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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

J’étais en train de manger lorsque je vis Jacques arriver.

« Bonjour », dis-je.

 

Il grommela quelque chose entre ses dents. Il s’assit, se servit une tasse de café et me dit :

« Caroline ne vous a rien dit pour le système d’alarme ? »

 

Un peu surprise, je réussis à cacher mon trouble et répondis :

« Elle m’a montré l’armoire dans laquelle se trouve le système mais rien de plus. Pourquoi ?

- Pour rien ! Pour rien ! Euh… Où se trouve la clé pour ouvrir cette armoire ?

- Sur l’armoire !

- Ah ! Parfait !

- Il y a un problème ?

- Non mais… enfin, rien d’important. »

 

Je compris qu’il se doutait que le film de ses ébats avait été pris par les caméras du système mais qui l’avait copié, il n’en savait rien.

« Ce soir, je ne serai pas là !

- Bien ! »

 

Emma arriva. Je fus surprise de la voir et encore plus lorsqu’elle me fit la bise en me disant bonjour.

« Bonjour, fis-je. Comment vas-tu ?

- Super bien ! Et toi ?

- Bien, merci ! »

 

Elle s’assit à mes côtés. Elle portait une mini jupe écossaise. Ostensiblement, elle la remonta de sorte que je vis qu’elle ne portait rien en dessous. Je souris en le voyant.

 

Je buvais mon café lorsque je sentis sa main glisser sur ma cuisse et remonter vers mon petit abricot tout lisse. Je sursautai. Je la regardai et d’autorité, elle me prit la main droite et la plaqua contre son sexe déjà tout humide.

 

Tout de suite, une vague de chaleur m’envahit ainsi que deux doigts inquisiteurs dans mon antre. Je fis de même et je la branlai lentement.

 

Nous étions toutes les deux en face de Jacques qui lisait son journal impassiblement. Nos doigts prirent le même rythme et je faillis lâcher un petit cri lorsqu’elle appuya son pouce sur mon clitoris. Je l’imitai.

 

La peur de se faire surprendre par le père stimulait nos sens. La maison entière devait entendre le bruit assourdissant de mon cœur. De temps en temps, un léger clapotis se faisait entendre.

 

Nous allions jouir lorsque jacques vida sa tasse, se leva et en nous regardant dit :

« Ca va Emma ? Tu es toute rouge.

- Oui ! fit-elle en reprenant son souffle. J’ai énormément chaud. Toi non ?

- C’est vrai que le chauffage est un peu trop fort. Bon, je dois y aller. »

 

Il partit sans un au revoir. On attendit que la porte se ferme. On se fit face.

« En quel honneur fis-je toujours deux doigts en elle et massant encore plus son clitoris ?

- Merci pour Steve !

- De quoi ?

- De le déniaiser. C’est chic de ta part.

- C’est venu normalement dis-je en hachant un peu mes mots.

- Je croyais que tu ne voulais que notre fric !

- Au début oui mais j’ai appris à vous connaître ! D’ailleurs, j’allais te rendre l’argent que tu m’as donné.

- Garde-le ! Ce sera ton salaire pour initier mon frère à des jeux plus sains que de se branler.

- Tu vas me faire…

- Jouir ? Toi aussi !

- Embrasse-moi ! »

 

Nos lèvres se joignirent dans le même élan et nos langues se rencontrèrent. Le baiser fut profond, long et terriblement sexuel. Je la voulais tout entière.

 

La jouissance nous surpris en même temps. Ce fut bref mais intense.

« Merci ! soupirai-je.

- La prochaine fois, si tu le veux bien, je préfèrerais le faire dans un endroit plus confortable.

- Ce sera avec plaisir.

- Ok ! Steve ne doit pas savoir notre petit arrangement. Déjà qu’il hésite entre ce garçon et sa nana.

- Laisse-lui le temps ! Il choisira peut-être.

- Ou pas du tout comme moi… et toi !

- Moi ?

- Je t’ai vue avec maman. Je sais que votre petit week-end fut, comment dirais-je, très chaud. Je sais qu’elle adore le sexe. D’ailleurs, c’est normal avec le père que l’on a. Jamais là et je me demande si il a une vie sexuelle. »

 

Je me retins de lui dire la vérité. Ce n’était pas mon rôle et puis j’avais gagné une amitié. Décidément quelle famille. Je déniaisais le fils, gamahuchais avec la fille et la mère. Il ne restait que le père mais celui-là allait payer.

« Je file ! Rodrigue m’attend. Au fait, il fait divinement bien l’amour, non ?

- Tu le sais ?

- C’est moi qui lui ai dit que tu aimerais. Je ne me suis pas trompée ?

- Non ! »

 

Elle m’embrassa sur la bouche et partit en souriant.

 

Deux minutes plus tard, Steve arriva le regard béat et la bouche bée.

« Ca va Steve ?

- Oui ! Regarde ! »

 

Il me présenta son gsm. Un message était affiché sur l’écran.

 

« Rendez-vous demain soir. Tout le monde sera là ! Bisous »

 

« C’est Amandine.

- Amandine ?

- Ma copine. Hier, j’étais chez elle dans sa chambre en train de réviser.

- Juste réviser ?

- Oui ! Je ne sais plus comment on en est arrivé là mais on a parlé de Thomas. Le mec qui me fait…

- Bander ?

- Oui mais pas que cela. Bref, je lui ai tout raconté : mon attirance pour lui, mon manque d’expérience, la totale.

- Comment elle a réagit ?

-Bien ! En fait, elle s’en était rendu compte depuis quelques temps car elle me voyait le regarder drôlement. Elle m’a alors demandé si je voulais qu’elle organise une rencontre entre lui et moi. J’ai dit oui tout de suite mais j’avais peur qu’il ne partage pas mes attentes. Elle a pris son gsm et a téléphoné à sa meilleure amie qui n’est que la copine de Thomas. Elles ont parlé de choses et d’autres. Puis, sans aucune g^ne, elle lui a parlé de moi. J’étais tellement excité que je n’ai même pas pensé qu’elle racontait en fait l’histoire de ma sexualité à une autre. Je bandais comme un malade. Ce fut pire lorsque Amandine a glissé une main dans son pantalon et s’est caressée en me regardant droit dans les yeux tout en téléphonant.

- Ta copine n’est pas un peu salope sur les bords ?

- Je crois que oui mais le plus hard c’est que c’était son amie qui lui disait de le faire. Amandine a mis le haut-parleur et j’ai entendu sa copine raconter ce qu’elle était en train de se faire et surtout ce qu’elle lui ferait la prochaine fois.

- Elles sont gouines ?

- Non, elles aiment les deux sexes. Elles jouirent presque en même temps et je dois dire que j’ai presque juté dans mon boxer. La copine lui a promis de faire son possible pour notre rencontre. Ensuite, après avoir raccroché Amandine est venue vers moi, a défait ma braguette et a glissé sa main dans mon boxer. J’avais le cœur qui allait exploser.

- Rien que cela, fis-je la mine boudeuse.

- Tais-toi ! laisse-moi raconter. Je me suis retrouvé très vite le pantalon sur les chevilles et Amandine qui me branlait lentement. C’était incroyable ! C’est la première fois qu’une autre main que la mienne tenait ma bite. Malheureusement, j’ai joui très vite. Amandine en avait plein les doigts.

- Et elle a réagi comment ?

- Elle m’a sourit et a commencé à lécher sa main en me fixant. Puis elle m’a dit :

 

« Tiens ! Goûte ! Si tu aimes les mecs il faudrait mieux que tu aimes avaler. Moi, j’adore. Et je dois te féliciter car tu as résisté longtemps avant de juter. J’ai connu d’autres mecs qui aurait juté dans leur froc rien qu’en me voyant me branler. »

 

- J’ai attrapé sa main et un à un j’ai sucé ses doigts lentement.

- Et ?

- Et c’est vachement bon ! Toi, tu avales aussi ?

 

Je faillis étrangler de travers.

- Mais cela ne te regarde pas !

- Pardon ! dit-il gêné.

- Et ensuite ?

- Elle a essuyé sa main et m’a dit :

 

« Si tu couches un jour avec Thomas, je veux que le jour d’après tu viennes tout me raconter et je te donnerai un cadeau. »

 

« Lequel ? »

 

« Je coucherai avec toi ! Ainsi tu verras la différence ! »

 

« D’accord »

 

- Ben mon vieux, dire qu’il y a un jour ou deux tu manquais d’expérience.

- Il y a juste une chose qui me chiffonne.

- Laquelle ?

- Comment on fait une fellation ?

- Ben avec la bouche ! Mais ne compte pas sur moi pour te l’apprendre. Je veux bien t’aider mais pas cela.

- Oh ! Dommage !

- Demande à ta copine, je crois qu’elle a déjà un peu d’expérience.

- Je ne la vois que demain soir !

- Tu verras, tu sauras le moment venu. »

 

Il déjeuna la mine un peu déconfite et partit aux cours. En fait, j’avais une petite idée derrière la tête mais je ne voulais pas qu’il le sache.

 

Un orage violent éclata durant la journée et la venue des jardiniers fut annulée.

« Flûte ! pensais-je. J’aurais bien aimé qu’ils s’occupent de moi comme ils ont fait avec Caroline… »

 

L’après-midi fut calme. Je fis un cd avec d’autres images montrant Jacques avec sa pouffiasse de maîtresse. C’était pitoyable. A un moment donné, il imitait le cochon ou plutôt je devrais dire le porc !

 

J’en avais presque la nausée. Le bouquet fut lorsqu’elle se mit nue sur le lit et dit :

« Appelle-moi Caroline ! J’espère que tu vas la foutre à la porte car j’aimerais bien habiter ici ! La maison t’appartient, non ? 

- Oui mais… 

- Ecoute-moi bien sale porc, si dans un mois elle est encore là, je demanderai à des amis de s’occuper d’elle. Tu sais ce que c’est qu’une tournante ? 

-Non ?  Dans un endroit bien crade, une bonne femme se faire mettre par de nombreuses bites, bien entendu sans son consentement et sans ménagement. Ils ne la laissent que lorsqu’elle leur dit le mot magique. »

- Quel mot ? 

- Encore ! A partir de ce moment, elle ne les intéresse plus. Mais entretemps, elle sera leur sac à foutre et je peux te dire qu’elle débordera de partout ! 

- Mais c’est immonde ! 

- T’es vraiment une couille molle. Je me demande si tu ne devrais pas remplacer la fille. Cela te ferait du bien ! 

- Non, pitié maîtresse ! 

- Alors lèche-moi et fais-moi jouir ! »

 

J’emballai le cd et y joignit le message suivant :

« Ca filme bien une caméra de sécurité ! Non ? Tu crois que ta bonne et ta femme seraient contentes de te voir ? Et ton patron ? Pour m’empêcher de leur envoyer une copie, j’aimerais que tu verses sur ce compte, disons deux mille euros, pour commencer ! Bien entendu, avant ce soir minuit ! »

 

J’ajoutai un numéro de compte bancaire que je venais de créer sur internet, fermai l’enveloppe et allai la glisser dans la boîte aux lettres de son cabinet de consultation. Grâce à la pluie et surtout à un parapluie, il ne verrait rien sur la caméra filmant l’entrée.

 

Je savais que c’était du chantage et j’avais un peu honte de moi. Mon retour à la villa fit s’envoler les quelques remords. Jacques était là.

« Gwendoline ?

- Oui, fis-je un peu inquiète.

- Vous pouvez m’apporter un café s’il vous plait ?

- Oui ! »

 

Qu’est-ce qu’il faisait là ? Avait-il compris que c’était moi la responsable du premier cd ? Un peu fébrile, je lui apportai la tasse. Le spectacle que je vis était des plus affligeants.

 

Il était nu, se branlant, la bave aux lèvres et le front luisant de sueur. J’en laissai tomber la tasse sur le sol. Aussitôt, il se jeta sur moi, agrippa mon chemisier et l’arracha.

« Tu fais moins la belle salope ! Tu es là tous les jours, nue sous ton chemisier et sans culotte. Tu n’arrêtes pas de m’exciter. Tu le fais exprès, hein salope !

- Mais vous êtes fou !

- J’aime lorsqu’une femme fait la difficile. Tu vas voir comme tu vas couiner de plaisir. Tu va enfin sentir une bonne bite. Ton cul doit être bien accueillant ! »

 

Il me prit par les épaules. Ce fut son erreur car je réussis à dégager mes bras et le repoussai. Je me mis rapidement debout. Il fut aussi prompt que moi mais, obnubilé par mes seins libres de toute entrave, il ne vit pas mon genou droit venir s’enfoncer dans ses couilles.

 

Il devint blanc, tomba à genou et s’écrasa contre le sol.

« Salope !

- Ecoute-moi bien sale porc, tu me touches encore une fois et ce n’est pas tes couilles que j’exploserai. Et après ce que je te ferai subir, c’est un de tes collègues qui devra te recoudre. Tu saisis ? Cela restera entre nous mais sache qu’au moindre geste équivoque ou la moindre parole déplacée, je balance tout aux flics ! Capice ?

- Connasse !

- T’as rien compris ! »

 

Je pris son gsm et allais faire le numéro des flics lorsqu’il dit :

« Ok ! T’es vraiment la pire… »

 

Je ne me retins pas et un deuxième coup de pied atterrit juste entre son trou de balle et ses couilles. Mes chaussures pointues furent un peu abîmées mais lui aussi !

« Ainsi chaque fois que tu t’assiéras, tu penseras à moi. »

 

Je partis. Lui, gisant sur le sol, se tenant les couilles meurtries, sanglotait de mal.

 

A suivre...

Par Un mari heureux - Publié dans : Les histoires à épisodes... - Communauté : les blogs persos
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