Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Bises libertines,
Sophie
Nue sous le flot tiède de la douche, je me laissai aller aux caresses du savon. La porte s’ouvrit, Marguerite venait de me retrouver. Elle me prit le gant et me frotta le dos. Puis ce ne fut que tourbillon de caresses, de frôlements, de câlineries. Chaque parcelle de mon corps fut lavée, nettoyée, touchée avec une infinie douceur. Malgré la douche je devais ressembler à une fontaine tellement que je mouillais.
Elle arrêta l’eau et m’essuya. Puis, elle prit un flacon d’huile essentielle à l’ylang-ylang et me conduisis sur leur lit.
Caroline était assise dans le fauteuil, une coupe de champagne à la main. Mark était debout près du lit. Je croisai le regard de Caroline et elle m’envoya un baiser.
Je fus allongée sur le dos et croyant être massée par Marguerite, je fus surprise de sentir quatre mains me couvrir de l’huile parfumée mais ô combien enivrante. Mark s’occupa de mes pieds et lentement il remontait le long de mes jambes tandis que Marguerite commençant par le cou prit le chemin inverse. Juste avant de masser de concert mes fesses, ils s’arrêtèrent et me retournèrent. Ils changèrent de place et se mirent chacun à mes côtés. Mark à gauche et Marguerite à droite. Je sentis une main différente posée sur chaque sein el leur autre main s’aventurer sur mes cuisses et sur le ventre toujours en évitant le sexe dégoulinant.
Mes seins furent massés comme jamais, les tétons durcis par le désir devinrent encore plus tendus. Les circonvolutions autour de mon sexe devinrent plus petites se rapprochant sans cesse de mon bouton gorgé de plaisirs.
J’ouvris les yeux, tournai la tête vers Caroline et je la vis une main sur son entrejambe. Elle se caressait.
Le massage bénéfique s’arrêta. Marguerite et Mark partirent. J’entendis un bruit de douche. D’abord déçue d’être laissée, je me mis à ressentir des sensations bizarres. Mon corps chauffait et irradiait. Le sexe pourtant pas enduit de cette huile devint plus chaud. Il était en manque de chaleur. Il fallait que j’attise le feu qui me consumait et au moment où j’allais me soulager, Marguerite revint et bloqua mes bras.
« Chut ! Laisse-nous faire. Et surtout, laisse-toi faire !
Je vis sa bouche s’approcher de la mienne, mais au lieu de m’embrasser, elle effleura mes lèvres. Elle descendit et alla mordiller le lobe de l’oreille. J’adore quand on me fait cela ! Les frissons m’envahirent.
Mark, arrivé entre temps, emprisonna un sein dans une main et passa sa langue tout autour de l’autre. Je vibrai. Marguerite bécota chaque centimètre entre mes deux oreilles. Les yeux, le nez, les tempes. Ses doigts m’effleuraient le cou et le pourtour de mon visage.
Mark changea de sein et me fit monter un peu plus. Mon sexe palpitait tant et plus. Je sentis un orgasme arriver pernicieusement. Il quitta mes seins qui ne furent pas longtemps seul car Marguerite remplaça la bouche de Mark par la sienne. Ce dernier descendit, lécha mon ventre comme on lèche une crème à la glace. C’était divin.
Il continua son chemin et arriva autour de mon sexe en ébullition. Je sentis son souffle chaud sur mes lèvres humides. Tournoyant sans cesse, il arriva à souffler sur mon petit bouton déjà bien tendu.
Marguerite remplaça sa bouche par ses doigts. Elle pinça mes tétons et s’agenouilla juste au-dessus de moi. Je voyais son sexe luisant, perlé par la cyprine et je ne réussissais pas à l’atteindre. Je dardai ma langue mais rien n’y faisait.
Au même moment, Mark commença à goûter mon abricot juteux, tandis que Marguerite vint délicatement poser sa corolle sur ma langue enhardie. Je pus enfin la savourer. Mark contournait chaque lèvre à n’en plus finir. Je gémissais. Marguerite tout en tournant et pinçant mes tétons ondulait. Je sentis son clitoris toucher ma langue. Il sentait bon et était chaud…
Mark ne résista pas longtemps et plaça sa bouche juste sur mon petit bouton. Je fus pris d’un spasme. Marguerite sentant que j’allais jouir tira sur mes seins. Deux doigts inquisiteurs envahirent mon volcan.
Je sentis une boule de chaleur grossir, grossir au creux de mes reins. Elle envahit mon ventre, arriva à la hauteur de mon sexe et explosa. Hiroshima n’était rein comparé à l’explosion que je ressentais. Tant que je jouis, elle maintint mes seins tendus.
Doucement, elle relâcha la pression et le plaisir descendit d’un cran.
Je vis son sexe se rapprocher de mon visage. Ses lèvres gonflées et son petit bouton gorgé s’invitèrent à ma bouche. Je commençai à la lécher lentement.
« Oh oui ! Que c’est bon, gémit Marguerite. J’en rêve depuis tellement longtemps ! »
Je continuai et saisis sa taille afin de la maintenir sur moi. Mais elle se pencha et je sentis sa langue venir combler l’espace au milieu de mes lèvres intimes. Nous étions tête-bêche. Nous suçant l’une l’autre. Nos lèvres prenaient possession de l’autre sexe tellement humide que la cyprine coulait le long de nos mentons.
Un deuxième orgasme me reprit et je sentis Marguerite fusionner avec moi. Mais il fut pour moi plus court que le premier. Par contre pour Marguerite, elle jouit longtemps comme si le fait d’être emportée par la langue d’une femme la fit planer comme jamais.
Mark s’était rapproché de mon visage et demanda de me mettre dans la position de sa femme. Je le fis et il me présenta sa queue dure comme la pierre. Elle était ni grosse ni longue, juste ce qu’il fallait pour assouvir une femme.
Caroline, elle, était le pantalon sur les chevilles, deux doigts dans son con, et l’autre main sur son sein. Marguerite la vit et lui demanda :
« Si tu veux, j’ai un amant sur pile inépuisable. »
Mais elle déclina l’offre.
« Merci mais il n’y aura que la langue de Gwendoline qui me rassasiera. »
Marguerite revint vers le lit et se glissa sous moi. Elle m’attira vers elle et recommença à me lécher. Pendant ce temps, Mark s’était engouffré dans ma bouche. Je le suçai lentement, enroulant ma langue autour de son gland gonflé. A chaque fois que j’avançai, je sentis les veines de son sexe glisser sur mes lèvres. Je pris entre mes doigts les couilles nues de tout poil. Elles étaient lisses et bien dures. La jouissance n’allait pas tarder car je l’entendis ahaner de plus en plus fort.
Gentleman, il se retira de ma bouche, mais je ne lâchai pas ses joyeuses et le regardant droit dans les yeux, je lui fis un clin d’œil afin qu’il comprenne qu’il pouvait s’épancher en moi.
Ce fut le signal du départ et j’avalai encore et encore la semence. Bien que n’étant pas une acharnée, je trouvai qu’il avait bon goût.
A peine fini, il se retira de ma bouche. Je lui pris le sexe encore dure et le branla doucement afin qu’il ne perde pas sa vigueur. Je le dirigeai vers la grotte en chaleur de sa femme et délicatement il s’enfonça dans son abricot.
Marguerite gémit et cela eut pour effet qu’elle s’acharne sur mon petit bouton. Je commençai à crier mon plaisir mais réussis à l’imiter et dardant ma langue, je le léchai en même temps que la queue de Mark entrant et sortant de son sexe béant.
Marguerite sous l’effet de la double sensation se mit à râler de plus en plus fort. L’orgasme montait en moi comme jamais. Quel plaisir d’en recevoir d’une femme et d’en donner à un homme et sa compagne en même temps. J’étais devenue furie.
Marguerite enfonça sans ménagement deux doigts dans mon con et entreprit de s’encanailler du côté de mon petit œillet. Je la laissai faire et fus vite comblée par un majeur gluant de cyprine.
Mark accéléra encore plus fort et encore plus vite. La vue de deux lesbiennes se donnant du plaisir le rendait fou. Caroline jouissait en n’en plus finir. Et je crois que ce sont ses cris qui me firent grimper au ciel. Mark limait sa femme désespérément et finit par jouir. Marguerite, elle, était déjà sur une autre planète, et chaque coup de butoir ne faisait que la faire monter encore et encore vers des cieux insoupçonnés.
Je m’écroulai sur le côté couverte de sueur. Mark s’affala sur Marguerite qui ne revenait pas encore parmi nous. Caroline reprenait ses esprits. Quelques minutes plus tard, je fus sous la douche avec Marguerite. Elle me relava tout en sensualité comme si elle avait peur d’oublier les plaisirs inconnus.
Caroline nous suivit, seule.
Habillées, nous prîmes congé de nos hôtes, sans nous échanger le moindre mail ou téléphone. C’était cela le prix à payer. Que cela reste unique et surtout magique.
On regagna la villa sans rien dire et c’est seulement là-bas que Caroline me prit dans ses bras et m’embrassa longuement.
« Ce fut merveilleux ! Je ne pensais pas prendre autant de plaisir en vous voyant et puis que tu es belle lorsque tu jouis.
- Merci !
- Viens ! Allons nous coucher ! Je suis repue de fatigue.
- Ok ! »
Nous nous déshabillâmes et nues, enlacées, nous nous laissâmes emporter par les ressacs de la mer jusqu’aux lointains rivages des rêves.
A suivre
Signé : un Mari Heureux
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