Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
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Bises libertines,
Sophie
« Aujourd’hui, cours de jardinage ! »
Caroline, la poitrine serrée dans un chemisier blanc et les jambes habillées d’une jupe bleue se tenait droite devant son bureau.
« Nous allons apprendre à biner la motte. Comme je ne peux pas m’occuper de vous tous en même temps, je ne prendrai que les quatre garçons. Les filles, je vais vous donner d’autres activités. Cerise et Florence, vous apprendrez à vous servir d’un tuyau d’arrosage. Toi, Gwendoline, comme tu n’as encore rien compris de la fois dernière, tu prendras Oscar et tu réapprendras ton cours d’anatomie.
- Bien madame, » acquiesames tous en chœur.
Je n’aimais pas apprendre ce cours ! La dernière fois, Caroline m’avait punie le cul nu ! Je regardai mes jambes et je vis que ma jupe avait disparu. J’étais à moitié nue.
« Alors Gwendoline, avance au tableau et récite ta leçon.
- Mais je suis presque nue !
- Et alors ?
- Bien madame. »
J’avançai au tableau et commençai ma récitation. Mais arrivée à la hauteur des hanches, je vis un os rose qui n’apparaissait dans aucun manuel d’anatomie. Et je ne connaissais pas le nom de cet os !
« Bien et maintenant, l’os rose. Je veux son nom !
- Je ne sais pas ! Je ne l’ai jamais vu !
- Impossible ! Tout le monde le connaît. Florence, donne-moi son nom !
- Sexus vibratus !
- Bien ma petite Florence. Comme récompense, tu te feras lécher par Cerise. Quant à toi, Gwendoline, penche-toi.
- Bien madame. »
Je me penchai et Caroline arriva derrière moi !
« Comme tu as mal répondu, ce sera le chemin des écoliers. Recule ! »
Je reculai et sentis l’os entrer en moi.
« Maintenant, tu vas me réciter tous les os jusqu’à ce que je te dise d’arrêter. Mais pour corser la punition, je vais mettre le mode vibration. Tu connaîtras le vrai sens du mot vibratus ! »
Je commençai à réciter lorsqu’elle appuya sur un petit bouton. Les mots devinrent un peu hachés. Pendant ma récitation, elle s’occupa des deux autres filles.
« Mes belles, mettez-vous couchées, les jambes écartées. Je vois que tu ne t’es pas épilée Cerise !
- Je n’ai pas eu le temps madame.
- Comme punition, tu ne devras te raser devant tout le monde dans la cour ! Et toi Florence ? Parfait ! C’est bien lisse. Bon, maintenant passons à l’exercice, vous voyez les deux tuyaux ? Dès que je le dirai vous devez prendre le bout qui ressemble comme deux gouttes d’eau à des phallus et vous vous l’introduirezIl y a quarante mètres de tuyau et je veux que vos petites mottes les avalent sans problème. Compris.
- Oui madame, firent-elle en chœur.
- Dans ce cas allez-y. Bon, les garçons, je vais vous apprendre à biner une belle motte. Mais auparavant, dégager votre poireau que je vérifie s’ils ont la bonne taille car trop petits, cela ne servira à rien. »
Elle s’accroupit et chacun à leur tour, ils s’enfoncèrent dans la bouche de Caroline. Chacun de leur poireau était monstrueusement long et épais mais elle les avalait sans peine.
« Parfait, quatre poireaux bien grands et gros ! »
Elle se déshabilla, s’assit sur son bureau et écarta les jambes.
« Rodrigue, viens me biner la motte. Et surtout applique-toi. Si je jouis, tu auras deux points de bonus. Et surtout, je ne veux qu’aucun d’entre vous lâchiez votre engrais dans ma motte, sinon vous viendrez en retenue ce soir chez moi ! »
Chacun à leur tour, ils s’introduisirent en elle. Leur poireau à chaque fois augmentait. Ils devenaient presque monstrueux. Quant à moi, le sexus vibratus m’apportait une certaine excitation mais pas plus. C’est frustrée que je récitais les os de l’anatomie humaine.
Caroline jouit sous les coups de binage de Rodrigue. Elle le gratifia de la cote maximale.
« Ce fut bon, mais il vous reste encore à apprendre beaucoup de choses. Le binage est un art qui s’acquiert au bout de longues pratiques. Pour votre peine, je veux que vous me preniez tous ensemble.
- Mais madame, nous somme quatre et il n’y a que trois places.
- Pour qui me prends-tu ? Je le sais ! Pour ta punition, tu iras biner cette chère Gwendoline. Je veux l’entendre crier. Rodrigue vient te coucher sur le bureau. »
Rodrigue obéit et Caroline accroupie vint s’empaler sur lui. Le poireau de Rodrigue entra tout entier dans le chemin des écoliers. Le deuxième se présenta devant elle et s’introduisit dans la voie normale. Le troisième, lui, se plaça devant la bouche de Caroline qui l’avala sans peine tout entier.
Le quatrième se mit en face de moi.
« Redresse-toi ! »
Ce que je fis. Je m’assis presque sur le sexus vibratus, et tout à coup il me souleva par la taille et m’empala sur son poireau qui avait encore grossit. J’étais prise par devant et par derrière. Son poireau monstrueux m’emplissait ma motte. Le plaisir arriva.
Cerise et Florence avait réussi à faire avaler à leur motte les quarante mètres de tuyau. Aussitôt, l’allumage automatique de l’arrosage s’activa et c’est dans un jet continu qu’elles mouillèrent leur motte déjà humide par la rosée.
Cela provoqua la montée de sève des trois étudiants. Le mien binait sans cesse et je sentis que l’engrais allait être délivré.
Caroline ne savait où donner de la tête et elle leur dit :
« Venez m’arroser. J’ai besoin de votre engrais dans ma bouche. »
Ils se retirèrent ensemble de leur motte respective, et se mirent en face d’elle. La bouche grande ouverte, elle se présenta devant les trois légumes prêts à faire jaillir leur engrais.
Chacun à leur tour, ils envoyèrent leur semence dans la bouche de Caroline. Elle avala tout. Heureusement, car elle nous avait prévenu que cet engrais tachait et qu’il coûtait assez cher pour le gaspiller.
Le mien binait toujours ma motte qui s’humidifiait sans cesse. Je sentis qu’elle allait exploser et je lui en fis la remarque mais il ne s’arrêta pas. Une grosse boule envahit ma motte et je criai en même temps que son engrais arrosa ma motte.
J’ouvris les yeux.
Le jour se levait doucement. J’avais une main presque enfoncée dans mon sexe tout baveux et le ventre complètement endolori.
Le temps de me rappeler où j’étais que je regardai ma montre. Il fallait que je parte sinon j’allais arriver en retard. L’orage tant attendu avait éclaté aussi bien en moi que dehors. La chaleur accumulée avait fini par céder et avait libéré les eaux salvatrices.
Je me levai, allai me rafraîchir et passai devant la chambre de mon hôte. Cerise et marie étaient enlacées dormant du sommeil des justes. On lisait sur leur visage que la nuit fut remplie de plaisirs et surtout d’amour.
Je venais de perdre un probable amour, mais je gagnais deux amies.
Je fis un petit mot en les remerciant, et je partis prendre le premier tram.
On approche malgré tout de la fin...
Qui sait c'est peut-être "pire" ???
Il faut que l'auteur vous reponde !