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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Bises libertines,
Sophie

Au cours de mon adolescence, mon père haut fonctionnaire, a été en poste pendant plusieurs années dans un lointain pays où seule ma mère a pu le suivre. Pour ne pas perturber mes études scolaires, de seize à dix-huit ans, j’ai été confié à un oncle, frère de ma mère, et à son épouse pendant près de quatre ans. J’ai grandi au sein de cette famille et je ne voyais mes parents que pendant les brefs séjours qu’ils effectuaient à Paris où les fonctions de mon père le rappelaient de temps à autre. J’étais au milieu de trois cousines dont deux étaient un peu plus âgées que moi. Je m’entendais bien avec elles et nous étions très complices, toujours prêts à diverses farces.

 

Un weekend où nous étions seuls tous les quatre, Astrid, l’ainée de mes cousines, a par jeu décidé de me travestir en fille. Puisant dans la garde robe des unes et des autres, elle m’a habillé, maquillé et coiffé mes cheveux mi longs. Mes deux autres cousines, qui observaient ma transformation, ont conclu que si elles ne savaient pas, mon apparence pourrait tromper qui ne me connaissait pas. Pour me donner un semblant de poitrine, Astrid avait mis des chaussettes dans les bonnets du soutien gorge. Lorsque je me suis vu dans un miroir, j’ai été surpris et enchanté de ma transformation. Je suis resté ainsi toute la soirée.

 

Quelques semaines plus tard, j’ai demandé à Astrid de me travestir à nouveau. J’avais laissé sciemment pousser mes cheveux et mon aspect fille était encore plus saisissant. Mais ce jour là, nous ne sommes pas restés confinés dans la maison. Tous les quatre nous sommes allés diner dans un restaurant rapide puis au cinéma. Pour tout le monde nous étions quatre filles en goguette. Même la caissière du restaurant m’a gratifié d’un « Bonsoir Mademoiselle » quand j’ai présenté mon plateau. Je lui ai répondu d’une voix aussi aiguë que possible afin de ne pas me démasquer.

 

Chaque fois que nous en avions l’occasion, nous sortions ainsi tous les quatre et jamais personne n’a découvert notre supercherie. Plusieurs fois, je me suis fait draguer par des copains de mes cousines qui croyaient avoir à faire à une fille. J’étais flatté et Astrid flattée de sa réussite. Cette dernière, pour parfaire ma transformation m’avait même appris à marcher avec des chaussures à talons. Avec sa complicité, je suis allé dans un magasin de vêtements où j’ai fait l’emplette d’une tenue complète de jeune fille sage ( ! ), jupe plissée, chemisier, blaser, le tout complété par des bijoux fantaisie à bon marché et une paire de chaussures à ma pointure. Le même jour elle m’a montré comment me maquiller. Là encore, lorsque nous sommes allés tous les quatre à une fête d’anniversaire, personne n’a rien deviné.

 

Quand mes parents sont revenus de leur séjour à l’étranger, j’ai dissimulé dans une valise mon costume et mes affaires de fille. Ma mère n’était pas curieuse mais on ne sait jamais ce qui peut se produire. Plus tard, devenu majeur et devant m’éloigner à mon tour du domicile familial pour mes études, j’ai repris mes habitudes de travestissement. Lors d’un voyage en Espagne, un médecin dont on m’avait donné l’adresse m’a prescrit des médicaments à base d’hormones pour favoriser la croissance de mes seins et réduire progressivement ma pilosité heureusement pas trop importante. Après un an de ce traitement, je n’avais plus besoin de rembourrer les bonnets de mon soutien gorge et de me raser. Cette année a été difficile pour moi car les hormones à haute dose provoquaient des effets secondaires désagréables. C’était le prix à payer pour que je me sente bien dans la peau d’une fille. Dans ma tête, le changement de sexe était déjà fait.

 

Je n’avais jamais couché avec une fille car ma libido n’était pas très active et j’étais plutôt efféminé au point de rechercher le contact des garçons mais je n’avais jamais sauté le pas d’une relation sexuelle. Sur les conseils d’Astrid, j’avais préparé mon anus en utilisant des godes pour ouvrir le passage. Un weekend elle est venue me voir à Montpellier où je faisais mes études. Comme j’avais évoqué cette attirance pour les garçons, elle m’a entrainé dans un bar dont elle connaissait la réputation pour accueillir des pédérastes et lesbiennes sans distinction. Seul, je n’aurais jamais franchi la porte de ce bar. Mais j’ai compris quand Astrid s’est dirigée vers un couple de jeunes hommes à qui elle m’a présenté. Elle les connaissait. Nous avons passé la soirée ensemble et pour finir nous nous sommes retrouvés tous les quatre dans mon studio d’étudiant. En chemin Astrid m’avait expliqué que le temps était venu pour moi d’assumer ma féminité et que j’allais devoir avoir des rapports sexuels avec un homme. Nos deux compagnons de virée étaient bisexuels, je n’avais qu’à laisser se faire les choses car ils étaient prévenus de ma transformation. Serge m’a entrepris dès notre arrivée chez moi tandis que Lucas commençait à flirter avec Astrid.

 

Il m’a déshabillé avec beaucoup de tact, ôtant ma robe légère, mon soutien gorge et un string qui cachait une bite de taille réduite. Il m’embrassait et caressait mes seins menus. J’étais parcouru par des frissons tellement c’était bon. De leur côté Astrid et Lucas étaient nus et nous regardaient d’un air complice.

 

Rapidement Serge s’est déshabillé à son tour et m’a enlacé à nouveau en caressant mes fesses. Sa bite était dressée entre nous. Nous nous sommes allongés sur mon lit collés l’un à l’autre dans la position de la cuiller. Je sentais son sexe entre mes fesses mais il ne cherchait pas encore à me pénétrer. Astrid est venue nous rejoindre sur le lit. Elle a écarté mes fesses et injecté du gel lubrifiant dans mon sphincter pour faciliter le passage de la bite de Serge. Ce dernier a placé son gland sur mon œillet plissé, a poussé lentement et son sexe est entré en moi.

 

Dire que cette première sodomie ne m’a pas fait mal serait mentir, mais après quelques minutes, je me suis habitué à cette présence dans mon cul. Il a entrepris des va-et-vient lents et profonds, sortant fréquemment de ma gaine étroite pour mieux me pénétrer ensuite. Désormais, je me sentais devenir véritablement une fille. J’étais bien et soudain j’ai ressenti les jets de sperme dans le préservatif. C’était extra. Mon plaisir, encore incertain, a éclaté.

 

Depuis j’ai revu Serge et Lucas à plusieurs reprises. Ils m’ont BAISEE tous les deux. Au fur et à mesure mon plaisir est devenu de plus en plus fort. Lorsque je me sens en manque, il m’arrive de me sodomiser avec un gode qu’Astrid m’a acheté afin, m’a-t-elle dit, d’entretenir la souplesse des muscles de mon sphincter.

 

Je suis désormais une femme dans ma tête et dans mon corps. A Montpellier, je suis travestie en permanence et mon prénom Claude, facilite les contacts et ma vie quotidienne. Pour ceux qui me côtoient, je suis une jeune femme. J’hésite encore à faire le voyage du Maroc pour me faire opérer afin d’ôter mon pénis et mes testicules qui s’atrophient de plus en plus avec le traitement léger à base d’hormones que je prends. Je sais que cette opération sera irréversible et que toute ma vie je devrai prendre des hormones pour stabiliser ma féminité.

Par Gérard le Matou - Publié dans : Le Matou Libertin - Communauté : Récits Erotiques X
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