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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Alice raconte :

 

Le vendredi matin, je téléphone à Véronique pour la prévenir que je serais en retard. J’invoque un prétexte (voiture récalcitrante) et j’arrive au bureau vers onze heures et Véronique me dit aussitôt :

« Monsieur M… t’a appelée il y a cinq minutes ! Il est monté immédiatement à son bureau. Il ne semble pas de bonne humeur. »

 

Je prends mon bloc notes et monte aussi vite que possible.

 

« Entrez ! » Ce mot claque sèchement à travers la porte. J’entre.

 

« Ah c’est vous Alice ! Mon assistante est absente, nous allons faire des corrections au dossier. »

 

Je retrouve la voix chaude et caressante de Lucas. Il n’y a aucune trace de mauvaise humeur. Bien au contraire, il plaisante.

 

« Alors, dis-moi, t’as eu ce que tu voulais ? »

 

A ces mots, je me sens rougir jusqu’au bout des oreilles. Puis il détend un peu l’ambiance et le travail « sérieux » reprend jusqu’aux environs de midi.

 

« Va vite déjeuner, j’aimerais que tu m’accompagnes à la réunion. Tu sais où elle se tiendra ! Passe prendre le dossier juste avant. Nous monterons ensemble »

 

A l’heure dite, je m’installe aux côtés de Lucas dans la salle de réunion. Le P.D.G. et tous les directeurs adjoints sont là avec leurs assistants.

 

Nous sommes une trentaine de personnes autour de la table. Peu avant 16 heures, la réunion se termine. Je redescends avec Lucas dans l’ascenseur. Nous ne sommes pas seuls. Je repense à ce que nous avons vécu tous les deux la veille et comment cet ascenseur nous a emmenés au septième ciel !

 

Çà fait plaisir d’y penser même étant entourés d’autres gens, je trouve cet exercice mental très excitant. A un certain moment je crois même mouiller en ramenant dans ma tête toutes ces images coquines, sensuelles au plus haut point.

 

Ensuite, j’accompagne Lucas jusqu’à son bureau et lui remets le dossier et les notes prises au cours de la séance de travail. Nos regards se croisent, en silence, deux ou trois fois avant que je fasse demi-tour pour repartir.

 

Soudain, il laisse tomber en toute hâte, comme s’il avait longtemps hésité avant de se lancer.

 

« Viens, Alice, j’ai quelque chose pour toi ! »

 

Il me tend un étui que j’ouvre aussitôt. Deux stylos magnifiques d’une grande marque sont rangés dedans.

 

«Oh, merci ! Fallait pas ! C’était tellement bon hier soir.»

 «Oui, c’était très bon ! T’es une fille magnifique, tu sais….

 

Le reste de la journée se déroule comme dans un rêve. C’est la tête pleine de souvenirs merveilleux que je rentre chez moi en fin de journée.

 

Je suis seule ce weekend. Je vais pouvoir revivre la soirée de jeudi et me caresser comme une folle… en pensant que d’autres soirées torrides suivront cette première expérience inattendue entre lui et moi.

 

 

Les semaines passent. Une amitié tendre et complice unit Lucas et Alice et des allusions discrètes commencent à circuler malgré leur prudence. Quelques intermèdes coquins ont eu lieu dans une des suites du dernier étage de la tour.

 

A chaque fois, cela avait lieu après un après-midi prolongé de quelques heures supplémentaires de travail. C’était comme une sorte de récompense après des heures de boulot épuisantes où leur complicité ne faisait que s’accroitre avec les jours.

 

 

A la fin novembre, Lucas et son assistante Marie-Lou préparent ensemble un voyage d’affaires au Mexique où un important contrat doit être négocié directement après plusieurs vidéoconférences entre des responsables des deux sociétés.

 

Si tout va bien, le séjour mexicain durera cinq jours. Pendant ces préparatifs auxquels j’ai participé à plusieurs reprises, je suis un peu jalouse de Marie-Lou qui va faire le voyage avec Lucas.

 

Mais le lundi matin précédant le départ, Lucas m’appelle dans son bureau.

 

Marie-Lou vient d’être prévenue par l’école de son fils. Ce dernier, âgé d’une dizaine d’année vient de se casser un bras dans la cour. Elle va devoir s’occuper de lui et ne pourra pas être du voyage. Lucas me demande :

« Vous parlez l’espagnol ? »

« Bien sur ! En plus de l’anglais, je parle couramment l’espagnol ! En fait c’est ma langue maternelle. »

« Bien, Je le savais ! Faites le nécessaire ! Vous m’accompagnez au Mexique. C’est réglé avec les ressources humaines. Comme vous connaissez le dossier cela sera plus facile »

 

Quelle aubaine ! Je vais passer près de sept jours complets avec Lucas. Nous sommes mardi en milieu de matinée. Une voiture de la société nous emmène tous les deux à l’aéroport. Le vol avec une escale aux Etats Unis sera long. Nous arriverons vers 22 heures locales.

 

Pendant tout ce temps Lucas et moi, nous nous comportons comme deux amoureux qui font une beau voyage. Je suis blottie contre lui qui tient dans sa main gauche ma main droite. Je sens contre mon épaule la douce puissance de son bras.

 

J’appuie mon sein gauche sur son avant bras. Je suis divinement bien ainsi. Nous bavardons de tout et de rien. Je l’interroge sur sa femme et ses enfants. Je parle de moi et de Pedro. Il n’y a aucune gêne ni contrainte dans nos propos.

 

L’un comme l’autre, nous savons que ce que nous vivons est exceptionnel mais que cela prendre fin avec l’achèvement de ma mission d’intérim. C’est mieux ainsi. Je ne veux pas perturber sa vie de famille. D’un autre côté, je suis trop amoureuse de Pedro pour le quitter. Notre vie de libertins me comble. Là je profite d’un bel interlude …

 

A l’aéroport de Mexico, nous sommes accueillis par un cadre de la société mexicaine que j’ai vu lors d’une vidéoconférence. Il nous conduit jusqu’à notre hôtel et nous indique que la voiture et le chauffeur viendront nous prendre à 10 heures le lendemain.

 

Nous disposons chacun d’une petite suite comprenant un salon, une chambre et une salle de bains mais Lucas me dit :

« C’est inutile d’utiliser deux chambres ! Installe-toi avec moi ! »

 

Je n’en attendais pas tant mais j’espérais bien que nous nous retrouverions dans le même lit. Je déballe rapidement quelques affaires et me dirige vers la salle de bain :

« Je prends une douche rapide et te cède la place. 

- D’accord, prends ton temps ! J’en ferai autant ensuite ! »

 

Je suis sous la douche après m’être démaquillée quand la porte s’ouvre. Lucas entre dans la salle de bain, entièrement nu, le sexe à moitié bandé, il me rejoint sous le jet. Il prend du gel dans ses mains et commence à masser mes épaules et mon dos. Par moments, je sens sa bite me frôler ! C’est vraiment excitant.

 

Ensuite il descend encore plus bas, en ouvrant mon entre fesses pour masser par derrière mon sexe inondé de mouille. Comme ce n’est guère facile, je me dégage et je fais face à Lucas qui poursuit ses caresses. D’une main il s’occupe de ma poitrine en faisant rouler alternativement mes tétons bandés au creux de sa main et de l’autre, il masse mon Mont de Vénus en passant un doigt indiscret entre mes lèvres intimes. Cela achève de m’exciter. Ma chatte est humide et ce n’est pas l’eau de la douche.

 

Je n’en peux plus ! De mes deux mains j’enserre doucement sa belle queue et la masturbe doucement jusqu’à ce qu’elle atteigne son plein développement. Ce n’est pas long et je lui dis :

 « Viens ! J’ai envie de toi ! »

 

Nous nous séchons rapidement, malgré l’excitation à son comble. Lucas me porte sur le lit. Comme lors de notre première fois, il me domine de sa haute stature, mais là, il ne tarde pas à invertir ma chatte.

« Ma coquine. Passer tout ce temps près de toi dans l’avion sans pouvoir échanger autre chose que des baisers discrets, c’était insoutenable ! »

 

Les bras de chaque côté de mon buste, Lucas va et vient dans ma chatte. A chaque fois, il en ressort pour mieux me reprendre ensuite. Son sceptre généreux me remplit bien. Je sens la jouissance monter au fond de moi.

« Oui ! Oui ! Que c’est bon ! »

 

Bientôt, je ne peux plus retenir le plaisir qui m’envahit et je le laisse déferler au moment même où je sens les jets de sperme de Lucas se déverser au fond de moi. Nous basculons sur le côté. Lucas nous recouvre avec le drap et étroitement enlacés, nous sombrons immédiatement dans le sommeil. C’est vrai qu’avec le décalage horaire, cela fait une longue journée.

 

Le lendemain, malgré la brume de pollution, nous découvrons l’immense cité tentaculaire qu’est la ville de Mexico depuis le 8ème étage de l’hôtel.

 

Les discussions de la journée sont âpres ! Les mexicains ne veulent pas céder un pouce sur les conditions du marché mais c’est de bonne guerre ! Mais lors de la petite réception organisée en notre honneur en fin de journée, tout semble aplani.

 

Après un rapide diner au restaurant de l’hôtel, Lucas et moi, nous n’avons qu’une hâte : nous retrouver dans l’intimité de la chambre :

« Enfin seuls ! »

 

 

 

Lucas raconte :

 

Je prends Alice dans mes bras, j’enserre sa taille fine de mes mains et la plaque contre moi. Déjà au cours du repas et dans l’ascenseur j’avais fantasmé sur ce que j’allais faire dès que nous serions dans la chambre et j’avais la bite qui montait doucement dans mon slip.

 

Je lui fais sentir cette bosse qui ne demande qu’à se développer. Alice a compris le message. Elle s’arrange pour incruster son bassin au contact le plus étroit avec le mien. Elle entame un mouvement tournant de ses hanches comme une danseuse orientale. Waouh que c’est bon.

 

Ensuite elle se dégage et s’agenouille devant moi. Elle dégrafe mon pantalon et le fait glisser en même temps que le slip. Comme un ressort qui se détend mon sexe jaillit et Alice gobe mon gland puis elle fait entrer ma hampe le plus loin possible dans sa bouche.

 

En faisant des mouvements de va-et-vient avec des aspirations profondes elle enduit ma bite de salive. Je passe ma main dans ses cheveux dans une douce caresse.

 

Je sens rapidement mon plaisir monter. Je me dégage et reprends Alice dans mes bras pour la déshabiller. Dès qu’elle est nue, elle s’installe sur le lit dans une pose qui est un appel à la débauche. A genoux, elle est prosternée, les bras allongés de part et d’autre de sa tête, ses seins reposant sur la couverture légère. Elle m’attend !

 

Je ne la fait pas languir plus longtemps. Je la rejoins sur le lit, je m’agenouille entre ses jambes, j’approche ma bite de ses fesses et lentement j’investis sa chatte qui est brûlante et humide. Elle aussi avait du fantasmer sur la suite de la soirée.

 

On a passé presque la moitie de la nuit à faire l’amour sans nous arrêter, tellement on avait envie l’un de l’autre. On savait chacun de son coté que ceci serait la seule fois qu’on serait ensemble en voyage. Alors on voulait profiter le maximum possible.

 

Les deux jours suivants se sont ressemblés, travail la journée suivis de nuits torrides. Je n’arrivais pas à me lasser de lui faire l’amour, cette fille avait l’habilité de me mettre le feu dans le sang et dans mon pantalon.

 

Et l’attraction physique entre nous augmentait chaque fois plus.

 

Les négociations avec les mexicains se sont conclues rapidement et déjà au troisième jour on a senti qu’on n’avait plus besoin de les retrouver, le marché était conclu, signé et fini.

 

Cela fait, il nous restait encore deux jours complets. Alors : soit on rentrait en France plus tôt que prévu, soit on … et alors une idée magnifique a traversé mon esprit mais je veux en faire la suprise à Alice Le vendredi en début d’après-midi, la voiture de la société est venue nous prendre à l’hôtel pour nous reconduire à l’aéroport.

 

Nous accédons directement à la zone des avions privés où nous attend un couple qui constitue l’équipage d’un petit bimoteur à hélice où nous embarquons immédiatement. La jeune femme qui est le copilote fait aussi fonction d’hôtesse. Alice et moi sommes seuls à bord.

 

Notre court voyage entre Mexico et Cancun se passe comme dans un rêve. Installés très confortablement dans la petite cabine à six places, nous dégustons un excellent champagne californien servi par notre copilote.

 

Je suis très heureux de pouvoir faire profiter Alice de cette escapade au bord de la mer des Caraïbes, cette mer qui baigne aussi la terre de mes ancêtres guadeloupéens.

 

Après un peu plus d’une heure de vol, nous survolons la presqu’île du Yucatan avant de nous poser sur l’aéroport local où nous attend une voiture avec chauffeur. Il nous conduit dans une belle et grande villa en bord de plage où une mexicaine d’une cinquantaine d’années sera à notre disposition pendant notre séjour.

 

Nous prenons possession de notre chambre, immense avec un lit bas de plus de deux mètres de côté. Dans la salle de bain attenante, nous trouvons une série des maillots de bains de tailles diverses que nous nous empressons d’enfiler. Il nous faut profiter de la plage tant qu’il fait jour.

 

Pendant qu’Alice ôte ses vêtements pour revêtir un maillot deux pièces assez réduit, je la lutine un peu, frôlant ses seins encore découverts ou ses fesses où le maillot se réduit à une bande de tissu large de deux doigts à peine. Mon maillot a bien du mal à contenir mon sexe qui bande légèrement. Le spectacle du déshabillage d’Alice m’a quelque peu échauffé le sens.

 

Dès que nous sommes prêts, nous courrons vers la plage en nous tenant par la main comme le feraient deux amoureux. Ne sommes-nous pas des amoureux, amants ardents et passionnés ?

 

Nous entrons dans l’eau tiède et limpide où le nombre de baigneurs est très réduit. Nous nageons vers le large pendant quelques temps. L’eau est peu profonde et nous profitons d’un haut fond pour nous reposer un peu. Alice est une bonne nageuse. Elle a suivi mon rythme sans difficultés.

 

Debout dans l’eau je l’enlace et lui prend les lèvres dans un doux baiser. Alice me souffle à l’oreille :

« Merci Lucas ! Je n’oublierai jamais tout ça ! »

 « Moi non plus ma petite…»

 

Comme nous sommes hors de vue des autres baigneurs, je dénoue les cordons du maillot d’Alice et je retire son soutien gorge que je noue autour de mon poignet. Je peux ainsi caresser sa jolie poitrine dont les tétons sont dardés. Je les fais rouler entre mes doigts et Alice vient emprisonner ma bite dans sa main droite pour la masser.

 

J’ai une érection majestueuse. Mon gland sort de la ceinture du maillot. Heureusement nous sommes loin et dans l’eau.

 

Je glisse une cuisse entre celles d’Alice et je lui fais sentir le désir que j’ai d’elle. Nous sommes toujours enlacés, bercés par la houle, nous nous embrassons et nous nous caressons :

« Viens sur la plage. »

 

Nous nous désunissons et en nageant lentement l’un à côté de l’autre nous nous dirigeons vers la rive. Dès qu’il ne reste plus que quelques dizaines de centimètres d’eau, nous nous allongeons sur le sable et nous roulons l’un sur l’autre, les jambes léchées par les vagues. Nous sommes deux jeunes amoureux follement épris, guidés par une envie irrépressible de sexe.

 

Ma verge raide, frottant chaque partie de son corps, est comme un rouleau qui détend ses nerfs et la pousse à oser des caresses et des gestes qu’elle n’aurait jamais faits auparavant, sans ces préliminaires excitants. J’ai l’impression qu’elle va hurler fort à chaque fois que ma main glisse entre ses cuisses ruisselantes de mouille.

 

A la nuit tombante, nous revenons vers la villa. Nous passons rapidement ensemble sous la douche pour nous débarrasser du sable et de l’eau salée qui a séchée sur nous. C’est encore l’occasion de baisers et de caresses. Nous enfilons des vêtements légers et nous passons à table. Nous dégustons des spécialités locales à base de poisson cru mariné dans le citron et un filet de bœuf mariné également au citron et aux herbes. C’est un délice.

 

Aussitôt le repas terminé, nous gagnons la chambre. Alice a trouvé une station de radio qui diffuse de la musique. Elle ne tarde pas à danser lascivement sur ce rythme syncopé et à amorcer un striptease coquin. La matinée sur la plage et les caresses sur le sable nous ont préchauffés sans aucun doute.

 

Je m’installe dans un fauteuil pour mieux apprécier le spectacle. On dirait une danseuse professionnelle tant sa manière de faire est pleine d’un érotisme discret.

 

Alors qu’elle ne porte plus qu’un mini string en dentelle blanche, elle s’approche de moi, se trémousse un peu en me tournant le dos puis Alice s’agenouille entre mes cuisses. Elle m’embrasse amoureusement et de ses mains elle part à la recherche de mon dard qui est dressé dans mon pantalon.

 

Pour la première fois depuis que nous baisons ensemble, elle me prend en bouche. Elle lèche d’abord le gland avant d’engloutir mon sexe au plus profond de sa gorge. Je n’ai pas besoin de la guider, d’ailleurs je n’ai jamais aimé guider mes partenaires. D’elle-même elle fait le va-et-vient en enduisant copieusement ma queue de salive.

 

Pendant qu’elle me fait cette gâterie, j’ôte mon polo et je fais glisser tant bien que mal mon pantalon. Ensuite, Alice se dirige vers le lit après avoir fait glisser son string, s’allonge dessus et me tend les bras en disant :

« Viens… »

 

Je la rejoins. Je m’installe entre ses cuisses que je remonte en les pliant. Je place mon gland à l’entrée de sa chatte et lentement je pénètre cet antre chaud et humide d’une seule poussée. Lorsque je suis bien au fond, je m’arrête et je regarde Alice. Ses yeux et son visage rayonnent de bonheur.

 

Je commence les va-et-vient, lentement puis de plus en plus vite. Comme je ne peux pas me servir de mes mains, Alice caresse doucement ses seins, pince les tétons et les fait rouler entre ses doigts. Notre jouissance monte, monte, monte de plus en plus et elle finit par nous envahir comme une vague trop forte qui déferle sur la plage et détruit tout sur son passage.

 

Ma compagne se tétanise au moment où je me vide en elle. Elle bloque sa respiration quand je laisse retomber ses jambes sur le côté. Elle savoure ! Et moi aussi ! Ma bite toujours fichée au plus profond de sa chatte.

 

C’est dé…délicieux ! Encore… Encoooooooooooore »

 

Je reste encore quelques temps en elle puis je me dégage en m’allongeant sur le dos. Quand je veux prendre Alice dans mes bras, elle se dérobe. Ma belle partenaire s’allonge de tout son corps sur le mien et par de savants mouvements elle masse mon torse avec ses seins menus, son pubis en contact avec le mien, elle emprisonne mon sexe dans la fourche de ses cuisses et ondule du bassin.

 

Avec un tel massage sensuel, je ne tarde pas à retrouver une bandaison forte. Mon sexe est de nouveau raide comme une barre d’acier.

« Si tu veux… tu veux ? »

 

En disant cela, Alice se place en levrette face à un immense miroir qui fait office de porte du dressing, enfilant un doigt dans son anus, sans doute pour le lubrifier. Je finis par comprendre ce qu’elle veut tester.

« Je te demande d’être doux… »

 

Je me place derrière elle, je fais quelques mouvements dans sa chatte pour enduire mon sexe de cyprine et de foutre et doucement j’applique mon gland sur son œillet. Je pousse lentement et le pertuis serré s’ouvre comme par enchantement.

 

Petit à petit, mon sexe s’enfonce et bientôt mes couilles viennent battre contre l’entrée du vagin d’Alice. Quel spectacle ! Dans le miroir je nous vois tous les deux. J’ai devant moi le dos fin et les hanches étroites de ma maîtresse. Ses cheveux défaits masquent son visage. Quelle vision érotique !

« Vas-y, tu peux y aller, prends moi par derrière ! Baise moi ! »

 

Je commence lentement les mouvements de va-et-vient dans sa gaine étroite et au fur et à mesure, j’accélère en prenant soin de ne pas sortir de son anneau qui se plie à la taille de mon sceptre de chair. Soudain Alice hurle au moment où elle jouit.

« Oui ! Oui ! Oouuuiiiiii ! »

 

Je me dégage et je saisis ma bite dans la main droite pour diriger les jets de sperme sur le bas de son dos.

 

Repus de jouissance nous nous endormons jusqu’au lendemain. Au réveil Alice est lovée contre moi, un bras passé au dessus de mon torse. Je sens ses seins collés contre moi et je repense à tout ce que nous avons vécu ensemble depuis quelques semaines.

 

Comme presque tous les matins je bande légèrement. Je sens mon sexe lourd sur mon pubis. Alice s’agite un peu et sa main glisse de mon torse jusqu’à venir saisir ma bite qu’elle branle doucement avant de m’enfourcher quand elle la juge à son gout.

 

Comme une belle amazone elle me chevauche, montant et descendant sur ce pal doux et chaud fiché en elle. Je sens les muscles internes de son vagin masser l’extrémité de ma bite quand elle est bien au fond.

 

Dans le clair obscur de la chambre je vois le visage d’Alice qui rayonne de bonheur. Notre plaisir monte une nouvelle fois crescendo pour éclater, toujours aussi violent à chaque fois que je me vide dans l’intimité d’Alice.

 

Après un rapide bain de mer, nous reprenons l’avion pour Mexico et une heure après nous sommes dans l’avion qui, après une nouvelle escale aux Etats-Unis, nous ramènera vers la France.

 

FIN

Par Gérard le Matou - Publié dans : Le Matou Libertin - Communauté : Au royaume des salopes
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Commentaires

La suite est aussi captivante que la première partie...J'aime bien me promener dans les désirs et les émois masculins et féminins... tour à tour ...

J'aime que vous leur donniez la parole ...J'aime vos mots qui nous portent de l'un à l'autre ...

commentaire n° :1 posté par : Fleur-ange le: 06/02/2014 à 18h22

Merci à vous de nous le dire, l'auteur y est très sensible.. merci encore pour lui...

réponse de : Sophie de R. le: 11/02/2014 à 20h09
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