Le blog en détails...

  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil

Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

Derniers Commentaires

Recherche

Recommandez ce blog à vos amis

Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Après un mois à voyager avec mon ami Sergio à travers cette ile exotique, nous passons une dernière soirée dans la capitale, et décidons de boire un verre en compagnie de Phil, un compagnon de voyage rencontré la veille. Nous arrivons dans le bar qu’on nous a indiqué comme étant le lieu de rendez-vous des français. On s’installe en terrasse, et aussitôt des dizaines d’yeux nous scrutent. Des yeux masculins qui nous jaugent, mais surtout des yeux féminins autochtones qui nous dévisagent de la tête aux pieds. Nous n’avons pas le temps de savourer ce plaisir que deux superbes filles à la peau cuivrée s’assoient à notre table.

L’attrait de la nouveauté sans doute, elles ont devancé les autres et nous ont mis le grappin dessus en moins d’une minute. Des professionnelles, pense-t-on, mais peu importe. Une troisième arrive bientôt, une métisse carrément mignonne et nous sommes à égalité : trois de chaque côté…

 

La conversation va bon train, on fait connaissance. En discutant, on perçoit qu’on s’ennuie sacrément dans cette ville, et que l’arrivée de quelques inconnus n’est pas pour leur déplaire.
Un « expat » passe vers nous et glisse à l’oreille de ma voisine (mais suffisamment fort pour que j’entende) :

«Tu passeras chez moi demain ? Tu as oublié ton foulard en partant ce matin ».

 

Cela suffit à effacer tout soupçon de romantisme dans cette relation naissante !

Quand nos verres sont vides, nous décidons rapidement de quitter les lieux. Nous proposons à nos hôtesses de nous emmener dans leur boite préférée pour finir la soirée. Nous nous levons, et spontanément les couples se forment sur le trottoir. Cathy, ma voisine de table s’accroche à mon bras, son amie Claudia se rapproche de Sergio, et Belinda, la jolie métisse se retrouve par défaut avec notre compagnon. Il faut avouer que le pauvre Phil n’a pas tous les atouts pour attirer une jeune fille, je ne m’étendrais pas sur les détails, mais c’est ainsi, et elle fait la moue en le suivant sans grande conviction.

Pendant ce temps, j’embrasse ma conquête du soir, la plaque contre une voiture et commence à la caresser. Mes doigts parcourent le haut de son bustier, flirtant avec la peau de sa poitrine naissante. Sa langue frétille dans ma bouche à chaque caresse un peu appuyée. Je passe ma main sur sa cuisse, recouverte d’un collant, chose surprenante sous cette latitude, mais elle est élégante avec ses talons aiguilles, ce qui n’est pas pour me déplaire.

 

Je pose mes mains sur ses fesses fermes et prometteuses ; les choses commencent à se préciser et il serait préférable qu’on quitte cette avenue un peu trop fréquentée. Sergio en est arrivé aux mêmes conclusions que moi, alors que Phil semble plus timide un peu plus loin. Nos trois couples se glissent dans des ruelles en direction de la boite de nuit. Les mains deviennent de plus en plus baladeuses, les baisers un peu plus appuyés. Sergio me prend à part et me dit :

« Mon salaud, tu as vraiment décroché le gros lot. Regarde la mienne, elle a un beau cul mais une sale gueule ! ».

C’est vrai, je n’avais pas spécialement remarqué ça tout à l’heure, et grâce à sa remarque, j’appréciais encore plus la compagnie de Cathy. Mais je ne pouvais m’empêcher de me dire que le plus chanceux était quand même Phil avec sa petite métisse aux yeux verts et au regard coquin. Ses petits seins pointaient sous sa robe légère, sa croupe marquait chacun de ses pas, et même sans collants, ses jambes galbées étaient un plaisir à regarder. Mais pas trop le temps de s’attarder sur elle, j’étais suffisamment occupé de mon côté !

On arrive devant la boite, elles nous présentent aux videurs, un peu comme des trophées. On entre et on va directement au bar, je m’assoie sur un tabouret et elle vient directement sur mes genoux. Elle se rapproche contre moi, se recule doucement jusqu’à ce que mon sexe dressé se coince entre ses fesses. Je meurs d’envie de la caresser un peu plus, mais on en reste là pour l’instant: c’est délicieux d’attendre comme ça, alors que tout le monde nous regarde. On reste immobiles un moment, on boit un verre, puis Belinda s’approche de nous et m’entraine d’autorité vers la piste. Je dois abandonner ma conquête qui apprécie moyennement la situation et va en terrasse fumer une cigarette.

Nous commençons à danser l’un contre l’autre. Elle est tellement légère que je la sens à peine. De temps à autre, je sens la pointe de ses seins contre mon torse, ça me fait frissonner à travers ma chemise. Je glisse une cuisse contre son pubis, et je sens qu’elle se frotte vraiment au rythme de la musique, il n’y a plus de doute ! Comme je suis bien plus grand, j’ai le sexe au niveau de son ventre, et je me colle à elle. Elle non plus cette fois n’a plus de doute sur l’effet qu’elle me fait. Nos corps sont faits l’un pour l’autre, c’est évident. D’ailleurs, alors que je la regarde en souriant elle me dit :

« J’ai envie de toi ! Je vais en parler à Cathy…Attends moi au bar… ».

 

Je me retrouve seul sur mon tabouret, complètement excité, répondant aux sourires goguenards des clients qui s’étaient rincé l’œil pendant notre danse sexy !

Elle revient déçue :

« Elle ne veut pas aller avec Phil, elle veut rester avec toi ! Elle veut te garder. »

 

Je lui réponds du tac au tac :

« Me garder pour elle toute seule ? Elle ne voudrait pas partager ? »

 

Son regard s’illumine, elle passe sa langue sur ses lèvres, me fait un clin d’œil et repart…


Ici ça s’arrête l’histoire véridique….
Le prochain épisode sera le fruit de mon imagination !

 

Elles reviennent au bout de quelques instants, Cathy arrivant la première et me posant directement la main entre les jambes en me regardant droit dans les yeux sans me dire un mot. Belinda la suit et me lance un clin d’œil complice, qui me laisse deviner qu’on va finir la soirée tous les trois. Elle s’approche de moi et me dit qu’il faut juste qu’elle trouve une copine pour Phil, et que ça me coutera quelques sous, puisqu’on sait que le pauvre n’avait pas un rond. Qu’à cela ne tienne !


Pendant ce temps, le barman apporte une clé à Cathy, qui m’entraine vers un couloir au fond du bar. J’ai juste le temps d’apercevoir dans un coin de la salle Sergio et Claudia très occupés sur un fauteuil. Cathy ouvre rapidement la porte, je la suis et elle me saute dessus en me susurrant :

« Alors comme ça, je ne te suffisais pas ? T’inquiètes pas, tu auras ce que tu mérites, on va s’occuper de ton sort… »

 

Ses menaces ne me font pas peur, je passe illico ma main sous sa jupe et fait glisser son collant. Elle ne porte rien en dessous, et ma paume est directement en contact avec la peau duveteuse de ses fesses. Pendant ce temps, elle m’embrasse dans le cou, puis descend tout en déboutonnant ma chemise.

 

Elle défait ma ceinture, s’attaque à ma braguette, sort mon chibre qui n’en pouvait plus et l’embrasse sur tout son long. Malgré tout je reste concentré sur ce que je faisais de mes mains, et retire sa jupe et ses collants, découvrant une toison brune. Mes doigts commencent à fourrager son sexe qui devient très humide. Pendant que je caresse sa vulve, j’entends Belinda qui ouvre la porte.


Elle nous regarde en souriant, puis commence à danser en faisant un strip-tease. Sa robe est vite enlevée, et elle se retrouve en chaussures, string et soutien-gorge. Elle s’allonge sur un lit, et continue de se déshabiller en se tordant sur des coussins. Je ne la quitte pas des yeux, tout en continuant à explorer le sexe de Cathy, qui prend bientôt mon sexe en bouche. Je tente de me rapprocher du lit où Belinda est maintenant totalement nue et commence à se masturber.

 

Cathy suit mes mouvements tout en me gardant dans sa bouche. Arrivé au niveau du lit, je m’allonge sur le dos, Belinda se redresse, retire mon jean et mon slip et me caresse les testicules. Elle me les lèche maintenant tout en me caressant le reste du corps. Elle rapproche lentement ses fesses jusqu’à ce que je puisse les caresser. Ce que j’avais deviné tout à l’heure en dansant s’offre maintenant à moi : deux petites fesses musclées qui épousent parfaitement la forme de ma main.


Il est temps de reprendre un peu mes esprits et de faire un bilan de la situation : je suis allongé sur le dos, Cathy sur ma gauche, en train de me sucer consciencieusement, ma main gauche explorant désormais sa grotte. Belinda est à ma droite, en train de me lécher l’entrejambe, pendant que ma main droite s’attarde sur son fessier. Mes doigts progressent naturellement entre ses fesses, effleurent à peine son anus puis atteignent sa petite chatte déjà bien trempée. Mon index est happé par ses lèvres que j’écarte facilement jusqu’à atteindre son clito que je titille.

 

C’est vrai que nos corps sont faits l’un pour l’autre, tout se fait naturellement. Quelques pressions un peu plus appuyées sur son bouton avec l’index et elle se cabre d’un seul coup. Elle laisse échapper un cri, et son ventre est pris de spasmes. Je n’oublie pas Cathy, même si ma main gauche est moins habile, et je pince son clito entre le pouce et l’index. Ca déclenche en elle une réaction de surprise suivie d’un un soupir de satisfaction. Elle arrête l’espace d’un instant sa fellation pour reprendre son souffle, passe ses mains dans ses cheveux, et reprend une position adéquate pour m’achever.

 

Elle s’acharne de plus en plus, et me pompe sans relâche. C’est le moment que choisit Belinda pour venir m’embrasser dans le cou. C’est le coup de grâce, je perds tout contrôle et je me vide dans la bouche de Cathy, pendant que Belinda m’embrasse et étouffe mes râles de plaisir.


Je me relâche un instant, embrasse Belinda, savoure ce que je viens de vivre, et regarde Cathy qui arbore un sourire un peu triste. Je comprends qu’elle s’est donnée à fond pour mon plaisir, mais que je l’ai un peu délaissée en m’occupant de Belinda. Elle semble rester sur sa fin, je me dirige donc entre ses cuisses pour lui offrir un cuni. Je la lèche avec autant de conviction qu’elle en a montrée en me suçant. Ma langue lape ses lèvres, pendant que mon index tourne autour de son clito qui semble sortir un peu plus de son écrin. Je l’entoure de mes lèvres et l’aspire. C

 

a lui fait rapidement de l’effet et elle me plante les ongles dans les épaules. Au même moment Belinda se glisse entre mes jambes pour me lécher le sexe encore couvert de sperme. C’est absolument délicieux… Ce traitement lui redonne de la vigueur, mais je continue à m’activer sur le clito de Cathy qui m’encourage par des petits cris. Ses lèvres sont gonflées, et je les mordille doucement pendant que je la doigte. Soudain, ses jambes se resserrent sur moi pendant qu’arrive son orgasme, un long orgasme qui la laisse pantelante, les cuisses autour de mon cou.


Pendant ce temps, Belinda a fini de me nettoyer, n’en perdant pas une goutte. Elle va en faire profiter son amie en l’embrassant goulûment. Je profite de cette pause pour sortir un préservatif de la poche de mon jean, je le glisse dans la main de Belinda qui le regarde d’un air gourmand. D’une main experte, elle l’enfile sur mon pieu triomphant, désormais prêt pour la deuxième mi-temps…

 

Allongé sur le dos, ma tête est confortablement installée sur le bas-ventre de Cathy, mon cou baignant dans la moiteur de son entrejambe, encore tout chaud du cunilingus que je viens de lui administrer. Je caresse ses longues jambes dorées pendant qu’elle me masse les épaules.

De son côté, Belinda s’agenouille, une jambe de chaque côté des mes hanches, prenant délicatement mon sexe d’une main. Elle abaisse sa vulve jusqu’à ce qu’elle rencontre mon gland qu’elle frotte le long de ses lèvres. Elle imprime à ma bite un mouvement circulaire, tournant autour de sa petite chatte que je ne quitte plus des yeux, me délectant de la vision de cette merveille que je ne connais que du bout de mes doigts. Avec une douceur extrême, elle titille l’entrée de son vagin en y promenant mon gland, puis descend doucement pour le faire pénétrer quelques centimètres.

Elle reste ainsi sans bouger, en caressant longuement mes testicules avec sa main libre, puis remonte légèrement le bassin jusqu’à ce que je sois pratiquement sorti de son orifice. Cette fois c’est en oscillant son bassin qu’elle fait tourner sa vulve autour de mon sexe impatient, préservé dans son écrin de plastique. L’entrée du petit sexe de Belinda s’élargit naturellement et elle redescend pour enfourner cette fois la moitie de mon membre, restant un long moment à l’exciter par des petits mouvements à peine perceptibles, bientôt suivis puis d’allers et retour de quelques centimètres. C’est une douce torture mais difficile à supporter, aussi pour me donner une contenance, je caresse les jambes de Cathy. Le plaisir commence à m’envahir, je me contracte et malgré moi, mes caresses sont de moins en moins douces, la griffant presque par instants.

Ca à l’air de la remettre dans de bonnes dispositions, et je sens qu’elle commence à frotter son pubis derrière mon cou, puis arrête de me masser mes épaules pour se masturber. Agréable sensation que de sentir une femme se donner du plaisir juste derrière moi, c’est une diversion suffisante pour retarder l’éjaculation que je sentais venir avec le traitement que Belinda me réservait.

 Percevant que la tension monte, elle remonte encore le bassin ne laissant que l’extrémité de mon gland en contact avec sa chatte. Elle s’incline légèrement son buste pour se rapprocher de moi, me toise du regard, et je vois poindre son désir dans ses jolis yeux verts.

J’en profite pour caresser ses petits seins, titillant les têtons insolents venus me narguer à portée de main. Après quelques instants d’immobilité d’une rare intensité, elle se redresse comme pour prendre son élan, puis avale d’un coup mon sexe jusqu’au fond de sa petit grotte dégoulinante. Parfaitement synchronisés, nous nous activons tous les deux jusqu’à ce qu’arrive son orgasme qui la secoue de spasmes, accompagnés d’un long cri, avant qu’elle ne s’écroule sur mon torse en poussant un long soupir. Comme je le présentais tout à l’heure, nos deux corps s’accordent à merveille et se répondent sans réfléchir !

Cathy a assisté à la jouissance de son amie et se rapproche d’elle pour la caresser tendrement, elle la materne quelques instants entre deux seins imposants, tout en frottant son ventre contre elle. Belinda comprend où elle veut en venir, se dégage et lui abandonne mon sexe qui a encore quelques ressources. Cathy est complètement excitée et son souffle est de plus en plus court. Je la couche sur le dos, relève ses jambes sur mes épaules et la pénètre sans attendre. A chaque coup de boutoir je m’enfonce un peu plus dans son antre et elle me répond en agrippant mes hanches pour donner le rythme. Soudain je sens Belinda derrière moi me prodiguer des caresses sur les fesses, avant de commencer un anulingus. Sous l’effet de la surprise, j’ai failli décharger mon foutre mais je me retiens alors qu’elle me lèche consciencieusement. Je reprends ma besogne, et sa langue s’insinue dans mon trou à chacun de mes mouvements. Je ressors de plus en plus du sexe de Cathy pour aller encore plus à la rencontre de la bouche de Belinda.

Pendant quelques secondes j’en sors pratiquement, arrêtant de labourer Cathy pour profiter du traitement infligé à mon postérieur par ma petite métisse experte. Puis d’un coup, je pénètre brusquement Cathy qui ne s’y attendait pas, ce qui déclenche en elle une longue jouissance qu’elle accompagne de petits cris étouffés. Sans force, elle repose ses jambes sur le lit, et pendant qu’elle reprend ses esprits, je m’allonge sur son corps bouillant. Derrière moi, je sens la main de Belinda qui sort mon sexe de celui de son amie, retire le préservatif et me branle en me léchant gouluement.

Je sens que mes couilles vont rendre grâce, je m’allonge, approche sa bouche de ma bite qui est bientôt engloutie. Mon corps se tord de plaisir pendant qu’elle me pompe, et très vite je gicle dans sa bouche. Elle demande à Cathy de se joindre à elle pour finir de lécher mon sperme, ce qui finit de m’achever, puis elles remontent toutes les deux le long de mon corps épuisé en m’embrassant jusqu’à venir se blottir contre moi.

Je suis là, à réaliser ce qui vient de m’arriver, entouré de ces deux inconnues dont je ne connais que le prénom, quand le barman entre sans frapper dans la pièce. Je compris vite que quelqu’un d’autre veut profiter du lieu, et que nous devons déguerpir fissa. Je comprends également qu’il attend quelques billets, que je sors de ma poche. Il est tard, et nous avons un avion à prendre tôt le lendemain matin. Je propose à Belinda et Cathy de venir dormir à l’hôtel, ce qu’elles acceptent, et nous passons une courte nuit enlacés tous les trois.

Certains passages étaient romancés, mais la suite est véridique…

Le réveil sonne, je rassemble mes affaires et je vais voir Sergio qui était dans la chambre d’à coté avec Claudia : ils venaient également de se lever. Nous partons, et le gardien de nuit nous réclame une somme pour les « extras » (c'est-à-dire les chambres pour les filles que nous avons ramenées), que nous lui réglons en maugréant, y compris pour Phil notre ami désargenté qui dort encore puisqu’il ne prend pas d’avion. Nous sautons dans un bus, accompagnés de nos conquêtes d’un soir qui se proposent de nous accompagner à l’aéroport.


C’est plutôt attendrissant, d’autant plus que contrairement à ce qu’on pensait, ce ne sont pas des professionnelles, et elles ne nous réclament pas un centime pour leurs prestations inoubliables. Malheureusement, le bus nous dépose assez loin de l’aéroport et il y a deux bons kilomètres à marcher avec nos bagages. Elles nous aident à les porter, mais curieusement, restent un peu en retrait, alors que nous pressons le pas car il nous reste peu de temps pour prendre l’avion.

 

Et soudain, nous voyons qu’elles tentent de fuir avec les sacs : le romantisme est vite oublié, et nous récupérons nos sacs illico, en les traitant de tous les noms avant de courir pour sauter de justesse dans l’avion.


Alors que nous décollons, avec Sergio nous nous racontons nos exploits de la veille avec ces petites voleuses, mais qui étaient de sacrées coquines. Je m’endors le sourire aux lèvres, en repensant au petit cul de Belinda que je ne suis pas près d’oublier…

 

Signé Fiftissimo

 

 

Par Fiftissimo - Publié dans : Vos contributions - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
Donnez votre avis... - Lisez les 5 messages
Retour à l'accueil
Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés