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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

En cette période de fêtes, il y a foule dans la grande surface. Cristal et Guillaume, un jeune couple de vingt cinq ans, attendent à la caisse. C’est à ce moment que Cristal croise le regard de l’agent de sécurité, un polonais d’une beauté à couper le souffle. Cristal se sent attirée physiquement par ce jeune homme slave. Le soir, elle se couche en pensant à lui, repoussant les avances de son mari. Elle imagine les mains du jeune polonais sur son corps, un doigt exciter son clitoris, écarter sa fente aux lèvres humides. Elle ne peut s’empêcher de sa mettre deux doigts dans la chatte, pour se faire plaisir. Elle étouffe même un cri de plaisir dans l’oreiller.


Le lendemain après-midi, elle décide de retourner au centre commercial, sans son mari. Elle se vêt d’une mini jupe blanche sur des collants noirs, d’un pull blanc, pas de soutien gorge. Elle enfile des escarpins de huit centimètres, et un manteau long. Une vraie bombe. Elle fait le tour du magasin, à la recherche du beau vigile.

 

Pendant ce temps, près des issues de secours, le jeune homme discute avec on collègue.
« C’est l’heure de ta pause Gustaw, va te reposer.
- Ok, répond-il, tu m’appelles s’il y a un problème. »

 

En entendant ces voix, Cristal se retourne et voit l’homme qui a hanté sa nuit se diriger vers l’ascenseur. Elle s’approche… huitième étage. Elle prend l’autre cabine, et débouche sur une immense salle, installée sous le toit. Au fond, une pièce faiblement éclairée. Elle regarde par le hublot… personne. Elle pousse la porte. Soudain, elle sent une présence, des mains qui la prenne par la taille.
« Vous cherchez quelque chose, dit une voix, vous vous êtes égarée ? Ok… j’ai compris, vous êtes venue vous faire mettre un coup de queue. Vous vous êtes dit : « et si je me tapais un beau mec ? » remarque-t-il, goguenard.
- Heu… non… bafouille-t-elle, mais pas du tout enfin… je suis mariée… excusez-moi… je me suis perdue…
-Ah bon, et vous vous promenez souvent sans soutien-gorge ? Je vois dans la glace le bout de vos seins tendre votre pull. Vous n’avez pas de culotte non plus ?
-Je vous en prie, rougit-elle, si, si, j’ai un tout petit string… vous ne voulez tout même pas que je le quitte ? »

 

Le jeune homme ne répond pas, et ravie de la bonne aubine, il ôte le manteau, passe ses mains sous le pull, caresse les seins fermes, aux bouts tendus. Cristal pousse un long soupir. Gustaw fait passer le pull par dessus la tête, quitte mini jupe, collants…et string. La jeune femme se retrouve entièrement nue.
« Ouah, mais vous êtes très belle, un joli petit cul… une chatte bien rasée… On peut jouer si vous voulez… »


Cristal a enfin ce qu’elle attend depuis al veille, et s’abandonne aux douces caresses. Après tout, elle est venue pour ça. En un tour de main, l’agent de sécurité ôte ses habits. Il prend les bras de Cristal, les passe derrière son dos, jusqu’à ce que ses mains soient en contact avec ses attributs.
« C’est quoi que tu tiens là, demande-t-il. Tu en as touché des comme ça, bien dures, bien décalottées ? Ou veux-tu que je te la mette, dans la bouche, dans la chatte, dans le cul ? Tu sais qu’on aime bien vous enculer.
- Bon sang ! dit-elle surprise, quelle paire de couilles et quelle énorme bite...Mets-la où tu veux… mais mets-la ! »


Gustaw la force à s’appuyer sur la table et la nique en levrette, sans ménagement. Cristal ne peut retenir un cri quand la bite la pénètre. Gustaw s’accroche aux seins de la jeune femme. Les coups de reins sont dévastateurs. Cristal jouit très rapidement, un orgasme puissant. Lentement, le couple tombe sur le lit, prévu pour les pauses. Cristal et Gustaw s’enlacent, font l’amour comme des bêtes. On dirati que le vigile veut tester toutes les positions du kamasutra ! La jeune femme a du mal à suivre la cadence infernale imposée par l’agent de sécurité. Elle jouit et jouit encore.

 

Sa chatte ressemble à une fontaine qui coule en permanence. Lui aussi se vide les couilles à un rythme régulier, un coup dans la chatte, un coup dans le petit trou, un coup dans la bouche. Tous ses orifices sont honorés sans exception, et le jeune femme n’a pas été aussi bien baisée depuis fort longtemps !


Cristal finit allongée sur le dos, épuisé. Gustaw est couché sur le côté une main entre les cuisses de la jeune femme. Celle-ci écarte les jambes, accepte la caresse. Un doigt court sur la fente, puis pénètre la chatte pleine de mouille. Le jeune polonais prend plaisir à voir Cristal se cambrer sur ses doigts. Le clitoris, décalotté, est rouge sang, les lèvres sont enflées à force d’être frottées une contre l’autre. Cristal est en larmes tellement elle prend du plaisir. Soudain, il lui vient une idée.
« Viens, je vais te faire visiter le local des décorations de noël. Tu peux venir nue, il n’y a personne. »


Cristal, en quête de découvertes, le suit. Tous les héros de Walt Disney sont là, dont Pinocchio, couché à même le sol, avec son nez dantesque. Gustaw la guide, la force à s’empaler sur la bite improviser.


« Ah… gémit Cristal Qu’est-ce-que tu me fais faire salaud ? Tu me fais niquer par le nez de Pinocchio… Quel pervers tu fais ! Viens me doigter le clito, gratter ma petite chatte… me caresser les seins… oui, oui… Je jouis… vois comme je coule…
- Tu vois pourquoi on aime s’amuser avec vous ? sourit Gustaw. On n’est jamais déçu… Vous êtes tellement gourmandes ! On fait ce qu’on veut avec vous, les françaises. Nos petites polonaises sont bien plus sages de que vous ! Salope…

Les français savent pas se servir d’une femme comme les slaves… Avoue que vous vous régalez avec nous…
- Tu le sais salaud… c’est pour ça qu’on aime bien faire l’amour avec vous… Vous savez gratter la chatte des françaises… la faire mouiller… Vous aimez bien nous remplir, vous savez qu’on aime ça ! Tout ça pour humilier nos époux… Et nous, comme des connes, on les fait cocu en se faisant niquer par vos grosses bites… En avalant votre jus en vous taillant des pipes… il est vrai que vos queues et vos couilles sont beaucoup plus grosses que le zob et les boules qui pendent entre les jambes de nos maris…Vous aimez bien les enculer eux aussi, ils finissent par prendre du plaisir… à prendre gout à se faire trouer le cul… »

 

Cristal se gargarise de mots, elle en est encore plus excité, si c’est possible..


« Ben, ce n’est pas plus mal, répond Gustaw, si tout le monde y trouve son compte. On aime bien enculer vos mecs, les prendre par les couilles, caresser leur gland décalotté… Certains nous supplient de leur taper une branlette, ou de nous tailler une pipe… ils avalent ces cocus. Nos femmes maintenant, chassent les petites françaises pour les gouiner. Et ça commence à marcher. Hier, ma jeune sœur s’est amusée avec la mère de sa copine. Elle l’a faite jouir tout l’après-midi. Tu l’aurais entendue hurler de plaisir.
- Salaud, soupire Cristal, tu m’excites là. Tu me demandes de me faire maquer par ta sœur, c’est ça ? Je me suis jamais faite gouiner encore, mais pourquoi pas. En attendant, j’aimerai bien me le faire mettre… un petit coup pour la route. »

Cristal enjambe Gustaw, et s’empale sur son calibre toujours en érection, en poussant un cri de plaisir. Gustaw lui prend les seins, titille les bouts. Elle glisse une main entre les cuisses de l’agent de sécurité, lui gratte les couilles. Quand elle sent qu’il va jouir, elle se retire et le prend en bouche.

 

Les jets de sperme giclent au fond de sa gorge. Commence alors un doux nettoyage du gland. Cristal a passé un après midi inoubliable, à se faire niquer, sodomiser, sucer, à jouir. Gustaw l’a rendu folle.
« Quel amant merveilleux tu es… tu m’as rendu heureuse cet après midi… Tu sais, je n’ai pas fini mes achats… »

Il est dix huit heures quand Cristal finit de s’habiller. Elle sait, avec regret, qu’elle doit renter chez elle. Elle prend Gustaw par le cou, lui donne un sulfureux baiser, et lui promet de revenir… demain. Qui sait, sa sœur sera peut-être là…

 

 

Par L'Amoureux et Sophie - Publié dans : Les belles histoires de L'Amoureux - Communauté : Les récits érotiques
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