Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
Les
jours suivants la vie monotone reprit ses droits. J’avais été un peu chamboulée en voyant ce à quoi était capable Caroline mais cela s’estompa assez vite car, après tout, elle faisait ce qu’elle
voulait de son cul. Par contre, la chose que je ne parvenais pas à oublier, c’était l’énorme queue de Rodrigue. Je me suis branlée de nombreuses fois en pensant à elle, tout en sachant que
c’était chose impossible.
Le repas
avec Florence fut annulé au dernier moment, car elle dut se rendre au chevet de sa mère malade.
Mais
c’est bien connu, impossible n’est pas français, ni belge d’ailleurs. Un mardi après-midi, deux semaines avant les fiançailles qui allaient se dérouler dans l’immense parc de la villa, Rodrigue
sonna à la porte.
« Bonjour Gwendoline.
-
Bonjour Monsieur.
- Appelez-moi Rodrigue. On ne va pas faire de chichis. Nous avons sûrement le même âge.
- Bien Rodrigue.
-
J’apporte une caisse de champagne millésimé, c’est le même que nous goûterons ce jour-là.
- Ah !
Entrez. »
Il prit
la caisse et la déposa dans la cuisine.
« Vous voulez goûter ?
- Je ne
sais pas si je peux ! Ce n’est pas moi qui invite !
- Allez ! Ne faites pas votre mijaurée. Il est à bonne température en plus. »
Il
ouvrit une bouteille sur le champ et remplis deux flûtes.
« Tenez ! Goûtez ! »
C’est
vrai qu’il était délicieux. Je la vidai assez rapidement. Aussi vite, il me resservit un deuxième.
« Alors, vous êtes la femme de chambre.
- Oui
!
- Cela vous plait ?
- Je
dois avouer que je craignais le pire mais cela ira.
- Et cela va jusqu’où le métier de femme de chambre, dit-il en s’approchant de moi.
- A
faire les chambres.
- Et les occupants ?
- Cela
ne rentre pas dans mes attributions », fis-je en ne résistant pas à cette bouche qui s’approchait de la mienne.
Le
baiser fut passionné et profondément érotique. Pas un de ces baisers d’amoureux mais celui d’un amant passionné.
« J’ai envie de vous », dit-il en prenant ma main et en la plaquant sur son sexe à moitié
durci.
Je ne
sais pas ce qu’il m’a pris mais je répondis à son invite par le même stratagème. Je pris sa main et la glissai sous ma mini jupe.
« Hum… je sens une moiteur annonciatrice de beaucoup de plaisirs. On va dans votre chambre ?
- Non ! Je veux que tu me baises sur la table de la salle à manger.
- Waouh
! Et pourquoi ?
- Je veux que le jour où se déroulera la fête, tu penses à moi en prenant un verre.
- Cela
me va ! »
Je
l’entraînai dans la grande pièce, sautai sur la table, m’appuyai sur mes coudes et en ouvrant mes jambes en équerre, je lui dis :
« Vas-y ! Bourre-moi !
- Et
comment ! »
Il se
pencha, prit mon string et le retira lentement.
« Belle petite chatte », dit-il en faisant glisser un doigt sur mes grandes lèvres
frémissantes.
Son
petit manège continua longuement.
« Personne ne va arriver ?
- Je
m’en fous, fis-je. Et puis on les entendra arriver.
- Salope, en plus ! J’adore.
- Arrête
de parler et vient me prendre. »
Aussitôt
dit aussitôt fait. Il ouvrit sa braguette, sortit son sexe et m’embrocha comme un sauvage. Il était gros, et j’aimais cela. J’étais vraiment dilatée comme jamais. A chaque
fois qu’il s’enfonçait en moi, je le sentais buter contre le fond de ma matrice. C’était magique.
« Putain, que tu es bonne !
- Aussi
bonne qu’Emma, fis-je entre deux halètements.
- Ah celle-là, elle pomperait jusqu’à la pompe d’essence si elle avait un coup de chaleur. Une vraie bête de
sexe. Pourquoi cette question ?
- Curiosité, fis-je en réalisant le propos de ma question.
- Mon
œil ! Tu veux que je compare ? »
J’entrai
dans son jeu en le flattant.
« Oui
!
- Si tu savais que la plus salope ce n’est pas la fille mais la mère !
- Tu…
tu… as bai… baisé Caroline ? dis-je sentant l’orgasme arriver.
- Et
comment ! C’est elle qui m’a chauffé. Elle était chaude comme une baraque à frites. »
Je ne
compris pas tout car je jouis une première fois.
« Putain, t’es bonne ! Tu sais, la Emma, si tu veux, je peux te brancher sur elle. Elle m’a déjà dit
qu’elle te mangerait ton petit abricot quand tu le voulais.
- Ah… ah… «
J’étais
au bord du deuxième orgasme lorsqu’il me dit :
« Attends ! Je vais visiter ton cul ! »
J’en
mourrais d’envie. Sentir ce chibre dans mon fondement me faisait déjà prendre mon pied. Lentement, il se retira de moi. Le sexe était luisant de mouille. Il releva mes jambes et présenta son
sexe à la hauteur de mon cul. Il essaya de rentrer mais pas assez préparée, il renonça. Se renfonçant dans mon sexe, il dilata mon cul avec ses doigts, ce qui provoqua mon deuxième
orgasme. Il en profita car en plein brouillard causé par le plaisir, il m’encula sans ménagements.
« Aucun cul me résiste ! » dit-il fièrement.
Très
vite, il me lima comme un bûcheron tirant et poussant sur sa scie. Je ne savais plus où j’étais. J’allais d’orgasme en orgasme. Le plaisir permanent ! Mais comme toute bonne chose à
une fin, il s’écria :
« Je vais juter ! »
N’écoutant que ma libido, je le fis enlever de mon cul, prit son sexe palpitant entre mes lèvres et le branla
jusqu’à la jouissance. Son foutre était sucré. J’avalais ce que je pouvais. Puis, ayant fini de juter, il se retira et remit son service trois pièces dans son
pantalon.
« Quel pied ! Mais cela doit rester entre nous !
- Et
comment ! dis-je. Je crois que le papa ne serait pas content d’apprendre que son gendre se tape la fille, la mère et la femme de chambre. Il ne manque plus que le fils et le tableau de
chasse est complet !
- T’es malade ! je ne suis pédé !
- On a
toujours une part de l’autre sexe en soi, fis-je pernicieuse.
- Pas
chez moi ! 100% homme !
- Tu crois ?
- Et
comment ! «
J’étais
en train de me rhabiller lorsqu’une voiture s’arrêta devant la maison. Rapidement, je remis de l’ordre dans mes vêtements et essayai les quelques traces sur la table. Caroline nous retrouva
dans la cuisine en train de siroter un verre de champagne.
« Je ne vous paie pas à boire.
- Ne la
blâmez pas ! C’est moi qui ai insisté. Et elle n’a pas eu d’autre choix que de subir ma présence. Mais tenez, goûtez ce nectar.
- J’en
goûterais bien d’autres dit-elle sans tenir compte de ma présence.
- Un
autre jour car je dois partir. »
Caroline
se cabra et furieuse, le laissa partir sans lui adresser le moindre signe d’adieu.
« Cela faisait longtemps qu’il était là ?
- Non,
juste le temps de me servir un verre », fis-je faussement.
Elle me
quitta et partit dans sa chambre.
La soirée arriva. Emma revint seule de ses cours, l’œil pétillant.
« L’après-midi s’est bien passée ? me dit-elle.
- Oui,
pourquoi ? fis-je toute surprise qu’elle m’adresse la parole.
- Pour
rien… »
La salope ! Elle est sûrement au courant de tout. Il serait temps qu’elle apprenne
à vivre ! Ce soir, il fallait que je passe à l’action.
Je
copiai sur un cd le petit film que j’avais filmé dans la cabane et le morceau que son frère avait filmé. Je glissé le cd sous sa porte avec sur la pochette la mention : « Et si ton père le
savait ? Gwendoline »
La
réponse ne se fit pas attendre car u quart d’heure plus tard, elle arriva dans ma chambre.
« C’est quoi ce binz, dit-elle arrogante.
- Rien,
juste que tu devrais baisser d’un ton en me parlant.
- Pauvre conne ! T’es qu’un larbin ! Même pas capable de trouver un emploi et être obligée de faire le
lit des autres, tu trouves cela gratifiant ?
- Pas plus que faire semblant d’aimer un mec !
-
Qu’est-ce que tu racontes ?
- Disons que mon petit doigt m’a rapporté certaines choses…
-
Lesquelles ? fit-elle anxieuse.
- Genre que Papa ne serait pas content de savoir que son gendre a épousé sa fille juste pour que beau-papa apporte
son nom à la future clinique de Monsieur.
- Comment tu sais cela ?
- Donc
j’ai raison, fis-je triomphante.
- Ben… euh… tu ne diras rien ! Promets-le-moi ! fit-elle implorante.
- Ah !
Maintenant c’est la fille de la patronne qui implore la servante ! »
Je
laissai un grand blanc et faisant mine de réfléchir, je lui tournai le dos. J’entendis qu’elle s’asseyait sur mon lit. Je me retournai et la vis nue, les jambes
écartées.
« Mais que fais-tu ? fis-je faussement indignée.
- Si
c’est moi que tu veux, je serai ton jouet, » dit-elle en se caressant les seins.
C’était
tentant même très tentant ! Pourtant il ne fallait pas que je cède sinon ma vengeance ne me semblerait pas triomphante.
« Rhabille-toi ! Je ne suis pas celle que tu crois ! Voilà ce que je veux : à partir de ce soir, je
veux que tu m’obéisses au doigt et à l’œil !
- T’es malade ! Va te faire faire foutre !
- Tu
crois ? Regarde l’écran de mon portable, un clic et l’e-mail part vers l’adresse de ton père. »
Elle vit
l’écran et blêmit.
« Que veux-tu que je fasses ? dit-elle résignée.
- Pour
l’instant juste un peu d’argent.
- Combien ?
- Disons
mille euros !
- C’est de l’escroquerie !
- C’est
l’argent de poche d’une semaine pour toi !
- Salope !
- Je ne
sais pas qui l’est le plus de nous deux.
- Je n’ai pas cette somme.
-
Débrouille-toi pour me le donner demain soir !
- Mais comment veux-tu que je trouve cet argent.
- Bah
! A cinquante euros la passe, tu devrais vite arriver à la somme, ou alors demande à papa.
- Tu me
prends pour une pute ?
- Bien, vu le nombre de gens que tu te tapes, tu n’en es pas loin ! »
Toujours
nue, elle me donnait envie. La chair étant faible, je cédai.
« Je vais te donner une occasion de diminuer la somme. »
Toujours nue, elle me donnait envie. La chair étant faible, je cédai.
« Je vais te donner une occasion de diminuer la somme. Si tu arrives à me faire jouir en moins de cinq minutes
rien qu’avec ta langue, cela fera cent euros de moins.
- Seulement !
- Tu
n’en vaux pas plus ! Alors applique-toi, et peut-être que j’augmenterai la somme. Pour te montrer que je suis quand même gentille, excite-moi en dansant devant moi et si je suis contente,
tu auras encore un rabais. »
Excitée
? Je l’étais déjà comme une folle. Cette sensation de pouvoir que je n’avais jamais connue me faisait presque monter au septième ciel. Dire que je tenais cette fille par les couilles
(permettez-moi l’expression !), et que je n’avais qu’à claquer des doigts pour qu’elle obéisse, me faisait fondre littéralement. C’est vrai que l’argent n’était pas prévu au programme mais
pourquoi pas, tout compte fait. Moi aussi, j’ai envie d’avoir ma part de gâteau. Et puis même si elle ne me le donne pas en liquide, elle me remboursera en nature.
« Sur quelle musique veux-tu que je danse ?
- Sur un
air qui m’a toujours fait fantasmer : « You can leave your hat on » de Joe Cocker. T’as intérêt de faire aussi bien que celle belle Kim ! »
Je
trouvai la chanson dans ma playlist de mon Ipod, le mis en marche et m’assis sur un siège.
Emma
lascivement vint onduler devant moi. Elle dandina du cul juste devant mon visage. Et quel beau cul ! Deux globes bien faits, bronzés entièrement et orné d’un mince duvet blond.
Se retournant, elle m’enjamba et s’assit sur mes jambes. Ses seins caressèrent mon visage. Je devais répandre une immense flaque de mouille sur la chaise tellement j’étais chaude. Ses mains
glissèrent le long de mon corps et soulignèrent mes courbes réactives à chaque caresse. Elle se leva et se penchant outrageusement. En me regardant dans les yeux, elle prit entre ses dents chaque
bouton de mon chemiser et les arracha un à un. Je la laissai faire, car cela faisait encore monter mon plaisir.
Le
chemisier ouvert, elle imita avec sa langue des caresses buccales sur mes seins tendus à l’extrême. Elle ouvrit mes jambes, s’agenouilla et fit glisser sa langue sur mes cuisses s’arrêtant juste
avant la limite de la jupe.
Elle
savait y faire la bougresse. Elle agrippa le dossier de la chaise, posa un pied sur chaque accoudoir, réussit à se redresser et vint agiter son sexe juste au-dessus de mon visage. Je vis
parfaitement une goutte perler le long de ses lèvres luisantes de plaisir.
Je n’en
pouvais plus. Heureusement la chanson s’arrêta et cela l’incita à descendre de la chaise. Elle me releva, défit la fermeture éclair de ma jupe, la fit tomber sur mes pieds, ôta le string trempé
avec ses dents, me prit la main et me dirigea vers le lit.
Je m’étendis. Le cul juste à la limite du lit. Elle, à genoux, plaqua sa langue sur mon sexe détrempé. Elle lapa ma cyprine consciencieusement et directement, elle attaqua mon clitoris. Chaude comme jamais, je sentis la jouissance arriver. Il fallait que je me retienne afin qu’elle n’ait pas l’impression que j’en mourrais d’envie. Mais je ne réussis pas à trouver une idée ou image qui aurait pu faire tomber ma libido. L’horloge m’indiquait que je devais tenir en deux minutes.
C’est long, deux minutes ! Surtout lorsque la langue est experte et agile. Je n’en
pouvais plus. Je sentais la sueur couler le long de mon front. Quel supplice je m’étais infligé ! Et pourtant j’aimais cela. Plus qu’une minute. Elle s’en rendit compte, car elle
redoubla ses caresses linguales. Mon clitoris gonflé à l’extrême allait exploser. Mon ventre en fusion n’attendait que le déclic de l’esprit. Il fallait que je tienne. Mentalement, je comptai les
soixante secondes mais comme toujours je comptai plus rapidement que l’horloge.
L’heure
changea. Les cinq minutes étaient dépassées et me laissant aller, je jouis presque instantanément. Emma redressa la tête. Croyant voir une mine désabusée, je ne vis que des yeux révulsés et une
bouche ouverte. Elle jouissait.
Je la
laissais se remettre puis le plus glacialement possible, je lui dis :
« Cela fera donc mille euros moins… disons cent cinquante pour la lap danse. Par contre, tu as dépassé les
cinq minutes, mais je t’accorde que tu y es presque arrivée. Pour la peine, cela fera encore cinquante euros de rab’. Bref, demain soir, je veux huit cents euros sinon papa ne sera pas
content…
- T’es vraiment givrée. Je comprends pourquoi tu plais tant à ma mère. Tu es faite dans le même moule. Pour
tes huit cents euros, je te les donnerai mais ce sera la première et la dernière fois !
- Tu en
es sûre ?
- Et comment ! Si tu oses encore me demander quoi que ce soit, je te tuerai.
- Oh !
Des menaces !
- Mais attends de voir ceci. »
Je me
dirigeai vers mon ordinateur, cliquai sur une icône et mon lit apparu.
« Mais… mais…
- Tu as
tout compris. Je viens de te filmer. Tu vois la petite caméra là-bas sur l’armoire ? Je t’avais en gros plan lorsque tu m’as léché.
- T’es
vraiment vicieuse.
- Donc tu disais que ce serait la première et dernière fois ? »
Comme
réponse, nue, elle partit en pleurs claquant la porte de ma chambre. Sourire aux lèvres, je pris mon nouveau vibro que je m’étais acheté la veille, m’allongeai sur le lit et facilement je
l’introduisis ? Je pris la télécommande, mis l’intensité au maximum et la jetai au milieu de la chambre. Je ne sais plus combien de fois j’ai joui, et c’est puant littéralement le sexe et la
sueur que je m’endormis profondément.
A suivre...
Signé : un Mari Heureux
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