Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
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Bises libertines,
Sophie
Je me prénomme Hervé et je viens d’avoir vingt-cinq ans. Je vais bientôt me marier avec Katell, une jeune bretonne rencontrée lors des vacances d’été de l’an passé.
Elle tenait avec sa mère la petite épicerie du camping dont le père assurait la gérance. En haute saison, elle n’avait guère de temps libre en journée mais après vingt heure trente, nous avions pris l’habitude de nous rencontrer et de parler de nos aspirations en nous promenant sur la plage... Peu à peu, nous sommes tombés amoureux l’un de l’autre, si bien que l’année suivante, elle est venue passer une semaine à Paris au printemps et là, nous avons décidé de nous marier en septembre.
Mais ce n’est pas de ma relation avec Katell dont je veux vous parler. Elle est banale, car c’est la relation d’un jeune couple amoureux qui se découvre.
Ce que je veux vous raconter par le menu, c’est comment, et aussi pourquoi, la mère de ma copine de l’époque m’a initié.
J’étais en terminale « S » et depuis l’entrée au lycée, j’avais une camarade attitrée :
Marie-Hélène. Nous étions toujours ensemble, sur le chemin du bahut, sur le même banc en cours, nous étions quasi inséparables mais il n’y avait rien de sexuel entre nous, juste un fort sentiment de camaraderie et d’amitié. Nos études passaient avant tout le reste.
Marie-Hélène faisait partie d’une fratrie importante puisqu’elle avait quatre frères et trois sœurs. Elle-même était la quatrième dans l’ordre des âges après une sœur ainée et deux frères jumeaux. Sa mère Hélène était une jolie femme de quarante-deux ans, bien conservée malgré ses grossesses répétées, très active dans la maison où elle régnait avec une autorité bienveillante.
Grande aux longs cheveux châtain clair, un visage rieur éclairé par de grands yeux gris avec au coin des rides d’expression. Sa silhouette faisait beaucoup d’effet sur les hommes qui se retournaient fréquemment pour regarder le balancement de ses hanches un peu larges, mais bien soulignées par une taille fine toujours prise dans de larges ceintures. Eté comme hiver, ses jambes étaient gainées de bas fumés. Elle portait rarement des pantalons qui, disait-elle, n’avaient rien de très féminin…
Unique héritière d’une famille aisée d’industriels alsaciens, elle s’était mariée jeune avec un ingénieur venu faire un stage d’un an dans l’entreprise, et l’avait suivi à Paris. Depuis, elle s’occupait de sa maison dans une ville résidentielle de la banlieue est et de sa nombreuse famille. Discrète, elle était unanimement appréciée dans le quartier et ses enfants la portaient aux nues, comme j’avais pu le voir lorsque je venais chez elle pour rencontrer Marie-Hélène et ses ainés...
Lorsqu’il nous arrivait de bavarder ainsi tous ensemble, Hélène se joignait parfois à nous pour, disait-elle, se tenir au fait de nos préoccupations du moment. La discussion était libre et chacun pouvait s’exprimer sur n’importe quoi, philosophie, politique, société, etc. Rien n’était tabou et c’est ainsi qu’un soir de semaine, nous en sommes venus à parler de la prostitution : c’était LE sujet à la mode puisque il était alors question de sanctionner les clients qui avaient recours à ce « commerce de la chair » comme certaines associations bien pensantes l’affirment.
Si les garçons avaient un avis assez nuancé sur le sujet (peut-être avaient-ils quelque chose à cacher ?), les filles étaient totalement et farouchement hostiles à la prostitution. La discussion a été âpre ce soir là, tant les avis étaient partagés : il y tellement de paramètres à prendre en compte que la conversation s’est terminée tard dans la soirée autour d’un plat de pâtes. Le père s’était joint à nous et les plus jeunes étaient couchés…
Bref, peu à peu, la conversation a tourné vers le sexe, les pratiques sexuelles, la fidélité et son contraire avec l’échangisme et les pratiques hors norme comme le sadomasochisme, la zoophilie. Chacun avait son point de vue, et je découvrais avec stupéfaction mon ignorance dans le domaine sexuel alors que mes compagnons de soirée semblaient très au fait de ces sujets.
Bien sur, je n’étais pas ignare mais je n’avais jamais flirté, je ne savais pas combien cela pouvait être bon d’embrasser une fille, de sentir monter l’excitation réciproque provoquée par ces baisers et les caresses au point de vouloir s’unir charnellement… Marie-Hélène et ses frères avaient, semble-t-il, déjà pas mal d’expérience dans le domaine, et n’étaient pas gênés d’en parler devant leurs parents. Je ne me sentais plus très à l’aise dans le groupe et j’ai prétexté que je devais me lever tôt le lendemain pour m’éclipser. J’ai pris congé des uns et des autres et la maîtresse de maison m’a raccompagné jusqu’à la porte :
« Hervé ! Je parie que tu es encore puceau ! »
Là, je me suis senti rougir jusqu’aux oreilles et j’ai balbutié dans un souffle :
« Oui, c’est vrai je n’ai jamais fait l’amour !
- Bien, c’est une affaire sérieuse, je ne veux pas que Marie-Hélène soit déçue quand vous voudrez faire l’amour. Il n’y a pas longtemps qu’elle a été initiée. Viens me trouver demain en début d’après-midi, j’expliquerai des choses. »
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Le lendemain mercredi, j’arrivai à l’heure dite au rendez-vous fixé par Hélène. J’étais tout ému et je ne savais pas ce qui allait se passer. Lorsque je sonnai à la porte et que celle-ci s’ouvrit, je fus surpris de découvrir la mère d’Hélène les cheveux dénoués, coulant en longues mèches artistement disposées autour de son visage. Ainsi, sa fille lui ressemblait énormément. Elle portait une robe en jersey qui moulait son corps au plus près, accentuant encore la courbure de sa poitrine et de ses hanches grâce à une ceinture de cuir. Elle paraissait plus jeune qu’elle ne l’était :
« Viens, entre vite ! Allons dans ma chambre nous y serons tranquilles, de toute façon, la maison est vide. »
Je la suivis, de plus en plus intimidé ! Pourquoi la chambre ? Pour bavarder, nous serions mieux au salon ! Que j’étais naïf !
« Puisque tu n’as jamais fait l’amour, tu ne dois pas connaitre le corps d’une femme !
- Non, je n’ai vu que des femmes en maillot à la plage ou à la piscine et dans des revues spécialisées !
- Et bien, je vais te faire découvrir comment est réellement une femme, les endroits sensibles de son corps, comment les émouvoir… »
En disant cela, Hélène dégrafa la ceinture de sa robe qu’elle ôta en la faisant passer par-dessus ses épaules. Elle m’apparut splendide, ses seins moulés dans un soutien gorge en dentelle noire, un porte-jarretelles noir retenant ses bas fumés et un string assorti. Waouh ! Qu’elle était belle. J’en fus tout émoustillé au point qu’une bouffée de désir fit dresser ma bite dans mon boxer.
« Viens, approche-toi et pose tes mains sur mes seins. Presse les doucement en faisant un mouvement tournant. Ensuite tu dégraferas mon soutien gorge. Tu verras tes caresses sur mes seins auront fait dresser les tétons au centre des aréoles. En plus, comme j’ai nourri les enfants au sein, ils sont bien gros ! »
Le fait est que lorsque j’ai eu devant les yeux sa poitrine nue, j’ai découvert les bourgeons de ses seins dressés et sortis : ils avaient la taille d’un pois chiche.
« Prends mes bouts entre tes doigts et fais les tourner doucement. C’est une zone très sensible chez la plupart des femmes. Nous aimons toutes que l’on s’y intéresse. On peut caresser, embrasser, sucer, mordiller, tout cela provoque des sensations plus ou moins fortes. »
Pendant que je m’intéressais de près à cette belle paire de seins lourds en forme de pomme avec la peau d’une blancheur laiteuse avec des veinules bleutées apparentes, Hélène avait glissé ses mains sous mon sweatshirt et de ses ongles longs griffait mes seins. Je comprenais mieux que les seins d’une femme étaient un zone sensible car j’éprouvais moi aussi des sensations agréables et mes tétons s’étaient érigés.
Puis elle a fait passer mes vêtements par dessus ma tête, et dégrafé mon pantalon qui a glissé jusqu’au sol. Je ne pouvais plus cacher l’érection de ma bite emprisonnée dans mon boxer qu’Hélène a fait glisser pour achever de me mettre nu. Je n’avais plus que mes socquettes… et je cachais mon sexe de mes deux mains.
« Veux-tu bien retirer tes mains ! Tu as un beau sexe ! Laisse-moi le regarder ! »
Elle m’a allongé sur le lit, fait glisser son string et m’a enjambé. J’avais la vue sur son sexe à moins de 30cm et je pouvais en voir tous les détails : Une mince bande de poils courts, le capuchon du clitoris, les lèvres intimes et l’entrée de sa vulve. Hélène me donnait tous les détails et j’avais de plus en plus chaud… d’autant que je trouvais très érotique le fait qu’elle soit au dessus de moi, n’ayant sur elle que son porte-jarretelles et ses bas. Je repassais dans ma tête des séquences de films X visionnées en cachette chez un copain où des filles en chaleur s’empalaient sur un pieu de chair bandé à mort.
Ma bite battait contre ses fesses, roulant entre elles au gré des mouvements qu’Hélène faisait. Elle s’est reculée et s’est emparée de mon sexe sur lequel elle a déposé quelques baisers et disant :
« Tu vas voir ma belle comme c’est bon et doux la chatte d’une femme ! »
Elle m’a ensuite expliqué comment une fille peut satisfaire un garçon et la réciproque en se mettant au dessus de moi dans ce qu’elle a appelé « 6 9 ». Là, j’avais véritablement en gros plan la vue de son sexe humide et de son anus qui palpitait doucement. Je l’ai su plus tard quand elle m’a demandé de la sodomiser que bon nombre de femmes aiment se faire prendre par la voie arrière. Mais nous ne sommes pas restés longtemps dans cette position car c’est autre chose qu’Hélène voulait me faire découvrir !
Elle s’est allongée sur le dos, les cuisses entrouvertes et elle a tendu une main vers ma bite en érection. Elle l’a masturbée quelques fois en faisant un anneau avec ses doigts. Je retrouvais là les pratiques solitaires qui depuis quelques années déjà, me permettaient de soulager la pression et mes vider les couilles dans de belles éjaculations. Elle m’a guidée jusqu’à ce que je sente le contact humide de sa chatte au bout de mon gland :
« Vas-y ! Entre doucement ! Tu verras comme c’est bien meilleur que tes branlettes sauvages ! »
Elle avait justement deviné que je me masturbais depuis longtemps en fantasmant sur des photos de nanas plus ou moins dévêtues. Elle a placé ses mains nouées dans mon dos pour me maintenir et m’empêcher de copuler trop rapidement avant de me dire doucement :
« Vas-y, tu sors et tu entres successivement de ma chatte ! Prends ton temps, ne jouis pas trop vite ! »
Bon sang, que c’était bon de sentir ma bite enserrée dans ce fourreau humide et chaud. J’avais envie d’aller plus vite, de plus en plus vite, mais Hélène me retenait comme on retient un cheval fougueux. Mais elle n’a pas pu me retenir longtemps ! J’étais tellement excité de cette découverte entre les bras de la mère de ma copine que la jouissance est arrivée, soudaine, violente et c’est une déferlante de sensations qui m’a envahi au moment où pour la première fois, je crachais mon sperme dans le vagin d’une femme.
« Tout doux mon bel étalon ! Ce n’est pas fini ! Tu es parti trop vite ! Je n’ai pas encore joui ! Reprends tes va-et-vient. Tu bandes encore mon coquin ! »
Effectivement, je bandais encore et j’ai repris mes mouvements dans cette chatte si accueillante et généreuse jusqu’à ce qu’Hélène jouisse à son tour au moment où pour la seconde fois je me déversais en elle. Nous sommes restés enlacés un certain temps que je saurais estimer mais j’étais si bien… que j’ai regretté quand Hélène m’a désarçonné.
Je n’ai pas regretté longtemps car elle m’a fait rouler sur le dos et a englouti jusqu’au fond de sa gorge ma queue pleine de nos sécrétions, et là, elle m’a pompé, travaillant de sa bouche et de sa langue. Moins de cinq minutes de ce traitement, j’en suis sur, et j’avais la bite dure comme du bois, prête pour un nouvel assaut.
« Nous allons changer de position, je vais être face à toi et tu pourras caresser mes seins tout en me baisant ! »
Mon sexe dressé comme un I vers le plafond, Hélène m’a enjambé comme au début et elle s’est empalée d’elle-même sur mon épieu de chair. Elle a entrepris les mouvements alternatifs de bas en haut veillant à ne pas me faire sortir de son sexe qui était de plus en plus humide, inondé des sécrétions de nos premiers échanges. J’avais devant moi les deux globes de ses seins qui se balançaient doucement au rythme de ses mouvements.
« Caresse-les, pince les bouts et fais les rouler entre tes doigts comme je te l’ai montré ! »
Les cheveux rejetés en arrière, Hélène dépliait et repliait ses jambes, allant et venant sur ma bite qui, je le sentais n’allait pas tarder à nouveau à se répandre dans ce havre doux et chaud qui l’accueillait. Je sentais les muscles intimes de ma maitresse malaxer doucement le bout de ma verge quand elle arrivait au fond. Soudain elle s’est écriée :
« Lâche-toi ! C’est le moment ! »
En disant ces quelques mots, Hélène s’est affalée sur moi pour jouir en m’embrassant, mêlant sa langue à la mienne… et je l’ai accompagnée dans son plaisir en inondant le fond de sa chatte pour la troisième fois en cet après-midi merveilleux.
Nous sommes restés enlacés quelques temps avant de prendre un douche ensemble, puis Hélène m’a congédié en me disant que nous recommencerions dès que cela serait possible. En effet, elle devait s’arranger pour que les plus jeunes ne soient pas là, occupés à leurs activités sportives hebdomadaires et surtout que Marie-Hélène soit absente également : c’était assez facile car elle avait ses cours de danse classique un mercredi sur deux
Les deux semaines suivantes m’ont paru une éternité ! J’avais hâte de retrouver Hélène ! Lorsque je suis arrivé et qu’elle m’a ouvert la porte je l’ai découverte vêtue d’une guêpière qui soutenait sa poitrine et maintenait ses bas et d’un string en dentelle noire ! Elle ma fait bander de désir à l’instant même, faisant dresser ma bite dans mon boxer.
« Viens vite ! J’ai envie de sentir une jeune queue dans ma chatte de salope !
- Oh oui ! Moi aussi j’ai envie de faire l’amour !
- Alors viens ! »
Dés que nous sommes arrivés dans la chambre où le lit était prêt à nous recevoir, Hélène s’est débarrassée de son string, m’a déshabillé en un tour de main et a englouti ma bite dans sa bouche vorace. Lorsqu’elle m’a senti à point, elle s’est agenouillée sur la moquette, le buste en appui sur le lit en me disant de la prendre en levrette. Elle m’expliqua rapidement comment me placer et de la main droite, elle présenta ma queue à l’entrée de sa vulve :
« Vas-y ! Empale-moi bien à fond ! N’aies pas peur, baise moi fort ! J’en ai envie ! »
Je ne me suis pas fait prier et d’un seul coup je l’ai embrochée, faisant claquer le haut de mes cuisses contre ses fesses rondes. J’avais placé mes mains de part et d’autre de sa taille pour me maintenir et je la baisais, je la baisais de toute mon énergie de jeune coq. Et le plaisir nous a emporté en même temps, je crachais au fond de sa chatte quelques belles giclées de sperme et Hélène se tordait de jouissance, me secouant dans tous les sens, ruant comme une cavale en furie.
Pour retrouver notre calme, nous nous sommes allongés dans les bras l’un de l’autre et Hélène m’a raconté :
« Ne sois pas surpris de mon comportement, avec mon mari, nous sommes libertins, nous avons découvert cela il y a une dizaine d’années quand nous étions dans un club de vacances. Depuis, nous fréquentons les clubs échangistes du centre de Paris. Les ainés sont au courant de nos pratiques et j’espère bien qu’ils suivront le chemin que nous leur avons tracé. Les garçons sont passés dans les bras de ma cousine Gabrièle qui a fait leur éducation sexuelle. Quant à Marie-Hélène, c’est un ami de longue date qui s’est chargé de la dépuceler il y a un peu plus d’un mois et qui continue de l’éduquer un soir par semaine. Quand l’un et l’autre, vous serez prêt, je ferai tout pour que votre première fois soit un enchantement pour vous deux.
- Oh oui ! Je la baiserai bien et ce sera sans remords puisque vous m’y autorisez. »
Ce jour là, nous avons fait l’amour une seconde fois, beaucoup plus calme, pleins de maitrise en suivant les conseils d’Hélène. C’était très bon et très doux.
Quinze jours plus tard, elle m’expliqua comment la sodomiser, quels étaient les préparatifs et les précautions à prendre pour que la femme et l’homme aient un maximum de plaisir. Quel pied j’ai pris ! Hélène avait la rondelle souple qui s’ouvrait facilement et son antre interdit était chaud et serré sur ma bite.
Lorsque nous nous sommes quittés cet après midi là, elle m’a dit me réserver une surprise pour bientôt ! La semaine suivante je reçus un SMS :
« 14h00 à la maison ».
C’était Hélène. En arrivant, elle m’accueillit tout habillée, comme si elle devait sortir :
« La surprise est dans la chambre de Marie-Hélène ! Elle t’attend ! »
Et elle a quitté la maison. Ce jour là, j’ai fait l’amour à sa fille pour la première fois ! Mais elle, je ne l’ai plus baisée ! Elle avait fait ce qu’elle voulait : me préparer pour donner un maximum de plaisir à sa fille et pourquoi pas aux autres femmes.
J’avoue quelques années après que je ne m’en suis pas privé. Peut-être emmènerai-je Katell dans ces chemins de traverse ? Si elle montre des dispositions, pourquoi pas !
C'est un beau roman, c'est une belle histoire......
Bravo Matou!!!
Qui a dit que c'est un roman ???
Dommage ue je n'ai pas ru la meme belle-mère ! la mienne m'excite à mort, mais rien à faire... elle ne le voit pas !
Dommage que je n'ai pas eu la meme belle-mère ! la mienne m'excite à mort, mais rien à faire... elle ne le voit pas !
Fais-le lui mieux comprendre.. si ca ne te pose pas de problème moral... ;-)
Moi, ma belle mère c'était une pourriture...une pu...elle se faisait remplir par les copians de son mari...Bref, une connasse!!!
Ceci dit, ça n'enlève rien à ce super récit.
Je suis sure que pas mal d'hommes fantasment sur leur bellle-mère !