais c’est vrai aussi qu’elle a un côté sulfureux et tentateur, que son obsession sexuelle démontre. C’est surement une croqueuse d’homme, qui prend et qui jette ensuite, comme on jette un jouet cassé.

 

Notre discussion est rude et nos échanges vifs. Mais, j’ai cependant très envie de faire l’amour une dernière fois avec Sophie.

 

Elle le sent, elle le sait ! Si bien qu’elle profite d’un blanc dans nos échanges pour se lever et venir me rejoindre sur le fauteuil. Elle se met à genoux de chaque côté de mes cuisses et m’embrasse avec fougue, mêlant sa langue à la mienne dans une série de baiser enflammés.

 

J’oublie tout ce que j’allais dire, quelques instants auparavant je me demandais s’il valait le coup de tout risquer pour une nuit de sexe…

 

Dans le même temps, je remonte sa jupe et je découvre qu’elle ne porte pas de culotte. En portait t’elle une lorsque je suis monté dans sa voiture, s’en est t’elle débarrassée sans que je m’en rende compte après notre arrivée dans son appartement ? Cela m’importe peu !

 

Son sexe est accessible… et je m’empresse d’aller y fourrager pour en éprouver la moiteur humide pendant que Sophie part à la recherche de mon sexe en ouvrant le zip de mon pantalon.

 

Dès qu’elle l’a en main elle change de position et plonge sur ma bite déjà bien bandée pour l’emboucher jusqu’au fond de sa gorge. Tout en me pompant le dard, elle fait voler son chemisier et son léger soutien gorge puis elle entreprend d’achever de me mettre nu.

 

Dès que mon sexe est bien bandé, elle se dégage :

« Viens dans ma chambre, nous serons mieux. »

 

Je suis quelque peu surpris du changement de ton. Sophie se fait douce et tendre alors que lors de notre nuit à Strasbourg et quelques minutes avant, elle était vive et mordante, dirigiste même. Elle semble totalement soumise, me laissant la totale initiative.

 

Au cours de la fin de l’après-midi et de la soirée, nous faisons l’amour plusieurs fois. A chaque fois, c’est moi qui ai eu l’initiative de la position, du rythme de la copulation jusqu’à finir par nous endormir dans les bras l’un de l’autre, repus de jouissances et de fatigue.

 

Au petit matin, nous restons un instant au lit en bavardant. Il faut aller bosser. Sophie ne revient pas sur la conversation de la veille et je me sens si bien que je n’ai pas envie de faire renaitre la polémique en revenant sur le sujet que je pense acquis.

 

On prend une douche ensemble. Elle se déchaine à nouveau en me disant qu’elle veut tout me prendre, tout me faire cracher, je bande dur malgré la nuit torride qu’on vient de passer ensemble et, au lieu de prendre en bouche ma bite comme je l’aurais voulu, elle se met de dos et frotte ses fesses contre moi, pour me laisser sur ma faim, tout excité…

 

Après ça je la quitte, en lui redisant que la cause était entendue, qu’il n’était plus question de nous revoir, que tout était terminé.

 

Mon taxi est pris dans un embouteillage comme il y en a souvent en région parisienne. Aucune échappatoire possible. Je dois prendre patience : il n’y a rien d’autre à faire.

 

Dès que j’arrive au bureau, j’ouvre ma boite à courriels de mon ordinateur pour voir ce qui est arrivé pendant les vingt-quatre heures écoulées et prendre connaissance du suivi intranet de l’entreprise.

 

Je vois avec stupeur un courriel de Sophie avec des pièces jointes.

 

Cette salope ! Je ne peux m’empêcher de la qualifier ainsi, a filmé et photographié nos ébats… Je n’ai rien remarqué car elle doit avoir une installation sophistiquée. En effet, les vues sont prises sous différents angles.

 

Cette garce menace d’envoyer un DVD à mon épouse pour lui prouver que je ne suis pas le « si bon mari qu’elle croit ». Je ne réponds pas et comme son message est sans « accusé de réception », elle ne sait pas si je l’ai lu.

 

Le lendemain jeudi, l’enfer recommence. Sophie n’arrête pas de m’appeler sur mes deux téléphones et de m’envoyer des SMS. Comment a-t’elle eu mon numéro de ligne directe et mon adresse internet. C’est un mystère…

 

Pour éviter qu’elle ne mette à exécution sa menace, je réponds aussi souvent que je peux, sans cependant entrer dans son jeu.

 

A suivre…

Par Gérard le Matou - Publié dans : Le Matou Libertin - Communauté : Histoire érotique
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Commentaires

Brrr !!!  Un véritable cauchemar  pour les libertins. C'est un coup à devenir fidèle,

ça !!!

Rudement bien écrit,  comme d'hab'

commentaire n° :1 posté par : brunobi le: 09/01/2014 à 21h45

Et de nos jours, il faut être de plus en plus prident ! d'ailleurs, ce n'est pas un certain Flamby qui nous contredira !

réponse de : Sophie de R. le: 18/01/2014 à 20h16

Super fin, on ne s'en alsse pas ! y aurait pas une suite, par hasard ???

commentaire n° :2 posté par : Allan le: 10/01/2014 à 20h05

Depuis, tu l'as surement lue, cher Allan !

réponse de : Sophie de R. le: 18/01/2014 à 20h17

Mhumm super, je suis tout raide.

commentaire n° :3 posté par : Djamel le: 12/01/2014 à 17h12

Mhummm, j'aimerai bien voir ça ! ;-)

réponse de : Sophie de R. le: 18/01/2014 à 20h18

Chaude la Sophie. le mec est mal barré.

La suite doit être palpipante.

 

commentaire n° :4 posté par : cachotier le: 17/01/2014 à 23h17

Et je crois qu'elle t'a plue, au final.... gros bisous....

réponse de : Sophie de R. le: 18/01/2014 à 20h12
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