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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Vous l'attendiez, vous la réclamiez... LA VOILA !!!


La suite de cette fabuleuse histoire. Son auteur,"Un Mari Heureux" a lu vos remarques, et m'a aimablement transmis une suite...

 

Ne boudez pas votre plaisir !


Elle ouvrit la bouteille de champagne qui trônait dans un seau à glace.

« C’est bête mais j’ai oublié les flutes., fit-elle en me lançant un clin d’œil. Tu me crois ?

- Non ! »

 

Elle porta le goulot à sa bouche, avala quelques gorgées et se pencha vers moi. Je compris ce qu’elle voulait faire. J’ouvris la bouche et elle lâcha le précieux liquide dans celle-ci.

« C’est bon ?

- Oui », fis-je.

 

Elle but à son tour. Puis, elle versa le champagne juste sur mon nombril. Je sentis de milliers de chatouillements. Elle darda sa langue et lapa. Chaque coup de langue me donnait du plaisir.

« Maintenant prépare-toi à jouir ! »

 

Elle but mais en gardant l’alcool en bouche. Elle vint en face de moi et plaqua sa bouche contre mon sexe. Mille attouchements se firent en même temps. Mon clitoris gonflé par tant de désirs devint dur. Sa langue se mêla au combat et je la sentis s’immiscer en moi.

 

L’orgasme arriva rapidement. Emma but alors le champagne mêlé à ma cyprine.

« Un vrai nectar ! »

 

Je revins à moi et voulus quitter le lit.

« Je n’en ai pas encore terminé avec toi ! dit-elle en me maintenant sur le lit. Mais pour cela tu peux te détacher. Tu as gagné mon défi. Ce sera moi ta femme de chambre pour le week-end ! »

 

Elle releva mes jambes et les écarta.

« Tiens-les comme cela…. »

 

Je le fis. Emma alla fouiller dans un sac et revint avec un vibro rose à deux têtes.

« A voir ton sourire, je crois que tu as compris ce que je voulais faire. Non ?

- Si ! »

 

Elle arriva en face de moi et lentement, elle enfonça le vibro en moi. Mon sexe mouillé comme jamais par l’orgasme engloutit sans aucune retenue le vibro en latex.

« Maintenant, à toi », fis-je en gémissant déjà.

 

Elle se mit debout au-dessus de moi. Elle maintint le chibre rose entre ses mains et s’accroupit tout en conduisant le membre dans son abricot.

 

Je vis le vibro entrer en elle. Elle devait avoir entrer le maximum pour elle car je sentis le chibre s’enfoncer encore plus loin en moi tant et si bien que son sexe vint s’aplatir contre le mien.

 

Elle ondula le bassin et son petit bouton vint se frotter contre le mien. Mille sensations apparurent. Je tenais Emma par les seins que je pinçais. Elle fit de même.

 

Se regardant droit dans les yeux, elle bougea délicatement sur ma vulve humide.

« Que c’est bon d’avoir quelque chose en soi et en même temps caresser son clito par un autre. C’est ma position favorite, dit-elle en ayant de plus en plus de mal à retenir les gémissements.

- Oh oui, dis-je avec une voix rauque, c’est bon !

- Attends, j’ai encore une surprise.

 

Elle lâcha un sein, prit un petit boitier blanc sur le lit et appuya sur un bouton. Le vibro se mit en branle et je sentis la tête frotter mes chairs les plus profondes. Le reste vibrait encore et encore.

 

Emma se mit à émettre des cris indiquant le summum du plaisir tout proche. Ma respiration se saccada de plus en plus.

 

Elle se pencha et m’embrassa ce qui provoqua en moi l’explosion sans fin de mon orgasme. Je ne respirai plus et les yeux révulsés, je jouis. Je lâchai ses seins sous l’emprise du plaisir.

 

Emma se branla encore plus fort sur mon petit bouton et dans un mouvement ultime, elle pinça ses seins et cria sa jouissance.

 

Elle s’affala sur moi le vibro encore en nous. Les vibrations nous firent rester sur notre nuage provoquant encore des orgasmes moins dévastateurs.

 

Au prix d’un effort surhumain, elle arriva à stopper la machine et nous endormîmes enlacées unies par le morceau de latex.

 

 

Je me réveillai la première. Emma était couchée sur le dos. Qu’est-ce qu’elle était belle ! Ses seins parfaits bougeait au rythme de sa respiration, ses jambes longues et fines étaient lisses comme le satin, sa bouche pulpeuse à souhait ne demandait que des baisers.

 

Le vibro était presque sorti de son sexe. Pour ma part, il avait du quitter mon antre durant la nuit.

 

J’eus une idée en voyant le petit boitier blanc. Je le pris et appuyai sur le bouton on. Il se mit à vibrer lentement. Emma commença à le sentir bouger en elle car elle ouvrit les yeux.

« Bonjour, dis-je.

- Bonjour, dit-elle. C’est bon ! »

 

Je pris le vibro en main et entama un va-et-vient. Emma gémit.

« Oh oui ! Continue ! »

 

Je plaquai ma main sur son clitoris et le pinçai. Les gémissements devinrent cris et en s’arquant, elle jouit comme une démente. Revenue à elle, elle me dit :

« Il faudra que tu viennes me réveiller tous les jours !

- C’est une invitation ?

- Non… une espérance », dit-elle en me lançant un regard de braise.

 

Je ne répondis pas mais je l’embrassai langoureusement.

« Allez ! Debout ! dit-elle. Aujourd’hui, je t’invite à faire les boutiques avec moi !

- Mais…

- On est samedi ?

- Oui !

- Alors, tu ne travailles pas.

- Euh non mais…

- Tatatata ! On déjeune et puis on file. Et pas de discussion.

- D’accord mais comme tu es ma femme de chambre pour le week-end, je veux que tu ne portes sur toi qu’une robe que je vais moi-même choisir !

- Bien ! Marché conclu ! »

 

Je pris une douche et m’habillai. Je mis une petite robe légère qui pouvait s’enlever très vite. Je mis un string et restai seins nus sous le vêtement.

 

Emma finissait de prendre sa douche et je cherchai la robe que je lui imposais. Je trouvai une robe jaune pâle qui devait lui arriver juste en dessous de ses fesses.

« Je t’ai mis la robe sur ton lit, lui criai-je à travers la porte. Je vais préparer le déjeuner.

 

J’arrivai dans la cuisine et vis un message de Jacques.

 

« Une urgence ! Je ne reviendrai pas aujourd’hui ! Peut-être demain ! Bon week-end ! »

 

A côté, il y avait trois enveloppes, une à mon nom et les deux autres aux noms d’Emma et de Steve. J’ouvris la mienne. Il y avait quatre billets de cinq cents euros ! Un petit mot les accompagnait.

 

« Je sais que ce n’est rien par rapport à mon attitude désobligeante de l’autre jour. Je m’en excuse. »

 

C’était un peu court mais le geste était là ! Pourtant ma décision de lui faire payer ne faiblissait pas. En fait, je crois que c’est sa pétasse de Thérèse qui me faisait le plus horreur. Je glissai les billets dans ma poche lorsque Steve fit son entrée. Emma arriva presque en même temps !

« Salut Gwen ! Bonjour Emma.

- Salut Steve ! fîmes ensemble.

- Vous sortez ?

- Oui ! J’emmène Gwen faire les boutiques.

- Pff ! Un truc de filles !

- Et toi ? Comment c’est passé ta soirée ?

- Ben… euh…

- T’inquiète ! On est toutes les deux dans le secret.

- Ah ?

- Alors ?

- C’était magnifique !

- C’est tout ?

- Que veux-tu savoir ?

- Les détails !

- Comme si tu me racontais tes parties de jambes en l’air !

- T’as raison ! dit Emma, je m’excuse. Mais je désire juste savoir une petite chose.

- Je ne dirai rien mais je peux juste te dire une chose : j’ai un peu de mal à m’asseoir… et lui aussi », nous dit-il dans un large sourire.

 

Emma et moi nous regardâmes et sourîmes.

« Le principal, fit Emma, c’est que tu sois heureux! Profites-en !

- Donc aujourd’hui… tu vas passer un moment chez ta copine ?

- Non !

- Pourtant…

- Qu’est-ce que je ne sais pas fit Emma ?

- Sa copine lui a dit qu’il devait goûter à tous les plats pour savoir lequel est le meilleur.

- Ah… cachottier.

- Pas de chance pour vous les filles mais je préfère le premier. Le deuxième j’ai aimé mais pas aussi fort.

- Dites donc ! Deux fois en une soirée alors qu’il y a une semaine, c’était morne plaine.

- Trois !

- Trois fois ! Mais ce fut la partouze !

- On s’est laissé aller.

- Tu t’es protégé au moins !

- Oui, tu me prends pour qui ?

- Pour mon petit frère !

- Bon ! Laissez-moi ! J’ai faim. »

 

On mangea de bon cœur. Ce fut un moment inoubliable.

 

On laissa Steve rêver à son prince charmant et nous partîmes dans le centre ville.

« Tu sais que ma robe ne cesse de remonter sur mes fesses ! Elle est une taille trop petite !

- Je l’ai fait exprès.

- Coquine !

- Un peu ! Où va-t-on ?

- Je ne sais pas. J’ai besoin d’un nouvel appareil photo. J’ai cassé le mien et comme les vacances approchent.

- Ok ! »

 

On partit dans un magasin très connu et un vendeur très charmant et surtout très mignon vint tout de suite nous aider.

« Besoin d’aide mesdemoiselles ?

- Oui, fit Emma la bouche boudeuse. Je voudrais avoir un appareil compact mais qui a un gros zoom !

- Pour photographier des détails précis ?

- Oui ! Le cul de ma copine lorsqu’elle bronze à poil près de la piscine. »

 

Le vendeur déglutit mais ne laissa presque rien paraître.

« Et je veux aussi qu’il filme car lorsque je fais l’amour avec mon mec, j’aime être filmée et surtout revoir lorsque je suis avec ma douce ! Hein chérie, tu aimes me voir avec mon mec ? »

 

Je rentrai dans son jeu et dit :

« Oui, cela m’excite.

- Je crois que j’ai ce qu’il vous faut », dit-il visiblement émoustillé.

 

Il partit chercher trois appareils plus mignon les uns que les autres et commença à nous expliquer les avantages et les défauts des uns ou des autres.

« Celui-là a l’air pas mal et puis je peux le glisser dans mon sac. Que dis-tu ?

-   Oui, fis-je. Il est super. Ah si la queue de ton mec pouvait avoir un aussi gros zoom, ce serait le bonheur.

-   Tu l’as dit ! Par contre mon fiancé est bien équipé lui !

-   Oh oui ! J’adore lorsqu’il me photographie le cul avec son gros objectif. Quel pied ! »

 

Le vendeur bandait sans retenue.

« Et vous, vous avez quoi comme zoom ? A ce que je vois, il doit être performant ! »

 

Il suait abondamment ne sachant visiblement où se mettre.

« Je vais prendre celui-là ! dit Emma. C’est un beau noir.

-   Et moi, je vais prendre le même modèle mais en bleu. Ainsi on pourra les différencier. Vous nous faites une ristourne comme on prend les deux ?

-   Je ne sais pas si je peux !

 

Emma se rapprocha de lui et lui dit à l’oreille :

« Si vous nous faites dix pour cent, je photographie ma chatte et je vous la montre, et si vous nous faites vingt pour cent, vous verrez en plus la chatte de ma copine, trente pour cent, et vous verrez ma main caressant sa chatte, quarante pour cents, et vous nous verrez chacune caressant la chatte de l’autre et comme je sais que vous ne pouvez pas vendre à perte, à cinquante pour cent, vous nous verrez nous lécher la chatte de l’autre. »

 

Il ne savait plus quoi ! La bosse dans son pantalon beige était énorme. Emma se retourna et m’embrassa fougueusement. On le regarda ensuite. Il avait le visage crispé.

« Regarde ! »

 

Emma me montra discrètement la tache à la hauteur de son sexe. Il avait joui. Il devint rouge de honte et appela une collègue. Il partit presque en courant.

« Mesdemoiselles, j’ai tout entendu et je vous remercie.

-   Ah oui ? Pourquoi ?

-   Monsieur se vante tout le temps qu’une femme va jouir plusieurs fois avant que lui ne prenne son plaisir. Aujourd’hui, nous avons la preuve que non ! Je crois que lapinot lui ira bien comme surnom ! Pour les pourcentages, je peux vous faire vingt pourcents car vous achetez le même modèle.

-   Parfait, » fit Emma !

 

La femme alla chercher deux boîtes neuves et revint vers nous.

« Voilà ! Cela fera donc, deux fois trois cent nonante-neuf fois deux moins vingt pour cent … six cent quarante-hui et quarante cents !

-   Tenez ma carte !

-   Mais je vais me payer le mien, fis-je un peu outrée.

-   Tout le plaisir est pour moi et puis, tu me rembourseras en nature », fit-elle en m’embrassant sur la bouche.

 

Emma régla et au moment de partir, la femme lui demanda ce qu’elle avait dit à l’oreille. Elle lui raconta.

« Donc vingt pour cent, il aurait pu voir vos deux…

- Oui ! Nous aurions été chercher un livre sur les chats et nous aurions photographié deux chats. C’est tout ce qu’il aurait eu ! »

 

Elle rit aux éclats et répondit :

« Moi, j’aurais bien aimé voir les vraies mais pas sur du papier.

-   Cela ne tient qu’à vous à nous suivre dans un endroit discret, enfin, si ma chérie est d’accord ?

-   Je crois que mademoiselle pourrait même la caresser.

-   Vous me tentez mais je dois rester ici toute la journée.

-   Dommage ! dis-je d’une voix rauque.

-   L’appareil que vous avez là fonctionne ?

-   Oui, pourquoi ?

-   Donnez-le-moi. »

 

Emma prit l’appareil et, après voir regardé à droite et à gauche, souleva sa robe et prit une photo d son sexe. Elle me regarda, me tendit l’appareil. Mais avant, je fis glisser mon string à mes pieds et rapidement, je fis une photo de ma chatte.

« Voilà, vous pourrez les regarder à votre aise.

- Et même me sentir, je vous offre mon string déjà trop mouillé pour le garder sur moi… »

 

Elle le porta à ses narines et nous remercia du cadeau. Nous partîmes lorsque lapinot revint. Il avait changé de pantalon.

 

On entendit la femme lui dire :

« Alors lapinot, tu es sûr que tu me ferais jouir plein de fois avant que tu prennes ton pied ? A ce que j’ai vu, je crois que ce serait l’inverse, non ? »

 

Rouge de honte, il baissa la tête et alla ranger un rayon.

« Tu crois que nous n’avons pas été un peu fort ?

-   Non ! Cela m’a amusé et aussi cela m’a excité. J’ai l’abricot tout humide.

-   Alors, viens, fit Emma, c’est le moment d’aller essayé des chaussures.

-   Pourquoi ?

-   J’ai envie de t’exciter toute la journée et profiter de toi ce soir comme jamais !

-   Qui te dit que je tiendrai toute la journée ?

-   On verra ! »

 

On entra dans un magasin de chaussures. Un vendeur d’une cinquantaine d’années arriva.

« Bonjour mesdemoiselles.

-   Bonjour.

-   Que puis-je pour vous ?

-   Je voudrais fit Emma des souliers très ouverts avec un haut talon.

-   Quelle couleur ?

-   Je ne sais pas encore.

-   Asseyez-vous là, j’arrive. Du 38 ?

-   Oui, quel œil !

-   Le métier, mademoiselle. Et pour l’autre jolie fille ?

-   La même chose !

-   39 ?

-   Oui ! »

 

Il partit à l’arrière boutique.

« Pas mal conservé !

-   Arrête de ne penser qu’à ça ! fis-je.

-   Et alors ? Je ne fais rien de mal !

-   Qui sait ?

-   Quoi : qui sait ?

-   Peut-être que tu fais du mal à la personne qui est près de toi !

-   Toi… Tu…

-   Voilà, mesdemoiselles, fit le vendeur en nous interrompant.»

 

Les différents modèles étaient superbes. L’homme prit un petit tabouret et s’assit juste en face de nous. Il prit délicatement le pied droit d’Emma, défit sa chaussure et lui mit le premier modèle. En relevant la tête, il s’arrêta un bref instant en voyant l’absence de sous-vêtement mais il ne fit rien transparaître.

« Superbe, fit Emma en se levant.

- Je vais vous mettre la seconde, vous serez mieux. »

 

Elle se rassit et l’homme au lieu de prendre le pied d’Emma prit la jambe à la hauteur du mollet. Il refit les mêmes gestes et elle put ainsi marcher un peu dans le magasin.

« A vous », me dit-il.

 

Il prit mon pied et je sentis alors la douceur de ses mains sur mon pied.

« Je vais directement mettre les deux chaussures. »

 

Il effleura le genou droit et je sentis sa respiration finir sur mon abricot. C’était agréable. Je me levai et marchai un peu. Ce n’était pas évident avec de si hauts talons !

 

Emma s’approcha de moi et au moment où elle allait me parler, elle se tordit la cheville, tomba sur moi et m’entraîna dans sa chute. Elle retomba sur ma cheville gauche. L’homme se leva prestement et vint nous relever.

 

Emma avait un peu mal à la cheville tandis que moi je souffrais un peu plus. L’homme nous fit asseoir sur deux autres sièges et partit en disant :

« Je ferme le magasin et je reviens avec une pommade contre les foulures. J’en ai pour cinq minutes.

- Ok, fis-je en me frottant la cheville douloureuse.

 

L’homme partit.

« La prochaine fois, évite de tomber sur moi, si tu as envie de tomber dans mes bras préviens-moi, j’ai d’autres solutions plus plaisantes.

-   Lesquelles ?

-   T’avoir nue dans un lit, par exemple.

-   Pourquoi tu as dit que cela te faisait du mal que je sois attiré par cet homme, tu ne serais pas un peu jalouse ?

-   Je ne sais pas répondis-je. Peut-être !

-   Alors nous sommes deux !

-   Ah oui ?

-   Lorsque tu as donné ton string à la vendeuse, j’aurais voulu que ce soit à moi que tu le donnes !

-   Pardon.

-   Ce n’est rien, on est à égalité. Tu es quelqu’un de très spéciale pour moi.

-   Toi aussi, répondis-je mais…

-   Chut ! Je sais ce que tu vas dire. Moi aussi, je ne sais pas si je suis amoureuse de toi.

-   On verra. »

 

Nos lèvres se soudèrent lentement et dans un baiser passionné, nous nous donnâmes entièrement l’une à l’autre. Pour la première fois de ma vie, j’éprouvais des sentiments sincères pour une si belle personne.

 

L’homme entra dans le magasin et referma la porte derrière lui. On ne l’entendit pas et c’est en toussotant qu’il nous fit comprendre qu’il était là.

« Excusez-moi de briser un si joli tableau mais il faut faire vite si vous ne voulez plus avoir mal. »

 

Il reprit son tabouret et commença à me masser. Il faisait cela divinement, chaque geste était précis et si sensuel que je fermai les yeux en espérant qu’il continue plus haut. Mais il s’arrêta et s’occupa d’Emma.

 

Je la regardais et je ne la vis plus comme une amante mais peut-être comme une amoureuse. Elle aussi profitait du massage du vendeur.

« Je vais masser les deux chevilles en même temps. »

 

Il prit à chacune notre pied et les posa sur ses genoux. Puis une main sur chaque cheville, il nous massa.

 

La douleur disparaissait lentement. Je refermai les yeux, prit la main d’Emma dans la mienne et me laissai aller.

 

Subitement, la main du vendeur quitta la cheville et remonta sur le mollet.

« Il faut aussi masser le mollet car il a du être aussi froissé par la chute », dit-il.

 

Mais je ne dis rien et me laissai faire. La main remonta sur le genou. J’ouvris les yeux et je le vis plus proche de nous que tout à l’heure. Emma ouvrait ses jambes et je fis de même. L’invite était claire et le vendeur arrivait déjà sur l’intérieur de la cuisse.

 

Je tournai la tête vers Emma et ensemble, les yeux dans les yeux, nous avançâmes sur la chaise et sans aucune pudeur notre abricot tout lisse.

 

Le vendeur se pencha et lapa lentement la liqueur qui s’échappait de la fontaine d’Emma. Moi, il me caressait la vulve lentement. Puis, il changea et vint me goûter tandis qu’il entreprenait de visiter la grotte de ma chérie.

 

Emma se pencha vers moi et attira ma tête. Nous nous embrassâmes.

 

Le vendeur prit notre pied endolori et les posa sur son sexe que nous sentions dur. Il ouvrit sa braguette et le sortis. Il était fin et long. Emma et moi nous entreprîmes de le branler lentement avec nos pieds.

 

A peine avions-nous commencé qu’il, investit nos grottes respectives avec deux doigts. Il les fit coulisser en même temps ce qui nous donna la cadence pour bouger notre pied sur son chibre devenu un peu plus grand encore.

 

Je sentis que je mouillai copieusement, une vraie fontaine. Emma commença à gémir et je la suivis rapidement. Ce furent trois doigts qui nous fouillèrent et un quatrième vint en renfort.

 

Je criai mon plaisir.

« N’ayez pas peur, on n’entend rien lorsque les portes sont fermées. »

 

Emme ne se retint plus et criait tant et plus.

 

La respiration du vendeur s’accélérait annonçant le plaisir. Puis, il s’arrêta de nous branler. Je le regardai frustrée. Il ne pouvait pas nous laisser comme cela. Il sourit et ajoutant son pouce, chaque main entra en nous lentement.

 

Jamais, je n’avais ressenti cela. Une main entière en moi. Emma devint démente en jouissant, moi, l’orgasme ravageur m’emporta et dans un dernier mouvement, le vendeur jouit. Sa liqueur atterrit sur nos jambes et je sentis le liquide chaud couler lentement.

 

Au bout d’un long moment, il retira ses mains. Il lécha ses doigts un à un. Puis, il prit notre jambe et lapa sa semence. Nos jambes furent rapidement nettes.

« J’espère que mon massage vous a plu ?

-   Oui, fit Emma encore sous l’emprise de frissons.

-   Pour votre peine, je vous offre les chaussures. Cela me ferait plaisir que vous les acceptiez. Cela fait, hélas, trop longtemps que je n’avais plus… enfin, vous comprenez. »

 

On se releva. La cheville n’était plus du tout douloureuse. On prit chacune nos chaussures et en partant, après l’avoir remercié pour tout, nous lui fîmes la bise sur chaque joue. Nous lui promîmes de revenir.

« Cela m’a donné soif, dis-je à Emma. Viens, je t’invite à prendre un pot ! »

 

A suivre !

Par Un Mari Heureux - Publié dans : Les histoires à épisodes... - Communauté : Récits Erotiques X
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