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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Voilà maintenant trois semaines que Kaline est passée chez moi, pour une partie de câlins plus que fort agréable. Nous étions convenus de nous revoir mais en sauna. Je suis heureux car c'est pour aujourd'hui. Je lui téléphone pour être certain qu'elle sera là. Elle me confirme que oui. D'ailleurs elle passe à la maison pour que nous partions ensemble. 

 

Son arrivée chez moi a mis du feu dans mes yeux. Et ailleurs aussi. Elle n'est vêtue que d'un chemisier si fin qu'il en est transparent. Une minijupe style « attentat à la pudeur ». Sans la moindre culotte. Elle n'en porte jamais. Je meurs d'envie de la prendre là tout de suite et laisser tomber le sauna, mais je me retiens, car là-bas, si nous rencontrons des gens sympas, le plaisir sera accru. Aussi, je remballe mon désir et nous partons. Il est à trente-cinq kilomètres de là. Je roule doucement, non pas que je sois ennemi de la vitesse, mais pour la prudence la plus élémentaire. Figurez-vous que « ma » Kaline s'est déchaussée, ses pieds reposent au dessus de la boîte à gants.

 

Sa micro-jupe n'a besoin de personne pour remonter, aussi la superbe chatte de Kaline est exposée à tous les voyeurs, dont je fais partie. Vous ai-je déjà parlé de son minou ? Oui? Tant pis, je recommence, il est si beau. Une absence totale de poils met en valeur des lèvres charnues et vraiment très appétissantes, elles sont dominées par un clito, joli petit bouton très sensible et érectile qu'elle aime à caresser souvent. C'est, d'ailleurs, ce qu'elle fait pendant que je conduis. Ce n'est pas une branlette destinée à jouir très vite. Pas du tout. Il s'agit, pour cette femme, de simplement câliner tendrement sa chatte et laisser le plaisir envahir son corps.

 

Elle est passée maîtresse dans l'art de caresser sa chatte sans jouir. Elle est, en faisant cela, comme dans un état second. Ces yeux se voilent un peu. Elle me fait penser à mon chat quand il se blottit contre moi et qu'il ronronne quand je le caresse. Kaline est belle à voir quand elle agit comme ça. Difficile pour moi d'être attentif à la conduite. Alors, rouler à 40 ou 50 km/h est beaucoup plus sage.

 

Lorsque nous arrivons devant le sauna, j'ai le corps en feu et Kaline donne l'impression d'être un peu grise, à cause de ses caresses. En un mot, nous n'aurons pas besoin d'un temps d'adaptation avant d'entamer nos jeux. Passage obligatoire par les vestiaires d'où nous ressortons avec notre serviette sur l'épaule, et non autour de la taille. Nous nous dirigeons vers les douches. Lieu d'hygiène indispensable, mais aussi lieu de jeux « publiques », puisque ici la douche est une grande salle dans laquelle sont placées des pommeaux permettant de se laver. Très souvent, et c'est le charme du lieu, une main, pas uniquement secourable, vient vous aider à vous frotter le dos. J'apprécie beaucoup cela personnellement, l'après-midi surtout, car ce sauna est à ce moment là réservé aux gays. Et je trouve très excitant qu'un inconnu vienne explorer toutes les parties de votre corps au vu et au su de tous.

 

Le plaisir qu'on te donne ajouté à celui que tu éprouves d'avoir des spectateurs est quelque chose que j'adore. Quand nous entrons il y a un couple et un homme seul. Celui-ci ne nous plaît pas, ni à l'un ni à l'autre. Non pas qu'il soit moche, non, il ne nous plaît pas, c'est tout. D'autorité, Kaline nous dirige vers ce couple et entreprend de s'occuper de la jeune femme, quarante-cinq ans environ, un peu potelée, appétissante comme une gourmandise. Celle-ci, on apprendra plus tard qu'elle se nomme Véro, se laisse faire par Kaline et lui rend « 'coup pour coup ».

 

Spectacle on ne peut plus érotique, qui nous fait bander, son homme et moi. Nous sommes tous les deux, l'un à côté de l'autre. Je laisse mes yeux parcourir son corps. Il doit approcher de la cinquantaine, totalement glabre. Cerise sur le gâteau il a une queue bien droite très comestible. Le gland fait une sorte de casque au dessus de la hampe, les bords dépassant. J'aime beaucoup les bites comme celle-là. Je ne peux m'empêcher de lui en faire compliment. Ses yeux me sourient, il me dit brièvement :

« Jacques, mais je t'en prie si le cœur t'en dit, Bruno…

- Merci, c'est avec plaisir. »

 

Son corps est déjà tout savonneux, cela ne m'interdit pas d'en recueillir encore au creux de ma main pour lui masser, délicatement, son joli trois pièces et son entre fesses. Il adore ça, je le sens car il se cambre un peu et son muscle fessier se détend. Il soupire de temps à autres. Je me demandais s'il fallait ou non que je lui demande de s'occuper de moi quand, enfin, une ses mains me branle tandis que l'autre part en exploration vers mon petit trou. Un régal. L'homme, seul dans son coin, nous regarde faire en se caressant. Il n'approche pas de nous. Tant mieux, cela aurait été vexant pour lui, je pense, que nous le repoussions.

 

Il est toujours sous son pommeau de douche qui déverse sur lui de l'au tiède. Il s'astique   copieusement la queue. Je souris en le voyant faire en me disant qu'il ne sera pas venu pour rien. Je m'accroupis aux pieds de Jacques et mets son gland entre mes lèvres. Juste le gland. De la pointe de ma langue, je titille le méat. Très vite Jacques gémit et s'agite, j'ai toutes les peines à continuer. Je change donc de tactique et fais entrer sa hampe dans ma bouche. Elle est tiède et très douce, je me baise la bouche avec cette belle queue ce qui me laisse liberté de le doigter.

 

Jacques a l'air d'apprécier ce que je lui fais car, il plie légèrement les genoux pour que mes doigts entrent plus facilement. Seuls le pouce et l'auriculaire sont dehors. Je l'encule ainsi tout en le suçant. A mes côtés, Véro a changé de position et s'est accroupie pour déguster la chatte de Kaline. J'ai hâte de voir la réaction de Véro quand Kaline jouera les femmes fontaines. Ce ne devrait plus être très long, vu le traitement que lui fait subir la belle Véro. J'arrête de sucer Jacques et me relève. Il s'en étonne. De la main, je lui fais signe d'attendre et me mets derrière Kaline et je passe mes mains autour de sa taille.


Soudain, je la sens se raidir et se cambrer légèrement. Ses jambes se dérobent sous elle. Je la serre alors pour lui éviter de chuter sur le carrelage. Elle se laisse alors aller et en poussant des gémissements, elle jouit et explose dans la bouche et sur le visage de Véro qui, surprise, manque de tomber elle aussi. Une petite douche rapide pour que les deux gourmandes se

remettent de leurs émotions et nous quittons, tous quatre, la salle de douche. Direction le coin bistro. Installés dans nos fauteuils, nous dégustons nos cafés et nous présentons. Marrant cette situation où on commence par se faire de gros câlins et ensuite seulement on se présente les uns aux autres.

 

Jacques est commercial, et Véro travaille dans une boutique d'esthétique. Kaline et moi leur en disons aussi peu. C'est bien suffisant. L'important est que nous sachions le principal, nos prénoms et nos goûts. Avec ça, nous allons pouvoir passer une excellente soirée. Vero est une femme rousse aux yeux bleus très clairs, qui doit culminer à un mètre soixante au dessus du niveau de la mer. Cela convient parfaitement à mes un mètre soixante-dix. Son corps est parsemé de taches de rousseur du plus bel effet, il est intégralement épilé. Seul au pubis reste une petite touffe de poils roux taillée en forme de cœur. Véro est pulpeuse et se dégage d'elle une sensualité contagieuse.

 

Je me penche vers elle, l'embrasse dans le cou et lui dit que j'ai très envie d'elle. Elle tourne la tête vers moi et nos lèvres se rejoignent. Je bande fort. Véro quitte son fauteuil, je me lève aussi. Elle tourne la tête vers son mari et lui:

« Jacques, mon amour, Bruno et moi devons avoir une petite conversation, tu permets que nous nous éloignions ?

- Bien sûr ma douce, allez-y, Kaline et moi, allons nous consoler ensemble, mais attention, nous risquons de vous rejoindre assez vite ! »

 

Cet échange se fait, bien sûr, avec des sourires gourmands de part et d'autres.

 

Véro et moi quittons le coin bistro. Sûrement par crainte que nous nous perdions en route, Véro me tient par la queue. Marrant et excitant comme situation. Kaline et moi échangeons un regard complice et je suis cette jolie rousse. Comment résister quand une jolie femme me tient par « les sentiments » ?

Nous trouvons une pièce libre. Les quatre murs sont des miroirs. Le sol est entièrement occupé par un immense matelas recouvert d'une matière imperméable. C'est l'endroit idéal pour nos jeux, car Kaline, qui est fontaine à ses heures, pourra, quand elle nous rejoindra, jouir et répandre sa jouissance, et nous, ou au moins moi, nous rouler dedans, j'adore.

 

Véro et moi, nous allongeons. La bouche et les mains de l'un parcourent le corps de l'autre avec gourmandise. Ma partenaire a une peau douce comme du satin. Aucun poil ne vient me perturber. Il semble que cette jolie rousse n'a pas du feu que dans les cheveux. Son corps entier est un brasier. Elle ondule son joli corps au rythme de mes caresses et gémit sans cesse. Elle est très excitée et tous les pores de sa peau exhalent cette odeur aphrodisiaque que seule une vraie rousse est capable de répandre. J'adore vraiment.

 

Véro est déchaînée. J'ai l'impression qu'elle est plusieurs tant je la sens partout sur mon corps. Je suis aux anges. Nous nous mettons en 69, moi à quatre pattes au dessus d'elle. Je peux enfin déguster sa chatte dont les lèvres appellent à l'amour. Elle est toute humide, sa mouille barbouille ma bouche. Elle a abandonné ma bite et s'occupe de mes fesses. Un doigt de chaque main est en moi. Elle les fait aller et venir en alternance. Je commence à mouiller du cul moi.

J'entends derrière moi la voix de Kaline prononcer « Pardon ! ».

 

Je lève la tête et constate qu'elle s'adresse à deux hommes qui nous matent sur le pas de la porte. Derrière elle Jacques la suit, tous deux nous rejoignent et Kaline pousse Jacques à se coucher sur le dos, elle s'assoit sur elle, sa chatte sur sa bouche. Elle fait des mouvements du bassin, lents et longs en gémissant de plus en plus. Ses mouvements sont de plus en plus rapides. Je commence à la connaître un peu ma Kaline aussi je sens que l'ami Jacques ne devrait pas tarder à avoir une heureuse surprise.

 

Ça y est elle arrive, la surprise. Kaline se crispe, tête penchée en arrière, tous muscles tendus et elle jouit, inondant le visage de son amant. Il ignorait avoir à faire à une femme fontaine. Vu sa réaction, je n'ai aucun doute sur le fait qu'il adore ça. Le traitement que Véro me fait subir, ajouté au spectacle auquel j'assiste, me fait comprendre qu'il est temps que je rende visite à son intérieur. Je le lui dis. Elle s'empresse de se coucher sur le dos, ses jambes repliées à hauteur de ses épaules. Bon sang, qu'elle est souple ! Ainsi couchée, tout son entrejambe est offert. J'opte pour sa chatte.

 

Ma queue, sous emballage, entre en elle. Elle est bouillante et toute humide. Des « ploc ! Ploc ! » scandent mes mouvements. Mélomane dans l'âme, j'apprécie cette musique-là. Pour en jouir plus longtemps je ralentis mes gestes pour que la route vers l'orgasme soit plus longue. Allongée à côté de Véro, Kaline a pris l'affaire en main. Elle est assise sur Jacques et se fait copieusement enculer. Elle adore ça. Elles sont belles toutes les deux quand elles reçoivent du plaisir.

 

Kaline arrête un bref instant pour changer de position. Elle s'allonge sur le côté son visage contre celui de Véro. Elle lève une de ses cuisses et Jacques reprend sa sodomie. Les deux femmes gémissent leur plaisir, bouche contre bouche. Elles sont jolies ainsi. Aux gémissements de Jacques, je sens qu'il ne va pas tarder à jouir. J'accélère alors moi aussi, pour tenter de jouir en même temps que lui. J'explose un peu avant les deux femmes. Celles-ci, bouches jointes en un baiser plus que goulu, gémissent et jouissent en quasi sourdine. Tout cela s'est passé sous les yeux de troiq hommes debout autour de nous qui se branlaient copieusement en nous regardant jouer.

 

Nous retirons nos capotes et nos deux jolies salopes entreprennent de nous faire une toilette gourmande que nous allons compléter aux douches, histoire présentable en allant au coin bar. Nous parlons et rions un long moment autour d'un soda. Jusqu'au moment où Kaline se penche vers moi et me glisse à l'oreille et à mi-voix, mais de manière à être entendue par nos deux amis :

« Ça me ferait vraiment plaisir de voir Jacques t'enculer, tu sais !

- Oh oui, j'aimerai beaucoup voir ça, ça m'excite quand je vois mon chéri saillir un autre homme. »

 

Nous voilà partis tous les quatre à la recherche d'un matelas libre. Ça n'est pas chose facile. On finit par entrer dans une pièce assez grande où seul un couple est en train de baiser. Par chance, ils n'utilisent qu'un petit bout de matelas. Nos deux femmes décident de nous préparer, Véro suce la queue de son mari, qui n'a pas besoin de ça, puisqu'elle bande déjà. Kaline, quant à elle, me fait une magistrale feuille de rose. Jacques arrête très vite sa femme, peur d'exploser dans sa bouche. Il prend tout son temps pour enfiler sa capote, histoire de faire tomber un peu la pression.

 

Je m'allonge sur le dos et attend que Jacques me prenne. Avec impatience, je dois dire, vu le plaisir qu'a pris Kaline tout à l'heure. Enfin, il se présente. De ses mains, il enserre mes chevilles, avec de très légers mouvements de son bassin, il balaie ma raie avec son gland. Superbe sensation, mais difficile à supporter tant il augmente mon envie. Si mon petit trou avait une main, Jacques serait en moi depuis un moment. Je suis obligé de lui demander d'entrer en moi. Son gland appuie sur mon sphincter. D'un grand coup de rein, il me pénètre et son bassin vient claquer sur mes fesses.

 

Enfin ! Mes mains sur ses hanches l’empêchent d'aller et venir. Je veux le sentir en moi un moment encore. J'adore cet instant où une queue et mon cul font connaissance. Mais Jacques est plus impatient que moi, aussi recule-t-il légèrement pour mieux me pénétrer encore et enfin je sens sa belle bite aller et venir en moi. Cela faisait un moment que ça ne m'était pas arrivé…

 

Je bouge mon bassin pour aller au devant de ses coups de reins. Il a une manière toute particulière de baiser cet homme. Tout en allant et venant en moi, il bouge ses hanches de telle manière que j'ai l'impression que sa queue tourne en moi, en frottant la paroi intérieure de mon ventre. Super comme sensation.

 

Pendant que nous nous donnons du plaisir tous les deux, Kaline, jolie salope, joute avec Véro. C'est à celle qui sera la plus hardie. La pièce résonne de leurs gémissements et de leurs mots (orduriers) d'encouragement. Je commence à connaître ma Kaline, je la sens au bord de l'orgasme. Elle se retient d'éclater car elle veut faire jouir sa partenaire. Sa main, entière dans la chatte de Véro joue les queues à la perfection. Notre nouvelle amie, ne résiste pas longtemps et jouit dans un grand cri.

 

Pendant ce temps, Jacques, très endurant, continue à m'enculer. J'aimerais que cela dure des heures tant j'aime le sentir en moi. C'est si bon de se faire saillir comme ça. Kaline a retiré sa main du ventre de Véro. Elle embrasse et caresse sa partenaire qui met un peu de temps à refaire surface. Quand, enfin, Véro se détend et repose les yeux fermés, un joli sourire aux lèvres, Kaline vient vers Jacques et moi.

 

Comme je suis allongé sur le dos, elle s'installe au dessus de mon visage et se branle la chatte énergiquement. Excitée comme elle est elle ne met longtemps à jouir et à répandre sa jouissance sur mon visage. Le foutre de Kaline et la queue de Jacques en même temps, c'en est trop pour moi, je jouis. Mon sperme se répand en gros jet sur ma poitrine. Jacques se retire, enlève sa capote et jute sur moi aussi. Kaline et Véro se rejoignent pour lécher mon torse et récupérer tout le bon jus dont je suis enduit.

 

Nous sommes dans un bel état, tous les quatre, heureux mais dans un bel état. Nous nous dirigeons là où tout a commencé, la douche. Pour le plaisir de caresser l'autre, chacun de nous entreprend de savonner celui d'entre nous qui est le plus proche. Bien entendu les mains et les bouches s'égarent un peu, histoire de prolonger le plaisir. Mais Kaline se penche vers moi et me glisse à l'oreille qu'elle a envie de pisser. Je ne sais pas ce qu'en pense Véro et Jacques, mais nous ne sommes que tous les quatre dans la salle de douche aussi, je m'allonge et Kali s'accroupit au dessus de mon visage et se laisse aller. Je ne sais ce qu'elle consommer avant de me rejoindre tout à l'heure mais elle a la douche dorée très sucrée. Je me régale.

 

Du coup, Véro imite Kaline et se met à uriner elle aussi, Jacques s'accroupit devant sa femme et la boit. Cette scène improvisée les ravit tous les deux. Jacques constatant que nous avons, aussi, ce goût là en commun nous propose de venir chez eux un de ces jours pour passer une soirée qui serait plus que sympa. Kaline, fidèle à sa façon d'agir décline l'offre poliment. Quant à moi j'accepte très volontiers cette invitation en précisant que je ne leur promets pas que je serais accompagné de quelqu'un. Ce à quoi Véro me dit que ce n'est pas un souci. Ils ont parmi leurs amis quelques joyeux drilles dans notre genre.

 

J'ai hâte d'y être. Nous nos séparons, non sans avoir échangé nos coordonnées. Kaline et moi repartons vers chez moi, elle y a laissé sa voiture. Toute chaude et la tête pleine de nos moments passés au sauna, elle se caresse. Comme à l'aller, je roule doucement, une main sur le volant, l'autre dans ma braguette. Il est tard, il fait bien nuit et nous arrivons à proximité d'une aire de repos. J'y dirige la voiture, nous sommes seuls. Je gare la voiture prés d'un bosquet. Je sors du véhicule, le contourne et ouvre la portière de ma belle salope. Elle me fait un grand sourire, nous nous prenons la bouche. Elle sort à son tour, prend appui sur son siège et cambre ses reins.

 

Inutile de parler, nous pensons si fort que nous savons ce que nous voulons, faire, ici ce que, tous les deux, n'avons pas fait au Sauna, une sodomie. Sans précaution, sans prévenance, presque bestialement, j'entre en elle avec une facilité déconcertante, son sphincter est tout dilaté. Nous baisons comme ça un moment, les seuls sons que nous émettons sont nos soupirs, puis bientôt le cri de plaisir de Kaline qui se met à jouir quand je me répands en elle.

 

Nous nous « désincarcérons ». Kaline, de sa langue magique nettoie consciencieusement ma queue, à mon tour, lui rendant la politesse, je m'occupe de son petit trou dégoulinant. Nous mettons de l'ordre dans nos vêtements et faisons les dix kilomètres qui restent en parlant joyeusement. Nous sommes détendus et heureux. Je me rends compte alors que, bêtement, je ne sais rien d'elle, juste son pseudo Kaline. Je prie alors la Déesse Chance pour que cette jolie gourmande ait, un jour, envie de me revoir.

 

J'entre chez moi en me disant que dans quelques jours j'appellerai Véro et Jacques pour que nous nous rencontrions à nouveau. Allons, la vie est belle !!!

 

Par Bruno Bi - Publié dans : Bruno, le libertin - Communauté : échangisme
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