Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
Les fêtes de fin d’année sont passées et nous nous sommes gâtés. J’ai offert à mon mari Guillaume la combinaison de plongée dont il rêvait depuis l’été. Quant à moi, j’ai reçu deux splendides ensembles de lingerie fine que nous apprécions l’un et l’autre.
Souvent Guillaume lorsqu’il me déshabille le soir avant de nous coucher me dit combien je suis excitante dans ces belles tenues qui mettent ma jolie silhouette en valeur.
Cet après-midi, j’ai des heures de libres à mon boulot aussi, je quitte le bureau et je me rends à la grande surface où le vendredi d’avant Noël je me suis copieusement fait sauter par un vigile, un polonais beau comme un dieu, endurant et doté d’une bite et d’une paire de couilles phénoménales.
Pour me donner une contenance, je fais quelques achats, puis je vais rôder vers la porte de service qui mène dans les réserves. C’est là que Gustaw m’a entrainée, me conduisant dans un immense hall situé sous les toits où sont aménagés les locaux de repos des vigiles.
Soudain la porte roulante s’ouvre et je le vois apparaître comme par enchantement :
« Je t’ai vue déambuler dans le magasin en te suivant sur les caméras de surveillance et je me doutais que tu viendrais rôder jusque là ! Tu vas bien ?
- J’avais peur que tu ne sois pas là !
- Ah bon ? Pourquoi ? Tu as encore envie de te faire sauter ?
- Oui ! J’ai repensé à ce que tu m’as dit à propos de ta sœur !
- Viens, montons au huitième étage, et je vais voir si elle peut venir ! Elle est vendeuse au rayon lingerie ! »
Dès que nous sommes dans l’ascenseur, Gustaw m’enlace et me plaque contre lui : ce salaud bande déjà ! Je sens sa bite se loger contre mon pubis au travers de nos vêtements. Il me fait un clin d’œil, et se penche vers moi. Avant que j’aie pu articuler un mot, il écrase ses lèvres sur les miennes et enfonce sa langue dans ma bouche.
J’accueille avec plaisir ce baiser envahissant. Çà a le don de m’exciter immédiatement. Je sens ma chatte devenir humide, les pointes de mes seins durcissent instantanément dans mon léger soutif. Je le repousse en disant :
« Ouf, laisse-moi respirer... »
En me tenant par la taille, la main droite glissée sous mon manteau ouvert, il me guide vers la salle de repos où se trouvent déjà deux autres vigiles. Sur le coup, je suis un peu inquiète : Un partenaire, je veux bien mais s’ils s’y mettent à trois… je ne suis pas partante. Lorsqu’ils se lèvent après avoir regardé leur montre, ils s’esquivent en souhaitant bonne chance à Gustaw ! Ouf, nous ne serons que trois avec sa sœur qui, me dit-il, ne doit pas tarder à arriver après son coup de fil sur le réseau interne :
« Galina sera là dans cinq minutes ! Mets-toi à l’aise ! »
Dès je j’ai quitté mon manteau, Gustaw fait passer par-dessus ma tête le sweatshirt fin qui ne tarde pas à se retrouver avec le manteau posé sur le dos d’un chaise, puis il fait descendre le long de mes jambes le short que je porte par-dessus un collant fantaisie que j’ai acheté récemment, et que je porte pour la première fois. En fait, c’est un collant opaque, un peu épais en cette saison hivernale, qui imite des bas reliés à un serre taille par des bandes de stretch étroites et qui laisse mon sexe complètement accessible. C’est très coquin ! J’étais prête à toutes les folies depuis que j’avais goûté à la queue de Gustaw.
L’attaque est directe : mon amant empaume mon pubis de sa main droite et glisse dans le même mouvement deux doigts dans mon vagin déjà complètement détrempé ! De l’autre main, il fait sauter l’agrafe de mon soutif et je me retrouve presque entièrement nue dans ses bras. Perchée sur des bottines à hauts talons, je suis presque aussi grande que lui et je me frotte contre son bas ventre pour l’exciter à fond…
Nous sommes dans cette posture quand une femme d’une bonne trentaine d’années entre dans la pièce en disant :
« Vous êtes déjà en train mes salauds ! Vous ne m’avez pas attendue !
- Non, elle est vraiment trop chaude et je pense qu’elle va te plaire. »
Galina est une belle femme blonde, presque aussi grande que son frère. Les cheveux coupés en carré tombant sur les épaules, elle a un visage rieur avec de grands yeux gris bleu, un nez étroit domine une bouche aux lèvres pulpeuses qui plairait bien à mon mari qui a un faible dit-il, pour les femmes qui comme moi aussi, ont une bouche à tailler des pipes !
Sa poitrine quelque peu opulente est moulée dans un sweatshirt noir comme la jupe qui descend à la pliure de la jambe couvre au plus près des hanches bien galbées avec des fesses cambrées comme une noire ! Si son frère est canon, elle n’est pas en reste : c’est vraiment une belle femme !
Elle entre aussitôt dans le vif du sujet, elle vient se placer derrière moi et pendant qu’elle fait rouler mes tétons d’une main pour les faire saillir, elle descend son autre main entre son frère et moi pour aller chercher sa bite dans le pantalon. Gustaw a la queue tellement bandée qu’elle a des difficultés à l’extraire… pour la frotter sur mon pubis, la faisant aller et venir dans ma fente, agaçant le clitoris qui est sorti de son capuchon. Je commence à ruisseler tant ces deux coquins savent me chauffer.
Galina me force à me baisser pour aller emboucher le sexe de son frère pendant qu’elle se déshabille, ne gardant que son soutien gorge (effectivement bien rempli) et ses bas auto-fixant. Lorsqu’elle est nue, elle me relève et me couche en travers de la table qui est recouverte d’un plaid de couleur. Elle écarte mes cuisses et plonge aussitôt vers ma chatte qu’elle lèche à grand coups de langue pour goûter ma cyprine qui coule de plus en plus...
Pendant ce temps, Gustaw fait le tour de la table et vient présenter sa bite à ma bouche que j’ouvre en grand pour l’accueillir au plus profond de ma gorge. Mon excitation est à son comble et je ne pense à rien d’autre qu’à mon plaisir, ou si, je pense à Guillaume qui ne se doute pas que sa femme le trompe outrageusement alors qu’il me croit sage et fidèle ! Mais çà ne fait rien ! J’ai toujours aimé le sexe depuis le jour où l’été de mes quinze ans j’ai perdu mon pucelage dans les dunes du bord de mer avec un gars d’une vingtaine d’années !
Je ne peux qu’exprimer mon contentement par des sons étouffés par la queue de Gustaw que je lèche ou suce alternativement pour l’enduire de salive. De toute façon, je n’ai pas besoin de l’humidifier sauf pour y mettre le préservatif, je suis tellement inondée qu’il aura facile à me baiser à fond ! Mais Galina me lèche si bien que je pars une première fois, jouissant comme une démente, gigotant dans tous les sens, allant au devant de sa bouche et de la queue de Gustaw qui arrive presque à coller son pubis contre mes lèvres… avant de me déverser quelques belles giclées de son jus au fond de ma gorge ! Je ne peux rien faire d’autre que de déglutir ce sperme chaud.
Mais ces deux coquins n’en ont pas encore assez ! Gustaw, bien qu’il ait abondamment giclé au fond de ma gorge n’a pas débandé. Il contourne la table et après s’être couvert, il place mes jambes à la verticale contre son torse et d’un seul trait envahit ma chatte de son sexe long et généreux. Ses couilles rondes viennent frapper contre mon périnée et mon orifice arrière, ce qui a le don de m’exciter encore plus. Galina monte sur la table où elle s’agenouille, les cuisses de part et d’autre de mon visage en me disant :
« A toi ma belle ! Fais-moi plaisir ! »
J’ai sous les yeux la fourche intime de Galina ! Oh, une belle chatte aux lèvres bien dessinées, très charnues ornées chacun d’un petit cavalier doré et totalement imberbe ce qui à mon avis augmente encore l’indécence de l’endroit. Un mince filet de cyprine s’échappe de l’orifice du vagin. Je relève ma tête et je commence à lécher cette chatte qui s’offre à moi !
Ce n’est pas la première fois que je vais me livrer à cette caresse ! J’ai eu quelques relations saphiques quand j’étais plus jeune mais cela m’avait quelque peu laissée sur ma fin ! Pour moi, faire l’amour, c’est sentir une belle queue me fouiller la chatte et de temps en temps, mon orifice interdit ! C’est aussi satisfaire mon partenaire avec une bonne fellation ! Au lycée, j’avais d’ailleurs acquis une réputation de pipeuse de premier ordre, et je ne me privais pas du plaisir de faire dégorger les couilles de mes copains de classe quand je ne couchais pas avec l’un ou l’autre.
De mes mains j’englobe les fesses de Galina pour le caresser et glisser dans sa fente où j’aperçois son œillet palpiter doucement, comme une sorte d’appel… La position n’est pas très facile à tenir mais Galina glousse de plus en plus et Gustaw continue de me baiser à grands traits, sortant presque à chaque fois de ma chatte, comme pour mieux marquer sa domination. Je ruissèle de plus en plus, je sens ma cyprine couler dans ma fente et l’humidifier.
La jouissance monte en moi comme chez mes partenaires. Je suis si bien baisée que je ne tarde pas à jouir une seconde fois au moment où je sens les giclées de Gustaw frapper le fond de préservatif logé au plus profond de ma chatte… Peu de temps après Galina jouit à son tour, clamant son plaisir dans sa langue natale… avant de s’affaler sur moi pour retrouver son calme.
Nous avons effectivement besoin de souffler un peu ! Il ne s’est pas écoulé plus d’une quinzaine de minutes depuis que Galina nous a rejoint et j’ai déjà pris mon pied à deux reprises… et mes deux compères ne semblent pas vouloir renoncer eux aussi car j’entends soudain Gustaw interroger sa sœur :
« As-tu avec toi ce que je t’ai offert à Nouvel an ?
- Oui, bien sur, je ne m’en sépare jamais ! »
Je suis quelque peu intriguée mais je ne m’inquiète pas outre mesure d’autan que Gustaw qui a perdu un peu de sa superbe se présente face à ma bouche pour une fellation de remise en forme. Je ne me fais pas prier et c’est avec délectation que je suce son beau sexe tout imprégné de ses sécrétions dont l’odeur mêlée à celle de la chatte de Galina me rend complètement folle de désir. Il me semble que toute la pièce est imprégnée de cette odeur de stupre.
Quand Gustaw est bien bandé, il va s’installer sur le dos sur un des lits de repos, la queue dressée comme un mat vers le plafond :
« Viens ma belle ! Viens t’empaler sur ma bite ! Elle va encore te faire grimper ! Quand je t’ai dit l’autre jour que vous les françaises vous étiez des gourmandes de sexe, je ne me trompais pas ! »
Bien sur, j’avais encore envie de me faire fourrer la chatte ! Ce coquin de Gustaw avait libéré ma libido qui, je dois bien l’avouer, était quelque peu tombée dans la routine avec Guillaume qui semble parfois manquer d’imagination lorsque nous baisons alors que moi, j’ai envie de faire des fantaisies, changer de position, baiser sous la douche.
Dès que je suis installée sur ce pieu de chair, Gustaw me fait faire des mouvements de bas en haut en me tenant par les hanches. Oulla ! Que je suis bien remplie ! La position favorise une pénétration en profondeur et je sens le gland de Gustaw me frapper au plus profond lorsque mon pubis s’écrase sur le sien ! Que c’est bon ! Après quelques temps, il me fait m’allonger sur son buste, mes seins pressés contre les siens et passe ses bras sur mes reins. Il fait des mouvements alternatifs dans ma chatte en jouant de l’inclinaison de son bassin quand je sens le souffle de Galina dans ma raie culière.
Je ne vois rien de ce qu’elle fait ou veut me faire car il n’y a pas de miroirs où je pourrais capter son image mais cette douce caresse me fait un bien fou et je sens mon œillet palpiter jusqu’au moment où le souffle est remplacé par la langue de Galina dont la pointe ouvre les plis de mon cul. Çà faisait bien longtemps que je n’avais pas eu cette caresse et je l’appréciais avec délectation.
J’ai compris le sens de l’échange de Galina et Gustaw au sujet du cadeau lorsque j’ai senti que cette coquine introduisait dans mon sphincter un gode que j’ai estimé d’une assez belle taille ! Waouh ! J’allais être prise en double pénétration ! Cela me tentait depuis pas mal de temps déjà car je l’avais expérimentée avec un gode à deux têtes. Mais là, j’aurais une vraie queue en moi !
Quel plaisir de sentir la bonne et belle queue de Gustaw me ramoner la chatte et le gode vibrant manipulé dans mon cul par Galina dont je continue à sentir le souffle chaude parcourir ma raie et une main caresser les bourses de son frère ! Oh les coquins ! Auraient-ils l’habitude de jouer ensemble ? Ou est-ce pour stimuler son frère qui cette fois encore est en train de faire monter en moi une jouissance qui, je le sens, je le sais, va complètement me déchirer les entrailles.
Et ça ne tarde pas ! Prise devant et derrière, la bouche envahie par la langue de Gustaw qui ne cesse de me prodiguer des baisers profonds, la boule de plaisir qui habitait mon bas ventre éclate brusquement et la jouissance que j’attendais remonte le long de mon dos jusqu’à mes épaules. Je m’agite comme une démente sur la queue de mon amant qui jouit à son tour. Pour la troisième fois je sens les jets de sperme frapper le fond de mon vagin au travers de la capote.
Cette fois, il nous faut un peu plus de temps pour récupérer après cette joute à trois. Nous bavardons comme de vieux amis pendant quelques temps mais Gustaw doit reprendre son service. Nous nous rhabillons et Galina me raccompagne jusqu’au rez de chaussée. Avant de nous quitter elle me dit :
« Si tu veux réellement te faire prendre en double, arrange-toi pour être libre lundi prochain. Tu viendras chez moi et mon homme et Gustaw te baiseront comme tu le souhaites ! »
Je ne réponds rien car je suis tiraillée entre mon mari (que je trompe pour la première fois depuis deux ans) et mon envie de ces amants inventifs et doués qui savent si bien me faire jouir…
Mon cher ami l'Amoureux n'aime pas d tout écrire de suite... il préfère les "one shot".... mais il donne l'autorisation à qui veut d'ecrire les suites de ses récits !
J'en suis ravie !
J'espère que, depuis, elle t'a plue !
Je l'ai constaté moi aussi... elle etait super !
Merci à Sophie, coauteure oh combien précieuse du premier récit.
Mais sans toi, je n'aurais rien fait !