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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Je travaillais encore. C'était quelques temps après que Valy, dont je vous ai déjà parlé, soit partie vers d'autres aventures. Dans un des hôpitaux de la région parisienne il y avait une infirmière extrêmement sympathique, très agréable à regarder. Enfin, moi en tous cas j'aimais beaucoup sa silhouette. Elle s'appelait Judith. Elle avait cinquante-trois ans, 1,65m environ pour soixante kilos.

 

Longs cheveux roux et deux splendides yeux noirs brillants. Elle était Yougoslave, Serbe comme on le dit maintenant, et était en France depuis presque vingt ans maintenant. Son délicieux accent revenait parfois et me ravissait. Chaque fois que je venais dans son service, nous ne manquions pas de longuement parler tous les deux. Lâchement, je déléguais à mon collègue la charge de s'occuper des formalités d'admission de notre client pour inviter Judith à prendre un café dans le coin ''bistro'' situé dans le grand hall d'accueil.

 

Chacun de nous deux faisait une cour effrénée à l'autre, juste comme ça pour le plaisir, sans nous dire qu'il fallait absolument que nous tombions vraiment dans les bras l'un de l'autre. Cela nous permettait de nous faire des petites confidences sur ce que nous aimions en amour. J'ai bien dit ''des petites confidences'', faut bien se garder une part de mystère tout de même, non ?

 

Ce petit jeu dura de longs mois, au bout desquels nous étions devenus très amis, jusqu'à ce mardi de début février où le froid et la neige que l'on voyait par les grandes vitres régnaient sur le paysage. Est-ce le spectacle de cette nature blanche et froide qui lui rappelait son pays qui influa sur la libido de Judith? Je l'ignore mais toujours est-il qu'elle me proposa de venir chez elle en fin de semaine sous le prétexte de me faire visiter la maison qu'elle venait d'acheter et restaurer en banlieue.

« Il faut absolument que tu la vois, dans le salon il y a une belle cheminée, pour les soirées d'hiver. Ça donne un cachet tout à fait particulier. Je suis sûr que tu vas aimer venir chez moi. Le feu brûlera dans la cheminée quand tu arriveras. »

 

Je m'empressais d'accepter son invitation et lui proposai le samedi de la fin de semaine suivante, où je ne serais pas d'astreinte. Nous sommes tombés en accord. Nous quittons alors ce bistro sur un petit bisou légèrement coquin, comme à notre habitude. Cela n'a jamais été plus loin entre elle et moi, je ne sais même pas pourquoi, elle non plus d'ailleurs. Ce n'était pas l'envie qui me manquait de la connaître un peu mieux. Je suis heureux que Judith ait fait le premier pas et j'ai hâte d'être à samedi.

 

Judith est une célibataire qui s'est fait faire volontairement, un enfant par un amant de passage, il y a fort longtemps. Son fils a maintenant vingy-cinq ans, il vit de ses propres ailes à Montréal. Judith peut ainsi mener sa vie de femme comme elle l'entend, et ne s'en prive pas. Elle s'efforce de regrouper ses jours de repos pour aller faire des séjours en bord de mer au Club Med où, tout le monde le sait, il se passe toujours des choses fort agréables. A son retour Judith se fait un plaisir de nous raconter ses aventures.

 

Le samedi du rendez-vous arrive enfin. J'ai hâte d'y être, je sais d'elle qu'elle ne refuse que très peu de choses en amour. J'arrive chez Judith vers dix-neuf heures, les bras chargés d'un bouquet de fleurs et de deux bouteilles de champagne. Ma belle rousse m'accueille avec un grand sourire qui la rend encore plus désirable. Son sourire est gourmand. Ses lèvres s'écartent largement découvrant des dents blanches qui sentent l'envie de mordre sensuellement. Elle est vêtue d'une ravissante robe noire qui découvre des épaules que j'ai envie d'embrasser. Sa poitrine généreuse donne l'impression de se trouver trop à l'étroit dans cette robe. Je suis de son avis, moi aussi je trouve que ses seins devraient respirer librement.

 

Judith prend le bouquet grâce auquel j'ai droit à un grand merci et un bisou supplémentaire qui nous fait joindre nos lèvres brièvement. Nos langues se font une petite léchouille amicale. Nous entrons, Judith referme la porte derrière nous. Il fait délicieusement bon dans sa maison. A cette époque de l'année le ciel est presque noir et le salon où elle me fait rentrer n'est éclairé que par le feu de la cheminée. Elle est très grande et des branches de châtaigniers y brulent, répandant une bonne odeur et nous octroyant cette belle musique que sont les craquements de ce bois-là quand il crame. Tout cela éveille mes sens et je me demande si nous allons baiser comme nous en avons envie elle et moi depuis quelques temps.

 

Judith me conduit à sa cuisine pour mettre mes bouteilles au frais puis me fait visiter sa maison. Elle est agréable à vivre et meublée avec goût. Sa chambre est surprenante. Elle est assez austère, presque monacale. Les murs sont blancs semblant peints à la chaux, aucune décoration, aucun tableau, juste des spots éclairant la pièce a giorno. Le lit est un « 'Futon »' ou similaire, il est vaste, ses dimensions ne sont pas standards. Il fait environ deux mètres cinquante de côté. Un grand carré donc. Elle semble en être très fière et me le montrant elle me dit avec de la coquinerie dans l'œil :

« Il est super mon lit, hein ? Je l'ai fait faire sur mesure. J'adore avoir mes aises quand je suis couché. Et....... On ne sait jamais…............ n'est-ce pas ?  »

 

Et elle part d'un grand éclat de rire. Ce rire de gorge me parle plus que tout un long discours. Le seul commentaire que je trouve à lui faire c'est de la prendre dans mes bras pour l'embrasser, elle n'oppose aucune résistance, au contraire elle se colle à moi et m'étreint. Nous nous embrassons ainsi un long moment. Mes mains voyagent sur son corps de femme mûre.

 

Ses soixante kilos admirablement répartis, lui donnent des hanches arrondies une poitrine conséquente sans abuser et, je m'en apercevrais plus tard un petit ventre rond. Tout est ferme et doux au toucher. Je meurs d'envie d'aller plus loin là tout de suite, mes mains le lui font comprendre, mais Judith se sépare de moi et m'entraine vers le salon en me déclarant sur un ton enjoué bien que sa voix trahisse une émotion certaine:

« Non, s'il te plait Bruno, sois patient veux-tu ? Allons dans le salon boire un verre devant la cheminée, ce sera plus sympa encore…

- Ok Judith, tu as raison ce sera bien mieux. »

 

Nous nous dirigeons donc vers le salon main dans la main. Devant la cheminée qui nous câline de sa chaleur, il y a une table basse sur laquelle il y a une multitude de raviers bien garnis et des verres. Judith m'installe sur le canapé et s'en va chercher à boire, elle revient avec whisky et coca. Elle emplit nos verres en me précisant que notre repas est dans ces raviers où nous puiserons à notre guise et à la fin nous boirons le champagne. Voilà qui me convient parfaitement. Mais avant de s'installer à mon tour, Judith se penche vers moi pour me retirer ma veste. Je n'ai plus que ma chemise et mon pantalon pour cacher une pudeur que je n'ai d'ailleurs pas du tout.

 

Verre en main, nous nous nous regardons un long moment, aucun mot ne sort de nos bouches. Nous nous rendons compte que jusqu'à ce jour nous avons essentiellement parlé boulot. Mais très vite je parle de ce que je vois autour de moi complimentant Judith pour la qualité de sa décoration qui fait de sa maison un petit nid extrêmement agréable.

 

Cela suffit à la lancer dans une grande tirade au cours de laquelle elle me parle de ses recherches et de ses travaux. Voilà u sujet sans aucun doute passionnant et l'enthousiasme qu'elle met dans ses paroles ajouté aux verres que nous buvons, lui met du rouge aux joues. Cela la rend encore plus désirable. Sa poitrine danse dans sa petite robe et ce qui devait arriver arriva, un de ses seins sort de sa cachette. Judith ne s'en aperçoit pas tout de suite, c'est l'insistance de mon regard qui lui donne l'alerte.

 

Elle rougit un peu plus et éclate de rire en tentant de remettre l'évadé dans sa cage. Je l'en empêche, il est si beau à voir. Le téton pointe bien, une aréole large et moins claire que la peau lui fait une couronne. J'adore ce spectacle et le lui dis. Ma main qui tenait la sienne pour lui interdire de remettre de l'ordre descend sur ce sein et le caresse doucement. La peau est douce, très, le sein est diablement ferme. Judith est sensible au toucher car quand mes doigts touchent son téton, elle se cambre en gémissant légèrement. Je prolonge mon geste pour sortir l'autre sein de sa prison. Judith me regarde faire, elle sourit en me fixant de ses beaux yeux noirs. Il n'en faut pas plus pour que je bande, je suis à l'étroit dans mon pantalon.

 

Ce petit incident a provoqué un moment de silence dans la pièce, ponctué par le crépitement des branches de châtaigniers dans la cheminée. Je le romps en lui disant qu'elle a une poitrine superbe, et pour le lui prouver, je me penche vers elle et couvre ses seins de baisers en mordillant de temps en temps ses tétons. Judith se tortille en gémissant. Décidément elle prend plaisir à se faire caresser, et moi qui aime le faire je suis aux anges. Elle est en feu, sa robe la gène, alors elle la retire vite et la jette à travers la pièce. A ma grande surprise je constate qu'elle est nue sous sa robe. Elle est belle ainsi et lui en fait compliment.

 

Un petit ventre légèrement bombé, tout mignon que je caresse. Bon sang, que sa peau est douce ! Sa chatte vierge de tout poil est une petite œuvre d'art à sa manière. Les lèvres sont charnues et longues elles protègent un capuchon qui recouvre un clito que je sens pointer. Judith est chaude comme la braise, son corps ondule sur le canapé, elle respire fort, ses mains sur ma tête tentent de s'accrocher à mes cheveux mais mon brushing ''à la Kojak'' le lui interdit.

 

Alors, elle appuie fort sur ma tête pour m'indiquer le chemin à suivre. Je n'ai pas attendu sa permission, car ma langue est déjà arrivée sur la petite queue qui sort de sa cachette. Durant que je la lèche ma main visite sa chatte. Elle est inondée, déjà. J'adore le clapotis que font mes doigts en dansant à l'intérieur.

 

Judith est une ''chanteuse''. Elle gémit, râle, sort des mots orduriers pas toujours faciles à comprendre car dans l'excitation elle parle dans sa langue maternelle. C'est con, je ne comprends pas cette langue mais ça m'excite. Mon pantalon me fait mal, mais mes mains sont si agréablement occupées qu'elles n'ont pas le temps de me dévêtir. Elles déchainent Judith au point que plus rien ne compte pour elle que son jouir et seulement son jouir. La voir ainsi gémir et onduler sur le canapé est un spectacle si excitant que mon pantalon me fait de plus en plus mal.

 

Et je dois avouer qu'au moment où j'écris ces lignes l'évocation de cette soirée me fait bander.

 

Par chance, ma chérie est de passage, il est très tôt ce matin, elle dort encore. Dés que ce chapitre sera terminé, je vais la réveiller en douceur et nous allons nous aimer avec ardeur et passion. Elle ne saura jamais la part importante que Judith a dans ce que nous allons faire. Et je compte sur toi, ami lecteur pour garder le secret. Merci.

 

Oh ! Et puis non, j'arrête d'écrire et je vais rejoindre ma chérie dans mon lit. A tout à l'heure.......

 

 

…......Voilà, avec le plus grand plaisir de ma chérie et le mien, nous avons passé un délicieux moment d'amour débridé bien enrobé de l'amour que nous avons l'un pour l'autre. Elle est restée au lit, elle est belle ainsi, apaisée par l'amour. Quant à moi, j'ai les sens reposés, je me remets à l'écriture pour finir de vous raconter ma soirée avec Judith.

 

Décidément, ma queue semble ne plus vouloir s'arrêter de grandir, ça en devient douloureux, aussi j'abandonne un instant Judith pour me mettre nu moi aussi. Elle est dans un autre monde, ma Judith. Je me lève et me déshabille rapidement. Elle ne s'est même pas aperçue que je l'avais abandonnée tant elle est dans son délire. Continuant ses râles elle se masturbe à deux mains. Je m'écarte un peu pour assister au spectacle puis je reprends mes caresses sur tout son corps lentement, cela accentue ses gémissements, j'insiste lourdement jusqu'à ce qu'enfin elle atteigne l'orgasme. Tout son corps se raidit elle pousse un grognement de fauve puis se détend d'un coup et sombre dans une sorte de sommeil.

 

Elle m'a épaté là, vraiment. Rien dans son comportement ordinaire ne laissait soupçonner ça. Je reprends mes caresses mais avec ma bouche, en effleurant toutes les parties de son corps. Je commence par sa bouche, ses lèvres sensuelles acceptent mon baiser, nos langues se mélangent, puis je redescends doucement en évitant soigneusement sa chatte. J'arrive enfin à ses pieds, je mordille un à un ses orteils, ses pieds, cela la réveille car elle me dit:

« Oui ! Oui ! J'adore ça continue, Ouiiii !! »

 

C'est elle qui fait bouger son pied pour que je mordille là où elle aime. Son excitation reprend le dessus, mais cette fois-ci je veux aussi en profiter, aussi je me couche tête-bêche. Judith serre ma queue avec force tout en me gobant les couilles, elle fait ça avec un mélange de douceur et de frénésie qui me fait grimper au rideau. Enfin je pénètre sa bouche, elle me suce avec une douceur infinie. C'est sublime, je fais des efforts surhumains pour ne pas jouir tout de suite.

 

Je lèche goulument sa chatte toute humide de sa jouissance. Elle pousse des gémissements, sourds, puisque ma queue lui sert de bâillon. Je sens une de ses mains me caresser les fesses. Elle arrive à mon petit trou, un de ses doigts caresse ma rosette et sans crier gare elle entre son doigt dans mon cul vite suivi d'un second et me sodomise ainsi. Prêt à exploser depuis un bon moment déjà je ne peux plus me retenir et sans avoir le temps de la prévenir j'explose dans sa bouche. Judith avale consciencieusement sans perdre une seule goutte et jouit à son tour.

 

Nous restons reliés ainsi un long moment pour reprendre nos esprits puis nous changeons de position. Je m'assieds sur le canapé elle s'allonge et pose sa tête sur mes genoux. Elle met ma queue entre ses lèvres comme elle le ferait d'une cigarette. Et pendant que nous parlons, elle ponctue ses phrases d'un léger mordillement de mon gland. J'adore ce jeu. Je ne lui avais jamais dit que j'étais bisexuel et que mon grand plaisir était de me faire sodomiser. Je le lui dis donc et elle comprend alors pourquoi ces doigts m'ont fait jouir si vite.

«  Mais tu m'avais caché ça mon salop !! Alors comme ça Mossieur aime se faire enculer ? Aaaaah ! Je sens qu'on va bien s'amuser tous les deux. J'ai tous les jouets qu'il faut ici. Mais d'abord, mangeons un peu, je meurs de faim. Pas toi ?

- Oui, t'as raison, je meurs de faim et puis j'ai soif aussi. Et si tu veux tout en mangeant, on va continuer à jouer, Ok ?

- Je suis toujours d'accord pour jouer, tu sais ! »

 

J'avais noté que dans les raviers sur la table basse, il y avait tantôt des cornichons, tantôt des petites saucisses, et ça aiguisait la gourmandise un peu cochonne que j'ai en matière de sexe. Nous commençons donc à grignoter les toasts que Judith avait préparés, entrecoupés de verres de vin.

 

Nos corps nus nous excitaient, et boire ne calmait rien bien au contraire, mais nous n'étions pas là pour autre chose que nous faire l'amour dans la joie. Alors bien vite, ça dégénéra un peu. Judith me demanda de bien m'adosser au canapé avec mes fesses au bord du coussin. Elle écarta mes jambes et se mit à genou devant moi un verre de vin dans la main gauche. Tout en levant les yeux sur moi elle ouvrit la bouche pour faire reposer mon gland entre ses lèvres. Elle leva sa main gauche et fit couler doucement le vin entre mes deux seins.

 

Le filet de liquide glissa lentement vers le bas. Judith contrôlant la position de ma queue permit au vin de couler le long de ma hampe et d'entrer dans sa bouche. Quelle délicieuse façon de boire, n'est-ce pas?

 

Bon garçon, je lui prends le verre des mains afin qu'elle puisse mieux boire son vin avec ma queue comme paille. Ravie, elle s'installa un peu mieux et sirota le vin coulant le long de ma bite. Je sentais sa langue qui parfois effleurait mon gland. Ce petit jeu, aussi amusant soit-il, ne put durer bien longtemps car je me suis mis très vite à bander. Judith, ravissante salope allumeuse, avait bu son verre de la manière qu'elle désirait, aussi se releva-t-elle avec un sourire aux lèvres, et dans le regard, du vice à revendre.

 

Debout, face à moi, bien campée sur ses jolies jambes et sa chevelure de feu elle avait tout d'une ravissante sorcière. Quelle silhouette fabuleuse, un vrai violoncelle, taille bien prise et hanches légèrement rebondies. Elle est extrêmement désirable. Avec du rire dans la voix, elle me dit:

« Bruno chéri, moi, j'ai faim, mangeons et je te promets qu'après tu pourras te venger.

- Tu me le promets ? Alors d'accord, mangeons ! »

 

Elle se rassoit à côté de moi et nous commençons à manger, ou plutôt à grignoter ce qu'il y a dans les raviers le tout arrosé d'un excellent vin rouge assez traitre pour nous monter à la tête sans crier gare. Il me tarde que nous arrivions au dessert car j'ai une furieuse envie de baiser ma si gourmande serbe..............

 

A suivre !

 

Par Bruno Bi - Publié dans : Bruno, le libertin - Communauté : Au royaume des salopes
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