Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.
Mes récits sont protégés par e-auteur.com
Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !
Bises libertines,
Sophie
A quarante ans passés, j’ai été marié deux fois et j’ai eu de nombreuses maîtresses, aussi bien lors d’incartades amoureuses d’un soir, qu’entre mes deux mariages où les liaisons étaient plus durables.
Actuellement, je vis depuis deux mois avec Karima, une beurette plus jeune de quinze ans. Comme à chaque fois que des relations ont duré un peu, j’ai noué avec elle une complicité qui permet à chacun d’aller au devant du désir de l’autre. C’est ainsi que nous avons des séances de baise qui nous laissent parfois au bord de l’épuisement.
Le week-end dernier a été torride. Le vendredi soir, nous avions invité deux couples d’amis à diner à la maison. Dès qu’ils ont été partis vers deux heures du matin, j’ai rejoint Karima dans la cuisine où elle faisait quelques rangements d’urgence.
Je l’ai surprise devant l’évier. J’ai remonté sa jupe longue que j’ai bloquée dans sa ceinture et après avoir écarté le cordon de son string, je me suis introduit dans sa chatte en passant par derrière. Elle a à peine changé de position, se contentant de s’incliner vers l’avant pour plus de confort.
Nous avons eu une bonne jouissance simultanée. Nous sommes rapidement passés dans notre chambre où nous avons baisé une nouvelle fois. Le samedi soir, nous nous sommes couchés de relativement bonne heure et nous nous sommes offert une nouvelle partie de jambes en l’air avant de dormir et récupérer un peu.
Mais c’est le dimanche matin qu’il faut que je vous raconte. Alternativement nous servons le petit déjeuner au lit à l’autre. C’était au tour de Karima. Elle est arrivée avec le plateau qu’elle a posé au centre du lit avant de se recoucher près de moi. Tout en mangeant, nous avons bavardé et évoqué notre semaine de travail et celle à venir.
Je devais m’absenter pour deux jours pour un séminaire en province. C’est en mettant de la confiture sur un toast grillé que les jeux ont commencé. En passant la tranche de pain à Karima, je l’ai échappée et elle est venue s’écraser sur un de ses seins (nous étions entièrement nus comme d’habitude).
Lorsqu’elle a voulu enlever la confiture avec une serviette, je lui ai dit :
« NON, laisse-moi faire ! »
Je me suis tourné vers elle et je suis venu lécher son sein pour l’en débarrasser. Il est évident que j’en ai profité amplement pour bien lui croquer le téton qui, sous l’effet de ma caresse s’était mis à bander. Pour que le deuxième sein ne soit pas en reste, j’ai pris une cuillère de marmelade d’orange et je l’ai disposée sur son sein gauche en couvrant toute l’aréole.
Lorsque j’ai terminé de l’ôter, nous étions tous les deux bien excités. Karima avait les tétons sortis comme je ne les avais jamais vus et moi, j’avais la bite si bien dressée que, dès que nous avons débarrassé le lit du plateau, j’ai embroché la chatte de Karima.
Il ne nous a pas fallu longtemps pour arriver à une belle jouissance au cours de laquelle j’ai déchargé une importante quantité de sperme. Dès que ma belle a été libérée, elle s’est levée et elle est allée dans la cuisine. Je l’ai vue revenir avec une bombe de crème Chantilly.
« Mets-toi sur le dos, nous allons nous amuser ! »
Sitôt dit, sitôt fait. Elle a secoué la bombe et elle a enduit ma bite et mon pubis (rasé) de crème. C’était froid mais agréable. Se penchant vers mon sexe, elle a d’abord léché la crème le long de la hampe puis elle a avalé mon gland pour le débarrasser également de la crème.
J’avais chaud désormais. En même temps Karima avait nettoyé ma queue des sécrétions de la baise précédente.
« Humm, la crème mélangée au foutre c’est bon !
- Je vais y gouter aussi.»*
J’ai déversé une copieuse couche de crème sur son pubis et dans l’entrée de sa vulve avant d’aller à mon tour la lécher. J’ai commencé par le pubis glabre de ma copine. Je suis ensuite descendu un peu plus bas, j’ai aspiré son clitoris sorti du capuchon et ensuite j’ai lapé comme un chat l’entrée de sa vulve au point que Karima s’est mise à jouir, mélangeant un jet de cyprine au reste de crème.
« Viens, je vais te prendre en levrette ! »
Docilement Karima s’est mise à genoux sur le lit en me présentant sa croupe levée, une main allongée devant elle, l’autre sous ses seins. La fellation à la crème et l’excitation ressentie en léchant le sexe de Karima avait fait dresser ma bite, raide comme un bâton.
Je l’ai introduite entre les globes fessiers largement fendus par la position. Après quelques allers-retours dans la chatte, je suis sorti et j’ai présenté mon gland à l’entrée de l’anneau plissé. Une petite poussée pour franchir le sphincter et j’étais au fond du cul de Karima. J’ai alterné les pénétrations jusqu’à ce qu’une jouissance démente nous emporte tous les deux. Une fois encore j’ai déversé une belle quantité de sperme sur les reins de ma belle.
Le reste de la matinée s’est passé dans un doux farniente au cours duquel nous avons savouré le plaisir et les jouissances successives….
Le Matou est en forme en ce moment, et c'est tant mieux.
Je confirme le coup de la chantily pour l'avoir pratiqué à plusieurs reprises.
Ma dernière maitresse était gourmande de ce genre de gâterie, pour mon plus grand bonheur.
J'ai bandé en lisant ce récit.