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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

CHAPITRE VI

 

 

Sophie prit la main de Mira, et elles pénètrent ensemble dans cette nouvelle pièce. Elles venaient de vivre les assauts orgiaques de nombreux hommes et femmes, mais l’appétit sexuel débordant de Sophie lui avait permis de reprendre de la superbe.

 

Totalement nue, elle était vraiment très belle, et c’est les seins fièrement dardés en avant qu’elle avança vers cette nouvelle aventure.

 

La pièce était sombre, faiblement éclairée par la faible lueur de chandeliers accrochés aux murs. Les murs étaient couverts de tentures rouges sombre, et le sol comme le plafond étaient noirs. Il fallut quelques instants à Sophie et Mira pour que leurs yeux s’habituent à cette pénombre, et qu’elles parviennent à distinguer les éléments de décor.

 

Au fond de la pièce, trônait fièrement une croix de Saint André. Accrochés sur le mur adjacent, elles découvrirent une panoplie impressionnante de cravaches, de martinets et autres fouets, des noirs, des rouges, des petits et des grands. Des cordes et des menottes étaient posées sur un coffre non loin de là, au milieu de toute sorte d’instruments dont elles n’avaient jamais soupçonné l’existence.

 

En levant la tête, elles aperçurent une poulie de laquelle pendaient des chaines.

De l’autre coté de la pièce, elles aperçurent une espèce de prie-Dieu. Le dossier était particulier, car percé des trois trous, celui du milieu assez large pour passer la tête.

Enfin, non loin de ce meuble sans équivoque, on pouvait voir une sorte de croix installée horizontalement. Sophie et Mira se regardèrent, se demandant à quoi pouvait elle servir.

 

En tout état de cause, l’atmosphère de cette pièce était lourde, et particulièrement glaciale, malgré les couleurs chaudes et un thermomètre élevé. Elles étaient seules dans cet endroit, et elles n’osaient articuler un seul son pour ne pas troubler le silence pesant, et le stress commençait à s’insinuer en elle, Olivier n’ayant pas non plus prononcé un seul mot pour les rassurer.

 

Soudain, de derrière un rideau épais surgirent deux magnifiques femmes, l’air sévère. On aurait pu croire qu’elles étaient jumelles tant elles se ressemblent, dans l’allure et dans le manière se s’habiller tout en noir Une guêpière en cuir leur marquait la taille et faisait ressortir une poitrine généreuse, des cuissardes les grandissaient et les jambes étaient finement gainées de bas accrochées à la guêpière. Leurs fesses nues, d’une blancheur laiteuse, contrastaient avec le cuir noir qui les habillait.

 

Ignorant Sophie et Mira, elles s’adressèrent à Olivier d’une voix ferme :

« Alors, voilà donc ces deux femelles qui prétendent au titre de Scandaleuses ! Les as-tu préparées à ce qui les attend ? Oseras-tu les laisser entre nos griffes ?

- Faites ce que vous avez à faire, répondit Olivier en regardant les deux femmes. 

 

Sophie et Mira n’en menaient pas large quand les deux superbes créatures s’approchèrent d’elles, les dominant de leur taille et de leur prestance. Elles avaient instinctivement mis leur main sur leur pubis pour masquer tant que faire se peut leur nudité.

« Ainsi, voici nos deux donzelles avides de sexes. Vous croyez tout connaitre, après cette journée orgiaque ? Ici, vous allez découvrir de nouveaux plaisirs. Vous allez goûter au bonheur de jouir dans la douleur, vous allez connaitre la pression de l’orgasme contenu et la baise à la chaine. Alors, si vous réussissez ces épreuves, vous connaitrez toutes les facettes du sexe, ou presque, et vous pourrez vous enorgueillir du titre de Scandaleuse ! »

 

Ces mots ont à peine été prononcé que deux mâles, surgis de nulle part, attrapèrent Sophie et Mira. Un collier vint orner leur cou, des bracelets en cuirs leurs poignets et leurs chevilles.

 

Mira fut conduite vers le prie-Dieu, emprisonnée dans le carcan. Immobilisée, son cul était fièrement dressé et à disposition. Pendant ce temps, Sophie fut accrochée au palan du centre de la pièce. Ses bras étaient tendus et elle devait se tenir sur la pointe des pieds, lesquels étaient maintenus écartés par une barre accrochée à ses chevilles. Ses yeux furent occultés par un bandeau, elle était maintenant aveugle.

Sans ménagement, elle sent qu’on lui introduit un objet dans l’anus. Il est certes lubrifié par les assauts des heures précédentes, mais la douleur est vive. Elle n’ose protester.

 

 

Sophie reprend la parole.

 

Ces deux femmes sont vraiment superbes, et j’aurai bien aimé leur donner du plaisir dans mon lit. Mais ce n’est pas ce qu’elles ont prévu pour moi et Mira.

 

Avant même que je comprenne de qui m’arrive, me voici écartelée, les bras tendus, et je suis sur la pointe des pieds. Exhibée, sans aucun possibilité de bouger, avec cette boule dans le cul, sans aucune visibilité des gens qui m’entourent, je commence à sombrer dans un monde à part.

 

Je sens la chaleur d’une personne qui tourne autours de moi, le souffle chaud d’une femme, et je commence déjà à mouiller. Des mains parcourent mon corps, des caresses sur mes seins tendus, une pression plus vive sur mes tétons, une claque sur mon clitoris, un doigt dans ma chatte, le plaisir qui monte.

 

Mais sans crier gare, la caresse de lanières de cuir sur mon dos me fait frissonner. Il doit s’agir d’un martinet, qui descend vers mes fesses, c’est doux, c’est prenant. Mon corps tente d’aller à la rencontre de cette caresse d’un nouveau genre quand elle se transforme en brulure.

 

Quelques coups appuyés, et les caresses reprennent. Je suis dans une bulle intense, envahie de chaleur et de brulure. Ma chatte commence à dégouliner, je suis déjà au bord de la jouissance. C’est maintenant mes tétons qui sont torturés, des pinces viennent d’y être accrochés, et passé la douleur, un nouveau plaisir se fait jour.

 

Brusquement, une nouvelle brulure surgit, sur mon dos tout d’abord. Ca brûle, ca coule, cela descend sur mes fesses. La douleur est aigüe, mais fait immédiatement place à une chaleur jouissive. Après mon dos et mes fesses, ce sont mes seins déjà sensibles qui sont pris d’assaut, avec cette même sensation.

Je ne sais plus où donner de la tête tant le passage de la douleur au plaisir sont intenses. Je suis sur une autre planète.

 

D’autant que j’entends les râles de plaisir, qui proviennent sans aucun doute de Mira. Subit-elle la même chose que moi, ou est-elle en train de prendre se faire baiser par les deux males ?

 

Je vibre par tous les pores de ma peau, et c’est maintenant au tour de mon sexe de vibrer.

Quelque chose de vibrant vient caresser brusquement caresser ma chatte. Je ne peux contenir un cri de bonheur, je suis sur le point de jouir, quand tout s’arrête, me laissant frustrée de cet orgasme à venir. Je souffle quelques secondes, et les caresses reprennent, accompagnées de violentes claques sur mes fesses encore sensibles.

 

A nouveau l’orgasme monte en moi, et à nouveau tout s’arrête. Pendant ce temps, les hurlements de Mira raisonnent dans ma tête, sans savoir si elle pousse des cris de plaisir ou de douleurs.

 

La torture est intense, car pendant de longues minutes, les caresses sur mon clitoris s’arrêtent systématiquement avant que je n’arrive à jouir. Je crois devenir folle. Je ne suis plus qu’un sexe, tout mon être est tourné vers ce plaisir que mes bourreaux sadiques me refusent. Je serais prête à toutes les turpitudes pour vivre enfin cet orgasme interdit. J’ai totalement oublié ma position inconfortable, mes bras qui me tirent, plus rien n’existe d’autre que mon besoin.

 

A chaque caresse mon corps se projette en avant, je veux jouir, je veux jouir, s’il vous plait, faites de moi ce que vous voulez, mais laissez moi prendre mon pied !

 

Soudain, je sens mon corps s’alourdir. Les chaines qui me maintenaient en position se font plus lâches, et je m’écroule sur le sol froid, toujours aussi frustrée. Mais je n’ai pas le temps de m’appesantir sur mon sort, car je suis prise en charge, soulevée et allongée sur... Sur quoi ? Je ne saurai le dire. Le contact est agréable, le support est dur mais moelleux.

 

Je suis maintenant attachée, les bras et les jambes écartées. Je dois ruisseler tant je mouille, et personne ne doit l’ignorer tant je me sens exhibée.

Je sens maintenant quelque chose s’approcher de mon sexe béant. Au contact, je sais qu’il s’agit un godemichet, d’une bite artificielle. Enfin, je vais être baisée !

 

Lentement, ce sexe me pénètre, et à peine est-il entré à moitié que je suis submergée par un violent orgasme, et je hurle mon plaisir à en exploser les oreilles de Mira. Un jet de cyprine vient de gicler de mon intimité, et je jouis à n’en plus finir.

 

Mais le gode commence un mouvement de va et vient, et son rythme s’accélère doucement, dans un bruit de machinerie. Je comprends que je viens d’être attachée à une machine à baiser. Mon premier orgasme est à peine fini que le plaisir revient, et qu’un nouvel orgasme se fait jour. Alors que des coups de martinets viennent s’attaquer à mes seins, je jouis, je jouis sans discontinuer.

 

Un orgasme fait place à un nouveau, décuplé par les lanières qui brûlent mon ventre et mes seins. Après ces heures de frustration, mon corps n’est plus que jouissance et le sol doit être inondé de ce plaisir intense et continu. Sans compter cette verge qui vient de violer ma bouche. Et c’est une vraie, celle là. Est-ce Olivier qui vient de se mêler à la fête ? Toujours est-il que mon dernier et plus violent orgasme survient au moment où cette bite s’enfonce au plus profond de ma gorge, au moment où un puissant jet de sperme explose dans ma bouche à m’en étouffer.

 

Je viens d’entendre au même instant un cri de bête rugir à mes cotés, Mira sans doute !

 

La sensation est si forte que je tombe épuisée dans les bras de Morphée.

 

Lorsque je me réveille, je suis dans un lit douillet, toujours aussi nue, mais couverte de draps en satin qui caressent mon corps. Le soleil déjà haut dans le ciel illumine la pièce, et je constate que Mira est étendue à mes cotés.

 

Avons-nous réussi le passage, sommes nous devenu des Scandaleuses ?

 

 

Titou

Par Titou - Publié dans : Les histoires à épisodes... - Communauté : Histoire érotique
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