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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

1er épisode

Fin d'après midi dans une brasserie du centre ville, je prends un café avec Eric. Notre dernière rencontre à près de trois mois et on se téléphone peu. Nos relations sont épisodiques et du genre ex collègues devenus copains. On ne s'est jamais racontés nos passés respectifs et vies, c'est beaucoup mieux ainsi.

Aujourd'hui, après quelques échanges rapides sur nos activités professionnelles, on parle cinéma, pop music et romans destroy de Virginie Despentes. Le genre de choses qui comptent réellement dans une relation, celles qui font que l'on a ou pas le feeling avec l'autre.
Eric :
« A 19h, je vais devoir te quitter pour rejoindre Véro à Poitiers... à cette saison et heure, c'est au moins deux heures de route. Véro a pu se libérer que pour cette nuit.
- Pas évident votre liaison, toi depuis six mois à Lyon et elle toujours sur Bordeaux...
- Rien de changé pour Véro, impossible d'avoir une mutation et son compagnon est de plus en plus possessif... Alors qu'elle est totalement accro de moi ! »

A ce moment une interrogation me traverse l'esprit, j'en fait part à Eric :
« Tu as des photos de Véro sur toi ?.... Plus d'un an que tu m'en parles, tu fais des centaines de kilomètres chaque mois pour la rejoindre Elle est super canon ou c'est une mocheté qui fait superbement l'amour ?
- Jamais de photos d'elle sur moi, je ne tiens pas à ce que ma femme découvre son existence ! Peut être pas un top model, mais belle... Grande brune à cheveux longs, peau mate, très mince avec des petits seins très fermes, sensuelle comme pas permis et... aucun tabou ! »

Cette femme doit être un sacré coup, pas conne et sympa. Je connais assez bien les critères d'Eric en matière de femme et plus généralement vis à vis des gens. Il aime bien les femmes, mais ce n'est pas un « hardeur » ni un romantique. Il déteste le paraître et n'entretient des relations suivies que si il a un feeling fort.

Il devine mes pensées, et faussement interrogatif ajoute :
« Tu aimerais bien la connaître ?
- C'est une évidence et tu le sais bien... simple curiosité, sans plus évidemment.. » lui répondis-je
Eric allume une cigarette, fait signe au serveur de renouveler nos cafés, et dans ses yeux apparaît un éclat inhabituel. D'un ton neutre, il prononce :
« Depuis quelques mois, Véro rêve de faire l'amour avec deux hommes en même temps.. Elle n’a jamais vécu cela... »

Un peu surpris, sur la forme et non le fond, je lui réponds :
« Naturellement, tu l'encourages à vivre son fantasme... L’amour au pluriel est toujours un « plu »s très fort... entre gens de bonne compagnie évidemment ! »

Sourire complice d'Eric, puis il complète ma pensée
« Initier à cela une femme, surtout la femme qu'on aime, est géant... Le must de la complicité charnelle ! »

Nous sommes dans le même registre et mon regard l'encourage à poursuivre. Eric :
« Tu serais ok pour être notre complice, initier Véro en ma compagnie ? »

En souriant, je lui rétorque :
« Une évidence... mais elle est prête a passer à l'acte ? Tu lui a parlé de moi pour cela ? – Elle sait seulement qu'on est copain... Véro fantasme beaucoup sur l'amour à trois, mais elle est très timide... Angoisse quand j'évoque les possibles pour concrétiser... »
Aie, aie... En fait, très femme, cette attitude, d’ailleurs beaucoup n'osent jamais vivre leurs fantasmes. Je demande à Eric :
« Tu envisages cette concrétisation comment ? Dans quel contexte ? »

J'ajoute :
« On pourrait diner tous les trois dans le restaurant d'un hôtel et... Un premier flirt intime... et même voir plus... en fonction des réactions de Véro… »

Moue d'Eric :
« Non, cela ne marchera pas... Véro se bloquera, même si tu lui plais et qu'elle a très envie... C'est une grande timide. »

Mais qu'est ce que c'est que cette histoire ?... Il me parle du fantasme de Véro et celui-ci est irréalisable ! Ce n'est pas dans son style..... Ou alors, il a une idée bien précise.
Avec le même air et ton que s’il évoquait une astuce comptable, Eric me dit :
‘Il faudra que tu nous rejoignes dans notre chambre, quand nous ferons ou aurons fait l'amour... Lorsque Véro est dans son plaisir, en plein trip sexe, c'est une autre... là elle acceptera sans problème ! »

Je le regarde un peu surpris et interrogatif :
« Excitante et séduisante, ton idée... Mais... mais, elle risque de se braquer, refuser et voir de crier au viol !
- Non... non pas du tout, si on organise bien la chose ! Je suis sur qu'elle se lâchera totalement et prendra un plaisir d'enfer, toi aussi !... »

Dans ma tête, j'imagine ce contexte assez inhabituel et j'ai déjà une envie folle de Véro. D'après sa description, c'est le genre de femme qui me fait flasher. Et de plus " l'initier " comme cela, c'est comme faire l'amour à sa jeune cousine encore vierge......

Eric poursuit :
« Dans une quinzaine, Véro me rejoindra à Clermont- Ferrand, elle devrait arriver dès le vendredi soir et repartir dimanche midi. L'idéal serait que tu viennes le samedi soir, comme cela je pourrais la.... préparer... »

Sans hésiter, je lui dis :
« Ok sur le principe, le lieu et date.... mais pour les modalités pratiques ?
- Si aucun imprévu, quelques jours avant je réserverais une chambre dans un hôtel en ZI Est et te téléphonerai. »

Il regarde sa montre et je comprends qu'il doit partir maintenant. Nous nous levons et séparons devant la brasserie.

Le soir même, je bloque sur mon agenda le week-end à quinzaine. Mais dans les dix jours suivants, je m'efforce de ne pas penser à cette future « initiation au pluriel ».
Ma lucidité empreinte de pessimisme, me fait craindre que cela ne soit trop beau pour se réaliser... Le mardi soir avant le week-end décisif, un appel d'Eric.
Il me confirme notre « rencontre » de samedi soir, et m'indique le nom de l'hôtel et numéro de leur chambre.

Eric me précise le timing :
« Vendredi soir vers vingt-deux heures, appelle-moi car je serais avec Véro... Je te la passerai quelques minutes, mais tu fais allusion à rien.... Samedi, soit à l'hôtel dès vingt-et une heures et laisse-moi un message sur ma boite vocale pour m'indiquer ton numéro de chambre... Dans l'heure suivante, je passerais te voir ou t'appellerai’

Le lendemain, je réserve une chambre dans l'hôtel prévu pour ‘nos jeux, et dans les jours suivants, j'ai beaucoup de mal à me concentrer dans mon travail !

Vendredi à vingt-deux heures, j'appelle Eric et lui demande comment il va. Il me répond qu'il est dans une chambre d'hôtel avec Véro et ajoute :
« Depuis le temps que je parle de toi à Véro, elle voudrait connaître au moins le son de ta voix. mais patiente un peu, elle ne peut te parler là... Sa bouche est occupée.... »

La voix d'Eric se fait plus lointaine, j'entends des bruits de succions qui ne trompent pas : Véro est en train de lui faire une fellation !..... Puis une voix féminine hésitante et gênée « Vous êtes le copain d'Eric... oh pardon bonsoir..
- Bonsoir et enchantée Véro, vous allez bien ? Enfin je connais au moins votre voix, » dis-je d’un ton amusé.

Nous échangeons quelques banalités et son trouble me ravie. D'une voix inquiète, elle me demande :
« Mais vous êtes ou ? Ici ?...

Je la rassure :
- Oh non, à environ trois heures de route.... Bonne fin de soirée Véro... Bises »


Samedi dès 16 heures, je prends la route de Clermont - Ferrand. Pendant tout le trajet, je pense à ma " rencontre " avec Véro et envisage tous les possibles : accepte et nuit torride, se donne avec réticence, juste un flirt intime, refuse gentiment, rejet brutal et crie au viol !... En arrivant en ville, je réalise que je n'aie pas de préservatif. On n’a pas évoqué ce sujet avec Eric, alors  je préfère en acquérir. Je ne veux pas gâcher ma future nuit, par imprévoyance !

Arrivé à l'hôtel, je prends possession de ma chambre et constate que toutes donnent sur une galerie extérieure. Lors du futur changement de chambre, pas besoin de passer par la réception et subir les regards interrogatifs ou égrillards du personnel. Je laisse un message sur la boite vocale d'Eric, puis vais dîner rapidement. Dès vingt heures, je suis de retour dans ma chambre et prend une douche. Allongé sur le lit, un peu fébrile et taraudé par mon désir, j'attends la suite des événements.


2eme épisode

Un appel d'Eric sur mon portable " Bonsoir..... Je suis devant la porte de ta chambre... ". Je lui ouvre, il entre et m'explique qu'il a peu de temps " Nous venons juste de rentrer.... Pour m'absenter, j'ai prétexté allez chercher à la réception une bouteille d'eau minérale... ".
Un peu surpris, je lui demande :
« Mais alors, Véro est au courant de rien ? »

Eric avec un demi-sourire :
« Je ne lui ai rien dit pour ce soir, mais elle se doute de quelque chose... Hier soir après ton appel, je lui ai seulement indiqué qu'elle aurait une surprise ce week-end. Une forme de cadeau... Elle m'a questionné en plusieurs fois sur la nature de ce cadeau, mais j'ai éludé à chaque fois... Ce soir au restaurant, elle a encore insisté pour savoir ! »

Impatient de la suite des événements à venir, je lui demande :
« En pratique on procède comment ? Je t'accompagne et tu me présentes comme le cadeau ?... Ou j'arrive peu après toi, avec une bouteille de champagne... J’en ai mis une au frais dans le frigo ici. Tu lui dis avant, que suis venu pour lui offrir le champagne... et tout en buvant… »

Eric me coupe :
« Non pas cela... Après mon départ, tu attends trente à quarante-cinq minutes. Le temps que je la mette bien en condition, qu'elle ait joui plusieurs fois... Véro sera alors en plein trip sexe... »

J'enchaîne :
« J'entre dans votre chambre et ?
- Tu entres discrètement, sans faire de bruit, voici le digicode... Et une fois entré on avisera, ou plutôt tu agiras en fonction du contexte... naturellement tout en douceur au début... »

J'approuve avec chaleur ce timing. Son scénario me plaît beaucoup, un fantasme génial... mais un fantasme qui va se muer en réalité !

Eric parti, j'essaye de regarder la télévision pour passer le temps et pas trop penser. Mais ma virilité me rappelle ce futur proche !.... Véro offerte, brûlante et trempée de plaisir.. wouahhhhh... Quelques inquiétudes me rongent quand même : refus total ? Juste un flirt plus ou moins intime ? Accepte à contre cœur et peu coopérative ? Dur de savoir comment une femme va réagir dans pareille situation....

22 h 15, je quitte ma chambre et me dirige vers la leur. Aie... j'ai oublié la bouteille de champagne, mais bon ce n’est pas important. Je pourrais toujours revenir la chercher. Je vérifie que je suis bien devant leur chambre, puis m'efforce de composer calmement le digicode. Surtout ne pas se tromper !....

Mon cœur bat un peu plus fort, je pousse lentement la porte... La chambre est dans la pénombre et juste éclairée par l'écran de la télé. Celle-ci diffuse un live de Dire Straits, idéal comme ambiance et cela masque mon arrivée. Le lit est en travers face à la porte, Véro est allongée sur le coté et me tourne le dos. Nue, son visage blottis sur les cuisses d'Eric. Il est agenouillé face à elle, ses mains dans ses cheveux. Véro est en train de lui faire une fellation ! Vision superbe...

Toute à sa caresse, elle ne semble pas avoir remarqué mon arrivée. Eric lève une main et pose son index verticalement sur sa bouche. J'ai compris, faire aucun bruit et ne pas manifester ma présence. Je marque un temps d'arrêt, mes yeux parcourent lentement Véro : son corps longiligne, sa peau mate, ses longs cheveux noirs... Wouahhh, elle est encore plus belle que j'imaginais... Légers oscillements de sa tête, paumes d'Eric qui la guident et aussi la retiennent bien contre lui... Mon désir est dur, dressé, impatient !

Main d'Eric qui se soulève, me fait un signe discret. Nous nous sommes compris, je m'approche tout près de Véro. Debout contre le lit, à hauteur de ses reins, j'observe les gestes d'Eric. Sa paume caresse la cuisse, la hanche, les reins de Véro en un long va et vient. Puis il soulève sa main, me fixe avec un sourire complice dans ses yeux... Ma paume se pose doucement sur Véro et lui fait la même caresse qu'Eric... Je retire ma main, celle d'Eric prend la suite. Véro ne s'est rendu compte de rien !....
Nos paumes se relaient pour la caresser sur tout le corps.... hummmmm..... Que sa peau est douce...

L'autre main d'Eric est toujours enfouie dans les cheveux de Véro, comme si il tentait de s'enfoncer tout au fond de sa bouche. Avec lenteur et précaution, je m'assieds sur le lit en prenant garde de ne pas frôler Véro !... Cette position est plus confortable et propice pour la suite... Véro n'a toujours pas perçu ma présence et cela est diablement excitant !

Les caresses d'Eric se font plus intimes, ses doigts glissent dans le sillon des fesses, entre les cuisses et les entrebâillent.... Nos paumes alternent.... tiédeur humide de l'intimité de Véro..... Mon désir durcit encore plus, étouffe dans mon pantalon...... Doigts d'Eric qui prennent Véro, la fouillent lentement, puis me passent le relais.... Chair brûlante, trempée, pleine de musc et foutre.... Je la doigte lentement, regarde Eric.... Ses yeux me disent " Continue, elle est à toi maintenant, fait la crier avec tes doigts ".
Mes doigts prennent profondément Véro, ses reins ondulent, son musc coule sur ma paume. Je la fouille plus vite, plus fort, je devine que son plaisir est proche..... Mes doigts se font plus impérieux, contractions brutales de sa chair.... cuisses qui emprisonnent ma main. Coups de reins... Jouissance violente, sans un cri.

Eric est tout dans bouche, mains agrippés dans ses cheveux il se vide en elle. Palpitations qui se prolongent autour de mes doigts... Son plaisir est mon plaisir... Le temps est comme suspendu.
Tressaillements de Véro, sa main qui passe brutalement derrière elle et découvre mon corps !
Murmures d'Eric dans son oreille. Elle semble rassurée, ne bouge plus et d’une voix timide demande :
« Je peux le voir ?... Savoir qui il est ?
-  C'est plus fort quand on ne voit pas... »

Tout en lui tenant la tête contre lui, il caresse son visage, s'allonge contre elle et l'embrasse. Je réalise que je suis allongé contre le dos de Véro. Sa main glisse dans mes cheveux, sur mon visage et le parcourt. Elle glisse sur mes épaules, mon bras, vient sur mon torse, s'aventure sous mon pull over... Excité et ému par cette manière de me découvrir, je laisse sa main m'explorer... Ses doigts agiles ouvrent ma chemise, elle fait crisser ses ongles sur mon torse puis mon ventre. Sa main vient palper mon désir à  travers mon pantalon, puis tente de le libérer. Je l'aide.... Sa paume caresse tendrement ma virilité dressée.

J'en profite pour me dévêtir en partie. Les doigts de Véro cerclent mon membre... wouahhhh... longs va et viens qui me font durcir et gonfler encore plus... Elle appuie ses fesses contre moi, sa main me guide entre ses cuisses, dans sa fente et m'enfouie à demi dans sa chair. Woahhhhhhhh !!! C'est chaud, trempé, je m'enfonce en elle, tout en elle... Gémissements, cris étouffés de Véro. Je la prends, la fouille en de longs allez et retour. Ses reins m'accompagnent dans mes mouvements, je suis dur, dressé en elle.

Je suis fou de désir, je vais et viens plus vite... Plus fort... Oh que c'est bon de me noyer dans sa chair si chaude et trempée, si accueillante ! Véro plaque ses fesses contre mon ventre, ses doigts caressent doucement mes boules. Ma paume enrobe son sein, le palpe, le presse... Mon désir monte, s'apprête à jaillir, elle le pressent, donnent des coups de reins impérieux. Mes doigts s'agrippent à son corps, je m'abute avec force tout au fond d'elle. Elle crie... Crie son plaisir, son plaisir qui m'enserre de ses spasmes. Le mien gicle violemment en elle, jets brûlants qui inondent, membre turgescent qui bat... Je halète :
« Oh Véro... Véro.... ouiiiiiiiiiiiiiiiii..... ouiiiiiiiiiiiiii...... ahhhhhh !!! »


3eme épisode

Nous savourons les derniers spasmes du plaisir, paume de Véro qui caresse tendrement ma cuisse.
Légère ondulation de ses reins, je glisse progressivement hors d'elle et m'allonge sur le dos. Mes doigts caressent ses cheveux et épaules.
Voix ferme de Véro :
« Maintenant, je veux voir… »

Eric allume les lampes de chevets, Véro se retourne et viens s'allonger sur moi. Appuyer sur les coudes, elle me dévisage et parcourt mon visage avec ses doigts. Son intimité trempée est plaquée sur ma cuisse, son musc mêlé de mon foutre coule sur moi.... hummm.... Elle dépose un baiser tendre sur mes lèvres, se redresse et devine ses interrogations dans son regard.
« Véro, hier tu as eu ma voix et ce soir mon corps… »

Sous l'effet de la surprise son visage se fige un instant, puis s'éclaire d'un grand éclat de rires.
« C'était donc toi hier soir au tél.... et moi qui paniquais à l'idée que tu sois juste derrière la porte de la chambre ! »

Et elle ajoute :
« Eric, ta surprise du week-end... elle est bien, même plus que bien ! »

Tout en prononçant ses mots, Véro colle sa fente trempée sur mon membre et ondule dessus. Elle plaque sa bouche sur la mienne, enfonce sa langue en moi et fouille ma bouche longuement. Je caresse son dos et ses reins. Eric se rapproche de nous, Véro roule sur le coté et s'allonge sur le dos entre nous. Mon bras est sous sa tête, ma paume enrobe son sein et je lui palpe. La main d'Eric est plaquée entre ses cuisses et je devine qu'il l'a doigte lentement.

Véro, d'une voix tendre et complice :
« Merci Eric, autrement je n'aurais jamais osé... Et pourtant, tu le sais, j'en rêvais depuis longtemps ! »

Sa main se pose sur mon membre et le caresse avec douceur. Puis elle tourne son visage vers Eric et l'embrasse goulûment. Je lui murmure dans l'oreille :
« Véro, j'ai adoré te prendre... te violer.. »

Elle éclate de rires :
« Tu m'as violé qu'avec tes doigts.... Car après c'est moi !!! J’avais trop envie de toi... »

Eric se lève, revient avec la bouteille d'eau et nous buvons. Nous allumons des cigarettes et papotons de tout et rien. La main de Véro se fait plus insistante sur ma virilité, je suis de nouveau dur et dressé. Eric vient blottir son visage entre les cuisses de Véro, elle les replie et ouvre largement pour mieux s'offrir à lui. Elle commence à gémir sous sa caresse et tire sur mon membre.

J'ai compris son attente, je m'approche de son visage et le caresse avec mon gland gonflé. Elle tourne la tête sur le coté, me prend entre ses lèvres et ses doigts me cerclent. Tout en haletant, elle enfonce de plus
en plus sa bouche sur moi.... wouahhhhhh... sa langue tiède, aimante. Elle m'aspire en elle, tout en elle, jusqu'au fond de sa gorge ! Elle me suce goulûment, je suis dur et ai une envie folle de jouir là... humm.  J'agrippe ses cheveux et gicle violemment... wouahhhhhhhh.... hummmm....

Mon gland brûlant vibre dans sa bouche. Véro boit et aspire tout mon foutre... Vidé, je glisse hors de sa bouche... Elle crie, son visage se contracte sous la jouissance que lui donne Eric avec sa langue et doigts... Mhummmmm...

Nouvelle pause eau et cigarettes, ma paume est blottie sur l'intimité de Véro. Je la palpe, doigte sa chair pleine de foutre et musc. Le temps semble s'être arrêté.....
Je me retrouve le visage entre ses cuisses, mes lèvres posées sur les siennes... Ma langue va et vient dans sa fente chaude et trempée, je l'ouvre et m'enfonce en elle. Recourbe ma langue dedans, Véro gémis et sous souffle s'accélère... Je remonte sur son bourgeon dressé, le prend entre mes lèvres et l'aspire. Il saillit encore plus de son capuchon, ma langue le parcourt à petits coups rapides.

Râles et cris de Véro, ses cuisses enserrent mon visage... Brutalement, j'enfonce entièrement deux de mes doigts dans sa chair trempée... Véro crie son plaisir, sa fente se contracte autour de mes doigts... Mon visage et ma paume sont inondés par son musc... Mhummm..

Repus nous somnolons un peu, blottis tous les deux de chaque coté de Véro...
Je sursaute, réalise ou je suis... La cuisse de Véro frotte sur mon visage, elle est agenouillé et fait une fellation à Eric. Le sourire de sa fente est là au dessus de mes yeux, comme un appel muet.. Mon désir est plus qu'éveillé, je m'agenouille derrière Véro et glisse mon membre entre ses cuisses. Les doigts de Véro viennent l'enserrer et le guide entre ses lèvres d'amour. Elle se caresse avec, puis l'enfonce un peu dans sa chair chaude et mouillée. Je pousse pour m'enfoncer plus en elle, la prendre mais sa main me retiens. Elle m'oblige à ressortir.

Je m'interroge, mais très vite sa main me fait comprendre son désir. Elle pose mon gland plein de son musc sur son œillet secret, le caresse avec et l'enfonce à demi !... Waoahhhhhhhhhhhhh.... Elle veut que je la prenne là, là ou elle est plus étroite... Je pousse, elle gémit quand je la « force » pour entrer.

Lentement mais inexorablement je m'enfonce, au plus profond d'elle je suis..... Mhummm... Je vais et viens dans ses reins, elle ondule et mes paumes s'agrippent à ses hanches. Je suis dur, dressé, gros. Je la possède plus fort et plus vite, elle crie, puis hurle son plaisir... Wouahhhhhhhhhh... le mien gicle en elle... Wouahhhh. !!! Spasmes de mon membre..... hummmm.....
« Oh Véro. Véro... je t'aime moi non plus ! »


Dix heures trente, à la réception de l'hôtel. Tous les trois, nous gagnons la salle des petits déjeuners. Véro en jean et sweat, cheveux tirés et attachés par un lien, fait très jeune femme sage.... Peu loquace, distante, elle semble me fuir. Petit déjeuner bref, dans une ambiance assez froide. Véro a plusieurs apartés à voix basse avec Eric. Des yeux je l'interroge et il me fait signe de patienter. Véro nous quitte rapidement et me serre brièvement la main.

Eric d'une voix neutre :
« Ne t'inquiète pas, elle a plus qu'aimé cette nuit et regrette pas... Mais là ce matin ici, elle a réalisé réellement ce qui s'est passé... Elle avait l'impression que tout l'hôtel était au courant, que tous l'a regardaient avec un air entendu... Tu sais, elle est très timide et surtout en public... »

Je lui suggère :
« Propose-lui de venir avec toi dans ma chambre... Boire le champagne que j'ai oublié d'apporter cette nuit... Ce serait dommage de se quitter comme cela.
-  Ok, je pense qu'elle va accepter... je vais tout faire pour cela ! »

Dubitatif, j’attends dans ma chambre et à peine quinze minutes après, Véro et Eric arrivent. Véro se jette dans mes bras, m'enlace et d'une voix gênée :
« Pardon, c'était trop dur la présence de tous ces gens au petit-déjeuner... j'avais l'impression de faire l'amour devant eux... et qu'ils se moquaient de moi. »

Je la rassure gentiment, sors et verse le champagne. Nous trinquons, Véro et Eric s'enlace tendrement.

Je me rapproche, caresse tendrement la joue de Véro et passe une main sur un de seins. Elle se retourne vers moi, caresse ma cuisse, puis sa main remonte plus haut.
De sa voix timide :
« Pour me faire pardonner... »

Sa main ouvre mon pantalon, dégage ma virilité et l’enserre. Tout en la caressant, elle pose sa bouche dessus et la parcourt avec sa langue aimante.....

Mhummm... Je suis tout dur, brûlant et plein de désir. Elle m'abandonne pour prendre, avec un sourire coquin, une gorgée de champagne. Ses doigts cerclent mon membre et le guide entre ses lèvres.....
Waouahhhh... Sa bouche est pleine de champagne ! Froideur et picotements sur mon gland. C'est géant !

Elle m'enfouie à demi dans sa bouche, sa langue s'enrobe autour de mon membre. Chaleur et douceur de sa langue mêlées au champagne. Wouahhhhh... Véro devine que je ne vais pas résister longtemps, elle m'aspire plus vite tout en caressant mes boules. Mon désir monte brutalement et gicle impérieusement dans sa bouche... Wouahhhhhhh.. Elle le déguste lentement et le boit tout. Elle se redresse et m'embrasse avec volupté, langues nouées et lèvres soudées...

Nous connaîtrons bien d'autres hôtels, nuits et jours de plaisirs torrides au pluriel...


PS : " Véro ", si tu jamais tu lis ces lignes elles sont à toi pour toi.... un hommage à notre plaisir complice...

 

Signé : Trekker

Par Trekker - Publié dans : Les plaisirs du candaulisme - Communauté : Couples candaulistes
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Commentaires

Très très joli récit.
Très émouvant et pourtant tellement tendre.
commentaire n° :1 posté par : Soumis C. le: 23/01/2012 à 10h42

En effet, rien de trash dans cette initiation...

réponse de : Sophie de R. le: 30/01/2012 à 02h20
Elle a eu bien raison d se laisser faire ! si ma femme acceptait, je serai heureux comme jamais !
commentaire n° :2 posté par : Manu le: 23/01/2012 à 23h11

Le lui as-tu seulement dejà demandné ???

réponse de : Sophie de R. le: 30/01/2012 à 02h21
Très belle histoire!
commentaire n° :3 posté par : Olga le: 24/01/2012 à 22h26

En effet, j'aime beaucoup aussi, et beaucoup de femmes devraient y penser !

réponse de : Sophie de R. le: 30/01/2012 à 02h27
Mon reve : faire ca à am femme. elle me frapperait à mort, si j'osais. :-(
commentaire n° :4 posté par : Martin le: 26/01/2012 à 22h04

QUi sait ? il faut en parler ! le manque de dialogue sur le sexe dans un couple est dramatique !

réponse de : Sophie de R. le: 30/01/2012 à 02h30
un beau recit une belle amitié le reve de certainnes personnes
commentaire n° :5 posté par : romain57 le: 28/01/2012 à 10h02

Oui, et comme je le dis souvent, il faut tenter  le passage à la réalité !

réponse de : Sophie de R. le: 31/01/2012 à 02h21
belle initiation tout en tendresse, comme cela devrait être toujours.
commentaire n° :6 posté par : brunobi le: 30/01/2012 à 14h06

En effet, et malheureusement, ce n'est pas toujours le cas ! il faut beaucoup d'amour, de complicité, et de DIALOGUE !

réponse de : Sophie de R. le: 04/03/2012 à 18h40

Mon frère m'a baisée devant mon mari

Je m’appelle Nadia, une femme de 25 ans, mariée à Karim (lailatvx sur le net), j’ai craqué et je me suis donnée à mon dentiste, un homme qui est veuf, qui a l’âge de mon père, et avec qui je fais l’amour deux à trois fois par mois chez lui lorsque mon mari est absent, cet homme me donne énormément de plaisir…
Mon mari n’est pas au courant de cette liaison et ne se doute absolument de rien.

Mon mari est un peu voyeur et comme la plupart des femmes, je suis un peu exhibitionniste…
J’ai souvent constaté que les hommes lorgnaient mes cuisses quand je m’asseyais quelque part ou que je montais un escalier, rien de plus normal mais, plusieurs fois, mon mari Karim m’a demandé d’écarter les cuisses pour le plus grand plaisir des voyeurs qui me mâtaient. Ca l’excite et moi aussi, d’ailleurs, je ne suis pas très pudique et laisse voir, souvent, ma petite culotte, par inadvertance, bien sûr.

Cet après-midi, mon mari m’a appelée pour m’avertir qu’il avait invité quelqu’un à dîner et que c’était une surprise.
Lors de nos rapports sexuels, mon mari fantasme souvent en me disant :
- Imagine que c’est un autre homme qui te fait l’amour en ce moment... Qui aimerais-tu avoir en toi …? Vas-y ma chérie dis-moi… Oui, qui est en toi en ce moment ?… Avec qui tu fais l’amour, dans ta tête, en ce moment ? Qui est en toi ?… Dis-moi qui aimerais-tu avoir dans ta petite chatte pour te faire jouir ? Qui voudrais-tu sentir jouir dans ton ventre ?…
- Et bêtement, un jour, je lui ai répondu : " Mon frère Jamal "

Un jour, mon frère Jamal est arrivé avec mon mari vers 19 h 30. J’étais en train de préparer le dîner pour nous trois.
Je m’étais particulièrement joliment habillée, jolie petite jupe et chemisier assorti, des petits dessous blancs en dentelle. Et comme d’habitude, à l’apéritif, je croisais et décroisais mes jambes pour montrer mes cuisses et le fond de ma petite culotte blanche aux deux hommes.
Ils ne se privaient pas de me mâter et je surprenais souvent leurs regards dirigés dans mon entrecuisse.

C’est ce qui a provoqué le déclic...
Mon mari Karim eut envie que je m’exhibe devant eux et peut-être même un peu plus. Pendant le dîner, il faisait en sorte que mon verre ne fut jamais vide. Il sait qu’un peu de champagne me libère de mes réserves et il remplissait aussi le verre de mon frère Jamal.
Après le dessert, j’ai servi le café, mon mari a mis de la musique, nous étions assis sur le canapé, face à mon frère. Karim a passé sa main entre mes cuisses et a carrément caressé ma fente au travers de ma petite culotte, je me laissais faire, c'était plutôt agréable… mais au bout d'un moment, je lui ai murmuré à l’oreille :
- Qu’est-ce que tu me fais devant mon frère ? J’ai honte ! Tu veux l’exciter ? Tu as envie qu'il me fasse des choses ?
- J’ai surtout envie qu'il s'amuse un peu avec toi…
- C’est quoi, s’amuser un peu avec moi ?
- Tu pourrais te montrer sexy par exemple, l’émoustiller un peu, flirter avec lui, te laisser caresser et embrasser, l’exciter quoi !
- Mais pourquoi ? …" lui dis-je en frissonnant, alors que je me doutais où il voulait m’amener, je lui dis :
- Tu veux … Tu aimerais qu’il… qu’il me… qu’il me fasse des choses ? … Qu'il me baise ? ... C’est ça ?
Alors que mon mari me retroussait et qu’il mettait sa main sous ma culotte, il m’a répondu en bandant très fort :
- Oui, c’est ça, qu’il te fasse plein de choses, j’ai envie qu’il t’enfile, qu’il te baise, qu’il te fasse jouir, qu’il jouisse en toi et qu'il remplisse ta foufoune devant moi. Tu crois que je ne suis pas au courant de vos relations intimes et, disons, incestueuses ?
- Mais chéri, tu es complètement fou ! C’est mon frère !
Ses doigts étaient passés sous ma petite culotte et me rentraient dans le vagin et quand il m’a dit cela, j’ai serré les cuisses dessus, j’étais trempée….
Silencieux, mon frère Jamal assistait au spectacle que nous lui offrions, J’étais troussée très haut, ma culotte complètement écartée, ma petite chatte à l’air et les doigts de Karim qui s’activaient dedans.
Mon mari m’avait répondu en parlant à haute voix de façon que mon frère entende ses propos... et il a bien entendu. Il s’est alors levé pour s’approcher de nous.
Mon frère Jamal a commencé par caresser mes seins qu'il a dénudés. Puis, il m’a embrassée goulûment en faisant pénétrer sa langue dans ma bouche et a caressé ma fente de ses doigts. Mon mari s’est éloigné pour aller s’asseoir dans le fauteuil en spectateur et l’a laissé libre de faire de moi ce qu’il voulait.
Je me laissais faire en regardant mon mari de temps en temps. Jamal, lui, avait réussi à rentrer ses doigts dans ma vulve, son pouce titillait mon petit clito... Puis, il m’a allongée sur le canapé en face de Karim, il me caressait il et m’enfonçait ses doigts dans ma petite chatte trempée et un doigt s’est égaré entre mes fesses pour caresser mon anus.
Mon mari avait sorti son zizi et se masturbait. Il n’en revenait pas de la facilité avec laquelle j’avais accepté ce jeu pervers. Ca lui faisait un effet curieux de me voir ainsi offerte à mon frère, de voir cette main qui me touchait intimement, sa langue qui pénétrait ma bouche ou ma chatte, et moi je caressais son zob…

Puis Jamal ne put attendre plus longtemps. Sans plus s’occuper de mon mari, il enleva son pantalon et son slip, il me prit dans ses bras et, la queue dressée, remonta ma jupe à la taille, me débarrassa de mon chemisier, de mon soutient gorge et de ma petite culotte, j'étais nue, il m’écarta les cuisses. Je m’offrais sans pudeur, consciente que mon frère allait me prendre. Il se pencha sur moi, lécha ma vulve un moment puis il pointa son zob à l’entrée de mon vagin.

Je couvris alors ma vulve d’une main et pris son zob de l’autre pour l’empêcher de me pénétrer en disant à mon mari :
" C’est ce que tu veux, Karim, c’est bien ce que tu veux vraiment ? Tu veux qu’il me baise, tu veux que mon frère me baise sans préservatif ? Qu’il me fasse jouir ? Qu’il jouisse et se vide aussi en moi ? C’est ça que tu veux ? Dis-le ! ".

Karim ne me répondit pas, je retirai ma main en libérant le sexe de mon frère Jamal qui, impatient, me pénétra de toute sa longueur. Mon mari a vu ma petite chatte s’ouvrir sous la poussée et la queue de mon frère s’enfoncer entièrement dans mon ventre. J’ai frémi en poussant un " Ahhhhhhhhh !!!! "
Je ne quittai pas des yeux mon mari pendant que Jamal me pénétrait. Karim était fasciné par cette bite qui me violait. Maintenant, Jamal allait et venait en moi, mon mari voyait cette verge entrer et presque sortir de mon vagin et rentrer profondément en moi… Les lèvres de ma petite chatte étroite l’entouraient, la suçaient, la retenaient et s’étiraient en l’accompagnant.

commentaire n° :7 posté par : lailatvx le: 08/08/2013 à 08h36

Si vous voulez bien, je vais publier votre récit dans le blog, il sera plus visible....

réponse de : Sophie de R. le: 09/08/2013 à 17h27

Vous pouvez publier toutes les histoires que je posterai sur votre merveilleux blog !

Gros bisous !

commentaire n° :8 posté par : lailatvx le: 11/08/2013 à 03h47

Merci à toi, mais tu pourrais me les envoyer directement à mon adresse : sophie.de.rawensky@hotmail.fr

réponse de : Sophie de R. le: 19/08/2013 à 17h12
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