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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Femme
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Je gagnai ma chambre et la porte verrouillée, je pris une douche bienfaisante et calmante. Je ne me reconnaissais pas. Depuis mon séjour ici, j’avais pris de l’assurance. Je n’étais plus l’oie blanche d’autrefois. Il allait payer le sale porc.

 

Séchée et rhabillée, je gagnai le bureau de Caroline. Lui était parti. J’ouvris l’armoire avec le système de sécurité et enregistra la scène sur un cd. J’avais une preuve au cas où il aurait le malheur de retenter le coup.

 

Pour me remonter le moral, je pris mon gsm et fis le numéro de mon serveur de restaurant qui m’avait donné tant de plaisirs le soir où j’avais reçu cette place.

 

Un sms de réponse fusa aussi vite. Il faut dire que le mien ne voulait qu’une réponse : oui ! J’avais écris :

 

« J’ai envie de ton chibre au garde à vous. Rendez-vous ce soir même heure même lieu que la dernière fois ! »

 

Steve arriva une heure plus tard. Il allait avoir une surprise.

« Salut Gwendoline.

- Bonjour Steve. Tiens, surprise !

- C’est quoi ?

- Tu dois lire et faire ce qu’il est inscrit et tu verras. »

 

A suivre....

 

Il ouvrit l’enveloppe et lut à haute voix :

« Tu dois aller dans ta chambre, prendre une douche et te coucher nu sur ton lit. Un bandeau noir sera posé sur ton lit. Tu devras le mettre et surtout interdiction formelle de l’enlever. Tu ne peux rien dire. La personne qui viendra ne dira rien. Lorsqu’elle aura fini, elle te tapotera le pied trois fois ; Alors tu compteras jusque cent et tu pourras enfin enlever le bandeau. »

 

Il relut le texte et je vis au travers de son jean qu’une bosse tendait le tissu de plus en plus.

« Et qu’est-ce qu’elle va me faire ?

- Que du bien ! Ne t’inquiète pas. Elle sait y faire.

- Qui ?

- Tu ne le sauras jamais.

- Et si je veux enlever le bandeau ?

- Alors, elle partira et notre petit arrangement tombe à l’eau ! Compris !

- Bien. Je ne l’enlèverai pas.

- Allez file ! Elle va bientôt arriver. »

 

Je le vis courir dans sa chambre. Pour ma part, je le suivis et allai dans la mienne. J’attendis quelques instants et gagnai sa chambre.

 

Il était bien couché, nu et il n’y avait pas que les yeux qui étaient bandés. Son sexe était plus gros et grand que la dernière fois. Je vis que sa respiration était saccadée.

 

Sa queue m’avait tellement fit envie que j’avais décidé ce matin de lui faire sa première fellation. Mais comme je ne voulais pas qu’il sache que c’était moi, j’avais mis en place ce petit manège. Je m’agenouillai au bord du lit et prit sa queue dans ma main.

 

Il sursauta mais très vite, les sensations prirent le dessus sur la peur. Je faisais coulisser ma main sur ce membre tendu comme un arc. La peau était douce. Je le masturbais lentement, arrêtant à chaque fois que je sentais qu’il allait exploser.

 

Ce petit jeu dura longtemps mais chaque bonne chose à une fin, il grogna et jouit. Il épancha sa jouissance sur ma main et sur son ventre.

 

Je le goûtai. Son jus était délicieux. Je mis ma main trempée au-dessus de sa bouche et quelques gouttes tombèrent sur ses lèvres. Une fine langue lapa les quelques traces humides et un grand sourire éclaira son visage.

 

Pourtant je n’avais pas encore fini avec lui. Son sexe avait molli mais pas totalement. Je me penchai sur lui et le mis en bouche afin qu’il durcisse et qu’il fût propre. Un cri de surprise sortit de sa bouche.

 

Je le pompai vaillamment et consciencieusement. Mes mains n’étaient pas en reste. L’une flattait ses couilles encore pleine de jus tandis que l’autre allait cajoler le petit œillet encore vierge. Il aimait, car les gémissements se firent plus profonds et plus forts.

 

J’enroulais ma langue autour de son gland redevenu gros et rouge. Je l’engloutis le plus profondément possible. Un doigt inquisiteur réussit à forcer le petit anneau qui ne demandait qu’à s’ouvrir.

 

Un deuxième doigt rejoignit très vite le premier. Il ahanait terriblement.

Sachant qu’il ne tiendrait pas longtemps à ce rythme, je les ôtais et perçus une frustration dans sa voix.

 

Je m’appliquai à le sucer. Chaque centimètre de sa queue fut sucé, embrassé, cajolé. Je sentis qu’il allait exploser dans ma bouche.

Sans ménagement, j’enfonçai trois doigts dans son fondement et surpris par la manœuvre, il ne put plus se retenir. Il m’envoya tout ce qu’il lui restait dans ses deux orphelines. J’avalai sans retenue ce nectar si gentiment donné. Lorsqu’il eut fini, je lapai les quelques gouttes éparses que je n’avais pas réussi à avaler.

 

Le sexe propre, satisfaite de mon deuxième cours, j’allais lui tapoter le pied comme convenu lorsque j’entendis sa respiration devenir plus profonde et plus lente. Il dormait.

Je souris en trouvant cela mignon et partis sur la pointe des pieds.

 

Mon serveur allait devoir user de toutes ses armes car j’étais aussi chaude qu’une baraque à frites. Mon serveur m’attendait accoudé au bar comme la première fois. Il était beau dans son pantalon noir lui moulant parfaitement les fesses. Une grande blonde aux yeux de braise lui parlait calmement.

 

Je fus déçue qu’il ne m’ait pas attendu. Pourtant en me voyant arriver il sourit. Je ne savais que penser car la blonde me fit aussi un grand et beau sourire.

« Salut belle inconnue !

- Bonsoir, répondis-je perplexe.

- Voila, chérie, la belle demoiselle qui un soir m’a permis d’user d’elle.

- Tu as eu toujours bon goût, dit-elle.

- Euh… Excusez-moi ! Je dois partir. »

 

Ayant compris que la blonde devait être sa femme ou quelque chose comme cela, j’avais décidé de battre en retraite.

« Attends ! me dit-elle avec un petit accent espagnol. Je crois que cela mérite une petite explication mais pas ici.

- Où ? fis-je un brin curieuse.

- Où tu veux ?

- Ben… je ne sais pas fis-je vraiment surprise.

- Si je vous invitais à dîner ? A moins que tu aies déjà mangé ?

- Non. »

 

S’il savait que j’avais déjà pris mes protéines ce soir…

« Alors parfait, je connais un petit resto sympa et surtout très discret. Moi c’est Manuel et voilà Consuela, ma fiancée.

- Moi c’est Gwendoline. »

 

Ils m’entrainèrent dans les petites rues de la capitale. On arriva à un restaurant qui ne payait pas de mine. On y entra et tout de suite l’ambiance feutrée dégageait un charme certain. Le patron vint nous accueillir et nous conduisit dans un recoin. La table entourée par de hauts paravents nous permettait de parler librement.

« Consuela est ma fiancée et est au courant de notre petite relation de l’autre soir. Nous allons nous marier la semaine prochaine et puis nous retournons au pays. Lea papa de Consuela m’offre son restaurant en cadeau de mariage.

- Félicitations !

- Merci, » répondirent-ils en chœur.

 

Ils s’échangèrent un regard de braise à faire fondre le plus gros des icebergs. Ma soirée coquine prenait l’eau de toute part. Je ne comprenais toujours pas pourquoi il m’avait répondu par l’affirmative.

 

Je devais faire une drôle de figure lorsqu’elle me dit :

« Tu dois te demander pourquoi Manuel t’a envoyé ce sms ?

- Euh… oui !

- En fait, continua-t-elle, c’est moi qui l’ai envoyé. Manuel m’a tout raconté le lndemain de votre petite sauterie.

- Et tu n’as rien dit ?

- Pourquoi ? Notre couple est basé sur l’amour que l’un porte à l’autre alors qu’est-ce que c’est qu’une pulsion sexuelle basée que sur le physique.

- Quelle liberté de pensée ! répondis-je interloquée.

- Manuel et moi avons pris la décision d’être libre jusqu’au mariage. Avant lui, je n’avais connu aucun homme. Manuel m’a ouvert des voies que grâce à lui j’ai pu explorer. Le mariage n’est pas une fin en soi mais un début d’une vie. Je ne sais pas si on terminera nos jours ensemble mais j’y crois dur comme fer.

- Et vous continuerez à vivre votre couple comme maintenant après le mariage ?

- Cela sera difficile, répliqua Manuel mais Barcelone est une ville assez libre qui nous permettra d’épanouir encore plus notre couple. On verra.

- Et pourquoi m’avoir « invitée » ?

- J’ai envie que tu fasses l’amour avec Manuel devant moi ! Je veux voir vos visages prendre du plaisir et si…

- Non ! cria presque Manuel. Tu sais bien que cela serait trop demandé.

- Quoi ? lui demandai-je ?

- Ben si tu…

- Si je veux faire l’amour avec toi ? Ma réponse est oui ! J’aime autant les femmes que les hommes. Et tu es très attirante. J’aimerais être votre maîtresse commune et vous laisser un souvenir de notre cher beau pays. »

 

Les yeux de Consuela brillèrent et Manuel ne put retenir un sourire carnassier.

 

Le serveur vint prendre nos commandes mais personne n’avait faim, enfin, de nourritures terres car les nourritures charnelles ne demandaient qu’à être avalées sans ménagements. Une certaine tension érotique flotta durant notre maigre repas qui chagrina le patron.

 

Manuel proposa que je les accompagne chez eux. Ils me donnèrent leur adresse. La voiture de sport de Caroline ne comportant que deux places, je pris Consuela avec moi. Manuel retourna en métro. Dans le parking, m’asseyant à côté d’elle, je ne pus m’empêcher de poser ma main sur sa cuisse. Elle frémit à mon contact.

 

Elle se retourna et approcha son visage du mien. Nos bouches se trouvèrent rapidement et ma main remonta lentement les quelques centimètres qui étaient cachés sous le mince tissu de soie.

 

J’atteignis le puits déjà trempé par le désir. Très vite, tout en l’embrassant, j’investis le lieu chaud et humide. Je la maintins fermement afin qu’elle ne sache pas s’enlever mais le voulait-elle car je sentis son bassin s’avancer afin de mieux s’empaler sur mes doigts.

 

Un couple vint chercher leur voiture juste à nos côtés et ils interrompirent le charme du moment. Je quittai mon antre et sortis deux doigts humides. Consuela les prit dans sa main et les suça lentement. J’étais une vraie fontaine.

 

Le couple partit sans nous regarder. Je pris la main de Consuela et l’invita à venir sentir la moiteur qu’elle provoquait en moi.

« Je n’ai jamais touché une autre fille que moi !

- Alors pense que tu te fais du bien ! »

 

Elle fut d’abord surprise de l’absence de tissus.

« Essaie ! Ce sentiment de liberté est extraordinaire. »

 

Derechef, elle prit son string entre ses pouces et le tira vers le bas. Le contact du cuir sur sa peau la fit frémir.

« Je vais tacher ta voiture !

- Je la nettoierai en pensant à toi. Goûte-moi, » dis-je en conduisant ses doigts dans ma grotte enflammée.

 

Ses doigts vinrent s’enfouir entre mes jambes. Je lui rendis la pareille. Mais je ne voulais pas jouir tout de suite alors je lui enlevai sa main et léchai les doigts souillés par mon nectar. Par contre, le pouce sur son clitoris, j’activai ma caresse et c’est sous des cris de jouissances qu’elle jouit pour la première fois sous les mains d’une autre femme.

 

Un couple d’une soixantaine d’années passa près de nous juste à ce moment-là. La femme me regarda et me lança un sourire. Je lui répondis.

 

Deux minutes plus tard, nous sortîmes du parking et un quart après, j’entrais dans leur appartement. La porte franchie, je sentis deux mains puissantes me prendre et me coller contre le mur. Je ne pouvais plus bouger.

 

Une bouche avide se plaqua contre la mienne. Je sentis un corps nu et encore humide. Manuel devait juste sortir de la douche. Il embaumait le savon aux effluves épicés. Je me laissai faire et répondis à son baiser passionné.

 

Consuela ferma la porte, enleva ses vêtement et alla prendre un caméscope dans une armoire.

« Cela ne te dérange pas si je filme ? me demanda-t-elle. J’ai envie de garder un souvenir de notre rencontre. Les jours de blues, je pourrai la revoir. Et ne t’inquiète pas, je te passerai une copie.

- Pas de problème. »

 

Elle appuya sur le bouton rouge et subitement, sur l’écran led apparu le corps de manuel de dos en train d’embrasser ma nuque. Cette sensation de voir et d’être la principale actrice décupla mon désir.

Par Un Mari Heureux - Publié dans : Les histoires à épisodes... - Communauté : Candaule et libertine
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