Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Hier midi, comme souvent, mon chéri et moi nous baignons dans la piscine. Notre maison est assez isolée, il y a juste un voisin, loin, au bout du chemin qui borde la piscine. Une haie nous protège des regards des éventuels, mais très rares, piétions.
Nous jouions à un de nos jeux favoris dans l’eau : je fais la planche, une « frite » sous les bras, et une sous le creux des genoux. Fritz, mon homme est entre mes cuisses, le tuyau d’arrosage à la main. Et avec le jet, il me caresse la vulve, le clito, me pénètre avec le flux tiède. Il module le jet, doux, puissant, picotant, bref, d’j’adore, et cela me fait jouir immanquablement
Bref, nous étions en pleine extase, quand un grondement se fit entendre. Nul doute possible, un camion s’avançait dans l’étroit chemin. Peu importe, nous continuons. Du coin de l’œil, je vois le mastodonte ralentir, et le chauffeur, se pencher pour mieux voir…
Ce petit coup d’œil raviva encore mon excitation, mais le camion repartit.
Je dis à Fritz :
« Tu as vu, mon chéri, ce camion… le mec nous a vus…
- Tu crois ?? Et ca te plait, répondit-il en souriant.
- Oh bien sur, tu sais comme j’aime être vue… »
Et nous continuâmes de jouer… Quelques minutes plus tard, nous entendons le camion qui revient. Cette fois-ci, il stoppe carrément à notre hauteur. Je tourne la tête, et je le vois nettement, assis sur son siège, la fenêtre ouverte. Je lui souris, il me fait un clin d’œil. De là où il est, il a une vue plongeante sur nous ! Sa cabine dépasse de beaucoup la haie de ficus qui nous protège d’habitude. Je dis à mon chéri, toujours absorbé par son travail :
« Regarde il est là, il nous mate. On fait quoi ?
- Eh bien, on le laisse, non ? Enfin, si tu en as envie ! »
Quelle question ! Bien sur que j’en ai envie !
Du coup, Fritz me fait pivoter, de façon à monter à notre voyeur du jour ma chatte bien ouverte, coulante sous le soleil de midi… Du coup, il pivote, et s’assied face à nous. Je le vois qui, déjà, masse son entre-jambe par dessus son jean’s.
Il nous interpelle :
« Belle femme, tu aimes le sexe, toi, on dirait ?
- Oui, elle aime être vue, lui répond Fritz. Tu peux nous regarder, si tu veux.
- J’peux me branler ? demande-t-il, l’œil goguenard.
- Bien sur, elle aime aussi voir des bites bien calibrées ! »
Le routier ouvre sa porte, et s’assied sur le coté de son siège, les jambes ballantes, et en tournemain, ouvre son jean’s pour en sortir un bel engin déjà bien raide !
Je le regarde avec envie, même si je sais que nous en resterons à de l’exhib réciproque…
Sans perdre une minute, je le vois qui commence à se masturber, branlant vigoureusement sa bite d’une main, et massant ses grosses couilles de l’autre… Il nous encourage de la voix :
« Allez, vas-y, ouvre bien sa moule, que je mate bien… Oh putain, quelle belle chatte… T’as vu comme tu me fais bander, ma belle garce ? »
Ses interjections me galvanisent, et m’excitent à mort. J’ondule de plus en plus sous le jet d’eau tiède. Fritz le lâche, pour venir me dévorer mon abricot, déjà prêt à éclater.
Quel pied ! Je vois la bite dure s’agiter pas loin, et la langue magique de mon homme... Il ne me faut hélas que quelques très brèves minutes pour exploser dans sa bouche. Je hurle mon plaisir, à tel point que le voyeur nous dit :
« Mais chut, le voisin va venir !!!!... »
Il est inquiet, tout à coup, et ca me fait sourire. Mon homme me propose à vis basse une levrette sur le bord de la piscine, pour en donner plein les yeux au routier.
J’accepte, et il sort de l’eau pour attraper les matelas des chaises longues. Il les pose de façon à ce que notre voyeur du jour voit tout comme il faut. Je sors à mon tour de l’eau, et il siffle... Visiblement, je lui plais !
Sans perdre de temps, je mets à quatre pattes, le cul tourné vers lui, juste un peu en biais. Mon chéri se met derrière moi, et d’une seule poussée, il s’enfonce dans les chairs intimes. Il est raide, puissant, dur comme une barre à mine…
Bon sang, que j’aime sa bite !
Il me pistonne avec vigueur, et je dois user de toute ma force pour ne pas basculer en avant. J’aime quand il est ainsi. Le routier continue de nous apostropher :
« Allez, baise-là à fond, elle aime le cul, la salope ! Moi aussi, je veux y gouter… Tu ne veux pas me sucer juste un peu… ? Ah oui, je viens, je vais juteeeeeeeeeeeeeeerrrr !!! »
Je regarde vers lui, et je vois un jet de sperme clair qui jaillit, et vient s’écraser mollement sur la haie de ficus. Il ne m’en faut pas plus pour jouir à mon tour… presqu’en même temps que mon homme, dont je sens le foutre bien chaud me remplir le ventre…
Je retombe à plat ventre sur le martelas improvisé, et Fritz vient me couvrir de son torse. Il me serre dans ses bras et murmure :
« Ca t’a plu, ma coquine ? Il était un bon voyeur.... »
Je souris sans répondre…. Le routier nous interpelle à nouveau :
« Ben dites donc, si j’avais pu imaginer ça ! Vous faites ca souvent ?
- Euh... non, mais là, l’occasion était trop belle.
- Si vous voulez plus, je suis votre homme ! Voilà mon numéro de portable. Je viens honorer Madame quand elle veut !
- On y pensera, lui répond mon chéri.
- En tout cas ; pas un mot à quiconque... Nous n’aimerions pas être obligé d’informer votre patron de vos « passe-temps » pendant le travail… ajoutai-je, méfiante.
- Oh bien sur que je ne dirai rien ! J’ai trop envie de recommencer…
- Ok, on te fait signe. »
Il remonte dans son camion, non, sans voir glissé une carte sous la haie, et repart dans un nuage de fumée.
Fritz me serre dans ses bras, et nous retournons à l’eau, histoire de recommencer un peu….
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