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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

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J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Ce chapitre 7 etait bien trop long pour être publié en une seule fois. J'ai du le "couper" en trois ! En voici la dernière partie !

Mais pour les fans, rassuez-vous, l'histoire n'est pas finie !

 

 

Chapitre 7 ter

 

 

Arrivée dans ma chambre, je me rendis compte que j’étais toujours nue. Bien qu’ayant eu un orgasme, la sensation de désir ne s’était pas estompée. Et tant mieux ! J’adore être dans cet état de manque où le plaisir est présent mais pas encore assez afin de libérer vos pulsions. Ces moments me permettent de me lâcher un peu, d’être (et c’est le cas de le dire) plus ouverte.

 

Je me vis dans le miroir sur pied près de ma garde de robes. Je me trouvais belle même si comme chaque femme je voulais changer quelque chose. Pour moi, c’était mes pieds que je trouvais plutôt moches. En fait, plus précisément le deuxième orteil près du gros. Ils étaient de la même longueur. Mais il fallait bien s’accepter.

 

En regardant mon sexe, je ne pus m’empêcher de le caresser. Pourtant, en revoyant le sexe de Caroline finement épilé alors que le mien ressemble à une vraie brousse avec ce ticket de métro un peu trop épais.

 

Je pris une douche tiède limite froide comme je les aime. La chaleur me ramollit. D’ailleurs, je ne sais pas pourquoi dans les livres ils prennent tous un bain chaud pour se relaxer et, presque toujours l’eau est froide lorsqu’ils en sortent. Prenez directement un bain froid ! La fraîcheur de l’eau glissant sur ma peau me fit frissonner. La chair de poule envahit tout mon corps. Je dirigeai le jet vers mes seins ou plus exactement sur la pointe.

 

Un léger picotement les empare et à chaque fois je sens mes tétons grandir et devenir tout durs. J’aime cette impression.

 

Le gant de toilette glissait sur ma peau. Le savon aux parfums sucrés emplissait mes narines. J’accentuai les mouvements sur mes seins devenus plus sensibles et sur mon sexe qui s’ouvrit encore plus. Il fallait que je m’arête sinon j’allais jouir encore une fois. Et cela je ne voulais pas !

 

J’avais décidé que ce soir comme personne en serait là, je me donnerais à Caroline. L’orgasme reçu tout à l’heure n’était qu’un apéritif. Je voulais devenir son plat de résistance.

 

La douche terminée, j’allai sur la terrasse encore ruisselante et m’exposai aux regards peut-être voyeurs du voisinage. Le soleil de début de soirée me sécha.

 

Je retournai dans la chambre et décidai de me raser. Je m’assis les jambes écartées devant le lavabo, assise sur un miroir et pris le rasoir. J’ai toujours abhorré l’épilateur. Je suis il faut dire un peu douillette. Bref, je changeai les lames et après avoir humidifié ma peau avec de l’eau et des huiles essentielles, je fis glisser la lame lentement mais d’une main sûre sur ma peau. Quelle étrange sensation. Mes lèvres s’écartaient à chaque passage. La peur de me couper à chaque fois que je glissai la lame plus près de mes lèvres me faisait frissonner. Je réussis quand même à raser le tout. J’avais la peau lisse. L’effet du miroir me montrant mon intimité me fit mouiller.

 

Je m’accroupis et vis quelques poils disgracieux sur la partie arrière de mon sexe. Je réussis tant bien que mal à raser le tout complètement.

 

Je mis une crème réparatrice pour la peau. A chaque passage, je devenais encore plus attisée et je dus me faire violence afin de ne pas me faire jouir.

 

J’ouvris ma garde de robe et pris la robe qu’elle m’avait achetée l’autre jour. Je devais la réserver pour elle. Je crois que cela était le moment. Mes seins étaient mis en valeur et mes fesses aussi.

 

Le maquillage fut léger et discret. J’ai horreur des yeux hyper fardés. Par contre, je soulignais un peu plus avec le rouge à lèvres le contour de celles-ci. Le mascara sur mes cils mit la touche finale. Je me reculai et me sentis belle mais ô combien ardente.

 

Des souliers vernis que je venais d’acheter avec de très hauts talons terminèrent ma tenue.

 

Le parfum fut tout trouvé. Je glissé un doigt entre mes lèvres intimes et posai le suc du plaisir sur mon cou.

 

J’étais prête.

 

Dix-neuf heures cinquante-cinq ! Il était temps de descendre. J’arrivai avant elle dans le hall. La porte de sa chambre se referma et je la vis. Elle était magnifique !

 

 

Elle était en smoking noir. La veste croisée sur ses seins lui moulait le corps à merveille. Le pantalon assez moulant au niveau des fesses révélait l’absence totale de string ou autre. Les cheveux pendaient sur ses épaules. Elle descendit et me vit.

« J’espérais tant que tu allais mettre cette robe. Elle te moule parfaitement le corps. Une vraie déesse.

-   Et toi, tu es à croquer dans ce costume.

-   Viens, j’ai réservé. »

 

On prit sa voiture de sport. Le cuir sur mes fesses nues me fit un effet pas possible.

 

On arriva au restaurant. Un des plus chics de Bruxelles, et par définition un des plus discrets.

 

La table qui nous fut montrées était en plein milieu. Je m’inquiétai de me montrer avec elle au milieu de tous ces gens lorsqu’elle me prit la main, m’attira contre elle et m’embrassa fougueusement.

« Ici, tout le monde joue un jeu. Voir, et être vu. Mais surtout ne jamais avoir vu quoi que ce soit. »

 

On s’assit et elle continua :

« Cette femme, là-bas avec le jeune homme. En fait, elle est mariée, deux enfants et lui c’est ton toy-boy. Son vibro sur patte. Lui, à l’autre table, est avec son amant et non avec sa femme qui se fait sûrement sauter. Ce couple est ensemble mais après le restaurant, ils iront plus que probablement dans une boîte échangiste. Tu vois, je sais qui ils sont et ce qu’ils font et vice-versa. Alors me voir avec une superbe femme et l’embrasser sur la bouche. Ce n’est rien. D’ailleurs personne ne s’est retourné.

-   Quel monde !

-   Avant toute chose, je voudrais te remercier. Tu as apporté un rayon de soleil dans ma vie. J’aime la vie et surtout charnelle mais être à tes côtés, cela m’apporte un équilibre. C’est vrai comme cet après-midi, je me lâche mais je sais que cela ne te choque pas.

-   C’est moi qui dois te remercier de m’avoir aidée lorsque j’en avis besoin et tu pourrais me demander tout ce que tu veux.

-   Tout ?

-   Tout !

-   Même ce que je désire le plus ?

-   Oui ! Ce soir, j’ai envie de vibrer entre tes doigts, sous ta langue, entre tes jambes. Bref, j’ai envie de te faire l’amour comme jamais. D’ailleurs, j’en ai tellement envie que je te sauterais déjà ici ! je te plais dans la robe que tu m’as achetée ?

-   Et comment ! j’avais prévu un autre programme pour ce soir.

-   Quoi ?

-   Surprise mais si tu me fais confiance, laisse-moi faire.

-   Ok ! »

 

Le repas, du homard, nous fut servir de façon magistrale. On parla peu et ce sont surtout les yeux qui criaient. Elle avait l’art de me déshabiller du regard que je crus parfois être nue. J’étais sur un nuage et surtout brûlante. D’ailleurs, je n’arrêtais pas de gesticuler.

« La robe te gêne, finit-elle par me dire.

-   Non mais je crois que je mouille, fis-je en chuchotant.

-   Fais comme moi lorsque je porte une robe. Soulève tes fesses et assieds-toi directement sur le siège.

-   Mais je vais…

-   Mouiller le siège ! Et alors ! cela se nettoie.

-   Je dois d’abord aller aux toilettes, je le ferai en revenant. »

 

Je me levai et sans me retenir, je posai mes lèvres sur les siennes en lui disant :

« Je ne serai pas longue. »

 

J’allai dans les toilettes qui au demeurant étaient spacieuses. Presque aussi grandes que ma chambre. Je fis couler de l’eau fraîche dans une main et tapota mes tempes. Je me sentais bien. Une femme entra et alla s’enfermer. Une femme d’une soixantaine d’année qui, et ce fut la seule, s’offusqua de notre baiser en entrant.

 

J’allais partir lorsque Caroline entra, me prit par les épaules, m’entraîna dans les toilettes et referma la porte derrière elle.

« J’en ai trop envie aussi. »

 

Nos lèvres se soudèrent violemment, fougueusement comme deux furies. Mes mains ouvrirent en un clin d’œil sa veste et prestement je les posai sur ses seins. Elle défit la fermeture éclair et en faisant tomber les bretelles laissa choir ma robe. Je me retrouvai nue dans un grand restaurant.

 

J’ouvris le bouton de son pantalon et plongeai avidement une main dans son intimé chaude et moite. Elle, fit de même mais planta deux doigts dans mon sexe bouillant par tant de désirs. Vite, elle les fit coulisser en prenant soin, avec son pouce, de titiller mon clitoris. Je sentis déjà que je partais dans un orgasme libératoire.

 

Mais juste avant, elle interrompit son geste et me dit :

 

-   ce soir, je commets une folie car d’habitude je sais que ce n’est que du sexe mais pas ce soir. Il y a autre chose qui me fait un peu peur.

-   Moi aussi !

 

Elle plaqua sa bouche contre la mienne et c’est de concert que nos mains respectives entamèrent un mouvement lent et ô combien sensuel. Le visage à quelques centimètres de moi, les yeux dans les yeux, nous nous vîmes partir en même temps. Je ne cachai aucun râle, aucun gémissement. J’étais bien. L’orgasme foudroyant fut profond et long.

 

Mes jambes flageolaient. C’est elle qui me retint et qui m’assit sur le wc. Elle se rhabilla et après m’avoir embrassé, elle partit.

 

Je repris mes esprits, remit ma robe et allai partir lorsque j’entendis la femme qui était rentrée juste avant Caroline crier son plaisir.

 

Je rejoignis la table et expliquai ce que je venais d’entendre. La femme arriva et son mari, inquiet de la voir tant tarder s’enquit de sa santé.

« Cela fait tellement du bien de sortir, Édouard. Cela fait longtemps que je n’ai plus pris autant de plaisirs au restaurant, fit-elle en me regardant.

 

Je répondis par un clin et leva mon verre vers elle.

 

On termina le repas. En me levant, je vis une énorme tache sombre sur le tissu grenat de la chaise. Caroline le vit et rit de bon cœur. Elle paya l’addition qui dépassait tout ce que j’avais pu déjà voir. On reprit sa voiture et on partit.

 

Elle quitta la ville et prit l’autoroute vers la mer.

« Où va-t-on ?

-   Dans une villa que j’ai réservée. En bord de mer, seules, toi et moi durant trois jours.

-   Et tes enfants ?

-   Je leur ai dit que je partais à une conférence et que j’avais besoin de toi car ma secrétaire était malade.

-   Et ton boulot ?

-   J’ai pris des vacances ! Les affaires seront traitées par des confrères qui reporteront les séances.

-   Mais je n’ai rien à me mettre !

-   Qui te dit que tu devras porter quoi que ce soit. Et puis, je te passerai quelques affaires sinon on ira faire les boutiques ! Maintenant, promets-moi une chose !

-   Laquelle ?

-   De rester comme tu es !

-   Promis ! »

 

Elle était belle les cheveux au vent derrière le volant de sa décapotable. Je sentais le moteur vrombir au milieu de mes jambes que je ne pus m’empêcher de ressentir un désir profond. Je ne sais pas si je l’aimais mais un sentiment profond me liait à elle.

« A quoi tu penses ?

-   A tout ce que je vais te faire lorsque nous serons arrivées.

-   Attends ! mais ne mouille pas trop le siège !

-   J’essuierai…

-   Non, je le lécherai. »

 

Elle appuya sur le champignon et nous partîmes rien que nous deux dans un week-end mémorables. Trois jours entiers !

 

Caroline sûre d’elle nous emmena dans de petits chemins. On arriva en face d’une maison imposante. Elle prit un petit appareil, appuya sur un bouton et la porte d’entrée s’ouvrit. On sortit de l’auto.

 

On entra dans la maison qui était superbe.

« Viens ! »

 

Elle me prit la main et me tira dans le salon. Elle tira les persiennes et tira la grande fenêtre. La mer était juste devant nous, sombre, juste éclairée par la lueur de la lune. Au loin, on voyait les lumières des bateaux.

 

Le bruit de la mer s’écrasant sur la plage m’a toujours apaisé. Je me sentais bien.

« Tiens ! »

 

Elle me tendit un verre de champagne venu d’on ne sait où.

« C’est superbe ! Comment tu as fait pour la louer en si peu de temps ?

-   En fait, c’est plutôt prêté. J’ai une très bonne amie à qui appartient cette maison. Je suis passé chercher les clés ce matin. J’avais déjà tout prévu avant le restaurant.

-   Cachottière !

-   Coquine ! »

 

Elle vint derrière moi, posa ses mains sur mes hanches et m’attira contre elle. Elle déposa un léger bisou dans mon cou. Je frémis.

« Tu as froid ?

-   Non, je suis bouillante de désirs. »

 

Je me retournai, glissa la main long de son visage et écarta une frange. Les yeux plantés dans les siens, j’avançai lentement ma bouche contre la sienne. Je picorai ses lèvres charnues et pulpeuses. Mes mains ouvrirent un à un les boutons de sa veste. Je l’ôtai. Seins nus, elle resplendissait. Je glissai mes paumes le long de son dos.

 

Ma bouche descendit lentement sur le cou. Je lui mordillai et je sentis sa respiration devenir profonde. D’un geste, je défis les boutons du pantalon qui s’écrasa sur le sol. Elle était nue.

 

Je posai mes mains sur ses fesses fermes et tendres, j’aventurai un doigt le long de son sillon. Je sentais qu’elle aimait. Ma bouche descendit encore et vint happer un téton. De l’autre main, je pinçai délicatement l’autre. Un gémissement arriva.

« Viens, » lui dis-je.

 

Je la pris par la taille et la conduisis dans le salon. Je la fis asseoir et restai planter devant elle. Tout en la fixant, la fermeture éclair de ma robe s’ouvrit et d’un geste la robe fut enlevée. Je m’agenouillai devant elle, écartai ses jambes, passai mes mains sous ses fesses, avança son bassin et en partant de ses cuisses, je bécotai lentement sa peau.

 

Je pris chaque sein et les caressai sans cesse. Ma langue glissa le long de son nombril. Je le suçai lentement, introduisis ma langue.

 

Je descendis encore et arriva devant le puis d’amour brillant de désir, ardent de plaisirs. J’abandonnai ses seins et m’appuyant juste sur le bord du fauteuil, j’observai ce sexe tout palpitant, finement épilé. J’effleurai d’un doigt ses lèvres intimes. J’en fis le tour tout en évitant le bouton déjà rouge d’envie.

« Il est joli ! » fis-je.

 

La corolle s’ouvrit encore plus. Des fines gouttes de cyprine vinrent perler la fente. Du bout de mon ongle, j’en récoltai et en la regardant le plus langoureusement, je suçai mon doigt tout entier.

 

Elle écarta encore plus les jambes ce qui fit ouvrir encore plus ses lèvres. Je vis l’entrée de sa grotte toute rose. Le bouton ne demandait qu’à être mis à nu. Mais j’attendis encore.

 

Je dardai ma langue et lapai lentement le nectar. Quelle était bonne ! Son suc était sucré et enivrant. A chaque lapement, Caroline émettait un râle un peu plus long et un peu plus fort. Je patientai que le cri finisse avant de recommencer.

 

Parfois, juste pour que la tension monte d’un cran, je lapai allégrement sa rose complètement ouverte. Le râle devint gémissement.

 

J’aventurai un doigt entre ses lèvres et lentement afin qu'elle sente entrer chaque millimètre de celui-ci, je l’introduisis. Elle cambra un peu plus son bassin et c’est sans difficulté que je pus introduire un deuxième doigt.

 

Je décidai qu’il était temps de s’occuper de son petit bouton. Délicatement, avec mes lèvres, je dégageai le pistil. L’effet fut foudroyant. Le butinant même légèrement Caroline se mit à émettre des vocalises qui ne laissaient aucun doute sur la montée vers ce septième ciel.

 

Je lâchai l’ardent éperon. Les bruits diminuèrent. Un troisième doigt rejoignit les autres et dans un va-et-vient lent mais ô combien profond, je maintins son état d’excitation.

 

Je repris ma course sur le clitoris en m’arrêtant à chaque fois que je sentais Caroline atteindre le nirvana. J’enlevais mes doigts et stoppais mes succions. Le sexe palpitait tout seul.

« Finis-moi ! Tu es cruelle ! »

 

Pour toute réponse, je souris.

 

Puis, je soufflai sur le sexe pour le rafraîchir. Mais l’effet escompté fut l’inverse, car le bassin se projetait encore plus en avant. Je glissai quelques petits bisous sur le pourtour de son sexe et centimètre par centimètre, je remontai et atteignis les deux seins.

 

J’enroulai de ma langue le premier téton pendant que l’autre était agacé par mes doigts. Je mordillais, tétais, suçais. Je changeais de sein souvent, tirant un peu plus fort à chaque fois le téton. Les cris ne furent pas de douleur, mais d’un plaisir qui revenait sans cesse s’amplifier dans le ventre de mon amante.

 

La voyant m’implorer de la finir, je consentis à redescendre vers ce dard complètement cramoisi.

 

J’oubliai complètement la douceur que j’avais imprimée jusque là et voulant alors provoquer l’orgasme libérateur, j’enfonçai les trois doigts brusquement. Mes lèvres sucèrent, alors, avidement le bouton prêt à éclater.

 

Caroline plaqua ma tête contre son sexe dégoulinant de parfums aphrodisiaques, ferma ses jambes, arrêta de respirer et jouit. Je continuai mes succions et c’est presque à bout de force entre deux halètements, qu’elle me supplia d’arrêter.

 

J’obéis. Je me levai et l’aida à se coucher dans le fauteuil. Couchée contre elle, j’effleurai son flanc du bout des doigts.

« Cela faisait longtemps que je n’avais pas joui aussi fort. Merci. »

 

Je l’embrassai simplement. Nous étions deux femmes, nues, profitant d’un moment sensuel où rien ne peut vous arriver. Le bruit de la mer, la route et la jouissance eurent raison d’elle. Le sommeil l’envahit.

« Tu n’as pas eu ton…

-   Chut ! fis-je doucement. Dors ! Le week-end ne fait que commencer. Dors, ma chérie. »

 

Elle me sourit, ferma les yeux en même temps qu’une larme perla au coin de l’œil. Quelques secondes plus tard, elle dormait profondément. Je me levai et sans aucune gêne, j’allai sur la terrasse faisant face à la mer. Un couple passa sans me voir.

 

La brise se fit plus fraîche, je rentrai, fermai la fenêtre, pris une couverture et m’allongeai à ses côtés. Morphée ne fut pas long à me prendre.

 

Par Sophie de R. - Publié dans : Les histoires à épisodes... - Communauté : Au royaume des salopes
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