Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
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Bises libertines,
Sophie
Je jetai des regards langoureux vers l’homme. Je l’allumai comme une garce. Et il adorait. Il put ainsi admirer mes fesses lorsque je fis mine de faire tomber ma fourchette et de la ramasser en proposant autant que possible mon fessier ravageur.
Sa compagne ne se rendit compte de rien car elle parlait normalement. Je décidai de le provoquer encore un peu plus. Je me mis à sucer le manche de mon couteau.
« Arrête ou je vais te sauter dessus, me fit Caroline. Je suis toute trempée.
- Montre !
- Comment ?
- Fais glisser ton doigt et viens me le faire goûter. »
Je la vis descendre sa main.
« Mmm, je me branlerais bien mais j’ai d’autres projets. Tiens, goûte ma chérie. »
Elle me tendit la main que je pris tendrement dans mes mains. Puis, tout en regardant l’homme, j’introduisis le doigt dans ma bouche et le suçai lentement. J’ai cru qu’il allait faire une attaque. D’ailleurs, sa compagne s’en aperçut et lui demanda ce qu’il lui arrivait.
« C’est trop. J’en avais déjà envie mais maintenant c’est le brasier.
- Profites-en ! Elle va aux toilettes. »
La femme passa non loin de nous. Caroline, telle une lionne, suivit sa proie.
« Tu me raconteras ?
- Toi aussi, » fis-je.
Je vis l’homme qui, sans la présence de sa femme, me matait carrément. Je me levai et allai aussi vers les toilettes, mais au lieu de prendre la porte des dames, je pris l’autre. Juste avant de fermer la porte, je le regardai et lui envoyai un clin d’œil.
Les toilettes étaient grandes et propres. Le sol était recouvert d’un tapis épais. J’avais le cœur qui battait à tout rompre. Est-ce qu’il avait compris ? L’excitation d’être repérée par un autre homme ne faisait qu’attiser mon désir. J’enlevai rapidement mon string qui n’était que loque.
La porte s’ouvrit.
Un homme entra et rapidement referma la porte. La serrure se ferma également.
Rapidement, il se jeta sur moi et m’embrassa mais je le repoussai.
« Je n’embrasse pas les inconnus.
- Je…
- Je ne veux rien savoir. J’ai juste envie que tu me fasses jouir. Point barre. Et dépêche-toi si tu ne veux pas que ta femme s’en aperçoive.
- Ok ! »
Je fis remonter rapidement ma robe et me retrouvai à demi nue devant lui. Lui ne prit pas plus la peine de se déshabiller. Il ouvrit la fermeture éclair de son pantalon, engloutit une main et fit ressortir l’autre costume trois pièces qu’il portait. Et je préférai largement ce dernier.
Il fouilla ses poches et sortit un préservatif. Visiblement, il n’était pas à son coup d’essai. Il s’approcha de moi, me souleva et me fit asseoir sur le bord des éviers. Sans préliminaires, il emmancha son long et fin sexe en moi. Je le sentis m’envahir.
Il commença à me limer lentement. Voulant jouir le plus rapidement possible, je défis mes bretelles et dégagea mes seins que je pétrissais à pleine main. Je les pinçai le plus fort que je pouvais. Le plaisir arriva vite et je jouis.
L’homme lui, imperturbable ne parut pas s’en émouvoir et continua ses va-et-vient. Il ralentit un peu me permettant de reprendre mes esprits. Puis, il alla de plus en plus vite. Je lâchai un sein et allai me masturber le clitoris.
Je me sentis pour une fois comme la pire des salopes qui se donnaient au premier venu. Et cela m’excitait encore plus.
L’inconnu limait encore plus fort et encore plus vite. Il allait exploser.
Je devins furie et en tordant un de mes tétons à me faire mal, j’astiquai mon bouton violemment. L’orgasme me submergea. L’homme dut se libérer dans la capote au même moment.
Il se retira.
Mes jambes étaient toutes molles et heureusement que je fus assise sur l’évier sinon je serais tombées par terre.
Il enleva la capote remplie de son précieux nectar et la jeta dans la corbeille.
Il se rhabilla et me donna le bras pour me mettre debout. Je sautai du meuble et remit de l’ordre dans ma tenue.
« Ce fut génial, me dit-il. A un de ces jours peut-être.
- Qui sait ? » fis-je en riant.
J’ouvris la porte et regagnai ma table tranquillement. L’homme regagna la sienne. Caroline arriva les yeux pétillants, comme à chaque fois, dû à un orgasme.
« Ma chérie ! Et alors ? Il est comment ?
- Tu ne me croiras pas. Et toi ?
- Toi d’abord !
- Disons que le mari doit frôler la crise cardiaque.
- Pourquoi ?
- Que celui qui m’a sautée et en plus divinement ce n’est pas lui, mais un autre client.
- Quoi ?
- Il n’a rien compris ou il n’a pas osé. Tu aurais du voir son visage lorsque je suis sortie avant l’autre type. Il était rouge mais rouge. Le pauvre.
- Mais pourtant…
- Un autre a profité de l’occasion.
- Et c’est qui ?
- Celui qui est tout près du bar.
- Mhumm, pas mal ! Tu as gagné au change. Et dire que je me suis envoyée la femme pour que tu aies le champ libre. Par contre elle, elle assume !
- Mieux que moi ?
- Tu sais que tu seras toujours une des mes favorites.
- Un jour, tu ne pourras plus te passer de ma langue ! Et toi, raconte !
- A une condition !
- Laquelle ?
- Que tu me fasses l’amour.
- Accordé !
- Viens, partons. Je n’ai plus faim.
- Moi si mais de toi, dis-je.
On se levait et elle m’embrassa. On sortit et en passant à côté de la table. J’entendis la femme dire :
« A bientôt. Madame.
- A bientôt. Ce fut un plaisir de faire votre connaissance, répondit Caroline.
- Moi de même. Je serai ravie de profiter encore de votre savoir-faire.
- C’est réciproque. Au revoir.
- Au revoir !
- Tu vas la revoir ?
- Pourquoi pas ! On s’est échangé nos téléphones. Cela te dérange ?
- Non ! C’est surprenant. Dis, une question ?
- Oui ?
- Tu crois qu’un plan à trois serait possible ?
- Mais tu deviens de plus en plus cochonne.
- Oui ! Et j’assume !
- Alors, partons vite ! Je veux te voir assumer. Prends le volant, je te raconterai ce qu’il s’est passé entre elle et moi.
On monta dans la voiture. Aussitôt, elle posa une main sur ma cuisse. Je démarrai. La voiture vrombit.
« Alors ? Tu racontes ?
- Je suis entrée juste après elle dans les toilettes. Elle se refaisait une beauté tandis que moi, je passai de l’eau sur mes joues. Tout à coup, je lui ai dit :
- Zut, j’ai quelque chose dans l’œil et cela ne veut pas partir. Vous pourriez m’aider ?
- Pas de problème ! Laissez-moi faire ! »
- Elle se rapprocha de moi et me prit le visage de ses doigts fins. Elle ouvrit à l’aide de ses doigts mon œil et scruta. Bien entendu, elle ne vit rien. Je sentis ses seins s’écraser contre les miens. Elle dut percevoir mon absence de soutif car sa respiration se fit plus lourde et plus rapide. Ses joues rosirent. Je la regardai droit dans les yeux et sans un mot, j’approchai mes lèvres des siennes. C’est le moment de vérité !
- Et après ?
- Arrête-toi là !
- Pourquoi ?
- Tu verras ! »
Je stoppai la voiture sur un petit parking. Caroline se tourna vers moi et plaqua sa main sur mon sexe dépourvu de tout tissu. Elle planta un doigt en moi et masturba mon clitoris tout gorgé d’excitation.
« Voilà maintenant, tu vas ressentir ce que j’ai vécu. Elle ne m’arrêta pas et je posai mes lèvres sur les siennes. Sa bouche s’ouvrit et répondit à l’invitation de la mienne. Puis, nous fûmes que furies. Je pris d’autorité sa main et la plaqua en dessous de ma robe sur mon sexe débordant de cyprine. Elle s’invita en moi et me branla avec deux doigts. Je fis de même. J’ouvris son pantalon, glissai une main entre l’étoffe satinée de sa culotte et son sexe aussi lisse qu’un œuf. J’atteignis rapidement le volcan qui était déjà en ébullition. »
Caroline imitait avec sa main en moi les mouvements que la femme lui faisait. Son autre main avait rejoint son sexe avide de plaisirs. Je sentis que la jouissance n’allait pas tarder à arriver. Elle continua au milieu d’halètements devenus de plus en plus forts et rapides.
« Tout en se regardant droit dans les yeux, nous vîmes chacune le plaisir monter dans le corps de l’autre. Ce fut elle qui fut terrassée la première. Elle s’écroula sur le sol tout en quittant mon abricot. Je continuai malgré tout à la branler afin que sa jouissance fût plus grande encore. Elle ouvrit les yeux et elle m’invita à lui faire goûter ma grotte en fusion. Je m’accroupis sur elle et là, je fus surprise. Elle était experte dans l’art de me sucer le clito. Ce n’était pas la première fois et je jouis très vite en libérant mon nectar sur ses lèvres pulpeuses.
- Continue ! Je vais venir.
- Je refis surface et je plongeai entre ses cuisses et m’attaquai tout de suite sur son petit bouton. Réceptive, elle jouit assez vite.
- Comme moi, » soupirai-je en prenant mon pied.
Caroline s’activa sur son petit éperon et jouit à son tour. Les sièges de la voiture étaient maculés de nos liqueurs remplies de désirs.
« On s’est rhabillées, me fit Caroline en reprenant ses esprits. Elle m’a alors roulé une de ces pelles ! J’en suis encore toute retournée. »
« J’aimerais encore continuer mais mon mari m’attend. Tenez, voilà ma carte. Lorsque vous repassez par ici, appelez-moi. J’aimerais prendre mon temps la prochaine fois.
- Voici la mienne. Ce sera avec plaisir si vous venez à Bruxelles. »
- On sortit ensemble et toi, tu t’étais envoyé un autre bonhomme. Maintenant, raconte-moi ce qu’il t’a fait.
Je redémarrai, et en détail, je lui narrai mon expérience. Elle prit son pied une seconde fois.
Arrivées à la villa, nous nous mîmes nues, et amoureusement, nous fîmes l’amour en savourant chaque parcelle du corps de l’autre.
Et moi donc !!! j'avais un peu laissé la publicaiton de coté, je vais la reprendre à un rythme plus assidu !
Vraiment ce récit n'en finit pas d'être extraordinaire.
J'adore toujours autant.
Et il reserve encore bien des surprises ! Je vais reprendre une publication plus regulière, promis...
Je suis comme toi, et j'apprécie aussi beaucoup la suite publiée hier !
Elle est loion d'etre finie, et un nouvel article a été publié hier...