Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Bises libertines,
Sophie
Annabelle, jeune étudiante sage et réservée se sent toute énervée ce soir. Le soleil se couche, les ombres des arbres dessinent des formes lugubres sur les murs des maisons. Ce soir, les rues vont se remplir de petits êtres grimés en monstres menaçant de jouer de mauvais tours aux habitants du quartier.
Ce soir, c’est Halloween, Annabelle a chaud et ne tient pas en place. Toute la journée pendant les cours, il lui était impossible de se concentrer. Des idées coquines allaient et venaient dans sa tête. L’idée de ces soirées halloween dans tout le campus avec tous ces beaux jeunes hommes faisant la fête, où l’alcool coule à flot et où les esprits s’embrasent, ne la lâche pas.
Annabelle est une jolie brune toute menue, ses jupes ne sont jamais plus courtes que le bas de ses genoux, jamais de maquillage ni le moindre artifice esthétique. Le genre de jeune fille sur lequel on ne se retourne jamais, cachée derrière ses grandes lunettes et quelques mèches de cheveux rebelles. Sa tignasse noire et lourde forme un casque posée sur une petite tête perchée sur un long cou très fin. Mais ce soir Annabelle a envie de changer son image, et de laisser exploser le feu qui la consume de l’intérieur.
Elle rentre dans son appartement sans même remarquer la présence de sa colocataire de chambrée. Elle entre dans la salle de bain et se change, ou plutôt de transforme. Du volume dans ses cheveux, du noir sur le contour de ses yeux et un rouge à lèvre rouge sang pour laisser sa trace sur toutes les bites qu’elle gobera ce soir. Elle enfile une courte tunique mettant en valeur sa petite poitrine et masquant à peine sa chatte brulante. Pour la première fois de sa vie, elle sort sans mettre de culotte et cela se verra, ou plutôt se sentira.
Cette nuit sera la nuit d’Endora la sulfureuse, lâchée sur le campus pour déclencher sa fureur sexuelle sur tous les mâles qui l’ont snobée jusque-là.
Elle arrive au pied de l’immeuble des garçons en dernière année d’études. La musique bat déjà son plein dans certaines chambres. Endora décide de s’attaquer tout d’abord à la loge du gardien. Pedro, petit et bedonnant au regard vicieux, va recevoir la visite d’une tornade qui va lui laisser un souvenir inoubliable de cette nuit d’halloween.
Elle tambourine la porte qui ne tarde pas à s’ouvrir, le petit homme décoiffé se présente dans l’encadrement de la porte, Endora le pousse violement, il trébuche et se retrouve les quatre fers en l’air, proférant des injures en portugais. Elle claque la porte derrière elle et se jette sur sa proie, lui déchire son vieux t-shirt et l’embrasse à pleine bouche pour l’empêcher de crier. Elle se redresse, le laisse respirer et tire sur son pantalon trop large, baisse son slip et sort un petit sexe tout mou.
Elle le prend dans sa bouche et se met à le sucer aussi fort que possible jusqu’à le sentir enfler dans sa bouche. Pedro, hébété, reste allongé sur le sol sans rien dire. La bouche chaude et moite de sa visiteuse lui procure un plaisir qu’il avait oublié depuis longtemps. La fellation prodiguée par Endora se montre efficace, Pedro jouit bruyamment se laissant retomber mollement les yeux dans le vide.
La bouche encore pleine du sperme salé du gardien alors que son sexe revient à son état flasque du début, Endora introduit son index dans l’anus de sa première victime en lui rappelant que c’est halloween. Cette agression subite lui provoque une seconde érection qu’Endora s’empresse de chevaucher, mais à peine assise, celle-ci ne dure pas.
La colère s’empare d’elle, elle gifle Pedro qui semble aimer ce traitement et l’érection revient. Elle sent gonfler en elle le fruit de nouveau mûr de sa monture. Elle le chevauche en proférant des injures et en frappant le torse et le visage du pauvre homme qui ne tarde pas à jouir de nouveau. Endora ne compte pas en rester là, elle s’agite encore sur le membre mou de Pedro qui n’en peux plus de recevoir des coups. Il se protège comme il peut de la pluie de gifles qui s’abat sur lui.
Une Harpie est assise sur lui, la peur envahit ses veines. Endora crie de plus en plus fort, affamée de sexe et de débauche. Elle attrape son sexe à pleine main et l’agite pour en tirer encore son jus. Pris de douleur, Pedro se replie sur lui-même, la lèvre en sang. Endora se relève et s’en va laissant un être meurtri gisant et hurlant sur le sol froid de son appartement.
Brulant encore d’envie, Endora gravit quatre à quatre les marches qui la mènent au premier étage. De la musique traverse la porte qu’elle ouvre délicatement. Un groupe de jeunes font la fête, quelques têtes se retournent vers elle et la déshabillent du regard. La musique s’arrête.
« Squirt or treat ! » dit Endora. De la jouissance ou un mauvais tour.
L’annonce est lancée. Trois jeunes étudiants se dirigent vers elle, sûrs d’eux et de leur virilité. Au milieu de la foule de curieux, Endora les balance sur le canapé et s’allonge sur le premier courageux. Pendant qu’elle lui mordille les tétons, un autre relève la courte jupe découvrant une jolie chatte rasée encore humide du gardien de l’immeuble. Elle sent un doigt la visiter pendant qu’une langue lui titille le clitoris. Elle glisse sa main dans le short de sa seconde victime du jour et commence à le masturber au rythme de coups de langue qui lui caressent le sexe.
Elle entame une nouvelle fellation sur un sexe cette fois nettement plus gros et plus ferme. Les trois athlètes, excités au possible, se disputent le peu de places disponibles autour du corps de la vampiresse qui grogne de plaisir. La foule s’empresse autour du canapé, théâtre du spectacle impromptu. Les esprits s’échauffent et d’autres commencent à se caresser.
Tout à coup, elle sent une verge passer le petit anneau de son anus, dans la douleur, elle mord le sexe étant dans sa bouche jusqu’au sang, mais ne lâche pas l’objet de désir. L’homme allongé sous elle hurle de douleur, mais tout le monde pense que c’est le plaisir qui le met dans cet état. Le jeune homme dans son anus lâche au même moment son jus, aussitôt suivi par celui qui lui léchait le minou en se masturbant.
Le sang sortant de sa bouche affole la foule alentour, Endora grogne comme une bête enragée sans lâcher son « diner ».
Sa seconde victime s’évanouit, elle libère enfin sa mâchoire pendant que tout le monde s’enfuit de l’appartement.
Endora rajuste sa jupe, sort de l’appartement et se dirige vers l’escalier et continue à monter vers les étages supérieurs.
Elle arrive à un nouvel appartement, se plante dans l’entrée grande ouverte, la bouche ensanglantée, l’anus encore dégoulinant. Elle est accueillie par des acclamations et des cris de joie.
« C’est le meilleur déguisement de la soirée !!!! »
Elle lance d’une voix rauque et caverneuse
« Squirt or treat ! »
Un géant aux bras puissants lui répond :
« Oui ma belle, viens, on va s’éclater… »
Le colosse s’approche d’elle, la soulève de terre en l’attrapant par la taille. Elle l’enlace de ses jambes tout en sortant son sexe de son short et s’empale dessus. La monstrueuse verge s’enfonce en elle avec difficulté malgré les sécrétions des précédents visiteurs. La sensation de plénitude accroit encore son désir. Serrant plus ses jambes, elle enfonce totalement le dard en elle. Il la pose sur une table et entame un va et vient puissant qui enfin lui procure du plaisir. L’homme lui dit :
« Ta chatte est si étroite que je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps.
- T’as pas intérêt ! » lui répond-elle.
Il la retourne pour la prendre en levrette pendant qu’un autre lui présente son sexe qu’elle s’empresse de prendre de sa main libre. Il la secoue à grand coups de reins. Chaque mouvement lui arrache un petit cri. Elle ferme les yeux et jouit intérieurement du moment présent. Sentant monter le plaisir, il accélère ses heurts, Endora lui dit :
« Non, non, pas maintenant ! »
Trop tard, le colosse se lâche en elle et inonde son vagin. La colère monte en elle au moment où il se retire. Elle se retourne, descend de la table et attrape la verge encore dégoulinante de sperme et la suce de toute ses forces. Il rigole en clamant haut et fort qu’il est un si bon coup qu’elle en réclame encore, mais cette assurance se transforme en inquiétude voyant qu’elle ne lâche pas prise.
L’orgasme se transforme en douleur. La bouche ensanglantée d’Endora ne cesse de monter et descendre le long du glaive encore à moitié dur de son gladiateur qui tombe sur ses genoux et hurle de peur comme un jeune premier. Elle le suce si fort qu’il en éjacule du sang. Devant ce spectacle « gore », la pièce se vide et tout le monde s’enfuit en hurlant dans les couloirs. La harpie insatisfaite se redresse, laissant une proie pleurante sur le sol et entreprend de visiter les étages suivants.
La nuit va être longue et douloureuse pour tous les
coquins qui croiseront sa route et oseront affronter sa furie sexuelle. Endora laissera-t-elle de nouveau sa place à la discrète Annabelle au lever du jour ? Trouvera-t-elle l’orgasme et le
plaisir recherché ? En tous cas, certains entendent encore résonner « Squirt or treat » dans les couloirs du bâtiment des garçons.
Tu as tout à fait raison, c'est mon homme l'auteur de ce beau récit... et je rassure certaines, je ne suis pas celle qui l'a inspiré.. je ne mords pas mes amants comme ça ! ;-)
Il sera ravi de tes compliments !
En effet, certains ont trouvé ca "gore".. mais bon ! lol
On dirait que tu me connais bien trop, mon cher Matou !
j'adore laisser les hommes totalement épuisés !
Cette histoire mérite d'avantage de commentaires...dommage
Via l'ecrit, on laisse parler parfois nos plus "vils" instincts... A très vite, cher cachotier...
C'est le principal, et le but à atteindre, alors, tout va bien !
Pouruqoi laisser passer une belle occasion... ;-)