Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.
Mes récits sont protégés par e-auteur.com
Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !
Bises libertines,
Sophie
Le lendemain, tout avait changé : le temps qui devenu maussade était nuageux, gris terne. Et surtout, il y avait moi : j’étais réglée. (Je sais ce n’est pas très érotique mais c’est ainsi !). Bref, maux de ventres habituels, température faisant yo-yo et humeur exécrable.
Caroline sourit en me voyant. Elle compatit. Cela en fait provoqua notre retour un peu plus tôt. Le rangement de la villa fait, nous allâmes dîner en ville et puis direction Bruxelles.
Un grand sentiment de tristesse m’envahit, comme si les moments que je venais de vivre furent les derniers avant très longtemps.
Le lundi, le retour à la normale se fit assez brutal, par une explosion de colère entre Jacques et Caroline. Ce dernier lui reprochant son manque d’entrain à la vie de couple, et elle, lui invoquant son absence répétée.
Bref, une dispute d’un couple uni juste pour la façade. J’allai m’enfermer dans ma chambre. La seule lueur d’espoir est que ma période d’abstinence est très courte. Grâce au bon dosage de mes pilules, je ne suis indisposée que durant trois jours.
Emma était revenue de son voyage avec Rodrigue. Ce dernier s’enfermant avec sa future belle-mère afin de vérifier un dossier en profondeur. Heureusement que plus personne à part moi n’était dans la maison car Caroline atteignit des hauteurs insoupçonnées dans ses vocalises orgasmiques.
Le mardi, après un déjeuner relativement calme, je conduisis Caroline à la gare du Midi afin qu’elle prenne son train pour Paris. Florence était là !
« Bonjour, me dit-elle en m’embrassant sur la joue.
- Bonjour.
- Salut Florence, dit Caroline. Prête ?
- Oui ! Mais je ne savais pas que Gwendoline venait avec nous !
- Cela t’aurait plu ?
- Je… je ne…
- Laisse tomber, fis-je. Je reste ici. Allez-vous amuser lors de ce séminaire. Je dois y aller, fis-je un peu en colère.
- Ah ! Déjà ?
- Bon, au revoir et pensez de temps en temps à moi…. »
Je partis la tête basse ave un sentiment de rage. Pourquoi ? Je n’en savais fichtre rien ! Caroline, je l’adorais, on baisait bien ensemble, et une tendre complicité nous unissait. Florence me troublait toujours mais je la regardais de plus en plus comme une sœur que j’aurais voulu avoir. Alors pourquoi cette humeur ? Peut-être que ma condition de bonniche me sauta aux yeux en voyant ces deux superbes femmes, habillées à quatre épingles et surtout épanouies dans leur travail.
Qu’avais-je moi ? Rien ! Juste l’amitié d’une femme qui m’a aidée au bon moment mais à part cela ? Rien qui me permettrait de me sentir fière de moi. J’en étais là lorsque, en allant faire les courses, je vis Jacques accompagné par sa maîtresse. Ils étaient attablés à une terrasse.
Je passai devant eux, réussis à m’asseoir pas trop loin d’eux et de dos, et je surpris leur conversation.
« Elle est enfin partie pour son séminaire.
- Bien mais qu’est-ce que tu attends pour la quitter ! Elle ne te plait plus, tu m’appartiens. Sois un homme !
- Mais…
- Mais quoi ?
- Qu’est-ce qu’on va dire de nous ?
- On s’en fout ! Tu as assez de pognon pour vivre seul. Et elle aussi ! Elle te fait encore bander ? C’est cela ?
- …
- Salaud ! T’espère toujours te la faire mais tu n’en es plus capable sauf avec moi ! Tu n’es qu’une chiffe molle. Et la bonne ?
- Quoi la bonne ?
- Cette Gwendoline ? Tu crois que je pourrais m’amuser avec elle ?
- Je ne sais pas.
- Elle doit être bonne au lit. Qu’est-ce que j’aimerais me faire lécher par elle. Elle te plaît ?
- Oui !
- Oui comment ?
- Non ! Pas ici !
- Comment ? Sinon tu sais ce qu’il t’arrivera si tu ne m’obéis pas. Comment ?
- Elle me plaît beaucoup !
- Et qu’est-ce que tu fais lorsque tu as envie d’elle ?
- Mais t’es folle ? Il y a des gens qui peuvent entendre.
- Je m’en fous ! Réponds !
- Je me branle devant sa porte lorsqu’elle dort.
- Et ?
- Et ensuite, je lèche la porte que j’ai tachée.
- Vicelard ! Pour ta punition, ce soir, je viendrai avec Arthur. Tu sais ce que cela veut dire ?
- Pas lui ! Il en a une trop grosse.
- Ce soir à vingt heures ! Elle sera là ta bonniche ?
- Je ne sais pas.
- T’as intérêt que oui ! Je veux qu’elle t’entende crier de douleur. Je mouille rien que d’y penser. Bon, ce n’est pas tout. Je dois aller me faire le maillot par ma gouine d’esthéticienne. J’espère qu’elle me lèchera comme l’autre fois. Et toi ma salope, tu as intérêt à préparer ton cul ! »
Elle partit sans se soucier des regards des autres. Je quittai mon emplacement et partis à la maison. Il fallait que je trouve un moyen de voir sans être vue ! Cela me permettrait d’avoir sur lui un ascendant certain. Et je trouvai rapidement comment le faire. Caroline m’avait suggéré la solution sans le savoir.
Hier soir, elle m’avait donné la clé d’un petit meuble dans son bureau. Il recelait la vidéo surveillance de toute la maison. Le système d’alarme permettait de voir ce qu’il se passait dans la maison. Il enregistrait juste la dernière heure et cela s’effaçait automatiquement.
Caroline, n’y connaissant rien, ne savait pas comment il fallait faire pour voir les pièces. Il n’y avait que ma chambre qui n’était pas reliée au système. Même si il n’y avait pas de raison de me le faire savoir, elle tint à que je sois au courant au cas où.
J’allai fébrilement ouvrir l’armoire et pris le manuel d’utilisation. Je trouvai rapidement les manipulations à faire et même à enregistrer le tout directement sur un autre support qui lui enregistrerait beaucoup plus longuement.
Afin qu’il subisse un peu plus son humiliation, je décidai de sortir le soir. Je partis me faire une toile.
C’est avec une joie intérieure que je vis Jacques se décomposer lorsque je lui fis part de ma sortie. Emma était partie avec Rodrigue faire je ne sais quelle cochonnerie et Steve était parti dormir chez un copain.
Bref, il allait morfler !
Je décidai de m’habiller de manière provocante. Je voulais charmer quelqu’un ce soir. Ainsi, lors du souper, Jacques put admirer mes attributs juste cachés par ce que le minimum syndical : un chemisier blanc très ouvert, une jupe s’arrêtant juste en dessous de mes fesses et des souliers aux talons impressionnants.
Je crus qu’il allait faire une apoplexie tellement ses yeux semblaient sortir de ses orbites. D’ailleurs, je ne l’entendis pas durant le repas. S’il avait su que je ne portai rien d’autre que ce qu’il voyait !..
Bref, après quelques excuses les plus foireuses les unes que les autres afin de me faire rester, je partis au cinéma.
J’ai toujours adoré les films d’action qui me permettent de déconnecter et de ne pas trop réfléchir. Le film fut percutant et les décibels allèrent gaiement. J’étais seule sur mon rang car le film en était à la fin de parcours sur les grands écrans.
Un couple d’amoureux squattait le dernier rang. Quelques hommes et femmes seuls parsemaient les rangs. Je remarquai deux rangs plus bas une jolie brune aux cheveux au carré. Fine et grande, elle portait une jolie robe courte et un top assez moulant.
Comme je hais les entractes durant les films car ils coupent le film n’importe comment. Bref, à chaque fois, je vais faire un petit pipi, prendre une boisson et parfois une glace. Je retournai à ma place et je vis ma jolie brune se trouver sur le même rang que moi. Je trouvai cela bizarre.
Il n’y avait que cinq sièges nous séparant. Le film recommença. Je me laissée emporter par les scènes tout en mangeant ma glace. Je bus à la bouteille d’eau. Je la refermai et voulus la mettre sur le siège à côté sans regarder. La bouteille tomba sur le sol et je vis que le bouchon mal vissé s’envola et l’eau se répandre.
Rapidement, je m’accroupis entre les sièges et à quatre pattes, je cherchai la bouteille en tâtonnant. J’avançai et patatras, je me cognai la tête.
« Aïe !
- Merde !
- Tiens ! Ta bouteille, me fit une voix douce et sensuelle.
- Merci ! fis-je.
- De rien ! Avec joie ! »
Je la rebouchai cette fois correctement et allai m’asseoir. La jolie voix se rassit à sa place.
Je ne pus m’empêcher de jeter un œil vers elle durant la suite du film qui ne m’intéressait visiblement plus.
La fin où les héros gagnent arriva. Comme toujours ! Ma jolie inconnue avait disparu. Je quittai la salle et décidai d’aller boire une bonne bière sur une terrasse de la Grand’Place. Vu la chaleur de l’été, elles étaient bondées et trouver une place était ardu.
Je longeai les balustrades des terrasses en scrutant les tables lorsque je sentis une main m’agripper.
« Il y a une place si tu veux ? »
C’était ma douce et belle brune.
« Tu es sûre ?
- Oui sauf si la bosse sur mon crâne me fait dire l’inverse.
- Pas trop mal ?
- Cela ira.
- Gwendoline ! dis-je en m’asseyant.
- Cerise !
- Ah ?
- Oui ! Je sais mais c’est ainsi.
- C’est mignon. Qu’est-ce que tu bois ? C’est moi qui offre !
- Une gueuze.
-Moi aussi »
On commanda.
-Comment as-tu trouvé le film ?
- Bof ! Et toi ?
- Pas mal, surtout la fin ! » mentis-je.
Elle se rendit compte que je parlais d’elle et elle rougit.
« Pour moi aussi, la fin est le meilleur morceau et il est bien emballé, dit-elle en regardant ma robe.
- Ah oui ? »
Un ange passa. On se regardait droit dans les yeux.
« Tu as de beaux yeux en amande.
- J’ai hérité des yeux de ma mère qui est d’origine asiatique et le visage de mon père.
- Bel ensemble, répondis-je.
- Toi aussi tu…
- Tu ? répondis-je, suspendue à ses lèvres.
- Tu es belle !
- Merci », dis-je troublée.
On nous servit. Le charme fut cassé.
« Tu fais quoi ce soir ?
- Rien de spécial répondis-je.
- Cela t’intéresse de venir chez moi prendre un verre ?
- C’est que… Je ne…
- Excuse-moi, je me suis trompée.
- Trompée ?
- Oui ! Ce n’est pas grave. »
Je lui pris la main et droit dans les yeux, je lui lançai :
« Si tu aimes aussi fort les femmes que moi, tu ne t’es pas trompée. »
Son regard s’illumina et un grand sourire le ponctua.
« Vide ton verre et suis-moi. »
L’invitation ne voulait aucune réponse négative. e bus d’un trait mon verre, payai et la suivis.
Elle me donna sa main si chaude et si douce. Elle m’entraîna dans le dédale des petites rues bruxelloises. Je me sentis aérienne. On traversa les boulevards teintés par les néons multicolores des magasins.
Elle s’arrêta devant un bâtiment, fouilla ses poches et sortit une clé. La porte s’ouvrit. L’ascenseur en face nous attendait. Elle appuya sur le bouton d’appel. Il arriva dans un bruit assourdissant. On entra. Elle pressa le bouton indiquant le dernier étage et subitement, elle me plaqua contre la paroi et m’embrassa violemment. Je perdis pied. Je planais entre ses lèvres. Ma langue fiévreuse répondit à ses appels.
Je ne savais plus où j’étais avec qui j’étais, ni même qui j’étais réellement. Tout semblait rêverie, fantasmagorie.
L’étage arriva sans que nos bouches ne se quittent. On sortit. Elle refouilla ses poches et ressortit une autre clé.
Sésame s’ouvrit sur un océan de plaisirs et de jouissances.
Elle me prit par les épaules et de nouveau m’embrassa. Ses mains visitèrent mon corps sur les seuls vêtements. Je répondis et passa mes mains en dessous de son top pourtant si moulant.
Elle ouvrit les pans de mon chemisier brutalement en faisant sauter les trois boutons qui les maintenaient. Ma poitrine sortit tel un polichinelle d’une boite.
A pleine main, elle les prit, les soupesa et les massa. La rivière se mit à couler au creux de mes jambes. Je n’étais que désir et plaisirs.
Sa bouche se plaqua contre mes seins en les titillant rapidement. Je ne fus pas en reste et arracha son top par l’arrière. Puis, ouvrit sa robe et la fis descendre. Elle était en string et soutif.
Ma mini robe suivit le même chemin.
« Tu triches ! protestai-je. Laisse-moi t’enlever le reste…. »
J’ôtai lentement le soutien-gorge. Sa poitrine plus menue que la mienne avec deux petits boutons apparut. Elle me prit la main.
« Viens, on sera mieux sur mon lit. »
Elle m’entraîna dans sa chambre, me jeta sur son lit, prit mes poignets et les maintint solidement.
« Je suis entièrement à toi ! Fais de moi ce qu’il te plaira.
- D’accord mais je veux que tu me rendes la pareille ! »
Je la regardai dans les yeux, j’y plongeai et m’y noyai.
« Fais-moi l’amour. J’en meurs d’envie.
- Non ! Faisons-le ensemble… »
Elle approcha son visage et doucement ses lèvres effleurèrent les miennes. Elle prend chaque lèvre entre ses dents et les suçote. J’adore quand on les mordille. Je fonds littéralement.
Sa langue, fraîche comme l’orée du matin, vient à la rencontre de la mienne. Le ballet aérien commence, s’enflamme, s’apaise pour virevolter de plus belle. Les mains ne sont pas en reste et chaque parcelle du corps que chacune peut toucher est effleurée.
Cerise a les lèvres aussi rouges que son prénom. Elle me sublime et en même temps elle m’intimide.
Sa bouche affamée descend le long du cou et glisse sur la pointe de mes seins. Je gémis lorsqu’elle le prend entre ses dents. L’autre est flatté par ses doigts devenus autant d’amants au service de ma belle.
La bouche descend plus bas, aspire mon nombril, le ventre se cambre, descend encore et encore et sans coup férir vient se plaquer sur mon clitoris.
Je suis complètement écartelée. Les jambes en grand écart, les lèvres ouvertes. Je suis en transe. La jouissance est là, présente.
Mais je veux la satisfaire en même temps. Je lui prends la tête entre mes mains et la fais remonter.
Nos lèvres se rencontrent, s’aiment, s’admirent, se goûtent, se flattent. Nos sens s’embrasent, nos corps exultent. A mon tour de descendre vers l’enfer. Je suis le chemin tendre de sa peau le long du cou. Elle frissonne.
Mes dents la picorent, la mordille et la chair de poule envahit sa peau si douce. Je descends un peu plus et suis juste en face de ses seins durs et fiers m’invite à les goûter. Je plonge dessus et avidement je les mors, les susurre, les mâchouille.
Les cris arrivent comme les premières notes d’un concert.
Je glisse le long de son flanc et arrive sur la courbe de ses hanches rondes. Je m’installe entre ses jambes qu’elle a ouvertes. Mon nez bute contre une fine toison brune comme ses cheveux. Je la sens et découvre un parfum si aphrodisiaque que mon sexe palpite encore plus.
Je darde ma langue et vint goûter à son nectar. Je la dévore, la lèche, la titille, la fouille.
Elle se cambre. Elle va jouir. Je me redresse, m’assois juste en face d’elle, écarte mes jambes et viens blottir mon petit bouton gorgé contre le sien.
C’est la première fois de ma vie que je fais cette caresse si intime. Elle a compris mon manège et s’installe confortablement.
Au même moment, au même rythme, nos corps en fusion s’unissent pour n’en devenir qu’un. Nos yeux se fixent, chavirent, se révulsent au moment où l’orgasme libérateur vient nous combler.
Je tremble comme une feuille sous l’effet du vent. Elle crie et projette un jet de liquide chaud sur mon corps. J’ai peur sur le moment mais très vite, elle me rassure avec ses yeux. Je m’allonge près d’elle, la caresse.
« Tu es la première femme qui me fait jouir si fort sans autre instrument que ton sexe.
- Merci. Pour moi aussi, c’est la première fois !
- Tu es si belle et quand je t’ai vue dans ton siège de cinéma, je n’ai pas pu résister à venir pas loin de toi.
- Mais alors pourquoi, tu es partie ?
- J’ai eu peur
- De moi ?
- Oui ! De ta réaction.
- T’es mignonne… »
On se blottit amoureusement l’une contre l’autre. Rien ne pouvait nous arriver.
Voyant l’heure à son réveil, je lui dis :
« Je dois partir, il faut que je sois à sept heures pour mon boulot.
- Tu restes ici. Il n’y a plus ni tram ni bus à cette heure. J’irai te conduire moi-même. Tu veux un thé ? J’adore prendre un thé après avoir fait l’amour.
- Je veux bien.
- On discutera… enfin.
- C’est vrai que point de vue paroles, nous fûmes avares.
- Tu me raconteras ta vie, et je ferai la même chose. »
Elle alla servir un thé à la menthe sans savoir que c’était ma saveur préférée. On s’assit l’une contre l’autre et on parla tant et si bien que quatre heures sonna lorsque nous nous endormîmes.
Deux plus tard, le réveil sonna. Elle me raccompagna en voiture.
« Passe une bonne journée !
- Toi aussi.
- Je t’appelle ce soir.
- D’accord, fis-je.
- Tu vas me manquer.
- Toi aussi (je sais je me répète mais c’est ainsi !)
- Bon… ben… je te laisse, mes petits bouts n’attendent pas !
- Va les rejoindre ! Cela doit être le bonheur de donner cours à ces petits monstres de trois ans !
- Ouit sauf lorsque les parents s’en mêlent. »
Je sortis de l’auto, elle ouvrit sa fenêtre. J’allai près d’ellet et lui fis un baiser sur ses lèvres encore plus rouges qu’hier.
« Vas-y ! Fais attention à toi !
- Promis ! »
Elle avança dans la rue et stoppa quelques mètres plus loin. Je vis sa tête sortir de la fenêtre et elle me dit :
« Je crois que tombe amoureuse. Bisous. »
J’allais répondre mais elle ne me laissa pas le temps, et partit en trombe en faisant signe de la main. J’attendis qu’elle passe le tournantt et que je ne la voie plust pour enfin rentrer dans la villa.
Derniers Commentaires