Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.
Mes récits sont protégés par e-auteur.com
Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !
Bises libertines,
Sophie
C'était un début d'après-midi de l'une de ces chaudes journées d’automne, une sorte d’été indien…. Je marchais à l'ombre des maisons, et je me dirigeais chez mon ami Thomas, camarade de fac, avec
qui je m'étais lié d'amitié l'année passée. Il m'avait invité à venir chez lui ce jour là.
Thomas vivait chez sa mère, Elise, 43 ans, divorcée. Je connaissais déjà Elise puisque je m'étais rendu chez Thomas durant l'été à plusieurs reprises. C'était une femme que je trouvais très
belle, élégante, et j'étais quelque peu troublé en sa présence.
Mais j'avais remarqué les fois précédentes qu'elle me souriait souvent, et j'avais noté quelque chose d'étrange, d'indéfinissable dans son regard. Je me disais que je fantasmais, que je prenais
mes rêves pour une réalité.
J'avais l'insouciance de la jeunesse et mes vingt ans tout neuf ne m'empêchaient pas d'admirer le paysage qui s'offrait à mon regard, à la manière d'un petit enfant qui découvre le monde. Mes
yeux allaient et venaient entre les murs des maisons, se posaient sur les vignes jaunissantes qui encerclaient le village, pour aller se perdre dans les collines nantaises. Un léger vent marin
soufflait et ramenait quelques nuages de l’Océan, venus tempérer l'ardeur des rayons du soleil.
Puis, perdu dans mes rêveries, j'arrivais chez Thomas. Je montais l'escalier puis sonnais à la porte. Elise m'ouvrit. Elle me dit :
« Entre, Philippe, je t'attendais. »
Elle était vêtue d'une jupe droite bleue, surmontée d'un petit chemisier blanc en dentelle. Elle me fit entrer et m'invita à m'asseoir dans le salon. Nous parlâmes quelques minutes puis je lui
demandai : « Thomas n'est pas là ? »
- Non, dit-elle, mais il ne va pas tarder.
Puis elle m'offrit une tasse de café. Quand elle tendit le bras pour me la donner, je vis comme une marque à son poignet. J'en fus surpris mais ne dis rien. Toutefois, elle avait croisé mon
regard, et compris que j'avais vu la marque. Elle n'en fut pas gênée. Elle s'assit à côté de moi et la conversation reprit. Puis, au fil des phrases, nous abordâmes ma vie privée.
Elise voulut savoir si j'avais une copine. Je fus un peu embarrassé. En effet, je n'avais jusqu'alors eu que quelques aventures sans lendemain. Je lui avouai la vérité. Elle parut surprise, et en guise de réponse passa sa main dans mes cheveux en disant : « C'est étonnant, un beau garçon comme toi ! »
Je rougis un peu. Puis elle prit ma main gauche et la guida, d'abord sur ses cuisses, puis la fit glisser sous sa jupe. Je sentis alors sa peau douce, chaude. Mon cœur se mit à battre. Je n'osai
rien dire. Puis, subitement, elle me demanda :
« Cette marque que tu as vue tout à l'heure, veux-tu savoir d'où elle me vient ? »
Je n'osai répondre oui, mais voulais en savoir davantage. Sans attendre ma réponse, elle se leva et me suggéra de la suivre. Elle me conduisit dans sa chambre. Je commençais à avoir des sueurs
froides, mon cœur s'emballait dans ma poitrine.
Puis elle ouvrit un tiroir, et je vis à l'intérieur deux paires de menottes, une cravache ainsi que d'autres objets que je ne parvenais pas à identifier. Elle me regarda alors et me lâcha
brutalement :
« Philippe, aimerais-tu me dominer ? »
Je restais interloqué, muet, immobile. J'avais bien compris ce à quoi elle faisait allusion. J'avais quelque peu entendu parler de ce genre de pratiques, mais jusqu'à ce jour, il ne s'agissait
pour moi que d'une théorie lointaine.
« Mais Thomas va arriver d'un instant à l'autre, rétorquais-je.
- Non, dit-elle. Tout à l'heure, je t'ai menti. En fait, je l'ai envoyé faire une course sur Nantes. Il ne rentrera pas avant une bonne heure. Alors, tu acceptes ?
- Oui », dis-je, étonné moi-même par ma réponse positive.
Puis je la vis s'agenouiller devant moi et prononcer ces paroles qui résonnèrent dans ma tête comme un tonnerre : « A présent, tu es mon maître. Ordonne et je
t'obéirai… ».
Je ne savais pas trop quelle attitude je devais adopter, mais j'entrepris de rentrer dans son jeu et de lui donner des ordres, étant persuadé qu'elle allait se relever et se mettre à rire de ce
que je croyais être une plaisanterie.
Par conséquent, je lui dis sèchement en passant au tutoiement : « Commence par retirer mon pantalon ! »
A ma grande surprise, elle s'exécuta et je compris alors que ce n'était pas un jeu. Je sentis ses mains remonter le long de mes cuisses avant de se poser sur ma braguette. Je fus parcouru d'un
léger frisson. Pendant qu'elle m'enlevait le pantalon, je retirais ma chemise. Puis, elle ne bougea plus, attendant probablement de nouvelles instructions. Je lui ordonnais : « Relève-toi et toi,
toi aussi. »
Elle obéit docilement, et je pus alors découvrir ses charmes intimes. Sa poitrine généreuse, recouverte d'un soutien-gorge ocre à balconnet s'offrit à mon regard curieux et admiratif. Ensuite, ce
fut au tour de ses jambes et de ses cuisses de captiver mon attention. Je me sentais gonfler dans mon slip. J'eus ensuite l'idée de m'amuser un peu avec les menottes et la cravache.
Je la fis se mettre à quatre pattes devant un fauteuil de cuir, disposé à proximité du lit, et lui menottai les poignets aux pieds du fauteuil. Toujours aucune résistance de sa part. Je m'assis
sur le fauteuil en écartant légèrement les jambes. J'entrepris de faire passer la cravache entre ses seins. Au contact de l'objet sur sa peau, Elise se mit à frémir. La cravache descendit entre
ses cuisses et les frémissements s'accentuèrent.
Mon sexe se sentait de plus en plus oppressé dans le slip et de ce fait, j'entrepris de l'en libérer. Elise fixa ma bite et mes couilles gonflées avec attention. Je l'interrogeai alors :
« Elle te plait ?
- Oh oui, maître !
Un nouveau frémissement parcourut mon corps et je ne pus m'empêcher de lui demander : voudrais-tu la sucer ?
- Oui, maitre.
Et moi de répondre : Alors, fais-le ! »
Elle redressa un peu la tête, ouvrit sa bouche. Mes mains s'enroulèrent autour de sa nuque et l'aidaient à se rapprocher. Je sentis le bout de sa langue effleurer l'extrémité de mon gland.
Je fermais les yeux et ne pus réprimer un gémissement de plaisir. Puis, Elise absorba consciencieusement la totalité de mon vit, et je sentais ses lèvres y appliquer de légers massages dans un
mouvement de va-et-vient. Je ressentais le plaisir et l'excitation monter en moi, mon cœur s'emballait et ma respiration était accélérée, irrégulière.
Mon corps était comme tétanisé, agité de violents soubresauts. Je ne pouvais m'empêcher d'exprimer ces sensations et lâchai, entre deux soupirs :
« Oh, oh ouiii, c'est bon, encore… Oh, oh, je vais jouiiir !!! »
Malgré la confusion qui régnait dans mon esprit, j'avais un peu honte de me comporter de la sorte, mais la sensation était si voluptueuse que je ne pouvais plus contrôler ma volonté. Puis le
plaisir atteignit son apogée et l'orgasme arriva. A ce moment, j’ouvris les yeux et j'eus l'impression que la pièce était illuminée d'éclairs.
L'orgasme fut si intense que ma vue se brouilla, et je crus même que j'allais mourir, terrassé par ce plaisir si violent. Puis mes muscles se relâchèrent, et mon corps retomba sur le fauteuil. Je
restai alors inerte jusqu'à ce que la voix de Elise vienne me sortir de cet état de semi-inconscience :
« Vous avez aimé, Maître ?
- Oh oui j'ai aimé, dis-je en lui souriant, et même adoré ! »
Elle sourit à son tour. Cette expérience m'avait tellement troublé que je ne savais plus que faire à présent. J’aurais bien pu m'arrêter là mais je me disais qu'il ne serait pas correct de
laisser Elise sans « récompense ».
J'entrepris donc de la détacher et la fit s'allonger sur le lit. Celui-ci possédait des barreaux et tout naturellement j'eus l'idée de lui rattacher les poignets. Une fois Elise allongée et
attachée, je lui enlevai son soutien-gorge très délicatement et me mis à lui téter les seins. Elle se mit à frémir. Puis mes mains retirèrent son slip qui avait commencé à s'humidifier. Elle
était nue, devant moi, soumise à ma volonté.
J'avais observé, quand elle avait ouvert le tiroir pour me montrer les menottes et la cravache, une sorte de cylindre qui ressemblait étrangement à un pénis. J'eus l'idée d'aller le chercher et
d'effleurer le bord de ses lèvres humides avec l'objet. Ensuite, j'enfonçai ce dernier un peu plus profondément. Elise ne pouvait s'empêcher de manifester son plaisir à son tour. Quand je sentis
que sa jouissance atteignait un niveau proche du zénith, je mis fin brusquement à la stimulation.
Elle s'immobilisa, se tut. Ses yeux me regardaient et semblaient m'implorer de la mener jusqu'à l'orgasme. Cela me faisait une drôle d'impression de savoir que je contrôlais son plaisir à ma
guise mais, bien que trouvant cette situation agréable et valorisante, je ne voulais quand même pas trop la faire attendre.
Je me rapprochai de son visage et lui dit gentiment, mais fermement : « Pas encore, encore un peu de patience… »
Ma main se posa sur son front et descendit sur sa joue, jusqu'à son menton, avant de remonter sur ses lèvres. Puis je me baissai, et posai ma bouche sur la sienne, avant de lui communiquer un
baiser passionné et fougueux. J'entendis alors ses menottes cliqueter contre les barreaux du lit. J'en déduisis qu'elle aurait voulu passer ses mains autour de mon cou mais ses liens l'en avaient
empêchée. Elle me murmura alors :
« S'il vous plaît, Maître, permettez- moi de jouir moi aussi…
- Oui, dis-je, en lui collant un autre baiser sur le front. Tu peux, je t’y autorise. »
Je revins à hauteur de son sexe et repris l'objet longiforme . J'écartais ses lèvres, à présent très humides, avec mes doigts. Je vis son clitoris et y posai l'extrémité du gode dessus.
L'objet lui titillait le clitoris, tantôt lentement, tantôt rapidement, avant de pénétrer plus intérieurement dans son intimité. Les gémissements d’Elise reprirent et allèrent en crescendo
jusqu'à l'orgasme. A ce moment là, elle eût une contraction qui fut suivie d'une décharge sur la fausse bite. Elle poussa un dernier soupir et me dit d'une voix faible :
« Merci, Maître. »
Puis je m'assis à côté d'elle, sur le lit, et la regardai sans mot dire.
Au bout d'un instant, je la sentis remuer les bras et pousser un petit gémissement de douleur. Elle devait commencer à avoir mal à force de garder ses bras écartés et attachés aux barreaux. Je
lui enlevai donc les menottes. Elle se redressa, et posant sa main sur mon ventre, oublia le vouvoiement :
« Philippe, as-tu apprécié cette expérience ? »
- Bien sûr, dis-je. Elle sera inoubliable pour moi ! »
Puis nous nous rhabillâmes et retournâmes au salon. J'étais un peu gêné par tous ces évènements qui venaient de survenir, ma tête était encore emplie de tous ces moments intenses en émotion et en
plaisir... et je ne savais trop que dire. Elise le comprit et respecta mon silence. Un instant après, un bruit de porte se fit entendre. Thomas était rentré de ses courses à Nantes.
Il nous rejoint et nous eûmes une conversation comme si de rien n'était. Je me remis à vouvoyer Elise et nous reprîmes nos distances.
Seulement, avant que je ne reparte, elle me glissa à l'oreille : « Revenez quand vous voulez, Maître. J’ai hâte que nous renouvelions l'expérience... »
Je lui fis un sourire pour lui signifier mon accord.
Sur le chemin du retour, je revivais par la pensée l'expérience que je venais de connaître. Tout ceci paraissait si irréel, si féerique à tel point que je me demandais si je n'avais pas rêvé.
Quelques jours après, un mardi après-midi, je n'avais pas cours à la fac et, après en avoir avisé Elise, j'entrepris de quitter Nantes pour aller la rejoindre. Thomas étant à l'Université pour
toute la journée, nous avions quartier libre.
De nouveau, elle se soumit à moi et m'apprit à la dominer de manière, disons plus experte. Depuis, Elise et moi sommes amants, mais il existe toujours ce rapport de domination/soumission. Je lui
ai proposé d'avoir une relation que l'on pourrait qualifier de plus conventionnelle, de plus classique. Pourtant, j'ai l'impression qu'elle apprécie ce rapport d'autorité où elle devient,
l’espace d'un instant, totalement soumise à ma volonté et à mes désirs les plus secrets.
Je pense que beaucoup de garçons de mon âge se vanteraient de vivre une telle situation, au demeurant très valorisante, mais je garde cette liaison secrète. C'est un secret qu'Elise et moi sommes seuls à partager…
Derniers Commentaires